Re: 6 ans de coloc avec ma soeur... une complicité sexuelle s'installe.
Posté : 18.08.14
Bonsoir à tous, et merci pour vos nombreuses réponses ! je m'attendais pas à autant de réactions en si peu de temps.
Bon, j'ai fini par l'appeler vers midi, elle m'avait renvoyé un troisième texto à nouveau insistant, donc je me suis dit qu'il était peut-être temps de clarifier les choses de vive voix.
On s'est longuement expliqués, on a bien parlé, on s'est dit tout ce qu'on avait pas pris le temps de se dire Jeudi soir. En gros, elle flippe que je regrette ce qui s'est passé, et que ça me mette mal à l'aise pour toujours avec elle, elle veut pas que ça nuise à notre relation fraternelle, elle m'a bien signifié que c'était pas du tout ce qu'elle cherchait. Elle m'a demandé si je lui en voulais, où si je m'en voulais à moi-même d'avoir fait ça, je l'ai rassuré que c'était pas si grave mais que ça restait quand même quelque chose d'assez inhabituel, et donc forcément déroutant. On est assez d'accord là-dessus, c'était assez osé et peut-être qu'on aurait pas du céder à la tentation, mais bon les choses sont faîtes maintenant et on va pas s'appitoyer sur notre sort, on est d'accord tous les deux pour dire qu'on a simplement expérimenté un truc assez peu commun sous l'effet de l'alcool, mais sans grande importance au final. Elle m'a demandé si je l'aimais toujours comme ma petite soeur, je l'ai rassuré et elle m'a confirmé de même de son coté. De ce coté-là, aucun problème a priori, on est sur la même longueur d'ondes, tout va bien.
Par contre, ce qui est tout aussi clair, et on en a bien discuté également, sans chercher à se mentir ou minimiser les choses, c'est que, autant de son coté que du mien, on a vraiment apprécié ce moment.
J'avais beau être son grand frère, et elle avait beau être ma petite soeur, aussi bien elle que moi, on a fait le même constat : si on avait pas été freiné au dernier moment, on était bien parti pour faire durer le truc jusqu'au bout. Et ça nous a surpris tout autant tous les deux.
Bon, ma soeur est beaucoup plus "franc-parler" que moi, du coup elle s'exprime beaucoup plus facilement que moi sur le sujet, mais elle m'a avoué que pendant tout le long de la fellation, elle avait "vraiment envie" de me pousser à la jouissance, et que c'est cette envie qui l'a poussée à persévérer comme ça (je précise que la fellation a duré une bonne dizaine de minutes).
Elle m'a expliqué que, tout comme moi, il y a eu plusieurs moments où elle aurait pu arrêter net, après quelques va-et-viens juste pour le "pari", mais qu'à chaque fois, elle se disait : "non, je continue, je suis bien lancée, je suis dans mon truc, j'ai envie de continuer, on verra bien où ça va". Et en fait, c'est mes mouvements brusques de jambes et de bassin qui l'ont impressionné, quand je commençais à plus du tout avoir le contrôle de moi-même et que c'était à deux doigts de sortir. Elle a pas compris que j'étais en pleine transe, elle a cru que ça me gênait d'en arriver là avec elle et que j'essayais de m'extirper, donc elle s'est arrêté pour ne pas me poser de problème (forcément, elle ne connaît pas mes réactions, je fais toujours des grands gestes brusques quand je me rapproche du moment ultime). C'est dommage, c'est un malentendu, mais ça prouve au moins que c'est pas respect pour moi qu'elle a arrêté, et pas par dégoût.
Du coup, comme on est un peu plus à l'aise dans la conversation avec ça maintenant, elle a pas pu s'empêcher d'émettre à nouveau l'hypothèse de remettre ça héhé. Bon...
