FTS

Tu as écrit "je me suis retrouvé au fumoir avec Julie, une fille sympa et qui me plaît, que je connaissais du bar A, je n’ai plus eu présent à l’esprit cette consigne: parler jusqu’à susciter l’intérêt de la fille ou provoquer son départ, lui donner l’occasion / la possibilité / des raisons de s’intéresser à moi.".
C'est à ça que je faisais référence. Elle te plait, tu parles, c'est une injonction normale que tu devrais avoir en toi, tu n'as pas besoin de le remplacer par une phrase de dev perso qui couvre certes toutes les bases mais qui est trop raisonnée pour être instinctive.
Ancre toi un mot dans le crâne: "salut!". C'est le début de la conversation, de la nouvelle histoire.
La préparation mentale c'est bien mais sur le field il n'est plus temps. Parce que pendant que tu essaies de te rappeler de ton plan ou du protocole, l'opportunité passe. Pire, ça crée du négatif parce que cette nana là si elle est dans un groupe ça peut jouer contre toi si tu arrives dedans et qu'elle te revoit.

Quant à draguer partout c'est pas écologique quand on concrétise pas. Parce que ça se voit que tu les dragues et ça laisse plein de connaissances vagues dans ton environnement amenées à croiser les filles que tu dragues et qui au mieux te valident pas, au pire te descendent volontairement ou non ("comment tu l'as connu?
-Il m'a draguée dans la rue.
-moi aussi
-même approche, etc")

Donc tu devrais bien imaginer faire autrement, ça t'aiderait à aller vers de vraies opportunités plutôt que vers les meufs les plus endurcies par nécessité à la drague.

Je découvre Despacita menteuse. Avant-hier, elle me sort:

— Une de mes copines a vu la dernière photo où on est ensemble. Elle m’a dit de toi: “Ouah, qu’il est mignon!” Je lui ai dit: “Ben, s’il te plaît, tu n’as qu’à lui parler sur Facebook!"

Je l’avoue: le compliment m’a fait rougir. Je lui ai demandé alors:

—Comment elle s’appelle?
—Séverine.

Mais elle ajoute aussitôt qu’elle a un pseudo, dont elle ne se rappelle plus. Comme elle ne se rappelle jamais de celui de mon ex-OI, pourtant simple, je l’ai crue sur parole; mais voilà qu’ensuite, en parcourant ses contacts, je suis bien tombé sur la fille en question, qui n’utilise pas un pseudo mais son vrai nom. Je n’avais pas l’intention de lui parler, mais simplement de regarder ses photos. Cette fille ne me branche pas; en plus, je me demande bien comment une fille de 19 ans s’est débrouillée pour avoir un gamin. Mais ça, c’est mon problème à moi, hein.

Tout cela pour dire que Despacita aurait très bien me demander de ne pas prendre, pour ma part, l’initiative d’aller lui parler. Pourquoi se compliquer la vie à mentir?

Bref, hier soir je suis sorti.


1er juillet 2017

Mon but est surtout d’attaquer avec Nona, la serveuse de la boîte D. Heureusement que c’est ça, mon but, d’ailleurs, car au bar A il n’y a pas foule, et au bar B, presque uniquement des couples. Cette soirée sera donc encore plus terne que la précédente. Peut-être que je ne devrais pas sortir tous les samedi soir, d’ailleurs, car du coup j’ai moins de pression à évacuer et je reste très sage. Cependant, pour la semaine prochaine, il est prévu que je sorte avec la mère de Despacita (oui oui), si elle n’a pas son fils à garder: je devrais donc avoir un pivot. Et puis je vais relancer Sydney, le mec avec qui j’ai mangé un kebab récemment, mon wingman potentiel.

