Tulpa a écrit :Moi je pars juste du principe qu'il faut aller bêtement vers l'efficacité au lieu de se faire chier sur des trucs qui marchent peut
ENTJ représente
Venusian a écrit :Non mais, et le plaisir de pratiquer dans la rue, ça compte ? Oui.
Point de vue personnel mais ce qui me plaît, c'est de rencontrer des jolies filles et avoir une interaction de qualité (en plus ça a une corrélation positive avec le résultat). Après le décor, je m'en fous.
Limite, la même jolie nana que j'intercepte dans la rue, plus d'une fois, parce que je sens que d'entrée y'a un truc qui m'a plombé, parce qu'elle est pas disposée ou parce que ça marche mais j'ai pas le temps de faire durer un pur moment de fun, j'aurais préféré la rencontrer ailleurs que dans la rue.
Du coup, on en vient à cette fameuse adrénaline (marqueur du SPU sur FTS depuis 2006 et les hardliners du DG)
Le SPU a un côté adrénalinant et fort en émotions dont on a du mal à se passer une fois qu'on y a goûté.
Moi je préférais quand au contraire, après une pratique régulière, l'adrénaline s'atténuait. Question de contrôle émotionnel qui m'est propre, je suppose. J'ai (j'avais) d'autres activités pour l'adrénaline. Je n'ai jamais fait de la drague l'excitation suprême de mon existence.
A chacun de voir ce qu'il recherche.
Et personnellement, j'ai vraiment l'impression qu'il y a un monde entre ceux qui pratiquent régulièrement, et ceux qui ont testé une ou deux fois ou n'ont jamais pratiqué dans l'idée que l'on s'en fait.
(...)
Et j'ai pas envie de refaire l'argumentaire classique des avantages du SPU, de la fausse croyance que c'est plus difficile qu'en boite ou ailleurs, que ça demande dix fois plus de skills, etc.
Je me souviens avoir fait une analyse et que peu de players ont corroboré (mais je rouvre le sujet)
Dans la rue,
ce sont les filles qui choisissent.
Dans un environnement haute qualité / basse densité (mes préférés : on repère les cibles à 100m, on peut analyser leur jeu de regard 30s avant l'abordage et on n'a pas à se retourner leur courir après)
EC approach invitation

je vais en reverse direct game (ie j'assume qu'elle est attirée par moi)

100% de close
Evitement total d'EC mais signe d'inconfort

ça ouvre et résultat un peu plus élevé quela moyenne
Evitement d'EC et pas de signe d'inconfort

taux de close ridiculement bas
Autres situations

dans la moyenne ~30% d'ouverture avec un close avec situationnel > DG > indirect à la con
Je précise que je ne suis pas un spécialiste du SPU et que sur ~1 an d'activité où j'ai fait du SPU (sur 3 de sarge), je devais avoir une 100aine d'approche. Donc très loin des hardliners du SPU, mais je pense que mon expérience sur ce terrain n'est pas complètement à jeter, d'autant que j'arrivais pas green dans la sarge.
Bref tout ça pour dire que ce qui compte, c'est pas tant le game que vous déroulez mais
le fait que la fille a déjà décidé de vous laisser une chance ou pas.
On peut se dire : tant pis, c'est la rue, c'est un élément de contexte non maîtrisable
Mais dans une situation de rencontre sociale, vous pouvez renverser une situation mal acquise au départ, si vous êtes très bon. Ne serait-ce que parce que le milieu est fermé et que tant que vous êtes persévérant (sans être awkward), elle peut pas se détacher de l'interaction. Si vous infléchissez une humeur pas top vers une humeur positive, mais vous êtes déjà dans le top 0.01% de player qu'elle a rencontré ("dealer d'émotions positive")
Cela m'amène à penser que certaines filles, j'aurais préféré les rencontrer ailleurs que dans la rue, pour avoir une
interaction de qualité (donc on parle bien de plaisir et pas que de résultats)
Après se dire "la même fille, mais dans un autre endroit" c'est aussi une mauvaise manière de penser, parce que la réalité ne permet pas de transposer une fille ailleurs que là où on la rencontre. J'en suis conscient.
Un argument cependant, que je crois pas avoir mis souvent en avant c'est qu'avec le SPU, lorsqu'on pratique régulièrement, on chope plus ailleurs que dans la rue, aussi.
"Quand on pratique plus, on choppe plus" Captain Obvious (indépendamment du field, vu que 90% des compétences en sont indépendantes)