
Etat "J'sais pas c'que j'ai", comment s'en débarra
Ca peut venir de la fatigue comme du stress, d'un élément qui nous a affecté alors qu'on croyait ne pas y accorder d'importance, etc. Le problème c'est que quand on est dans cet état, on est incapable de savoir ce qui l'a provoqué. Une fois ça m'est arrivé après une répétition de théâtre : Je jouais un personnage qui, au fil des scènes, devient de plus en plus triste, déçu, etc. Du coup après la répétition, je me sentais mal
. Hier encore ça a faillit m'arriver, mais heureusement je suis sortis avec mes potes, c'était terrible !!!! Et au lieu de cet état, je suis rentré chez moi avec un MEGA MOJO. Comme quoi faire ce que l'on aime, ça aide à en guérir, ou à le prévenir.

Ce qui colle parfaitement avec cette phrase que vous allez collez sur votre frigo à l'aide dernier magnet que vous aurez eu dans vos kellogs :ça repart au bout de quelques jours en général...je sent bien que c'est psychologique, le fait de trop y penser et de chercher une solution augmente le problème. à mon avis il faut juste se reposer et ne pas y penser.
Crois moi Azro tes médicaments (homéopathiques en plusPlutôt que de combattre les ténèbres...
... Allume la lumière !


L'effet placebo est en effet un phénomène avéré.
Autre bon tuyau pour sortir de ce fameux "chais pas cke j'ai!": Ne pas chercher à détourner son attention en s'adonnant à d'autres activités, ce n'est qu'un faux fuyant: On a vu que sur beaucoup de membres de ce forum ca marche, mais c'est peu etre pour ca que beaucoup évoquent l'effet yoyo de cet état dépressif; il part et revient comme si il n'avait pas été éliminé durablement.
J'ai souvent eu à lutter contre ce genre d'états lors du début de ma vie étudiante ou tout changeait du tout au tout, et la meilleur solution, selon moi pour s'en tirer de maniere durable est, non pas d'identifier la ou les causes, mais de la (les) visualiser (je pense que le fait de visualiser les phénomènes ou les émotions est une pratique utilisée en PNL) et de littéralement "faire le canard". Par exemple, le soir en se couchant (on part du principe qu'on a envie de dormir) on peut profiter du sentiment de sécurité procuré par le fait d'etre emmitouflé dans sa couette pour visualiser tous ses soucis ou toutes les causes de la dépression comme une vague, un tsunami, la fin du monde, peu importe, du moment qu'on est emmitouflé et en sécurité, rien ne peut arriver et tout passe au dessus de la tête.
Ceci dit, ca marche sur moi car je ne peux résister au charme désuet d'une bonne nuit de sommeil, ou à celui d'une journée passée a lire un bon livre tout seul au coin du chauffage (à défaut de cheminée).
A déconseiller à ceux que la solitude angoisse, donc.
Autre bon tuyau pour sortir de ce fameux "chais pas cke j'ai!": Ne pas chercher à détourner son attention en s'adonnant à d'autres activités, ce n'est qu'un faux fuyant: On a vu que sur beaucoup de membres de ce forum ca marche, mais c'est peu etre pour ca que beaucoup évoquent l'effet yoyo de cet état dépressif; il part et revient comme si il n'avait pas été éliminé durablement.
J'ai souvent eu à lutter contre ce genre d'états lors du début de ma vie étudiante ou tout changeait du tout au tout, et la meilleur solution, selon moi pour s'en tirer de maniere durable est, non pas d'identifier la ou les causes, mais de la (les) visualiser (je pense que le fait de visualiser les phénomènes ou les émotions est une pratique utilisée en PNL) et de littéralement "faire le canard". Par exemple, le soir en se couchant (on part du principe qu'on a envie de dormir) on peut profiter du sentiment de sécurité procuré par le fait d'etre emmitouflé dans sa couette pour visualiser tous ses soucis ou toutes les causes de la dépression comme une vague, un tsunami, la fin du monde, peu importe, du moment qu'on est emmitouflé et en sécurité, rien ne peut arriver et tout passe au dessus de la tête.
Ceci dit, ca marche sur moi car je ne peux résister au charme désuet d'une bonne nuit de sommeil, ou à celui d'une journée passée a lire un bon livre tout seul au coin du chauffage (à défaut de cheminée).
A déconseiller à ceux que la solitude angoisse, donc.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
une fois que tu t'est réalisé intérieurement ( Soirée geniale, baise géniale)
tu remarque a la fin de cet évenement , que ton état intérieur n'est pas aussi bon que tu l'aurais imaginé. tu ne plane plus.
tu est en "descente". tu as pourtant tout réalisé mais tu ne trouve pas la satisfaction supreme. tu te pose des questions : quesqui me manque? tu te cherche.
Il faut alors se donner des objectifs. L'homme sans but est déja mort.
tu remarque a la fin de cet évenement , que ton état intérieur n'est pas aussi bon que tu l'aurais imaginé. tu ne plane plus.
tu est en "descente". tu as pourtant tout réalisé mais tu ne trouve pas la satisfaction supreme. tu te pose des questions : quesqui me manque? tu te cherche.
Il faut alors se donner des objectifs. L'homme sans but est déja mort.
le "je sait pas ce que j'ai, je me le sent pas, je sait pas trop j'y arrive pas..." est un etat psychologique plus subjectif que réel fardeau. Ca denote un etat de fatigue en general....
Dans ces cas la, je prend un coca (et pas un light), voir 2 ou 3, histoire de me remonter le taux de sucre dans le sang et ensuite ca reppart
Dans ces cas la, je prend un coca (et pas un light), voir 2 ou 3, histoire de me remonter le taux de sucre dans le sang et ensuite ca reppart