À part Nona, je n’ai approché qu’une autre fille de la soirée, une brune plutôt jolie, avec qui j’ouvre la conversation au fumoir, mais ça tourne court car je ne comprends rien à ce qu’elle me dit. Elle articule encore moins que moi, c’est dire. Elle a l’air bien touchée, aussi. Depuis une sorte de galerie j’ai observé un peu la boîte, les gens. Il y a nettement moins de monde que d’habitude, et du coup le lieu présente beaucoup moins d’intérêt que lorsqu’il est blindé. Je dirais même que la soirée est nulle.

Venons-en à Nona. Après avoir discuté un peu avec elle (elle me sourit beaucoup, parle aussi avec d’autres clients, mais sans leur sourire, remarqué-je) et vérifié qu’elle me laisse toujours mettre la main sur ses doigts, je rebondis sur quelque chose qu’elle m’a dit auparavant pour lui demander:

—Tu habites près du bar P, si j’ai bien compris?
—Oui.
—Dans ce cas, on pourrait y boire un verre ensemble samedi prochain, entre 23 h et minuit.
—Je te remercie, mais j’ai un copain et il est jaloux. Remarque, moi non plus ça ne me plairait pas qu’il fasse ça… Mais ça me fera plaisir de te croiser… de te recroiser ici.

Pour quoi faire? me suis-je dit alors. Puis j’ai mis en pratique l’art de la fuite: je me suis cassé du comptoir et de la boîte, et une fois à l’extérieur, alors que les premières notes de Despacito résonnaient à mes oreilles, j’ai remarqué que quelques gouttes d’une pluie froide tombaient du ciel. Comme quoi une fille qui se laisse caresser la main peut avoir un copain et ne pas avoir envie de le tromper. Voilà une notification que j’aurais aimé recevoir plus tôt.


Avec Alba, ma collègue, je croyais que c’était mort, mais j’avais peut-être parlé trop vite. Directeur1 a apparemment compris que je me rends dans son bureau à une fréquence inhabituelle (au lieu de lui envoyer des mails) pour pouvoir parler avec Alba, et n’en a cure: c’est agréable d’avoir un supérieur aussi cool. J’ai trouvé divers subterfuges pour y aller encore plus souvent dans les jours qui viennent. Et je me suis renseigné sur Alba, mais mal. Il paraîtrait qu’elle “vit avec quelqu’un”, mais qu’est-ce que ça veut dire? Colloc ou couple? Bref, je ne serais tout de même pas surpris qu’au moment de lui proposer de nous voir en tête à tête, elle ne m’explique elle aussi qu’elle a un copain. Du moins, ça m'empêche de m'emballer sur elle.


Quant à Peste, il semble qu’elle ne travaille plus au MacDo: je ne l’y ai pas vue de la semaine. Toutefois, une de ses collègues à qui j’ai posé la question m’a répondu qu’elle “ne savait pas”, et apparemment c’était sincère. De toute façon, je vais réduire le MacDo pendant deux semaines, parce que ça finit par coûter cher, et aussi parce que ça fait grossir (hier soir, j’ai eu du mal à enfiler mon pantalon).


Il reste Pâquerette: lorsque je l’ai vue cette semaine, elle était encore occupée, dans une partie de l’arrière-boutique cette fois. Elle ne perd rien pour attendre.


En SPU, j’ai abordé 9 filles au cours du mois de juin et j’ai eu 4 interactions. La dernière n’était pas mal: j’ai encore réussi à convaincre une fille de discuter un peu avec moi, alors qu’elle était pressée et devait téléphoner à sa mère. Lorsqu’elle m’a dit qu’elle avait un copain, je lui ai souhaité de passer une bonne après-midi. Je n’ai pas pensé à lui demander si elle avait des copines à me présenter, c’est un point qu’il faut que j’intègre. Je vais reprendre les sessions dès la semaine prochaine.


That’s all, folks!

Ton récit laisse transparaître une certaine lassitude de tes sorties nocturnes, non ?

Quelques questions :

- est-ce que tu sais vraiment ce que tu attends de tes sorties ?
- est-ce que tu y vas en te sentant attiré ? par la sortie en elle-même, et par les filles que tu abordes.

