Re: En arriver là : comment on en vient à tromper l'autre
Posté : 26.10.13
Blues, comme c'est vilain de se moquer :-) !
Oui, bien sur il faudrait que je prenne du recul, que j'admette que c'est une bonne grosse crise et que j'envisage que ça sent peut être un peu la fin. Actuellement, je ne me sens pas capable de faire des constats définitifs.
"Me donner un peu d'air", je ne sais pas si on parle de la même chose mais je suis déjà très indépendante, je l'ai toujours été : je sors souvent sans lui, je rencontre beaucoup de gens nouveaux, je pars en week end avec ma bande de copines, bref, de l'air, j'en ai. On fait aussi des trucs ensemble avec des amis et/ou avec les enfants. On bouge pas mal, on est pas souvent à la maison, je ne me sens pas emprisonnée dans cette vie de couple /de famille.
Le sexe (et la tendresse, bordel!) avec mon mari me manque.
Je sais maintenant , grâce au sex friend que j'aime toujours le sexe, ouf!
Maintenant, je peux toujours continuer à essayer de coincer mon mari contre les murs mais si sa première réaction est de me demander si je ne serais pas "un peu bourrée par hasard", c'est frustrant, oui. Mais je ne lâche pas, ça fait des semaines que je ne lâche rien, je tente des trucs régulièrement.
Donc, hier soir, nouvelle tentative : pour commencer, je suis allée me coucher en même temps que lui. (ça parait con mais c'est suffisamment rare pour être souligné)
Je lui ai dit "tu sais l'autre jour, dans la salle de bain, quand je t'ai collé au mur, tu m'as demandé si j'avais bu, tu m'as carrément calmée…"
Lui : " ça t'a vexée? c'était pour déconner mais qu'est ce que t'as en ce moment tu prends tout mal"
Furieuse envie de lui tourner le dos et de faire semblant de dormir mais je prends sur moi (encore), lui explique que je voudrais bien qu'on trouve le moyen d'avoir plus envie l'un de l'autre, que ce soit aussi plus naturel, et que quémander c'est pénible. Lui n'a pas répondu, m'a embrassée, on a fait l'amour et moi j'ai trouvé ça *je cherche un adjectif négatif mais pas trop* parce que j'avais encore l'impression d'avoir quémandé et que j'en suis toujours au même point.
Conclusion, c'est un coup d'épée dans l'eau : faut que je travaille la communication, que j'arrive à mieux verbaliser et finalement c'était peut être pas le bon timing.
Pas découragée, ce matin, on avait du temps, grasse mat programmée, enfants pas là, je me réveille avant lui, je décide de tenter un petit réveil coquin, j'aime pas trop le matin mais lui oui, en tous cas avant il aimait bien.
Mauvaise idée " nan mais attends là, qu'est ce que tu fais?"
Mieux vaut en rire..
Oui, bien sur il faudrait que je prenne du recul, que j'admette que c'est une bonne grosse crise et que j'envisage que ça sent peut être un peu la fin. Actuellement, je ne me sens pas capable de faire des constats définitifs.
"Me donner un peu d'air", je ne sais pas si on parle de la même chose mais je suis déjà très indépendante, je l'ai toujours été : je sors souvent sans lui, je rencontre beaucoup de gens nouveaux, je pars en week end avec ma bande de copines, bref, de l'air, j'en ai. On fait aussi des trucs ensemble avec des amis et/ou avec les enfants. On bouge pas mal, on est pas souvent à la maison, je ne me sens pas emprisonnée dans cette vie de couple /de famille.
Le sexe (et la tendresse, bordel!) avec mon mari me manque.
Je sais maintenant , grâce au sex friend que j'aime toujours le sexe, ouf!

Maintenant, je peux toujours continuer à essayer de coincer mon mari contre les murs mais si sa première réaction est de me demander si je ne serais pas "un peu bourrée par hasard", c'est frustrant, oui. Mais je ne lâche pas, ça fait des semaines que je ne lâche rien, je tente des trucs régulièrement.
Donc, hier soir, nouvelle tentative : pour commencer, je suis allée me coucher en même temps que lui. (ça parait con mais c'est suffisamment rare pour être souligné)
Je lui ai dit "tu sais l'autre jour, dans la salle de bain, quand je t'ai collé au mur, tu m'as demandé si j'avais bu, tu m'as carrément calmée…"
Lui : " ça t'a vexée? c'était pour déconner mais qu'est ce que t'as en ce moment tu prends tout mal"
Furieuse envie de lui tourner le dos et de faire semblant de dormir mais je prends sur moi (encore), lui explique que je voudrais bien qu'on trouve le moyen d'avoir plus envie l'un de l'autre, que ce soit aussi plus naturel, et que quémander c'est pénible. Lui n'a pas répondu, m'a embrassée, on a fait l'amour et moi j'ai trouvé ça *je cherche un adjectif négatif mais pas trop* parce que j'avais encore l'impression d'avoir quémandé et que j'en suis toujours au même point.
Conclusion, c'est un coup d'épée dans l'eau : faut que je travaille la communication, que j'arrive à mieux verbaliser et finalement c'était peut être pas le bon timing.
Pas découragée, ce matin, on avait du temps, grasse mat programmée, enfants pas là, je me réveille avant lui, je décide de tenter un petit réveil coquin, j'aime pas trop le matin mais lui oui, en tous cas avant il aimait bien.
Mauvaise idée " nan mais attends là, qu'est ce que tu fais?"
Mieux vaut en rire..