Re: Je réussi.
Posté : 18.01.16
L'intérêt est celui de prendre du plaisir, tout simplement.
J'avais envie de la voir un de ces jours où je n'avais pas le chrono dans ma tête (parce que je dois ensuite aller par-ci ou par là-bas, pour faire du sport ou autre).
Tu as raison, je laisse surement parler mes insécurités et mon manque d'expérience, ce qui n'est pas foncièrement utile, bien au contraire.
Les textos, je ne lui en envoyais que très peu, à la base.
Lors de notre première visite au musée, elle m'a demandé si cela voulait dire "loin des yeux, loin du coeur", et je lui ai répondu que je préférais le contact réel et que ce n'était pas parce que je n'envoyais pas de texto que je ne pensais pas à la personne.
Elle répondit que ça lui allait (le peu de textos).
Lorsque je suis tombé malade, elle a commencé à prendre des nouvelles (par messages donc), et elle a initié une espèce de "bonne nuit, bonne journée" (soir/matin), sur laquelle je me suis calqué, peut-être à tord.
Elle me disais que ça lui faisait plaisir (de me lire au réveil), et parfois pendant la journée elle me demandais ce que je faisais.
Mis à part cela, nous ne conversons pas réellement par message, c'est toujours du style "Hey ! Alors, ta soirée avec tes amis, c'étais bien ? Tu me racontera !" ("oui/non/super, je te dis ça la prochaine fois"), ou très vite du genre "Je vais me préparer, passe une bonne journée" (on se raconte pas nos vies, juste quelques échanges légers, sur le ton de l'humour).
En gros, nos échanges sont réguliers, c'est vrai mais assez espacés dans le temps (ce qui n'en fait pas de réelles conversations).
Par contre, tu met le doigt sur quelque chose d'intéressant auquel je ne pensais plus.
Elle m'avais sorti à peu près ça (toujours par sms) : "Ca ma fait plaisir de lire ton message ce matin, pour une fois que tu penses à moi...".
J'ai pris ça comme de l'humour mais bien souvent derrière l'humour il peut très bien y avoir une part de vérité (marque d'insécurité chez elle ?).
Peu importe, c'était pour la petite histoire, j'arrête de cogiter.
Encore une fois, je te rejoins, je vais "laisser venir" et penser à autre chose.
Merci de me recadrer, l'ami
J'avais envie de la voir un de ces jours où je n'avais pas le chrono dans ma tête (parce que je dois ensuite aller par-ci ou par là-bas, pour faire du sport ou autre).
Tu as raison, je laisse surement parler mes insécurités et mon manque d'expérience, ce qui n'est pas foncièrement utile, bien au contraire.
Les textos, je ne lui en envoyais que très peu, à la base.
Lors de notre première visite au musée, elle m'a demandé si cela voulait dire "loin des yeux, loin du coeur", et je lui ai répondu que je préférais le contact réel et que ce n'était pas parce que je n'envoyais pas de texto que je ne pensais pas à la personne.
Elle répondit que ça lui allait (le peu de textos).
Lorsque je suis tombé malade, elle a commencé à prendre des nouvelles (par messages donc), et elle a initié une espèce de "bonne nuit, bonne journée" (soir/matin), sur laquelle je me suis calqué, peut-être à tord.
Elle me disais que ça lui faisait plaisir (de me lire au réveil), et parfois pendant la journée elle me demandais ce que je faisais.
Mis à part cela, nous ne conversons pas réellement par message, c'est toujours du style "Hey ! Alors, ta soirée avec tes amis, c'étais bien ? Tu me racontera !" ("oui/non/super, je te dis ça la prochaine fois"), ou très vite du genre "Je vais me préparer, passe une bonne journée" (on se raconte pas nos vies, juste quelques échanges légers, sur le ton de l'humour).
En gros, nos échanges sont réguliers, c'est vrai mais assez espacés dans le temps (ce qui n'en fait pas de réelles conversations).
Par contre, tu met le doigt sur quelque chose d'intéressant auquel je ne pensais plus.
Elle m'avais sorti à peu près ça (toujours par sms) : "Ca ma fait plaisir de lire ton message ce matin, pour une fois que tu penses à moi...".
J'ai pris ça comme de l'humour mais bien souvent derrière l'humour il peut très bien y avoir une part de vérité (marque d'insécurité chez elle ?).
Peu importe, c'était pour la petite histoire, j'arrête de cogiter.
Encore une fois, je te rejoins, je vais "laisser venir" et penser à autre chose.
Merci de me recadrer, l'ami