A mon avis, vu la non definition (intrinsèque;) du concept , il y a forcément plusieurs état sous celui que tu décris.
Mais si on prend le truc a la base, chez moi, j'ai constaté que cet etat: "je sais ske j'ai" correspond quasiment (je dis quasiment parce que ca reste obscur et que je ne pretend pas avoir toutes les réponses) tout le temps chez moi a une émotion qui ne s'exprime pas.
Comme si je n'avais meme plus l'energie pour ressentir certaines émotions, qu'elles soient positives ou négatives, et que cette absence d'énérgie était en elle même une émotion négative. Donc, voila d'après moi, ce type d'émotion n'est justement pas une émotion, et c'est la première partie du problème: le sens littéral du mot dépression que l'on oublie trop souvent.
J'espère avoir fait avancer le schmilblick.
Cela dit, ca c'était pour si tu voulais comprendre
,
si tu veux en sortir, tu te sors les doigts du cul: scéance de muscu/ sport, appel des potes/wing, sieste puis sortie sarge, puis kif.
Dans un post, Spike se demandait ou était les HB le Dimanche, FK répondait en train de se faire un masque et de papoter au tel au sujet du mec qui les avait retournées la veille. Instructif, d'après moi.
Mais si on prend le truc a la base, chez moi, j'ai constaté que cet etat: "je sais ske j'ai" correspond quasiment (je dis quasiment parce que ca reste obscur et que je ne pretend pas avoir toutes les réponses) tout le temps chez moi a une émotion qui ne s'exprime pas.
Comme si je n'avais meme plus l'energie pour ressentir certaines émotions, qu'elles soient positives ou négatives, et que cette absence d'énérgie était en elle même une émotion négative. Donc, voila d'après moi, ce type d'émotion n'est justement pas une émotion, et c'est la première partie du problème: le sens littéral du mot dépression que l'on oublie trop souvent.
J'espère avoir fait avancer le schmilblick.
Cela dit, ca c'était pour si tu voulais comprendre

