Quooooooooi ? T'es vraiment un dingue toi !
Arrêter les AD du jour au lendemain, c'est très dangereux, maintenant ça explique tes problèmes. Arrêter une cure du jour au lendemain, c'est très grave, parce que ça engendre des rechutes, au moment où ça travaille (comme à la muscu). Mais c'est normal de ressentir les symptômes que tu as cité (du moins au début). Mais là ça explique tout. Enfin bon je pense que je vais m'y mettre hein. Le psy m'a conseillé une pilule avant de dormir. Parce que il m'a dit qu'au début ça causerait des somnolences, c'est pour ça qu'il faut éviter la journée.
Antidépresseurs : Faut-il en prendre ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas si simple le 27.10.15, 19h39 par The_PoP
- [0] ??? le 27.10.15, 21h13 par Rickhunter
- [0] Du calme le 28.10.15, 11h44 par Cutter
- [0] 100% d'accord le 03.11.15, 14h07 par Nidwazo
Cela peut-être dangereux d'arrêter sur un coup de tête le traitement. Donc voilà quoi. Mais si t'es parti sur autre chose, et sous suivi, au temps pour moi, je l'avais mal interprété.Quelles sont les conséquences d’un arrêt trop brutal du traitement ?
Quelques symptômes peuvent apparaître en cas d’arrêt brutal d’un traitement antidépresseur : anxiété, irritabilité, syndrome pseudo-grippal (frissons, fièvre, fatigue, mal aux muscles…), cauchemars, insomnie, nausées, sensations de vertiges… Ces symptômes ne doivent pas être confondus avec ceux de la dépression. Ils apparaissent généralement dans les 4 jours suivant l’arrêt et durent rarement au-delà d’une semaine.
Source : info-depression.fr
PS : Tant mieux pour toi si tu t'en est sorti, comme quoi rien n'est impossible...
Je pense que voucny a très bien répondu aux priorités, les vraies questions qu'on doit se poser avant de prendre des AD.
Première chose, as-tu un diagnostique établi? C'est vraiment la première chose... Sans un diagnostique, c'est potentiellement exagéré d'envisager prendre des AD, mais en plus tu ne sauras même pas quel type de problème tu as et quel AD est le plus adapté.
Chaque fois que je rencontre quelqu'un (en vrai ou en ligne) qui me confie avoir un problème d'anxiété ou de dépression, je suis vraiment étonnée de voir que presque aucun d'entre eux ne s'est posé la question de "qu'est-ce que c'est exactement ce dont je souffre?". Mais c'est vraiment le point de départ. Et après explications ils ne cherchaient pas forcément non plus à comprendre davantage leur trouble. Quand on veut combattre son ennemi il faut le connaître.
Oui bien sûr il y a des côtés désavantageux à connaître un diagnostique. Ca peut faire peur. On croit qu'on va tomber dans l'étiquette, aussi. Mais c'est faux, l'étiquette elle existe déjà mais de façon beaucoup plus moche et vague quand on va mal et qu'on sait même pas mettre de mot dessus. En réalité tu verras que les bons côtés sont plus nombreux. Pouvoir nommer la chose, l'expliquer plus clairement autour de toi, faire de meilleures recherches pour t'informer, t'associer (associations ou autres groupes) avec des gens qui comprennent et te soutiendront, et bien sûr, trouver la bonne façon de traiter ton problème : médication, méditation, médecine douces, changement dans ta vie...
Deuxième chose, as-tu fais des recherches et compris ce qui doit changer? Bon là je dirais que oui dans le sens où tu fais du sport... Donc les changements à faire qui sont tout aussi importants que la décision de prendre des AD,
- changer d'alimentation si elle est pas suffisamment équilibrée
- arrêt des substances excitantes, délirantes, etc, si jamais tu en prenais (cigarette alcool et autres, ainsi que café)
- faire du sport, ce que tu fais déjà
- apprendre la relaxation (mais ça c'est plus conseillé aux anxieux, cela dit ça peut aussi t'aider je n'sais pas?)
Ensuite, très important, vient le travail psychologique (et je ne parle même pas de "voir un psy" qui vient, en même temps / avant le diagnostique).
Tu as plein plein de choix et de possibilités ici.
Il s'agit d'un travail qu'on sous estime mais complètement. Moi c'est en grande partie ce travail qui m'a permis de m'en sortir au quotidien, et de croire en la guérison. Tu as du choix...
- tenir un journal personnel où tu racontes tout avec les détails que tu veux, comme tu le veux
- ou un journal de progression
- écrire des phrases (mantras) positifs, ce qui te fais du bien à entendre, et qui te fais croire en toi ou en de meilleurs jours. (je peux te donner des modèles en privé si tu veux, du coup ce sont ceux qui m'ont aidée moi mais tu peux en trouver sur le net)
En dernier lieu si tu te décides pour les AD, voilà les points à connaître.
La prise d'AD se fait graduellement, et s'arrête graduellement.
