FTS

Hortrod je ne sais pas si tu es toxique, mais tu es en tout cas atteint du syndrome de la victime.

Une personne conscient d'être toxique et qui essaye de changer, c'est une personne pour qui j'ai le plus grand respect.
Il n'y a rien de plus fort que quelqu'un qui évolue et qui se remet en question.
Cela démontre d'une grande force mentale et d'un gout prononcé pour la vie.

Je suis prêt à beaucoup pardonner à des personnes toxiques qui m'ont blessé mais qui s'en rendent compte et qui essayent VRAIMENT de changer

Mais cela n'est à ne pas confondre avec les charlatants manipulateurs qui vous promettent des changements sans avoir aucune intention de le faire.

Pour en revenir à ton cas hortrod, tu es conscient de ta (soit-disante) toxicité. Parfait.
Mais souhaites-tu vraiment changer ?
As-tu vraiment le courage de te remettre en question ? J'en doute.

Tout ton discours est basé sur ton rôle de victime.
Il faut te brûler sur la place publique.
Ceux qui t'adressent la parole ne sont que des persécuteurs.
Tu reviens ici après être banni pour essayer vainement de nous faire culpabiliser, nous demandant le chemin d'un forum style PUAHATE.

Et bien tout ça c'est BULLSHIT.

A partir du moment ou tu seras VRAIMENT prêt à changer, alors nous te respecterons. Nous t'accueillerons. Nous te soutiendrons.
Tu recevras ici le soutient et l'amour de toute une communauté qui espère vraiment te voir aller mieux.
Tu ne seras pas brulé en place publique, non.

Mais pour cela, tu dois faire le pas le plus difficile.
Arrête de te victimiser.
prend-toi en main.
Sois prêt à vraiment changer.

Cellar Door a écrit : en revenir à ton cas hortrod, tu es conscient de ta (soit-disante) toxicité.

Ah non, ça par contre c'est inacceptable.

Etre instable, et toxique pour les autres comme pour soi même est tout sauf amusant.

Ni pour moi ni pour les autres.

J'ai eu l'occasion de côtoyer certains de mes congénères qui sont passés grands maîtres du genre lors d'un petit séjour en institut psychiatrique alors je m'y connais un peu sur le sujet je crois.

Interessant de constater que tu met le hola sur les doutes qu'on peut emettre sur ta toxicite.

En revanche pas un mot sur ta volonte de changement.

C'etait quand meme la question posee par cellar, et ce qui nous interesse vraiment, que tu as totalement eclipsée.

Ce serait surement plus interessant de savoir comment tu envisages d'evoluer que de savoir que tu as ete en hosto psy.

Ok, assez déconné.

Pour parler sérieusement d'un sujet qui est sérieux.

Déjà, se rendre compte de sa toxicité, n'est pas un élément anodin, ça m'a prit des années.

Pourquoi ? Parce que pour moi, être toxique, c'était faire du mal aux autres volontairement. Cela m'a prît beaucoup de temps pour comprendre que je faisais souvent beaucoup de mal aux autres de façon involontaire.

J'ai fini par le comprendre lorsque j'ai été de l'autre côté du miroir. Lorsque j'ai été face à une personne, avec qui c'est les montagnes russes émotionnelles. Un jour, elle m'aimait, j'étais le roi du monde, le lendemain, plus rien.

Je caricature, mais à peine.

Cet angle là est connu et a été suffisamment traité.

Mais, j'ai réalisé, que je faisais la même chose. Plus facile de voir la paille dans l'oeil de son voisin que la poutre qu'on a dans le sien.

Sur le moment je ne m'en rend pas compte. Je ne fais pas exprès. J'essaie de me contrôler la plupart du temps, mais dès que mes émotions m'échappent ça part dans tous les sens.

Dès, que je ressens une remarque blessante de la part de la fille en face, je lui réponds du tac o tac, mais ma réponse est absolument disproportionnée par rapport à ce qu'elle m'a dit initialement.

Après admettre qu'on est toxique, sans être capable de distinguer clairement, quels comportements sont toxiques est un casse tête absolu. J'essaie d'être le plus stoïque et flegmatique possible, d'éviter les conflits, les variations d'humeurs, mais lorsqu'il y a une crise, ça éclate.

Pour répondre à la question, se guérir de sa toxicité n'est pas chose facile.

Mon sujet a pour but de réfléchir positivement :
- Etre dans la confiance sauf preuve contraire plutôt qu'être d'emblée dans la méfiance.

"Attention aux LSE", "Méfiez-vous des personnes toxiques".

Je veux dire, à un moment donné faut se détendre et chercher à connaître les personnes avant d'émettre des jugements. Peut être qu'on peut s'irriter de la négativité d'une personne, puis un jour éclairer son comportement sous un autre jour suite à une info qu'on n'avait pas. Ca ne veut pas dire qu'on excuse ce comportement.

Toxique, à la base, ça se dit d'une substance nocive pour l'organisme, qui peut conduire à des dommages irréversibles voire à la mort (Mercure, Amiante, Cyanure, Monoxyde de carbonne).