si tu veux en sortir, tu te sors les doigts du cul: scéance de muscu/ sport, appel des potes/wing, sieste puis sortie sarge, puis kif.
Dans un post, Spike se demandait ou était les HB le Dimanche, FK répondait en train de se faire un masque et de papoter au tel au sujet du mec qui les avait retournées la veille. Instructif, d'après moi.
Je sais pas si vous avez remarqué mais personnellement quand je suis dans un état alpha, mon sang se diffuse mieux dans mon corps et mon coeur bat plus vite. Lors de l'état alpha le cerveau à mon avis sécrète plus de dopamine d'ou une hyper activité cérébral on réfléchi mieux et plus vite ( toujours selon mon hypothèse ) et de l'adrénaline ( coeur qui bat plus vite ; toujours selon mon hypothese avéré sur des suppositions ).
Donc l'état alpha c'est comme si on était drogué, si on lache une seconde la pression cad dans les activités qui vont nous donner le mojo, le taux d'adrénaline et de dopamine va diminuer d'ou l'impression de dépression, de stress, de redescente.
Le seul moyen de retrouver un état aussi alpha c'est d'augmenter la dose comme pour une drogue ou du moins la maintenir exemple : faire plus d'activité, sarger des filles plus belles, dépasser des limites sociales ( draguer devant des gens ).
Apres selon les gens ca peut etre différent mais pour moi c comme ca.
Donc l'état alpha c'est comme si on était drogué, si on lache une seconde la pression cad dans les activités qui vont nous donner le mojo, le taux d'adrénaline et de dopamine va diminuer d'ou l'impression de dépression, de stress, de redescente.
Le seul moyen de retrouver un état aussi alpha c'est d'augmenter la dose comme pour une drogue ou du moins la maintenir exemple : faire plus d'activité, sarger des filles plus belles, dépasser des limites sociales ( draguer devant des gens ).
Apres selon les gens ca peut etre différent mais pour moi c comme ca.
De l'état "je ne sais pas ce que j'ai" et comment en sortir
Note : beaucoup de choses que je vais dire ont déjà été dites, leur répétition me semble nécessaire à l'organisation de ce post et à l'exposition de mon avis
Se trouver dans un état où objectivement tout devrait aller bien mais où en fait rien en va. Pas de gros problèmes à l'horizon, pas de soucis existenciels, même pas de vraies dépressions pour pouvoir se plaindre. Juste un sentiment de mal être, sourd et lancinant qui n'a pas raison d'être mais qui est.
Faut-il y réfléchir ?
A priori je dirais non. Cependant comme cela a été exposé plus haut parfois l'état dure plusieurs jours, il peut être bon d'analyser un poil ce qui nous arrive.
être honnete avec soi
Quand vous réfléchissez aux causes de cet état il faut savoir que vous passerez plusieurs fois devant LA raison (s'il y en a une) en vous disant "non ca ne peut pas être ça".
Il faut etre honnete, objectif et humble. Même les gars les plus solides mentalement se font parfois démonter par des trucs insignifiants (leur différence c'est qu'ils savent réagir très vite). Si ta meilleure amie a trouvé ta killer chemise ringarde et que ça t'a contrarié, arrêtes de le nier. Ce n'est pas parce que c'est futile que ca n'a pas d'importance pour toi.
Une fois le (ou les) problème(s) cernés exprimez les à voix hautes tout seul chez vous.
Le piège de la réflexion
Le piège est de se renfermer dans une réflexion qui s'éternisse, totalement improductive et qui rajoute, par son innefficacité, au sentiment de culpabilité de se sentir mal quand tout va bien.
Mon prof de philo en terminale disait : "la réflexion ne doit pas paralyser l'action".
Donc à vous de voir selon vos capacités de prises de distances, d'objectivité et les risques de tomber dans ce piège.
En cas de doute préférez l'action.
Agir
Les coups de pieds au cul
Dans cet état nous n'avons envie de rien. Du coup nous en faisons moins. Puis moins nous en faisons et moins nous avons envie d'en faire. Il faut casser ce cercle vicieux. Comment ? Tu te bouges le cul, tu te fais violence, tu chiales si il faut mais tu BOUGES.
Choisir son activité
Il convient de ne pas trop réfléchir au risque de s'entendre dire "Non, pas envie" pendant des heures. Le mieux si vous êtes sujet fréquent à cet état c'est d'avoir une petite liste d'activités qui vous font plaisir. Faire ou écouter de la musique, faire du sport, lire, se masturber ou que sais je. Je préconise plutot quelque chose de physique et demandant peu de concentration, mais là aussi ca dépend de vous, de vos capacités et affinités. Exemple : pour moi jouer de la guitare en chantant très fort me demande peu de concentration et me permet de me défouler, cependant quelqu'un qui débute et qui a du mal à enchainer deux accords risque d'accentuer sa "déprime" en se sentant "vraiment bon à rien".
Une autre activité saine : sortir vous promener de préférence dans un endroit agréable et peuplé comme un parc ou un beau centre ville. Ne sortez pas avec un objectif, allez flaner, regardez les filles comme on regarde un tableau, appréciez. Ne sortez en voulant sarger, vu votre mojo vous n'allez même pas abordez un arbre, mais si en sortant l'envie vous vient profitez en.
Quelques remarques
jaknichan a dit
L'influence de la fatigue n'est pas à négliger. Si vous vous sentez down et que vous n'avez pas fait une nuit correcte depuis deux semaines, pas la peine de réfléchir, allez dormir un peu.
L'homéopathie peut faire de beaux résultats, personnellement je suis contre (et contre les médications en générale) mais il faut mieux prendre des "granules" que des cachets (Attention évitez l'automédication, même si les médecins et pharmaciens ne sont parfois pas très futés les médicaments restent leur boulot). En étant contre l'idée de l'homéopathie je dois avouer avoir observé des résultats sur moi.
Bonus : initiation aux thérapies comportementales
De manière très succintes : un tempérament dépressif a tendance à ne regarder que ce qui est négatif. L'idée est de ce focaliser sur le positif en prenant des notes sur tout ce qu'on trouve agréable, utile, joyeux... dans sa journée. Promenez vous avec un petit carnet et notez ce qu'il vous arrive de bien, à la fin de la journée regardez, vous voyez que la vie est belle.
Note : beaucoup de choses que je vais dire ont déjà été dites, leur répétition me semble nécessaire à l'organisation de ce post et à l'exposition de mon avis
Se trouver dans un état où objectivement tout devrait aller bien mais où en fait rien en va. Pas de gros problèmes à l'horizon, pas de soucis existenciels, même pas de vraies dépressions pour pouvoir se plaindre. Juste un sentiment de mal être, sourd et lancinant qui n'a pas raison d'être mais qui est.
Faut-il y réfléchir ?
A priori je dirais non. Cependant comme cela a été exposé plus haut parfois l'état dure plusieurs jours, il peut être bon d'analyser un poil ce qui nous arrive.

