FTS

LaBuse a écrit :

geek-power a écrit :tu veux dire que pour satisfaire pleinement une femme au lit il faut "sacrifier" une partie de son plaisir ?

Je ne vois pas très bien ce que tu veux dire... J'ai l'impression qu'il n'y a aucun rapport.

Ce que je dirai pour résumer, c'est que, certes, les femmes ont besoin d'être "encadrées", sécurisées, de sentir le mâle en nous, mais que nous avons besoin de leur douceur, de leur tendresse, de leur corps, bref, de sentir la femelle en elles.

De même que le chaud ne pourrait exister sans le froid, la virilité n'existe que parce qu'il y a la féminité, et vice-versa. Il n'y a en réalité aucun rapport de force là-dedans, bien au contraire, c'est une symbiose naturelle. Chacun peut, et doit y trouver son compte.

Je ne vois pas pourquoi il faudrait "sacrifier" son plaisir pour celui de sa partenaire, ou l'inverse. Il faut prendre du plaisir comme un homme, en donner à la femme, la laisser prendre du plaisir comme une femme, et la laisser nous en donner. Lorsque ma copine se fait prendre en levrette par le mâle déchainé que je suis (devenu), elle ne se plaint pas, bien au contraire. Et lorsque, à son tour, elle me chevauche comme une folle, je ne me sens absolument pas atteint dans ma virilité (ne vous inquiétez pas, il arrive tout de même qu'il y ait des moments plus tendres entre nous, aussi...) ;-)

Côté sexe, c'était l'apothéose. Je ne vous dis pas les heures que j'ai passées à me documenter, pour savoir comment satisfaire au mieux ces déesses, à réfreiner mon désir pour m'occuper uniquement d'elles. Tout ceci alors que mon inconscient me hurlait de me lâcher plus souvent (voyons les choses en face : ça m'a tout de même permis de devenir un excellent amant).

J'étais comme un loup qui, absolument persuadé qu'il est herbivore, grignote l'agneau sans grande conviction