Avant j'y allais pour obtenir quelque chose, je ne sais pas vraiment quoi, mais je voulais quelque chose. Puis j'y suis allé en cherchant comment prendre du plaisir en partageant, et j'y vais aujourd'hui seulement pour partager. Et depuis que je suis plus dans le partage je reçois aussi bien plus.

Alors qu'est-ce qui a provoqué le changement ? Et bien c'est la méditation (et le Yoga par extension - voilà pour l'aspect bizarre de la chose). Je crois que spirituellement, c'est par la compassion, neurologiquement, par la libération d'ocytocine... Alors je dis ça un peu à la volée, mais de manière plus générale, cherche aussi et surtout ton bien-être en priorité.

Allandrightnow a écrit :Comme quoi une fille qui se laisse caresser la main peut avoir un copain et ne pas avoir envie de le tromper. Voilà une notification que j’aurais aimé recevoir plus tôt.

Onmyoji a écrit :Aussi, draguer les serveuses et autres c'est souvent du gaspillage. Elles sont là, elles peuvent pas fuir, elles sont obligées d'être aimables mais elles n'en pensent pas moins.

CQFD.

On l'a déjà dit et répété souvent : quand tu dragues une fille sur son lieu de travail, les signaux sont faussés. C'est pas parce qu'une serveuse est souriante ou qu'elle ne se sauve pas quand t'es lourd qu'elle est intéressée, c'est juste qu'elle n'a pas le choix !

Comme quoi une fille qui se laisse caresser la main peut avoir un copain et ne pas avoir envie de le tromper. Voilà une notification que j’aurais aimé recevoir plus tôt.

Je suppose que c'est flatteur pour tout le monde de se faire draguer donc tant que ça reste "bénin" et que ça n'affecte pas le couple on joue le jeu !

Après pour ce qui est de le savoir plus tôt, je pense que tu aurais simplement du sortir cette phrase là des semaines avant. Là tu t'y es pris comme un chef alors que pendant des semaines tu t'es cherché une excuse pour pas le faire (je blâme pas hein, c'est pas tout le temps facile), trop de monde, ya le videur, elle parle à quelqu'un, ya des clients etc... alors que ça t'as pris quoi? 30 sec à lui dire ça.

Apheleia a écrit :Ton récit laisse transparaître une certaine lassitude de tes sorties nocturnes, non ?

Oui Ça devient répétitif, et comme en plus il n'y avait pas trop de possibilités d'interactions... Je pense aussi que je devrais changer de bars, essayer de nouveaux lieux, parce que là c'est devenu un rituel :-/

Apheleia a écrit :Quelques questions :

- est-ce que tu sais vraiment ce que tu attends de tes sorties ?
- est-ce que tu y vas en te sentant attiré ? par la sortie en elle-même, et par les filles que tu abordes.

Avant j'y allais pour obtenir quelque chose, je ne sais pas vraiment quoi, mais je voulais quelque chose. Puis j'y suis allé en cherchant comment prendre du plaisir en partageant, et j'y vais aujourd'hui seulement pour partager. Et depuis que je suis plus dans le partage je reçois aussi bien plus.

Alors qu'est-ce qui a provoqué le changement ? Et bien c'est la méditation (et le Yoga par extension - voilà pour l'aspect bizarre de la chose). Je crois que spirituellement, c'est par la compassion, neurologiquement, par la libération d'ocytocine... Alors je dis ça un peu à la volée, mais de manière plus générale, cherche aussi et surtout ton bien-être en priorité.

Non, je ne sais pas bien, tantôt je rêve d'ONS (mais je ne me sens pas forcément prêt, à vrai dire), tantôt d'interaction sympa débouchant sur un numclose. Peux-tu préciser ce que tu entends par partage ?

Jalapeno a écrit :CQFD.

On l'a déjà dit et répété souvent : quand tu dragues une fille sur son lieu de travail, les signaux sont faussés. C'est pas parce qu'une serveuse est souriante ou qu'elle ne se sauve pas quand t'es lourd qu'elle est intéressée, c'est juste qu'elle n'a pas le choix!