Quand vous réfléchissez aux causes de cet état il faut savoir que vous passerez plusieurs fois devant LA raison (s'il y en a une) en vous disant "non ca ne peut pas être ça".
Il faut etre honnete, objectif et humble. Même les gars les plus solides mentalement se font parfois démonter par des trucs insignifiants (leur différence c'est qu'ils savent réagir très vite). Si ta meilleure amie a trouvé ta killer chemise ringarde et que ça t'a contrarié, arrêtes de le nier. Ce n'est pas parce que c'est futile que ca n'a pas d'importance pour toi.
Une fois le (ou les) problème(s) cernés exprimez les à voix hautes tout seul chez vous.

Le piège est de se renfermer dans une réflexion qui s'éternisse, totalement improductive et qui rajoute, par son innefficacité, au sentiment de culpabilité de se sentir mal quand tout va bien.
Mon prof de philo en terminale disait : "la réflexion ne doit pas paralyser l'action".
Donc à vous de voir selon vos capacités de prises de distances, d'objectivité et les risques de tomber dans ce piège.
En cas de doute préférez l'action.
Agir

Dans cet état nous n'avons envie de rien. Du coup nous en faisons moins. Puis moins nous en faisons et moins nous avons envie d'en faire. Il faut casser ce cercle vicieux. Comment ? Tu te bouges le cul, tu te fais violence, tu chiales si il faut mais tu BOUGES.

Il convient de ne pas trop réfléchir au risque de s'entendre dire "Non, pas envie" pendant des heures. Le mieux si vous êtes sujet fréquent à cet état c'est d'avoir une petite liste d'activités qui vous font plaisir. Faire ou écouter de la musique, faire du sport, lire, se masturber ou que sais je. Je préconise plutot quelque chose de physique et demandant peu de concentration, mais là aussi ca dépend de vous, de vos capacités et affinités. Exemple : pour moi jouer de la guitare en chantant très fort me demande peu de concentration et me permet de me défouler, cependant quelqu'un qui débute et qui a du mal à enchainer deux accords risque d'accentuer sa "déprime" en se sentant "vraiment bon à rien".
Une autre activité saine : sortir vous promener de préférence dans un endroit agréable et peuplé comme un parc ou un beau centre ville. Ne sortez pas avec un objectif, allez flaner, regardez les filles comme on regarde un tableau, appréciez. Ne sortez en voulant sarger, vu votre mojo vous n'allez même pas abordez un arbre, mais si en sortant l'envie vous vient profitez en.
Quelques remarques

Ca peut etre une solution, on peut aussi visualiser "le mal" et l'expulser par la respiration.selon moi pour s'en tirer de maniere durable est, non pas d'identifier la ou les causes, mais de la (les) visualiser (je pense que le fait de visualiser les phénomènes ou les émotions est une pratique utilisée en PNL) et de littéralement "faire le canard"


