Je vais juste revenir sur le sujet de fond :
36 15 MyLife
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Côté travail
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Précision : "je suis ingénieur informaticieeeeen"
[oui, allez chanter cette chanson naze, je hais plus les geeks que vous)]
* J'ai pris une grosse claque avec un entretien clientèle ou je me suis fait allumer sur des questions techniques. J'ai mis 1 mois et demi à avoir cet entretien avec ma société de services. Pendant ce temps là je restais chez moi et j'étais payé quand même (oui je sais le système c'est n'importe quoi). J'ai trop de choses dans mon CV que mon entreprise m'a demandé d'enlever, après m'avoir interrogé techniquement, avant de me dégager de l'entreprise.
Niveau estime de soi, ça baisse parce que :
- on ne comprend pas pourquoi les commerciaux, qui démarchent des clients ne nous trouvent pas de contrats (au bout d'1 mois et demi, ce qui n'est rien pour l'entreprise mais pas pour le prestataire [ce que je suis]),
- on reste chez soi, et on est censé travailler sur ses compétences mais c'est plus motivant avec des gens de l'entreprise, en plus c'est l'hiver, il fait nuit vite, on passe beaucoup de temps seul car dehors il fait trop froid et tout le monde travaille...
- on m'a quand même dit en gros que je n'étais pas compétent.
J'ai établi un plan d'action pour développer mes compétences. J'ai tout fragmenté en différentes notions, et ce que j'estime à vue de nez être le B.A. BA (des choses sur lesquelles je me fais pourtant piéger). Tout fragmenter en petites tâches rend les choses bien plus motivantes. A vous de voir si ça peut vous aider aussi !
Et bien, par rapport à cela, je ne vous cache pas que j'en tire une satisfaction personnelle et me sens mieux dans la peau. J'ai même remarqué que j'avais du plaisir à apprendre et que le métier que je fais ne me déplais pas autant que ça. C'est surtout l'image qu'il a qui me déplaît, ainsi que son environnement. C'est un peu comme le contrôle de gestion pour les filles...
Un métier qui demande des compétences mais pas des compétences tellement relationnelles en comparaison d'autres qui ne restent pas derrière un écran toute la journée.
* Je traîne aussi par rapport aux ASSEDIC (c'est pourtant important). Pôle emploi est terrible, que ce soit en personne, au téléphone, ou même pas internet ou rien ne marche.
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Côté santé / développement personnel
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APPARTEMENT
* J'ai un radiateur qui fait un "tactactac" toutes les 1/2 heures depuis 1 semaine. Ça me rend fou, m'empêche de dormir, m'énerve quand je veux travailler... J'ai ce genre de détail à résoudre. Ça paraît ne rien être mais c'est très problématique.
* Je devrais refaire la peinture - qui s'écaille - chez moi, faire de la déco. J'ai aussi cassé une armoire Conforama (sûrement mal montée), il y a du désordre, des vêtements inutiles dont je pourrais me débarrasser et d'autres meubles qui ont cassé... Il y a beaucoup du travail là dessus !
* Je n'ai pas non plus de four, j'ai la chasse d'eau qui met un peu trop de temps à se remplir pour une raison obscure. La moquette gondole (mais je suis locataire).
SPORT
* Je vais une fois par semaine à la
piscine. J'aime beaucoup, je danse crawl, dos crawlé,brasse, et un peu le papillon mais j'ai des problèmes aux yeux alors je me limite. Mais, je ne fais pas assez de sport... Je pense à un sport de combat où on défonce des trucs mais on se prend pas trop de coups (j'ai de l'énergie négative à expulser).
AUTRES ACTIVITES
* J'essaie aussi d'aller une fois faire du
yoga (parfois des exercices d'étirements, mais souvent de la méditation). Parfois difficile de se concentrer avec les obus des voisines ou les strings qui dépassent... ça va mieux quand je vais avec des mamies.
