Posté : 22.09.09
Anonyme2 nous allons avoir du mal à communiquer. Je fais des efforts, stp fais-en de même.
Tu n'es pas d'accord: dont acte. Les réferences tu les cherches et tu en fais ce que tu veux. Pas de biblio, je sais c'est un peu léger, tant pis.
Il est aujourd"hui médicalement établi par exemple, que le virus du Sida a plus de chances de se transmettre par un rapport anal. C'est un fait. Passons sur l'hygiène. C'est sans doute une question secondaire, c'est toi l'expert.
Pour le reste je n'adhère pas à la pensée dominante actelle en matière de psychologie.
(ce qui n'est pas forcément le cas dans d'autres domaines)
Je me sens en revanche assez proche de la pensée d'un ancien player célèbre de FTS en matière de psychologie sexuelle. Je ne le nomme pas pour ne pas l'obliger à démentir (pour protéger son image sur ce forum): ce qu'il a écrit explicitement sur FTS suffit déjà amplement, même s'il n'a tiré aucune conséquence sur la pratique de la sodomie.
Pour en revenir au fond du sujet je ne peux pas m'attendre à ce que vous soyez d'accord avec moi. Je rejette en bloc le féminisme (sauf dans ses aspects secondaires et sans pour autant tomber dans le piège inverse de la mysoginie) ce qui m'invite à en tirer certaines conséquences sur certains comportements sexuels "réactionnaires" au sens étymologique du terme (non politique), en réaction à une pression sociale de fait.
Concernant l'intervention des membres féminins sur ce topic je les remercie de ne pas intervenir.
Que cela te plaise ou non importe peu: tu ne devrais pas avoir besoin d'une femme pour défendre tes arguments ou pour "occuper le terrain' du topic pendant que tu poursuis tes occupations.
J'essaierai de te répondre plus précisément dans les prochaines semaines. Tu manques de temps, moi aussi et je suis seul à défendre cette idée. Ce qui explique que je restreigne la discussion en la relativisant du point de vue du développement personnel (afin également de minimiser le risque de troll).
L'argument central est la pression sociale qui s'exerce sur nous par un ensemble de canaux plus ou moins complémentaires: médias, inconscient collectif et pensée dominante féminisante et à bien des égards infantilisante, surtout du point de vue d'un player.
Mais que vous soyez à l'aise dans votre vie actuelle n'est pas le problème: c'est la question du libre arbitre qui est en cause. Nous avons atteint un effet de seuil où l'équilibre du libre arbitre (des hommes en particulier) est remis en cause par un enfermement quasi-orwellien dans un ensemble de raccourcis idéo-sociologiques.
Entendons-nous bien. Chacun est libre de son cul dans la sphère privée. Je vous donne seulement quelques éléments objectifs de réflexion qui m'ont amené à rejeter la pensée dominante d'une liberté sexuelle devenue quasi-totalitaire, surtout et essentiellement du point de vue du développement personnel d'un homme hétérosexuel, dans le contexte du site (en dehors de toute problématique religieuse puisque je suis depuis longtemps libre penseur, ou penseur libre).
Les ramifications globales de notre débat sont si nombreuses et complexes que je n'ai matériellement pas le temps d'y répondre. Je ne vais pas non plus faire du cirage de pompe pour obtenir un doctorat en psychologie en apprenant par coeur une série de lieux communs que je sais - aussi par expérience - ne reposer que sur des bonnes intentions en pleine contradiction avec les principes cartésiens d'une méthodologie rigoureuse.
Matériellement je n'ai pas le temps ni l'envie de me sacrifier une fois de plus sur l'autel d'une bonne conscience universelle reposant au mieux sur du vent, au pire sur une bouillie intellectualiste.
A suivre...
_____________________________________________________________________
Descartes, Darwin, Freud... leur façon d'aborder les problèmes essentiellement
Tu n'es pas d'accord: dont acte. Les réferences tu les cherches et tu en fais ce que tu veux. Pas de biblio, je sais c'est un peu léger, tant pis.
Il est aujourd"hui médicalement établi par exemple, que le virus du Sida a plus de chances de se transmettre par un rapport anal. C'est un fait. Passons sur l'hygiène. C'est sans doute une question secondaire, c'est toi l'expert.
Pour le reste je n'adhère pas à la pensée dominante actelle en matière de psychologie.
(ce qui n'est pas forcément le cas dans d'autres domaines)
Je me sens en revanche assez proche de la pensée d'un ancien player célèbre de FTS en matière de psychologie sexuelle. Je ne le nomme pas pour ne pas l'obliger à démentir (pour protéger son image sur ce forum): ce qu'il a écrit explicitement sur FTS suffit déjà amplement, même s'il n'a tiré aucune conséquence sur la pratique de la sodomie.
Pour en revenir au fond du sujet je ne peux pas m'attendre à ce que vous soyez d'accord avec moi. Je rejette en bloc le féminisme (sauf dans ses aspects secondaires et sans pour autant tomber dans le piège inverse de la mysoginie) ce qui m'invite à en tirer certaines conséquences sur certains comportements sexuels "réactionnaires" au sens étymologique du terme (non politique), en réaction à une pression sociale de fait.
Concernant l'intervention des membres féminins sur ce topic je les remercie de ne pas intervenir.
Que cela te plaise ou non importe peu: tu ne devrais pas avoir besoin d'une femme pour défendre tes arguments ou pour "occuper le terrain' du topic pendant que tu poursuis tes occupations.
J'essaierai de te répondre plus précisément dans les prochaines semaines. Tu manques de temps, moi aussi et je suis seul à défendre cette idée. Ce qui explique que je restreigne la discussion en la relativisant du point de vue du développement personnel (afin également de minimiser le risque de troll).
L'argument central est la pression sociale qui s'exerce sur nous par un ensemble de canaux plus ou moins complémentaires: médias, inconscient collectif et pensée dominante féminisante et à bien des égards infantilisante, surtout du point de vue d'un player.
Mais que vous soyez à l'aise dans votre vie actuelle n'est pas le problème: c'est la question du libre arbitre qui est en cause. Nous avons atteint un effet de seuil où l'équilibre du libre arbitre (des hommes en particulier) est remis en cause par un enfermement quasi-orwellien dans un ensemble de raccourcis idéo-sociologiques.
Entendons-nous bien. Chacun est libre de son cul dans la sphère privée. Je vous donne seulement quelques éléments objectifs de réflexion qui m'ont amené à rejeter la pensée dominante d'une liberté sexuelle devenue quasi-totalitaire, surtout et essentiellement du point de vue du développement personnel d'un homme hétérosexuel, dans le contexte du site (en dehors de toute problématique religieuse puisque je suis depuis longtemps libre penseur, ou penseur libre).
Les ramifications globales de notre débat sont si nombreuses et complexes que je n'ai matériellement pas le temps d'y répondre. Je ne vais pas non plus faire du cirage de pompe pour obtenir un doctorat en psychologie en apprenant par coeur une série de lieux communs que je sais - aussi par expérience - ne reposer que sur des bonnes intentions en pleine contradiction avec les principes cartésiens d'une méthodologie rigoureuse.
Matériellement je n'ai pas le temps ni l'envie de me sacrifier une fois de plus sur l'autel d'une bonne conscience universelle reposant au mieux sur du vent, au pire sur une bouillie intellectualiste.
A suivre...
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Descartes, Darwin, Freud... leur façon d'aborder les problèmes essentiellement