Effectivement, sauf que je ne vois pas où j'ai été lourd, hein, d'ailleurs si je l'avais été, elle n'aurait pas dit qu'elle aurait plaisir à me revoir là-bas. EDIT: ou alors elle pousse la conscience professionnelle très loin!

r-0 a écrit :Je suppose que c'est flatteur pour tout le monde de se faire draguer donc tant que ça reste "bénin" et que ça n'affecte pas le couple on joue le jeu !

Je vois ça plutôt comme ça. Elle a fait plus que me "supporter", elle a effectivement joué le jeu.

EDIT: doublon

J'ai pas envie de te secouer, on va dire que je m'acharne.
Mais regarde, là, tu fais tout pour minimiser la possibilité que tu as pu te tromper de bout en bout, et que ça a pu être complètement le facteur "je suis au boulot" qui t'a épargné un râteau enflammé et hurlant prêt à dévorer ton âme.
C'est sûr, on saura jamais. Mais pour avoir des potes qui sont en contact avec la clientèle de nombreux endroits où les clients se sentent en confiance pour draguer (et qui se sentent toujours spéciaux à coups de "elle se comporte pas pareil avec les autres, elle me sourit à moi"), on voit ce qu'on veut bien voir. Effet Barnum.
Tu la vois pas faire un rictus ou tu comprends pas forcément le sous-entendu assassin. Rien ne dit que tu aies été lourd, cela dit (me souviens pas des détails de ce que tu as écrit à son sujet, mis à part que tu étais souvent à la voir), mais les contacts, devant la clientèle, le reste du personnel, potentiellement son boss, sans escalade, sans rien, c'est pas "osé", c'est déplacé, parce que c'est pas l'atmosphère pour (même si c'est pas une main au cul, ça peut être déplacé).
Alors ok, là tu te dis "elle a quand même eu une réaction positive" mais tu sais, beaucoup de barmaids/serveuses sont aussi payées sur ce qu'elles font boire aux clients.
Alors dans le doute, sans vouloir salir ta petite histoire, prends le recul nécessaire pour en tirer les conséquences, et te dire que ça reste un truc qui n'est pas à faire systématiquement comme tu t'y essaies, et qu'en plus; ton investissement et tes attentes doivent être minimales quand tu le fais.
ET aussi, tu devrais mieux sonder ton terrain avant de te prendre la tête.
C'est aussi pour ça que dans le personnel, se faire des potes avec les mecs, ça peut être cool aussi (au moins c'est moins biaisé, ils savent que tu veux pas les baiser et qu'ils te feront pas boire comme ça...)

Pour la lassitude des sorties, faut dire que tu enchaines les "je vais dans tel endroit pour retrouver machine qui y bosse, et je fais deux trois approches pas trop motivées parce qu'on sait jamais, je pourrais réussir et ça serait compliquée avec l'hôte de ce bois".
Si tu changes d'endroits pour trouver un nouveau réservoir de filles en place à draguer, change d'idée. Garde les endroits que tu connais si tu t'y plais, mais fais ta vie, te sens pas obligé d'y aller pour croiser ces meufs (au passage, elles voient bien que tu finis par venir juste pour elles, c'est pas des cruches, hein. Elles bossent mais elles ont que ça a faire de reconnaitre les habitués et leurs schémas, donc t'es grillé à la vitesse de la lumière).
Et puis consacre toi un peu à avancer toi, à te renouveller dans ta tête, à vivre d'autres trucs intéressants que la drague, ça alimentera ensuite.

Te prends pas trop la tête, c'est normal de s'user avec la répétition. C'est juste le signal qu'il faut changer deux trois trucs avant de continuer la route. Essaie de ne pas te voiler la face, ça t'aidera.

Par partage, je ne sais pas vraiment ce que je voulais dire, désolé, ça tourne encore à ce sujet en fait. (Ça t'avance bien comme ça hein...).