Là aussi on en a bien discuté, elle est très claire là-dessus, elle veut pas en arriver à une situation où elle baise avec son frère tous les soirs. C'est pas du tout ce qu'elle cherche, et au contraire elle trouverait ça même malsain, elle a encore espoir de trouver l'âme-soeur un jour pour tout ça et heureusement, parce qu'elle est jeune et jolie, donc ya pas de raison.
Non, par contre ce qu'elle m'a expliqué, c'est qu'elle a pas envie non plus qu'on s'interdise catégoriquement de se faire des trucs des fois, si on en a envie, juste parce qu'on est frère et soeur et que ça se "fait pas" entre frère et soeur. Elle trouverait ça dommage, d'autant plus qu'on se connaît maintenant à force, bien plus que quand on vivait chez les parents d'ailleurs, on a plus grand chose à se cacher donc elle voit pas pourquoi on devrait se mettre des barrières, pour elle le sexe ça fait partie de la vie comme le reste et ça sert à rien de le réfréner. Ca fait presque deux ans qu'on est célibataires tous les deux, qu'on se regarde différemment d'avant, qu'on s'apprécie physiquement aussi bien que fraternellement, elle m'a avoué qu'elle s'était déjà demandé plusieurs fois, en me regardant, si elle se sentirait capable d'avoir des rapports sexuels avec moi "pour dépanner" de temps en temps, et que cette fellation, c'était pour elle une sorte de "test", pour savoir si elle en était capable et jusqu'où elle pouvait aller.
Ce qu'elle me propose, en gros, c'est de se limiter uniquement à ce genre de rapports légers, essentiellement bucco-génital ou manuel, donc sans risques, et de se faire plaisir entre nous de cette manière comme bon nous semble, quand ça nous chante, sans se prendre la tête et sans en parler à personne d'autre. Quand l'un des deux a envie, il n'hésite pas à demander à l'autre, et si l'envie est partagée, aucune excuse pour se priver. Simple petite arrangement à l'amiable entre frère et soeur qui s'adorent, se connaissent par coeur et se font confiance. Et inversement, si l'envie n'est pas partagée, respect de l'autre et abstinence. Voilà.
Je lui ai fait part de mes craintes ouvertement, que sur le papier c'était très tentant mais que dans la réalité des choses, ça risquait quand même de déraper sur quelque chose de pas sain à terme. Je lui ai signifié que j'avais pris vraiment énormément de plaisir mercredi, et que si elle me suçait comme ça à chaque fois, je risquais fortement d'en avoir envie tous les soirs, de lui demander tous les soirs, et au final de plonger dans une vie sexuelle quotidienne avec elle, aussi limitée à ça soit-elle. Je lui ai dit que pour le moment, je me voyais vraiment pas entamer une relation pareille avec elle, et qu'une routine de ce genre de m'inspirait guère confiance pour nos relations à l'avenir.
Par contre, j'ai été franc avec elle, aussi bien qu'elle est franche avec moi, et je lui ai pas caché que son arrêt soudain de mercredi m'avait quand même laissé sur ma faim. Ca n'a pas été évident de lui avouer franco comme ça, mais oui, elle m'a grave excité, m'a fait longuement monter, puis m'a abandonné au pire moment, et je n'ai pas été rassasié. J'en tire une sorte de frustration sexuelle qui dure depuis mercredi, qui me turlupine la tête et qui me fait me poser plein de questions sur elle. Et au plus profond de moi, j'ai quand même tendance à penser que la meilleure manière de mettre les choses au clair et passer à autre chose, serait peut-être d'achever ça une bonne fois pour toutes.
Certains vont sans doute penser que je fais une connerie, mais je lui ai donné mon accord pour qu'on recommence au moins une fois, histoire d'expérimenter la chose dans son intégralité, et juger ce qu'il en ressort. On en reparle à son retour, et on voit ce qu'il en est.
