arcalion a écrit :
La question qu'il faudrait se poser serait: Je fclose cette HB pour mon ego où simplement parce que j'en ai envie et que je vais prendre du plaisir??
C'est un débat intéressant, j’en parlais encore hier avec un pote.
Personnellement je suis assez convaincu du fait qu’un mec AFC de base reviens de tellement loin que au delà de l’accomplissement de se faire une nana dans les premiers temps, il a surtout un égo en reconstruction derrière.
Maintenant je pense que le plus difficile à doser est de savoir couper le cordon, je m’explique :
Quand est ce que je me rends compte (internaliser le processus et tout ce qui en découle) que choper une nana c’est comme aller boire une bière avec des potes : c'est-à-dire une des mes activités normal.
ET
Faire l’effort de mettre son pure défoulement égotique lors d’une levrette sur une top model, et essayer justement en dépassant ce stade, d’entrer dans une optique de partage et de réellement s’intéresser et de prendre dans chaque histoires/anecdotes/rencontres/escapades sexuelles au bord d’un lac, le constructif et le plus positif pour se construire en tant qu’être humain meilleur et plus en phase avec ses émotions et avec elles des autres.
Maintenant il faut faire l’effort de tendre vers cet esprit, mais quand on voit ce qu’on peut faire faire à certaines filles au bout de 20 minutes, ca devient moins évident et dans ce cas la c’est plus facile de se mettre un bon ego défouloir que de chercher à savoir ce qu’il y avait vraiment de profond et d’enrichissant dans certaines histoires…
Tout ca pour arriver à ca :
Je pense qu’arriver à un certain niveau nous sommes clairement assez influent pour arriver à presque toutes les situations que nous voulons avec des filles, je m’explique :
Si cette fille finit dans un cabinet de chiottes dégeu dans un bar miteux en train de vous blowjob et qu’il y a 15 minutes encore elle ne vous connaissait pas, vous y estes pour beaucoup. Peut être aurait t elle préférer une première date dans un bar mignon et pourquoi pas un petit DVD en votre compagnie et ensuite une partie de jambes en l’air dans un grand lit confortable et bien chaud dans un cadre plutôt sympas voir romantique.
Dans l’instant ce blowjob c’était plutôt cool pour vous deux, mais après ?
Vous vous êtes vidé en matant 3 cafards passés, c’était vraiment aussi intéressant que ca?
Et elle se dira surement :
Mais putain comment j’ai pu finir dans ces chiottes comme une vulgaire fille facile?
En plus je connais meme pas son prénom, faut que j’évite d’en parler à steph et mélanie sinon mon mec va le savoir.
VOUS avez fait en sorte qu’elle finisse dans ces chiottes et vous le savez tout autant que moi, ce n’est pas son passe temps favoris, pourquoi ?
Parce que la plus part des filles ne sont jamais autant émotionnellement bouleversées avec les autres mecs et c’est un fait, ca ne vous ai jamais arrivé dans vous arrêter de verser dans un PU et de penser « mais putain cette situation deviens incroyable ! »
Elles suivent tout simplement le rythme que vous imposer. Que ce soit dans un cadre cool ou super glauque. Elle vous appartient émotionnellement jusqu'à ce que vous décidiez d’arrêter.
Maintenant je ne dis pas que TOUTES les filles agissent comme ca mais une bonne partie d’entres elles agissent (ou suivent) de cette sorte.
Nous sommes clairement responsable de toutes situations avec une fille, c’est à vous de faire un choix (et de travailler un peu jusqu'à votre inconscient) :
Est-ce que vous continuerez à faire en sorte que toutes vos escapades soient vraiment limites/glauque/voir crade, et ainsi par pure projection de « vengeance envers les femmes » de les réduire à ces situations et donc finalement de ne servir que votre égo.
Ou vous décidez d’entrer dans une optique un peu plus constructive et de faire en sorte de d’abord vous intéresser réellement à cette fille et relation possible et la c’est du WIN-WIN.
Vous verrez que plus de filles vous rappellerons et vous demanderons de vos nouvelles, car vous n’aurez pas été qu’un sex toy dans un cabinet de chiottes crade dans un bar à la con.