FTS

cézatisso a écrit :...

Mais vous avez craqué les gars ou quoi ????


La fille bosse, donc si je la drague je vais la déranger...
La fille est en train de discuter avec 2 de ses copines, je vais pas les interrompre...
La fille est avec un mec, c'est surement son copain, vaut mieux ne pas leur adresser la parole...
etc.

mais ...

mais ...

WHAT THE FUCK ???

il n'y a meme pas à réfléchir, bien sur qu'il faut les sarger !!!
close ou pas close on s'en fout à la rigueur pour le moment, surtout si tu n'as pas l'habitude d'accoster des filles.

Tu pourras bavasser tant que tu voudras, le fait est que draguer une femme qui bosse est LACHE dans 90% des cas.
C'est comme si tu voulais apprendre a te battre en allant frapper des plus faible que toi a 10 VS 1.

geek-power a écrit :

cézatisso a écrit :...

Mais vous avez craqué les gars ou quoi ????


La fille bosse, donc si je la drague je vais la déranger...
La fille est en train de discuter avec 2 de ses copines, je vais pas les interrompre...
La fille est avec un mec, c'est surement son copain, vaut mieux ne pas leur adresser la parole...
etc.

mais ...

mais ...

WHAT THE FUCK ???

il n'y a meme pas à réfléchir, bien sur qu'il faut les sarger !!!
close ou pas close on s'en fout à la rigueur pour le moment, surtout si tu n'as pas l'habitude d'accoster des filles.

Tu pourras bavasser tant que tu voudras, le fait est que draguer une femme qui bosse est LACHE dans 90% des cas.
C'est comme si tu voulais apprendre a te battre en allant frapper des plus faible que toi a 10 VS 1.

En fait c'est un peu ce que je ressens. Je me dis que c'est la "facilité" et que le mieux à faire serait dans l'absolu que je me jette dans le "direct-game" pour véritablement progresser.

Ok, je vais répondre de manière plus argumentée alors.

Les caissières sont le plus souvent des filles:
- étudiantes qui bossent la en temps partiel
- plutot LSE dans le contexte de ce boulot, du fait d'un job pas très gratifiant, d'un uniforme mal coupé, donc le BS s'en trouve d'autant plus amoindri
- qui s'emmerdent dur, et sont confrontées toutes la journée à des vieux et des moins vieux qui tirent la gueule, qui ne leur disent même pas bonjour ni merci (ouvrez les yeux autour de vous, vous verrez un peu comme se comportent certains)
- qui ne sont pas payées au nombre de kilos de lessive qu'elles auront fait payer
- qui n'en n'ont (en général) pas tellement à foutre de ne pas être citées comme employées modèle du mois par le chef de rayon casse-burnes
- qui sont comme toutes les autres femmes de la terre (il paraitrait même qu'elles en seraient elles-même) , elles ont besoin de se sentir désirées et de plaire

Personnellement, j'adore ca draguer les vendeuses, avec mon meilleur ami c'est dans les magasins qu'on fait le plus de conneries.
Et soit on les emmerde profondément et elles le cachent bien, soit elles sont plutot contentes de nous voir.

Une des phrases qui revient le plus souvent :
"Ca serait bien si tous les clients pouvaient être comme vous"

Par contre plutot d'accord avec Papachar, c'est une chose de faire rire une caissiere comme n'importe qu'elle autre fille, mais ca en est une autre de la closer comme une fille lambda.
La barriere de la fonction...

Mais bon, ca me fait plaisir d'avoir gamé et fait rire une jolie fille, que je finisse avec son numéro dans la poche ou pas.
Dans le pire des cas, on en gardera elle et moi un bon souvenir.

Sarger, draguer, quels que soient le nom qu'on donne à notre activité préférée..est une façon de mener une vie plus riche. D'apprendre à faire les bons choix. A ouvrir les yeux.

Pas de remplacer sa misère sexuelle par une obsession compulsive.

Si on gère à peu près rationellement ses plans dragues, on évite ceux qui ont un faible rapport entre l'investissment et le résultat.

Et dans la top list de celles qui n'ont pas le temps et qui ne sont pas dispo, il y a ... devinez qui ?

geek-power a écrit : Tu pourras bavasser tant que tu voudras, le fait est que draguer une femme qui bosse est LACHE dans 90% des cas.
C'est comme si tu voulais apprendre a te battre en allant frapper des plus faible que toi a 10 VS 1.

Encore toi ? Je crois que encore une fois ta rien compris ! Dans l'histoire c'est toi le LACHE, tu n'arrete pas de sortir des excuses pour rester dans une CZ infinie, c'est ca le VRAI probleme !

olivier a écrit :Sarger, draguer, quels que soient le nom qu'on donne à notre activité préférée..est une façon de mener une vie plus riche. D'apprendre à faire les bons choix. A ouvrir les yeux.

Pas de remplacer sa misère sexuelle par une obsession compulsive.

Si on gère à peu près rationellement ses plans dragues, on évite ceux qui ont un faible rapport entre l'investissment et le résultat.

Et dans la top list de celles qui n'ont pas le temps et qui ne sont pas dispo, il y a ... devinez qui ?

...

Bon, je vais essayer de recadrer un peu les choses.

Question de départ : "Est ce que le fait d'essayer de sarger des caissières en indirect a une chance de m'apprendre des choses sur la séduction ?"

Réponse : "Oui, toutes les experiences sont bonnes à prendre."