* Je poursuis les
cours de chant, l'activité que j'aime le plus. J'ai aussi contacté un groupe qui cherche un chanteur en leur donnant un mp3 où je m'étais enregistré. Pas de réponse. Il faut dire que je suis pas aussi bon que ce que j'imaginais
* A la
salsa, on entame la préparation d'un spectacle. C'est le samedi soir alors j'ai un peu de mal à gérer le planning des soirées ensuite. Aussi le prof exige une certaine régularité alors je me demande si je pourrai me permettre de partir en voyage de temps en temps. Mais là il y a de quoi progresser et de claquer même dès qu'on balance un simple "mambo".
* Au théâtre d'impro, j'ai des blocages. J'en ai parlé à ma prof, qui, super sympa, semble en avoir tenu compte et du coup a adapté ses cours, ce qui m'a à la fois flatté et gêné. Mais après tout je suis aussi un client !
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Côté coeur et cercles sociaux
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J'ai arrêté de sarger pendant 1 semaine. Qui aurait cru que ce serait si difficile... J'agissais dernièrement constamment sous l'effet d'impulsions à coups de "celle-là il faut absolument que je lui parle...".
Mais le résultat est :
Flake, flake, flake. L'
instant date était un
flake, l'américaine à moitié bulgare est un
flake, les deniers numéros que j'ai obtenu dans la rue sont des
flakes. Toutes les filles dont j'ai eu le numéro par les cours ou soirées de salsa sont aussi des
flakes (L'ivorienne d'avant c'était pareil, les filles de L.A. en été même chose...).
Sa
Quoique j'oublie une boulangère algérienne pas top que j'avais planté à un rencard en Juin... (c'était involontaire : j'étais trop saoûl pour ce rencard qui tombait un matin). Et même si elle semble prête à - à mon avis - tromper quelqu'un pour moi, elle ne me plaît pas vraiment, autant physiquement qu'autrement.
- Elle est trop masculine niveau vêtements,
- elle ne me semble pas être décomplexée par rapport au sexe,
- elle semble très cul-cul (elle lit des livres à l'eau de rose qu'on trouve en supermarché)
- etc ...
En plus de ça, j'avais fait un autre rendez-vous avec et elle ne s'est pas laissée embrasser. Ça m'a soulé alors j'ai abandonné. Même si je la recroise comme elle travaille à coté de chez moi.
H
La fille qui avait emballé un mec devant moi dans une soirée latino est devenue une amie. Au début ça m'a fait mal mais je me suis rendu compte qu'il s'agissait plus d'une HB6 qu'une HB8... Comme quoi tout est bien trompeur en soirée. Au moins j'ai réussi à me faire une amie (à coup de plusieurs mois d'e-mail cependant...). Elle est marocaine, or les "arabes" me plaisent donc j'espère en apprendre plus sur ces miss. Mais lorsque je l'appelle elle me demande
"tu fais quoi dimanche ? ça te dirait d'aller prendre un verre ?"
Le dimanche j'appelle pour qu'on y aille elle me dit :
"J'ai trop la flemme, il fait trop froid... je suis déjà sortie pour mon brunch ce matin"
Elle m'a soûlé celle là aussi. Mais je reste en contact. C'était tellement difficile à établir comme relation j'ai pas envie de tout flinguer...
St
J'avais un plan du même genre avec une autre rencontré dans la rue. Une
"geekette" indonésienne - qui avait du être adoptée vu son nom. Plusieurs mois d'emails pour qu'ensuite je comprenne qu'elle avait un mec, qu'elle voulait bien que l'on reste pote mais que je finisse par lui dire
"si tu veux on reste en contact juste par email comme mon amie T de Los Angeles ou I de Split (Croatie)..."
Ça sonnait comme un ultimatum mais ça n'en était pas un. Marre de ne pas réussir à la faire sortir cette LSE (ça fait
chier les LSE [désolé pour le vocabulaire]). Résultat : elle ne me renvoie plus d'email.
Al
J'étais sorti avec une
australienne en Août 2007. Je l'ai revue avec un ami à Londres (elle habite là bas). Elle nous a invité au Buddah Bar. C'était trop la classe. Elle et une copine étaient toutes belles. C'était vraiment bien. Je suis ensuite resté en contact avec elle par email encore (ce qu'on faisait déjà depuis 6 mois). Elle m'a répondu plusieurs fois après un peu de temps. Mais là ça fait 3 ou 4 mois qu'elle ne me répond plus...