Est-ce qu'on court souvent de tels risques dans le cadre des relations amoureuses, amicale ou professionnelles ?

On est d'accord Alex-, mais ton "raisonnement positif" n'était absolument pas sous-entendu dans le début de ce débat, qui avait une tendance nette à nier la toxicité de certaines personnes, en la relativisant par les relations qu'ils pouvaient entretenir avec d'autres individus.

Est-ce qu'on court souvent de tels risques dans le cadre des relations amoureuses, amicale ou professionnelles ?

Ça arrive. C'est comme les maladies rares, ça arrive, pas forcément souvent, mais c'est pas pour autant qu'il faut s'en foutre.

Perso, je dirai dommage pour le ban, même si j'ai l'historique en tête. Parce qu'on avait un avis contradictoire et très honnête. Faut être capable de dire qu'on est personnellement "toxique".

Certains ont le choix d'être "toxiques" ou non, et/ou d'associer une volonté de changement à cela. D'autres ne l'ont pas forcément, car ils ne connaissent pas d'autre fonctionnement émotionnel. Et je dis ça, ce n'est pas pour les dédouaner.

h0tr0d3 a écrit :Déjà, se rendre compte de sa toxicité, n'est pas un élément anodin, ça m'a prit des années.

Pourquoi ? Parce que pour moi, être toxique, c'était faire du mal aux autres volontairement. Cela m'a prît beaucoup de temps pour comprendre que je faisais souvent beaucoup de mal aux autres de façon involontaire.
(...)
Sur le moment je ne m'en rend pas compte. Je ne fais pas exprès. J'essaie de me contrôler la plupart du temps, mais dès que mes émotions m'échappent ça part dans tous les sens.
(...)
Après admettre qu'on est toxique, sans être capable de distinguer clairement, quels comportements sont toxiques est un casse tête absolu.

H0tr0d, en rapport, je t'aurai posé la question : "quid quand l'autre te dis que tu lui fais mal, alors que tu es "en crise" ?". N'est-ce pas là suffisant pour s'en rendre compte ?

Alex. Toute substance peut être nocive, même l'oxygène et l'eau (et pas que par inhalation) ;).
Question de dose et de vecteur.
(Tant qu'on y est sur la sémantique inutile).

Sinon d'accord qu'il vaut mieux ne pas avoir v d'a priori mais faut pas voler la face ou tomber dans le piège d'essayer de comprendre quelqu'un qui est trop nocif.
Comme on dit pour les filles on est pas psy ou infirmiers et ce n'est pas notre rôle de réparer tous les tarés du monde.
Il faut savoir reconnaître son incompétence et le fait que ça puisse être dangereux pour nous .
Et s'il s'agit de quelqu'un à qui l'on tient savoir garder la bonne distance.
Aider mais ne pas devenir esclave de cela.

Acr0bate a écrit :H0tr0d, en rapport, je t'aurai posé la question : "quid quand l'autre te dis que tu lui fais mal, alors que tu es "en crise" ?". N'est-ce pas là suffisant pour s'en rendre compte ?

Bonne question.

Cela dépend.

En faite, tout dépend de la fille que l'on a en face.

Je suis resté plusieurs années avec une fille, qui ne m'attaquait jamais, était très soucieuse de ne pas me blesser, et les conflits avec elles se comptent sur les doigts d'une main au total.

Lorsque le "Arrête tu es en train de me blesser", venait d'elle, c'était suffisant pour que je comprenne, et j'arrête.

Mais par contre, lorsque cela vient d'une fille, qui elle même me lance des paroles blessantes, que je ne réagis pas, ni la première, ni la deuxième, mais qu'à un moment, je lui réponds, et qu'elle me dit ça alors là non...

En clair, lorsqu'on est toxique on fait face à trois type de personnes selon moi :

- Les personnes qui n'appuient pas sur nos insécurités, et avec celles-ci, la toxicité est réduite au minimium.

- Les personnes qui s'éloignent au premier signe d'insécurité. Etant un peu débile, je dis clairement à toutes les filles que je rencontre que je suis quelqu'un de "toxique", preuves à l'appui. La plupart s'enfuient en général à raison :

J'ai déjà essayé de sortir avec des personnes un peu instables par tendresse, pour remettre de l'ordre dans leur vie. Et ça a juste mis la mienne en désordre en plus de me rendre malheureuse.
Je ne peux plus, sans pouvoir dire ce que je veux car j'attends un vrai coup de foudre, je sais ce que je ne veux plus.

- Les personnes qui appuient constamment sur nos insécurités, volontairement ou non. Et là c'est le koweit.

...

Sincèrement, même moi, je tique maintenant quand je suis face à une fille potentiellement toxique, pour en avoir fréquenté une, et me souvenir de la douleur passée.

Objectivement, il n'y a-u-c-u-n-e raison de sortir avec une personne toxique pour soi.

Trollage déplacé dans le topic approprié .