Peut-être que je fais une connerie, mais j'en ai vraiment envie. Peut-être que je devrais voir un psy, mais j'en ai pas les moyens ces temps-ci. Peut-être que je devrais sortir, rencontrer d'autres filles, mais c'est pas faute d'avoir déjà essayé et on peut pas dire que c'est le succès qui m'étouffe à Paris.
Quelque part, j'ai ma soeur à la maison. Elle suce super bien. Elle est opé. Franchement... ça va sans doute en choquer beaucoup ici, mais je suis pas sûr d'avoir envie de me compliquer la vie, en ce moment. On verra ce qu'il en est, on va tester ça, et le verdict viendra. Moi je la sens confiante dans ce qu'elle fait, donc a priori ça devrait bien se passer, tant qu'elle ça l'empêche pas de continuer à me voir comme son frère, moi ça me fait pas plus peur que ça, en réalité. Je veux juste avoir cette garantie, ensuite ce qu'on fait ensemble, ça peut se discuter, je veux juste qu'elle soit OK avec elle-même dans sa tête là-dessus, et avec moi sur ce que ça implique en terme de retombées sur notre relation. Je veux pas tout gâcher, c'est tout. Après, le sexe, en soi... bon.
Comme elle dit, un truc de la vie comme un autre hein, lol.
Elle a commencé un truc, c'est fini on a mis le pied dedans maintenant. Faut qu'elle finisse, sinon je vais jamais être au clair dans ma tête là-dessus. Et ça par contre, c'est pas bon du tout du tout.
Non franchement, c'est un peu honteux je suis d'accord, mais j'ai vraiment envie qu'elle recommence en fait. C'était vraiment trop bien. Là ça va être la version complète, je peux pas passer à coté d'une proposition pareille. Je peux pas. Désolé. J'y arrive pas.
C'est ma soeur, c'est nul, je sais, mais elle suce trop, trop, trop, trop bien. Je veux voir ce que ça donne, je veux ressentir ça. Au moins une fois.
Dîtes-moi si je fais fausse route à ce point. J'ai encore jusqu'à la fin du mois pour changer d'avis. Après, elle revient.
Pardon pour toutes ces conneries, je suis un peu perdu en ce moment.
Bon, j'ai fini par l'appeler vers midi, elle m'avait renvoyé un troisième texto à nouveau insistant, donc je me suis dit qu'il était peut-être temps de clarifier les choses de vive voix.
On s'est longuement expliqués, on a bien parlé, on s'est dit tout ce qu'on avait pas pris le temps de se dire Jeudi soir. En gros, elle flippe que je regrette ce qui s'est passé, et que ça me mette mal à l'aise pour toujours avec elle, elle veut pas que ça nuise à notre relation fraternelle, elle m'a bien signifié que c'était pas du tout ce qu'elle cherchait. Elle m'a demandé si je lui en voulais, où si je m'en voulais à moi-même d'avoir fait ça, je l'ai rassuré que c'était pas si grave mais que ça restait quand même quelque chose d'assez inhabituel, et donc forcément déroutant. On est assez d'accord là-dessus, c'était assez osé et peut-être qu'on aurait pas du céder à la tentation, mais bon les choses sont faîtes maintenant et on va pas s'appitoyer sur notre sort, on est d'accord tous les deux pour dire qu'on a simplement expérimenté un truc assez peu commun sous l'effet de l'alcool, mais sans grande importance au final. Elle m'a demandé si je l'aimais toujours comme ma petite soeur, je l'ai rassuré et elle m'a confirmé de même de son coté. De ce coté-là, aucun problème a priori, on est sur la même longueur d'ondes, tout va bien.
Par contre, ce qui est tout aussi clair, et on en a bien discuté également, sans chercher à se mentir ou minimiser les choses, c'est que, autant de son coté que du mien, on a vraiment apprécié ce moment.
J'avais beau être son grand frère, et elle avait beau être ma petite soeur, aussi bien elle que moi, on a fait le même constat : si on avait pas été freiné au dernier moment, on était bien parti pour faire durer le truc jusqu'au bout. Et ça nous a surpris tout autant tous les deux.