Je déconne, c'est l'état d'esprit :

- tu peux y aller en pensant à la satisfaction que tu auras si tu chopes tel numéro, telle fille... en te disant "ça me ferait trop plaisir de plaire à telle fille/tel type de fille", "je veux coucher avec elle"... en pensant au résultat, à la destination en gros.

- tu peux y aller en pensant au plaisir que vous pourriez prendre à deux, puis souhaiter faire monter ce plaisir lorsque tu apprécies le partage... en pensant à la "méthode", au chemin en gros.

Un "génie" en mathématiques par exemple, quand il est jeune il ne se dit pas "je veux être excellent en maths", il se dit "j'aime tellement les maths que j'aimerais y passer ma vie", et il devient bon par le chemin et pas par la destination. Un autre exemple si tu joues au poker, c'est très parlant : ceux qui jouent pour gagner sont ceux qui perdent. Ceux qui jouent pour "l'amour du jeu" deviennent meilleurs (cela n'exclus pas qu'ils souhaitent gagner, mais ils y vont avec un autre état d'esprit que celui de la compétition avec soi-même). Ça marche pour tous les domaines, sports, relations, boulot...

C'est aussi très parlant et peut-être plus commun avec la musique, si tu es musicien... sinon trouve ton propre exemple

Et encore désolé pour la confusion... ça l'est encore un peu pour moi aussi.

C'est surtout ne pas chosifier l'autre, quelque part.

Et pour en revenir à la séduction et l'expérience perso : j'ai ressenti cela après avoir rencontré une fille qui elle m'a séduite alors qu'à la base je sortais pour moi séduire... Là je me suis dit : "Merde, encore, je veux trouver d'autres filles qui me plaisent comme ça. Des filles qui me surprennent." - c'était TROP bien. Et depuis tout a changé... je n'ai plus vraiment envie de séduire, même si ça reste en sous-marin, mais j'ai vraiment envie d'échanger et de partager pour être à nouveau surpris.

J'ai lu ton post une seconde fois, Apheleia, et je crois que j'ai vraiment compris, cette fois-ci. En fait, il aurait mérité un +3 tellement tu m'as éclairé.


Tout à l'heure, j'ai été voir Pâquerette dans sa papeterie. En tee-shirt et short bleus, elle s'affairait sur des colis. Je lui demande si ce sont les livres scolaires de la rentrée: “Oui, entre autres”.

Elle me tend mon article, puis me tourne le dos pour regagner son poste. Plaçant ma main sur son épaule, j'en profite alors pour vérifier qu'elle accepte toujours que je la touche.

Elle me dit qu'elle me laisse régler au rez-de-chaussée. Elle s'arrange souvent, depuis quelque temps, pour ne pas avoir à m'encaisser, ce moment où je pourrais reformuler mes propositions "malhonnêtes" à son égard. Ce n'est pas forcément négatif, peut-être veut-elle s'éviter de m'infliger un nouveau refus parce qu'elle ne se sent pas encore prête. Ce n'est pas forcément positif non plus. Et puis zut, à ce moment-là, elle était quand même vraiment occupée à batailler avec ses colis. Comme dit souvent Jsh, il ne faut pas tout décortiquer.

Je lui demande alors:

All: —Vous êtes là le mois prochain?
Pâquerette: —Je ne sais pas encore. J'ai des congés à prendre, mais je ne sais pas quand je vais les prendre.
All: —Ok.
Pâquerette: —À bientôt. Au revoir.

Le mois prochain, elle aura sans doute davantage de temps à elle, la ville sera à moitié déserte et la papeterie aussi.

Elle ne m'a pas demandé pourquoi je lui posais cette question. À la réflexion, ceci aussi peut être interprété de toutes les manières possibles. Elle ne m'a pas mis de stop, je ne renonce pas à la rencarder. En espérant qu'elle sera effectivement là le mois prochain, ça faciliterait les choses.