Re: Les aventures d'Avalanche (Tome 2)
Posté : 18.10.18
C’est vrai qu’au debut j’étais un peu parano à la fac et pas mal paumée aussi. Mais après 3 semaines de cours je commence à prendre mes marques et à dédramatiser le truc aussi, à savoir que :
- À la fac je n’ai pas moins de chances de m’en sortir qu’ailleurs. Parfois mes peurs sont vraiment limitantes et je stresse tellement que j’arrive même plus à bosser. Alors qu’en vrai, je sais que j’en ai les moyens mais j’ai souvent eu peur de ne pas être à la hauteur (des autres).
- Je fais de grandes découvertes tous les jours et là j’ai vraiment été fière de moi. Parce que je commence à cesser de me comparer aux autres. Mais vraiment. Et le fait de moins me laisser aller à ce réflexe (parce que je le voyais venir) ça a vachement été libérateur parce que je me suis rendu compte que pour prendre la mesure des choses je pouvais faire confiance à mon intuition. Et pas chercher à être à la hauteur d’un niveau interprété comme tel.
- J’ai souvent peur que les gens qui m’approchent me jugent ou me blessent. Autre découverte, je me suis rendu compte que par angoisse il m’est arrivé de trop chercher à plaire à des gens avec qui fallait pas chercher à forcer les choses quoi. Du coup en mettant de la distance dès que je sentais qu’on me jugeait ça m’a permis de dépenser plus d’énergie avec des personnes prêtes à m’accepter que de m’épuiser en cherchant à plaire à d’autres.
- C’est vrai que quand ce mec qu’on va appeler Mac Book m’a approchée j’ai flippé parce que je croyais qu’il voulait me m’exploiter ou me soutirer des infos sur les cours et tout... m’enfin bon. Après l’avoir snobé plusieurs fois j’ai vu qu’il avait pas trop l’air de vouloir me manger alors on commence à trainer un peu ensemble. C’est fou mais je me rends compte que j’ai cette tendance à juger les gens quand je vois certaines choses. Après je me mets à déprimer en me disant que la vie est horrible alors que en fait quand je me pose et que je chasse ces mauvaises pensées mon monde s’éclaire. Enfin, c’est bon, je crois que j’ai vraiment arrêté de vouloir être forcément gentille. Maintenant je me contente d’être neutre, en essayant de ne plus être parano.
- Pour ce qui est de mon concours d’éloquence, je vais essayer de pas me laisser encombrer par mon syndrome de l’imposteur en me disant que si je foire c’est pas la fin du monde. D’ailleurs c’est même le début du commencement.
Il s’appelle Mac Book parce que Mac book aime se regarder dans son écran d’ordi quand il me parle en glissant ses doigts dans ses cheveux. J’ai pas envie de le juger mais. Naaaan, en vrai je commence à créer du lien avec 4/5 personnes et c’est fou. Ils ont même pas été choqués que je n’ai pas facebook ! Hahaha. C’est aussi parce que je m’affirme plus...
Et puis je vais arrêter de poster toutes les semaines sur mon journal sinon ça va le polluer... hiiiiiiiiiiii angoisse mortelle !
- À la fac je n’ai pas moins de chances de m’en sortir qu’ailleurs. Parfois mes peurs sont vraiment limitantes et je stresse tellement que j’arrive même plus à bosser. Alors qu’en vrai, je sais que j’en ai les moyens mais j’ai souvent eu peur de ne pas être à la hauteur (des autres).
- Je fais de grandes découvertes tous les jours et là j’ai vraiment été fière de moi. Parce que je commence à cesser de me comparer aux autres. Mais vraiment. Et le fait de moins me laisser aller à ce réflexe (parce que je le voyais venir) ça a vachement été libérateur parce que je me suis rendu compte que pour prendre la mesure des choses je pouvais faire confiance à mon intuition. Et pas chercher à être à la hauteur d’un niveau interprété comme tel.
- J’ai souvent peur que les gens qui m’approchent me jugent ou me blessent. Autre découverte, je me suis rendu compte que par angoisse il m’est arrivé de trop chercher à plaire à des gens avec qui fallait pas chercher à forcer les choses quoi. Du coup en mettant de la distance dès que je sentais qu’on me jugeait ça m’a permis de dépenser plus d’énergie avec des personnes prêtes à m’accepter que de m’épuiser en cherchant à plaire à d’autres.
- C’est vrai que quand ce mec qu’on va appeler Mac Book m’a approchée j’ai flippé parce que je croyais qu’il voulait me m’exploiter ou me soutirer des infos sur les cours et tout... m’enfin bon. Après l’avoir snobé plusieurs fois j’ai vu qu’il avait pas trop l’air de vouloir me manger alors on commence à trainer un peu ensemble. C’est fou mais je me rends compte que j’ai cette tendance à juger les gens quand je vois certaines choses. Après je me mets à déprimer en me disant que la vie est horrible alors que en fait quand je me pose et que je chasse ces mauvaises pensées mon monde s’éclaire. Enfin, c’est bon, je crois que j’ai vraiment arrêté de vouloir être forcément gentille. Maintenant je me contente d’être neutre, en essayant de ne plus être parano.
- Pour ce qui est de mon concours d’éloquence, je vais essayer de pas me laisser encombrer par mon syndrome de l’imposteur en me disant que si je foire c’est pas la fin du monde. D’ailleurs c’est même le début du commencement.
Il s’appelle Mac Book parce que Mac book aime se regarder dans son écran d’ordi quand il me parle en glissant ses doigts dans ses cheveux. J’ai pas envie de le juger mais. Naaaan, en vrai je commence à créer du lien avec 4/5 personnes et c’est fou. Ils ont même pas été choqués que je n’ai pas facebook ! Hahaha. C’est aussi parce que je m’affirme plus...
Et puis je vais arrêter de poster toutes les semaines sur mon journal sinon ça va le polluer... hiiiiiiiiiiii angoisse mortelle !