C'est dingue ca, vous etes prets à marcher pendant 3 heures dans la rue pour trouver des cibles à aborder, et la vous voyez une cible statique, dans un environnement plutot calme et dans lequel elle est en relative confiance, qui est la pour vous ecouter et vous sourire, qui est en train de se faire chier comme pas permis et de déprimer parce qu'elle se dit qu'elle va bouffer seule avec son chat ce soir, et vous ne la sargez pas ???

Nan, vous avez raison en fait, c'est trop facilitant comme conditions, mieux faut se prendre un BS bien costaud en street en travers des narines quand on débute, c'est plus formateur...


Bon, je viens de relire un peu les premieres reponses de ce sujet, je suis rassuré en fait.

Un client sympa et drôle, c'est un rayon de soleil. Un client insistant, c'est un gros lourd de plus.

Ca c'est vrai tout le temps en même temps.

zHm a écrit :

geek-power a écrit : Tu pourras bavasser tant que tu voudras, le fait est que draguer une femme qui bosse est LACHE dans 90% des cas.
C'est comme si tu voulais apprendre a te battre en allant frapper des plus faible que toi a 10 VS 1.

Encore toi ? Je crois que encore une fois ta rien compris ! Dans l'histoire c'est toi le LACHE, tu n'arrete pas de sortir des excuses pour rester dans une CZ infinie, c'est ca le VRAI probleme !

draguer une fille qui ne peut pas se défendre parce qu'elle bosse + te répondras toujours avec le sourire et avec 0 chances de se prendre un rateau,
c'est effectivement un bel exemple de LZ, tu vis dangereusement ça c'est sur !

papachar a écrit :On a une facheuse tendance à confondre sarger une femme et sarger une fonction. Dans l'inconscient collectif, c'est un peu comme l'infirmière que l'on imagine sexy et endiablé. Par qui est on attiré? Le costume ou la femme? Dans notre exemple de caissière : même topo. Le mythe de la caissière, de la vendeuse, du pompier, du plombier, du barman. C'est à mon sens l'expression de l'apprentissage. Au lieu de sarger le plus simple dans la rue par exemple, on va se casser les dents sur une femme en fonction prisonniere d'un statut et donc le plus souvent indisponible. Cette attitude est une variante du one itis pour parler plus clairement

papachar,

Je ne sais pas si c'est la fait de t'avoir aérré la tête et/ou d'être devenu certifié, mais je trouve que tu es comme le vin : tu te bonnifies de jour en jour.


Je sarge ce que je veux, quand je veux, où je veux.

papachar a écrit:
On a une facheuse tendance à confondre sarger une femme et sarger une fonction. Dans l'inconscient collectif, c'est un peu comme l'infirmière que l'on imagine sexy et endiablé. Par qui est on attiré? Le costume ou la femme? Dans notre exemple de caissière : même topo. Le mythe de la caissière, de la vendeuse, du pompier, du plombier, du barman. C'est à mon sens l'expression de l'apprentissage. Au lieu de sarger le plus simple dans la rue par exemple, on va se casser les dents sur une femme en fonction prisonniere d'un statut et donc le plus souvent indisponible. Cette attitude est une variante du one-itis pour parler plus clairement

Que dire de plus...

maccione a écrit :Objectivement, pensez vous que le draguage de caissière peut constituer un axe de progression dans la sarge ou à contrario que cela ne m'aidera aucunement à véritablement progresser ?

Le nombre d'occasions est très faible, donc l'intérêt pour l'apprentissage est très limité. Qui peut progresser avec une seule approche par semaine ?
A moins d'aller voir la même 10 fois par semaine et de passer pour un type patibulaire mais presque (surtout pour acheter à chaque fois une boîte de préservatifs) ...
Il faut le prendre comme un bonus mais pas du tout comme un axe de progression. Les seuls fields où tu progresseras sont ceux qui te permettront d'aborder plusieurs fois d'affilée.

Mais c'est quand même intéressant pour l'entraînement, d'autres raisons ont déjà été données.

C'est le seul contexte que je connaisse où on peut travailler un élément important du BL, à l'exclusion quasiment de tous les autres, ce qui n'arrive jamais ailleurs où il faut tout soigner en même temps.
Elle est occupée à passer les articles et moi à emballer ... les provisions. Il n'y a pas de regard à soutenir, les gestes, le comportement, etc ... ne comptent pas, sauf dans le contact initial mais plus du tout par la suite.
Le seul élément qui compte c'est la voix. C'est l'occasion de se concentrer uniquement là-dessus et de négliger, à la limite, tout le reste : la poser, calmer le rythme, y injecter un maximum d'énergie (sans hausser le ton, ni gueuler ), de pair avec la respiration (il me semble qu'il y a un post détaillé sur le sujet).

Ca permet aussi de créer de l'attirance en temps un peu moins limité et avec une disponibilité a priori plus grande qu'en SPU.
Son job est ennuyeux et répétitif, elle "se tape" toute la journée des clients qui tirent souvent la tronche, c'est donc moins difficile de retenir son attention en la sortant de son ennui. A partir de là les points d'attirance marqués comptent double. C'est peut-être la raison pour laquelle il est possible d'arriver en A3 et closer/dater en moins de deux minutes, comme en direct SPU mais en moins difficile.

Enfin ça aide aussi au b-a-ba du calibrage, simplement en comparant son attitude avec les clients précédents et avec moi. Reste la "petite" difficulté, faire la part des choses entre son sens commercial et son attirance.

Evitez les réflexions du style "vous avez l'air de vous ennuyer, non ?" qui associent son ennui à votre présence, et pire, le renforcent. Au contraire, sortez-là de son environnement le plus vite possible.