Bonus : initiation aux thérapies comportementales
De manière très succintes : un tempérament dépressif a tendance à ne regarder que ce qui est négatif. L'idée est de ce focaliser sur le positif en prenant des notes sur tout ce qu'on trouve agréable, utile, joyeux... dans sa journée. Promenez vous avec un petit carnet et notez ce qu'il vous arrive de bien, à la fin de la journée regardez, vous voyez que la vie est belle.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+3] A lire par marie
oui, ça m'arrive aussi, et c'est le comble de l'horreur !Dawood a écrit :J’ai remarqué chez moi que cet état négatif suit un état positif. C’est pourquoi le lendemain de journées agréable voire même GEANTE qui se termine par une grosse teuf avec les copains, des moments de pur bonheur… le lendemain… je déprime et en effet je ne sais pas pourquoi : le fameux « j’sais pas c’que j’ai ».
Je sais pas si il y a véritablement un lien entre ces deux états, un phénomène yo-yo…
une soirée qui devrait me regonfler pour longtemps.. me cause une "déprime" le lendemain !
-ce n'est pas une question de fatigue dans mon cas ;
-ni de problème psychologique, de questionnement, de culpabilité mal placée, etc..
quand tout s'est déroulé parfaitement pour le bonheur de tous ;
je crois que c'est le manque:
c'est physiologique ;
nos neurones ont baigné dans la morphine (je caricature), et elles en redemandent ;
ça vaut pour cet exemple-là, bien sûr..
-----------------------------------------------
quelquefois, on n'a pas d'idées noires, qui sont assez faciles à chasser car identifiables..
mais un blues, un vide, un état contre lequel on ne peut lutter car rien de concret à accrocher, même pas de raison futile à trouver..
que même on aurait aucun mal à faire une séance de méditation car rien ne transite dans les synapses..
alors, méditons ! pour une fois que nous ne sommes pas surexcités, survoltés ;
ok, on n'a pas envie non plus..
tant pis, on se force ! il faut de la volonté pour tout, surtout pour éviter de se prendre la tête !
faire le vide complètement, le calme, être présent, se sentir exister, s'aimer,
un petit moment.. ça rééquilibre les échanges neuronaux..
et au retour, on sera peut-être plus serein, plus heureux
(ça marche bien si on a un peu de pratique, autrement se focaliser sur la respiration, les sensations du corps, une musique, un mantra : coca cola.. lol pour ceux qui ont lu le bouquin de J.C. G., et pour ceux qui sont en hypoglycémie, oui ça le fait aussi le coca en vrai..)
-comment résister à un sentiment de frustration, de manque, sans :
boire de l'alcool
fumer
se droguer
se médicamenter (prozac)
se jeter sur la bouffe (banana-split)
faire du sport à outrance (morphine naturelle)
baiser sans arrêt (sérotonine)
travailler beaucoup (eh oui, ça marche aussi !)
tout cela revient à se saouler la tête... à fuir dans d'autres mondes..
-on peut essayer de prendre son pied autrement :
voir des gens, des amis, échanger virtuellement si solitaire
avoir une activité compensatrice : écrire, dessiner, lire, voir un film, faire du théâtre etc..
et je reviens toujours sur mon mode de fonctionnement :
* avoir un plan B (même C et D)
c'est à dire, diversifier ses plaisirs,
pour pouvoir rebondir de l'un à l'autre en cas de "panne" (avoir plusieurs centres d'intérêts, plusieurs groupes d'amis, etc..)
* méditer pour remettre les compteurs à zéro (soit humeur trop négative, soit exaltation)
* apprendre à ne compter que sur soi pour être heureux :
ne pas dépendre de tout ce qui est énuméré ci-dessus...
et éviter les fusions, les infantilisations de groupes,
adopter le détachement, apprendre à relativiser, à pardonner, à être moins exigeant, plus humble, plus généreux, plus ouvert ...
aimer
boire de l'alcool
fumer
se droguer
se médicamenter (prozac)
se jeter sur la bouffe (banana-split)
faire du sport à outrance (morphine naturelle)
baiser sans arrêt (sérotonine)
travailler beaucoup (eh oui, ça marche aussi !)
tout cela revient à se saouler la tête... à fuir dans d'autres mondes..
-on peut essayer de prendre son pied autrement :
voir des gens, des amis, échanger virtuellement si solitaire
avoir une activité compensatrice : écrire, dessiner, lire, voir un film, faire du théâtre etc..
et je reviens toujours sur mon mode de fonctionnement :
* avoir un plan B (même C et D)
c'est à dire, diversifier ses plaisirs,
pour pouvoir rebondir de l'un à l'autre en cas de "panne" (avoir plusieurs centres d'intérêts, plusieurs groupes d'amis, etc..)
* méditer pour remettre les compteurs à zéro (soit humeur trop négative, soit exaltation)
* apprendre à ne compter que sur soi pour être heureux :
ne pas dépendre de tout ce qui est énuméré ci-dessus...
et éviter les fusions, les infantilisations de groupes,
adopter le détachement, apprendre à relativiser, à pardonner, à être moins exigeant, plus humble, plus généreux, plus ouvert ...
aimer
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Ca va mieux en le disant par Girouette