N
Il y avait aussi une serveuse à Montmartre que j'avais dans le colimateur. En allant la voir la première fois, j'avais fait une prestation assez remarquée. J'avais envie d'elle et elle l'a sentie, je la taquinais, lui ai balancé des negs, etc... Je sentais que c'était bien parti. Je l'ai revue une semaine plus tard : j'étais super
needy parce que je voulais son numéro. Elle était alors très bitchy et a refusé de donner son numéro. Comme quoi on établit très vite les limites du
Fake it until you make it. Je suis revenu 2 semaines plus tard. Elle est revenue vers moi, en m'apportant l'addition en me demandant comment ça allait en restant dans le froid, devant moi à la terrasse, les bras croisés sous sa poitrine déjà opulente en engageant un joli sourire. J'étais à l'aise, je faisais des blagues aux passants, regardait les filles et elle a dû le voir / sentir. "Dossier au frigo" ? Pas sûr. Je suis revenu une autre fois et j'étais moins à l'aise. En écoutant mes interactions avec elle sur dictaphone, il est clair qu'elle en reste à de la conversation polie maintenant...
Comme dirait mon prof de chant :
"Le public est un miroir".
Bref... Sans compter les rateaux, les numéros qui flakent, etc... je suis vraiment découragé. Malgré le sujet sur
les flakes que j'ai fait aussi pour moi, de façon à en vouloir moins à ces
"connasses qui me plantent" (la pensée automatique qui circule dans mon cerveau), je n'arrive pas à relativiser. Je pense qu'il y a aussi un gros problème quelque part.
Avec le recul et en m'empêchant d'aller aborder robotiquement, et en me disant "qu'est-ce que j'aurais fait là ?" j'ai pensé à plusieurs axes :
-
arrêter le Direct Game, et revenir à un game indirect de façon à ce que les filles ne sachent pas sur quel pied danser même si cela implique qu'elle puisse "milker" l'opener (revenir à l'opener même si j'essaie une transition vers un autre sujet) pour se débarrasser de moi,
Au fond, j'ai peur que l'on se débarrasse de moi, le Direct permet de - par le courage de l'avoir fait - faire culpabiliser la fille en face de me planter comme un malpropre (pour peu qu'elle ait un peu d'empathie).
Conclusion : le Direct Game c'est bien, mais c'est un coup de grâce pour les mecs
needy dans mon genre. Ça fait 6 mois que je n'ai pas eu un rapport sexuel. C'est pas normal. J'en veux à la Terre entière pour ça, et surtout aux femmes.
-
être plus mystérieux, si Eric Von Markovik s'appelle
Mystery c'est certainement pas par hasard. J'ai dit à toutes ces filles que j'étais au chômage, à moins qu'elles ne le demande pourquoi aurais-je besoin de le dire ? Déjà que j'ai "honte" de faire de l'informatique (j'ai un choisi cette filière à défaut de trouver / oser aller dans une filière spécialisée dans la musique), je me révèle trop vite sur trop de sujets, suis trop expansif et ça casse tout (comme avec l'américaine),
- Si je
"fake it until you make it" pour
DHV, qu'au moins je
qualifie correctement, car j'ai appris que pour la qualification il fallait être clair comme de l'eau de roche. Sous-communiquer quelque chose comme
"Ok, tu vois que tu me plais, maintenant est-ce que ce que tu es fait que tu corresponds à mon monde. Qu'est-ce qui fait que l'on pourrait s'entendre ?"
Quel long post !
).
.
Ensuite je peux développer, pour préciser, et montrer qu'en gros, j'aime ce que je fais. Si la fille évolue dans les hautes sphères, elle comprendra rapidement et te verra comme un peer (tu n'es pas Cyprien l'ingénieur informaticien, tu es ingénieur IT, ou alors consultant en je ne sais quoi, ou un truc corporate qui claque). Si la fille est assez éloignée de ce monde, tu peux l'impressionner un peu en gardant une frame solide de côté-là. Tout est une question de présentation.