Re: Mémoires d'AllAndRightNow
Posté : 03.06.17
Je ne sors pas ce week-end, donc il n’y aura pas de FR et je voudrais en profiter pour faire un bilan de ce que j’ai fait dernièrement en day game (SPU, surtout ; quelques approches en MPU). Rien de très intéressant, mais je voudrais faire ce bilan.
Depuis le 10 mars j’ai abordé 45 filles sur 19 sessions. C’est peu par rapport à l’an dernier. L’an dernier, j’abordais vraiment toutes les filles que je pouvais/j’osais ; aujourd’hui, je n’aborde plus que les filles avec qui je me verrais sortir.
Sur 45 filles abordées, 0 numclose, ça se passe de commentaires. Mais au-delà de ces chiffres bruts, j’ai senti une dynamique se mettre en place. Sur les 10 premières sessions, je n’ai eu qu’une seule véritable interaction avec une fille abordée, et sur les 9 suivantes, j’en ai eu 7. J’ai intégré la technique de la false time constraint à mes approches, ça a vite fait la différence ; ainsi, je me suis surpris à convaincre des filles évidemment “pressées” à discuter avec moi une minute ou deux.
Par ailleurs j’ai fait quelques approches vraiment merdiques car trop abruptes, qui expliquent mon mauvais résultat; je suis passé pour un gros relou potentiel. Je l’ai compris 10 minutes après avec une fille que j’avais abordée assise à attendre: je suis parti, un peu plus tard, alors que j’étais assis à la terrasse d’un café, cette fille est passé devant moi avec sa copine et m’a regardé deux fois en souriant. J’ai alors compris (il était temps…) que je devais soigner mes openers.
Quelques jours après, j’ai pu ainsi maintenir trois interactions; j’ai tenté à chaque fois le numclose. Les deux premières filles avaient un copain; quant à la troisième, une Blackette qui répond au nom de Wenjy, que j’aborde dans mon quartier, elle hésite, dit qu’elle “ne me connaît pas”, puis assure qu’elle me le donnera la prochaine fois que nous nous verrons, ce qui me semble assez étrange, mais bon... Je l’ai revue, ces jours-ci, dans la même rue, mais je passais en voiture; j’ai klaxonné, elle m’a reconnu, m’a salué. Elle était très classe, avec des tresses blond clair et un blouson kaki. Je n’ai pas pu me garer à cet endroit pour aller lui parler, mais maintenant je sais qu’effectivement elle passe régulièrement dans cette rue.
Je devrais citer aussi ces deux filles abordées à la terrasse d’un café, Marie et Éléa, avec qui je n’ai pas tenté le numclose parce qu’elles sont d’une autre ville. J’ai eu l’impression qu’avec Éléa le courant passait bien.
Tant que j’y suis, je vous livre aussi un râteau assez étrange. C’est une fille que j’ai abordée en plein centre-ville:
Voilà mon maigre bilan, mais avec une évolution ascendante là aussi. Ce que j’en retiens, c’est que le fait d’avoir pas mal abordé en DPU m’a permis de dépasser ma peur de l’approche en NPU. Ainsi, un cercle vertueux semble s’être mis en place. Mais ça reste à confirmer.
Depuis le 10 mars j’ai abordé 45 filles sur 19 sessions. C’est peu par rapport à l’an dernier. L’an dernier, j’abordais vraiment toutes les filles que je pouvais/j’osais ; aujourd’hui, je n’aborde plus que les filles avec qui je me verrais sortir.
Sur 45 filles abordées, 0 numclose, ça se passe de commentaires. Mais au-delà de ces chiffres bruts, j’ai senti une dynamique se mettre en place. Sur les 10 premières sessions, je n’ai eu qu’une seule véritable interaction avec une fille abordée, et sur les 9 suivantes, j’en ai eu 7. J’ai intégré la technique de la false time constraint à mes approches, ça a vite fait la différence ; ainsi, je me suis surpris à convaincre des filles évidemment “pressées” à discuter avec moi une minute ou deux.
Par ailleurs j’ai fait quelques approches vraiment merdiques car trop abruptes, qui expliquent mon mauvais résultat; je suis passé pour un gros relou potentiel. Je l’ai compris 10 minutes après avec une fille que j’avais abordée assise à attendre: je suis parti, un peu plus tard, alors que j’étais assis à la terrasse d’un café, cette fille est passé devant moi avec sa copine et m’a regardé deux fois en souriant. J’ai alors compris (il était temps…) que je devais soigner mes openers.
Quelques jours après, j’ai pu ainsi maintenir trois interactions; j’ai tenté à chaque fois le numclose. Les deux premières filles avaient un copain; quant à la troisième, une Blackette qui répond au nom de Wenjy, que j’aborde dans mon quartier, elle hésite, dit qu’elle “ne me connaît pas”, puis assure qu’elle me le donnera la prochaine fois que nous nous verrons, ce qui me semble assez étrange, mais bon... Je l’ai revue, ces jours-ci, dans la même rue, mais je passais en voiture; j’ai klaxonné, elle m’a reconnu, m’a salué. Elle était très classe, avec des tresses blond clair et un blouson kaki. Je n’ai pas pu me garer à cet endroit pour aller lui parler, mais maintenant je sais qu’effectivement elle passe régulièrement dans cette rue.
Je devrais citer aussi ces deux filles abordées à la terrasse d’un café, Marie et Éléa, avec qui je n’ai pas tenté le numclose parce qu’elles sont d’une autre ville. J’ai eu l’impression qu’avec Éléa le courant passait bien.
Tant que j’y suis, je vous livre aussi un râteau assez étrange. C’est une fille que j’ai abordée en plein centre-ville:
Mais, espèce d’idiot, tu vois pas qu’on est dans la rue?
Voilà mon maigre bilan, mais avec une évolution ascendante là aussi. Ce que j’en retiens, c’est que le fait d’avoir pas mal abordé en DPU m’a permis de dépasser ma peur de l’approche en NPU. Ainsi, un cercle vertueux semble s’être mis en place. Mais ça reste à confirmer.