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Re: Peripéties d'un petit francais

Posté : 31.07.13
par Markus babbel
Ode au sisyphos ou comment apprendre à faire une soirée

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Remembers

Episode 1 : Jeudi 64 juillet
Prémisse : Rendez vous pris avec 3 potes dans un parc pour « juste » un godet. 4 heures plus tard tous pété à essayer de marcher en équilibre sur un fil, tendu entre deux arbres par deux filles hippie. Réveille dur…

J’avais beau essayé de motiver mes potes Erasmus, ils avaient préféré étudier comme ils avaient préféré allé au zoo pour la fête de la musique…
Ce sera donc la même team

Episode 2 : Vendredi 65 juillet
Risque de drogue : oui, mes potes étaient chauds. J’ai jamais pris de drogue dur, à part de la morphine quand je me suis fait opéré.
Précaution : pas de portefeuille, juste : carte de crédit, clé, carte de transport et ID dans des poches qui se ferment.
Lieu du crime : sisyphos
Température extérieur : 25°C
Before : 1 teille de vodka pour 3, départ 23h58
Arrivé dans la queue, après ,2 autres bières, 35 min de transport et 15 minutes de marche
Videur a écrit :wie viel
Pote a écrit :Drei
Ok Gut, Kommt ! a écrit :
10€+un tampon, la soirée pouvait commencer

On retrouve des potes sur les sofas en plein air on se pose 10 minutes puis
Pote a écrit :t’as combien sur toi

Je fouille mes poches un billet de 5

1 suédoise et deux autres mec viennent sur le sofa, discussion cool, la meuf bonne
Mes potes reviennent
Tiens mec prends ca tu vas voir des éléphants roses
A peine je prends la gorgée avec la pilule, mes potes se barrent. On bouge avec la suédoise et ses potes sur d’autres canaps près d’un feu de camp. Ca fait pas d’effet mais je commence à plus trop capté les gens, je vois d’autres potes sur un canapé et comme c’est la première fois que j’en prends je veux être avec des gens que je connais donc je fausse compagnie à la suédoise, il doit être 2h du mat. Je m’assoie donc on discute, je dis de la merde, je commence à avoir froid, je tremble et puis et puis

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, je me lève d’un pas assuré vers la boite et me dirige vers la piste de danse.
A peine arrivé je croise les 3 autres acolytes, les yeux écarquillés, l’un ayant mis sont t-shirt comme le fond les cow girls, l’autre avec deux bouteilles de bières remplies d’eau et le dernier complètement perdu dans son délire.
Ils se ruent vers moi comme si ma vie été en danger, en gueulant
Bois de l’eau mec, bois de l’eau
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Se passent donc 6 heures qui ne font dans mon référentiel qu’une heure où j’alterne les aller retour entre les toilettes afin de remplir ma bouteille et le dance floor, j’en ai tellement rien à battre que j’aborde tout ce qui passe, bien sur avec mon énergie et mes pupilles dilatées j’en faire fuir certaines j’en fait rire d’autres, entre ces différentes rencontres je viens engager tout mon surplus d’énergie en agitant mon bras comme un forcené devant le DJ. Dans tout ce tumulte j’entre aperçois mes acolytes dans ces différents endroits (toilettes chinage dj)

Il est 8h le jour s’est levé sur une étrange soirée. A l’extérieur, un open air s’est installé qui fait trémousser les derniers survivants dont certaines petites blondes ce qui ne me déplaît pas.

10h je quitte la boîte,
Une gencive pétée
Une jambe tombée dans une bouche d’égout

Au revoir Berlin


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