Je le trouve plutôt juste cet article. Merci pour le partage.
Jay Anderson a écrit :Pourquoi les femmes dominent le marché du sexe?
Il faudrait rajouter "avec Bob l'AFC". De mon expérience, c'est peut-être vrai jusqu'à l'adolescence. Mais moins après.
Jay Anderson a écrit :C’est plus facile pour elles parce qu’il y a moins de femmes en quête de «plan cul»
«C’est la loi de l’offre et de la demande. Dans le petit monde des personnes qui vont jusqu’au bout de leurs fantasmes —ou qui tentent d’y aller— les hommes sont nombreux et les femmes rares. Quand une femme a un fantasme, même si son fantasme est élaboré, il est presque certain qu’il lui faudra peu de temps pour le réaliser.
Pas convaincu.
Jay Anderson a écrit :Il y en a moins, parce qu’elles ont peur d’être stigmatisées
«Les femmes sont depuis l’enfance «dressées» à la passivité. Une femme qui ose dire à un homme qu’elle passerait volontiers un moment sexe avec lui est souvent mal perçue par autrui. La femme a donc peur de passer pour une pute avec tout le poids et l’opprobre que suppose ce mot».
Oui. Mais il existe la même chose de l'autre côté. Gigolo par exemple. Je ne compte plus le nombre de femmes adultes, voire vieilles, qui m'ont draguées lors de mon adolescence.
Jay Anderson a écrit :Il y en a moins, parce qu’elles ont peur d’être «rembarrées»
«Par ailleurs sortir de la passivité c’est se confronter à la réalité de ce qu’est l’homme (mâle) : un être humain qui n’a pas forcément envie de sauter tout ce qui bouge, contrairement aux idées reçues. C’est une personne qui peut dire «non» remettant ainsi en question le sex-appeal qu’une femme imagine avoir.
Ça, c'est très clair. Mais ce n'est pas la peur d'être rembarrée. Elles n'en ont pas l'habitude, tout simplement. Les hommes choisissent souvent leur amante par défaut, rarement par sélection.
Jay Anderson a écrit :On apprend aux fillettes et aux femmes qu’elles ont un truc hyper précieux entre les jambes. Une chose que TOUS les hommes convoitent et qu’ils ne savent pas refuser. Or c’est faux. Les hommes savent très bien se refuser aux femmes qui leur font des avances, pour des raisons qui leur appartiennent, que ce soit parce qu’ils sont fatigués ou parce qu’ils ne les trouvent pas à leur goût.
Exactement.
Jay Anderson a écrit :De plus, contrairement à une croyance assez répandue qui affirme qu’un homme peut coucher juste pour le sexe, beaucoup ont besoin d’être amoureux pour passer à l’acte.
C'est plus vrai que l'on ne le croit.
Jay Anderson a écrit :Et tous ces «non» sont durs à avaler pour l’égo quant on nous a appris qu’un mec couche avec tout ce qui bouge. Forcément ça remet en cause notre féminité. Or, si l’on exige l’égalité, il faudrait commencer par apprendre et accepter qu’un homme a aussi le droit de nous dire «non» et de se conduire en allumeuse».
Découvrir que le truc hyper précieux entre les jambes ne l'est pas tant que ça, c'est clair, ça peut foutre un coup à l'égo. Ceci dit, c'est justement ce qu'il faut pour qu'une femme s' "émancipe".
Suite à des refus de ma part en phase de séduction, j'ai été dragué de manière encore plus "agressive". Ce qui est tout sauf séduisant en fait.
En LTR et dans le cadre de jeux de pouvoir, faire "ceinture de sexe" sans succès arrive à rendre dingue une femme : "quoi, il ne me trouve pas désirable ?". Ça, c'est du vécu.
Jay Anderson a écrit :Il y en a moins, parce que les femmes sont des collabos de l’inégalité
«Il est d’usage d’accuser les hommes de tous les maux mais les femmes sont largement complices de ce système d’inégalité. A commencer par les mères qui aiment si possessivement leurs petits garçons qu’elles leur apprennent –souvent inconsciemment mais parfois aussi dans une sorte de continuité culturelle- que toutes les femmes sont dangereuses et qu’aucune, de toute façon, n’arrivera à leur cheville. Le «Toutes des putes sauf maman» est encore à l’ordre du jour. (...)Primo parce qu’on pourrait voler leur bonhomme. Deuxio : parce qu’on pourrait leur ravir leur fils.
Très vrai. Autant dans l'éducation des garçons, mais aussi celle des filles. Ça me rappelle
ce post.
Jay Anderson a écrit :Force est de constater que l’ébauche de féminisme du 20e siècle n’a pas changé grand chose au cœur de la plupart des familles. Les femmes continuent d’élever les enfants pendant que les hommes bricolent la bagnole ou surfent sur internet. De plus les femmes sont les premières à lyncher une femme qui ne se conforme pas aux règles tacites établies. Ce faisant elles fabriquent des hommes identiques à ceux du 19e siècle et s’enferment elles-mêmes entre les quatre murs de l’étouffante bienséance».
Parce que le féminisme ne sert pas à émanciper les femmes, mais au contraire à les asservir. Maintenant, une femme doit bosser, tout en gardant ses prérogatives précédentes si elle tombe sur un gars "à l'ancienne". Les femmes y ont gagné quelque chose ?
Forcément, ça engendre du ressentiment vis à vis des hommes...
Jay Anderson a écrit :Il y en a moins, parce que les femmes attendent la permission
«La liberté, ELLE SE PREND. Si on attend, on peut crever la gueule ouverte, on n’obtient rien. Comme tout, la liberté sexuelle a un prix. Ce prix, la plupart des femmes refusent de le payer. Ce prix c’est l’incompréhension et le rejet de ceux qui se conforment aux règles.
Mouais, bof pour la permission ... Mais ok pour le regard des autres. Ceci dit, ce n'est pas forcément que féminin.
Jay Anderson a écrit :Il y en a moins, parce que les femmes assimilent les compliments à une agression
Il faut bien commencer à tisser des liens d’une manière ou d’une autre. Mais les femmes ont tendance à penser que les hommes devraient lire dans nos têtes.
En tant que femme, lorsqu’on commence à se conduire comme un homme bien dans sa peau, qui tente la séduction sans attente précise et sans volonté d’absolument «conclure», on s’aperçoit que les relations avec les hommes, y compris dans le domaine amical, se simplifient».
"La femme est un homme comme un autre" ... On pourrait dire l'inverse aussi.