Bon, ma soeur est beaucoup plus "franc-parler" que moi, du coup elle s'exprime beaucoup plus facilement que moi sur le sujet, mais elle m'a avoué que pendant tout le long de la fellation, elle avait "vraiment envie" de me pousser à la jouissance, et que c'est cette envie qui l'a poussée à persévérer comme ça (je précise que la fellation a duré une bonne dizaine de minutes).
Elle m'a expliqué que, tout comme moi, il y a eu plusieurs moments où elle aurait pu arrêter net, après quelques va-et-viens juste pour le "pari", mais qu'à chaque fois, elle se disait : "non, je continue, je suis bien lancée, je suis dans mon truc, j'ai envie de continuer, on verra bien où ça va". Et en fait, c'est mes mouvements brusques de jambes et de bassin qui l'ont impressionné, quand je commençais à plus du tout avoir le contrôle de moi-même et que c'était à deux doigts de sortir. Elle a pas compris que j'étais en pleine transe, elle a cru que ça me gênait d'en arriver là avec elle et que j'essayais de m'extirper, donc elle s'est arrêté pour ne pas me poser de problème (forcément, elle ne connaît pas mes réactions, je fais toujours des grands gestes brusques quand je me rapproche du moment ultime). C'est dommage, c'est un malentendu, mais ça prouve au moins que c'est pas respect pour moi qu'elle a arrêté, et pas par dégoût.
Du coup, comme on est un peu plus à l'aise dans la conversation avec ça maintenant, elle a pas pu s'empêcher d'émettre à nouveau l'hypothèse de remettre ça héhé. Bon...
Là aussi on en a bien discuté, elle est très claire là-dessus, elle veut pas en arriver à une situation où elle baise avec son frère tous les soirs. C'est pas du tout ce qu'elle cherche, et au contraire elle trouverait ça même malsain, elle a encore espoir de trouver l'âme-soeur un jour pour tout ça et heureusement, parce qu'elle est jeune et jolie, donc ya pas de raison.
Non, par contre ce qu'elle m'a expliqué, c'est qu'elle a pas envie non plus qu'on s'interdise catégoriquement de se faire des trucs des fois, si on en a envie, juste parce qu'on est frère et soeur et que ça se "fait pas" entre frère et soeur. Elle trouverait ça dommage, d'autant plus qu'on se connaît maintenant à force, bien plus que quand on vivait chez les parents d'ailleurs, on a plus grand chose à se cacher donc elle voit pas pourquoi on devrait se mettre des barrières, pour elle le sexe ça fait partie de la vie comme le reste et ça sert à rien de le réfréner. Ca fait presque deux ans qu'on est célibataires tous les deux, qu'on se regarde différemment d'avant, qu'on s'apprécie physiquement aussi bien que fraternellement, elle m'a avoué qu'elle s'était déjà demandé plusieurs fois, en me regardant, si elle se sentirait capable d'avoir des rapports sexuels avec moi "pour dépanner" de temps en temps, et que cette fellation, c'était pour elle une sorte de "test", pour savoir si elle en était capable et jusqu'où elle pouvait aller.
Ce qu'elle me propose, en gros, c'est de se limiter uniquement à ce genre de rapports légers, essentiellement bucco-génital ou manuel, donc sans risques, et de se faire plaisir entre nous de cette manière comme bon nous semble, quand ça nous chante, sans se prendre la tête et sans en parler à personne d'autre. Quand l'un des deux a envie, il n'hésite pas à demander à l'autre, et si l'envie est partagée, aucune excuse pour se priver. Simple petite arrangement à l'amiable entre frère et soeur qui s'adorent, se connaissent par coeur et se font confiance. Et inversement, si l'envie n'est pas partagée, respect de l'autre et abstinence. Voilà.
