Ce qui me fait rire c'est notamment quand on parle de la (honteuse) faiblesse des femmes (ces affreuses inconstantes) par rapport à leurs émotions...
Si par amertume tu parlais de ça, c'était ironique (regarde la suite du texte). Ce que je conteste c'est l'interprétation que l'on fait de ces fameux travaux scientifiques. On
interprête les résultats comme de la faiblesse, parce que si nous étions dans le même cas,
nous serions incapables de gérer. Tout au plus c'est un moyen de défense (ex mauvaise humeur quand les hormones "disent" qu'elle n'est pas prête à enfanter, donc qu'il est inutile de coucher). De plus une grande partie des choses que l'on reproche aux femmes se retrouve aussi dans la grosse majorité des hommes (peut-être moins sur fts vu que beaucoup s'attachent à leur développement personnel, à contrôler leurs émotions). Mais on ne veut pas le voir.
Je n'en veux pas aux femmes, ne t'en fais pas. Si elles sont dans un mauvais state et que je ne parviens pas à le changer, je les laisse quelque temps, c'est tout. Ca m'arrive aussi d'être de mauvaise humeur sans raison valable.
De plus il faudrait que je retrouve une étude qui m'avait profondément marqué (je crois que c'est peine perdue, c'était il y a longtemps). Toujours est-il que cette étude montrait que par exemple en cas de guerre (privations, peur constante, règne de l'éphémère, etc.) les femmes devenaient désespérées et dépressives
bien après les hommes, et encore si elles le devenaient. Elles étaient donc capables de résister voire de se battre bien plus longtemps et en s'engageant bien plus, jusqu'à la fin. Elles étaient donc
moins vulnérables à leur émotions (probablement parce qu'elle sont plus habituées à composer avec, à les ressentir et à les accepter...donc à en faire quelque chose de productif. Quand les hommes arrivaient au point où ils ne pouvaient plus réfréner ces émotions, ils étaient immédiatement abattus, en état de faiblesse manifeste, ils ne maîtrisaient plus). Si tu appelles cela de la faiblesse...