Je lui ai fait part de mes craintes ouvertement, que sur le papier c'était très tentant mais que dans la réalité des choses, ça risquait quand même de déraper sur quelque chose de pas sain à terme. Je lui ai signifié que j'avais pris vraiment énormément de plaisir mercredi, et que si elle me suçait comme ça à chaque fois, je risquais fortement d'en avoir envie tous les soirs, de lui demander tous les soirs, et au final de plonger dans une vie sexuelle quotidienne avec elle, aussi limitée à ça soit-elle. Je lui ai dit que pour le moment, je me voyais vraiment pas entamer une relation pareille avec elle, et qu'une routine de ce genre de m'inspirait guère confiance pour nos relations à l'avenir.
Par contre, j'ai été franc avec elle, aussi bien qu'elle est franche avec moi, et je lui ai pas caché que son arrêt soudain de mercredi m'avait quand même laissé sur ma faim. Ca n'a pas été évident de lui avouer franco comme ça, mais oui, elle m'a grave excité, m'a fait longuement monter, puis m'a abandonné au pire moment, et je n'ai pas été rassasié. J'en tire une sorte de frustration sexuelle qui dure depuis mercredi, qui me turlupine la tête et qui me fait me poser plein de questions sur elle. Et au plus profond de moi, j'ai quand même tendance à penser que la meilleure manière de mettre les choses au clair et passer à autre chose, serait peut-être d'achever ça une bonne fois pour toutes.
Certains vont sans doute penser que je fais une connerie, mais je lui ai donné mon accord pour qu'on recommence au moins une fois, histoire d'expérimenter la chose dans son intégralité, et juger ce qu'il en ressort. On en reparle à son retour, et on voit ce qu'il en est.
Peut-être que je fais une connerie, mais j'en ai vraiment envie. Peut-être que je devrais voir un psy, mais j'en ai pas les moyens ces temps-ci. Peut-être que je devrais sortir, rencontrer d'autres filles, mais c'est pas faute d'avoir déjà essayé et on peut pas dire que c'est le succès qui m'étouffe à Paris.
Quelque part, j'ai ma soeur à la maison. Elle suce super bien. Elle est opé. Franchement... ça va sans doute en choquer beaucoup ici, mais je suis pas sûr d'avoir envie de me compliquer la vie, en ce moment. On verra ce qu'il en est, on va tester ça, et le verdict viendra. Moi je la sens confiante dans ce qu'elle fait, donc a priori ça devrait bien se passer, tant qu'elle ça l'empêche pas de continuer à me voir comme son frère, moi ça me fait pas plus peur que ça, en réalité. Je veux juste avoir cette garantie, ensuite ce qu'on fait ensemble, ça peut se discuter, je veux juste qu'elle soit OK avec elle-même dans sa tête là-dessus, et avec moi sur ce que ça implique en terme de retombées sur notre relation. Je veux pas tout gâcher, c'est tout. Après, le sexe, en soi... bon.
Comme elle dit, un truc de la vie comme un autre hein, lol.

Elle a commencé un truc, c'est fini on a mis le pied dedans maintenant. Faut qu'elle finisse, sinon je vais jamais être au clair dans ma tête là-dessus. Et ça par contre, c'est pas bon du tout du tout.

Non franchement, c'est un peu honteux je suis d'accord, mais j'ai vraiment envie qu'elle recommence en fait. C'était vraiment trop bien. Là ça va être la version complète, je peux pas passer à coté d'une proposition pareille. Je peux pas. Désolé. J'y arrive pas.
C'est ma soeur, c'est nul, je sais, mais elle suce trop, trop, trop, trop bien. Je veux voir ce que ça donne, je veux ressentir ça. Au moins une fois.
Dîtes-moi si je fais fausse route à ce point. J'ai encore jusqu'à la fin du mois pour changer d'avis. Après, elle revient.
Pardon pour toutes ces conneries, je suis un peu perdu en ce moment.