Oui tu as parfaitement raison, c'est dangereux d'arrêter les AD comme ça d'un coup sec. Dangereux est le mot. Outre les symptômes sévères de manques qui peuvent faire apparition, la santé mentale peut être affectée, le corps est brutalement sevré et certains effets peuvent demeurer à long terme voire à vie. Ca dépend des personnes, de la molécule, et malheureusement on a aucune idée de comment telle molécule peut fonctionner sur telle personne. La seule chose qu'on sait c'est l'action de telle molécule en général, et espérer qu'elle marche sur telle personne. C'est comme si on connaissait la nature et la fonction d'un gamète mais pas de l'autre, et espérer concevoir un enfant de cette façon... C'est un peu à l'aveuglette. Il n'y a aucun examen psycho-neurologique fait pour savoir exactement quelle est la carence dans le cerveau pour quelqu'un qui souffre et donc quelle molécule est la plus adaptée, et quelle molécule est la plus dangereuse.
- Effets secondaires: tu en auras probablement, lesquels on ne sait pas. Généralement ce ne sont pas ceux du bas de la liste quand même.
- Accoutumance: au début tu commenceras par de petites doses pour ne pas t'achever mais tu vas probablement avoir besoin d'un dosage plus important et au bout d'un moment les AD ne feront plus forcément effet - sauf que ça ne veut pas dire que tu peux arrêter les AD comme ça, ton corps sera alors accro!
- Addiction: oui tu vas devenir accro ça c'est quelque chose qu'il faut savoir.
- Sevrage: et là c'est le plus difficile, le corps médical se fiche complètement du sevrage, les labo, les pharma, personne n'en a rien à faire. Les psy ne savent rien à ce sujet. Au mieux on trouve des supports écrits par des psy qui écrivent des choses non fondées, les généralistes nous conseillent de façon aberrantes. A savoir, tu vas être plutôt livré à toi même. Voilà un article qui donne les bons chiffres.
http://depression.comprendrechoisir.com ... depresseur
Chaque diminution de dose doit se faire de 5% sur un pallier 2 à 3 semaines. Toutes les 2/3 semaines, 5% de plus. C'est long c'est ennuyant et il faut jouer au laborantin en coupant les comprimés mais sans ça tu risques d'expérimenter des symptômes de sevrage qui vont te faire rechuter (rechuter comme au premier jour de ton mal-être).
Oui et tu auras probablement aussi des symptômes de sevrages, même si ils sont légers et que tu suis bien tes palliers.
- Post-sevrage: ce n'est pas fini, selon ce que tu as pris comme AD et selon ton trouble, tu expérimenteras ce qu'on appelle l'effet rebond. C'est à dire que ton corps va comprendre que tu as arrêté les AD et il va te faire croire à une rechute pour que tu cèdes et en reprennes. Sois fort et ne lâche rien.
Après ça, ça devrait aller mieux, il y aura tout de même des rebonds sur 1 an (c'est ce qu'on m'a expliqué et ce à quoi je m'attends! J'ai dépassé le post-sevrage là).
J'ai été très honnête avec toi parce que j'en ai moi-même pris, après m'être posée sérieusement la question. A la base j'étais une fervente anti médicaments mais le mal-être m'a fait craquer. Si tu décides de prendre des AD en connaissance de cause alors c'est un choix et il ne tient qu'à toi de le suivre, quelque part c'est bien ça prouve que tu sais le genre de difficulté qu'il va falloir surmonter pour pouvoir aller mieux. Et que tu ne les prends pas comme ça, par lassitude mais vraiment par choix de ce que tu estimes être la prochaine étape vers aller mieux.
Première chose, as-tu un diagnostique établi? C'est vraiment la première chose... Sans un diagnostique, c'est potentiellement exagéré d'envisager prendre des AD, mais en plus tu ne sauras même pas quel type de problème tu as et quel AD est le plus adapté.
Chaque fois que je rencontre quelqu'un (en vrai ou en ligne) qui me confie avoir un problème d'anxiété ou de dépression, je suis vraiment étonnée de voir que presque aucun d'entre eux ne s'est posé la question de "qu'est-ce que c'est exactement ce dont je souffre?". Mais c'est vraiment le point de départ. Et après explications ils ne cherchaient pas forcément non plus à comprendre davantage leur trouble. Quand on veut combattre son ennemi il faut le connaître.
Oui bien sûr il y a des côtés désavantageux à connaître un diagnostique. Ca peut faire peur. On croit qu'on va tomber dans l'étiquette, aussi. Mais c'est faux, l'étiquette elle existe déjà mais de façon beaucoup plus moche et vague quand on va mal et qu'on sait même pas mettre de mot dessus. En réalité tu verras que les bons côtés sont plus nombreux. Pouvoir nommer la chose, l'expliquer plus clairement autour de toi, faire de meilleures recherches pour t'informer, t'associer (associations ou autres groupes) avec des gens qui comprennent et te soutiendront, et bien sûr, trouver la bonne façon de traiter ton problème : médication, méditation, médecine douces, changement dans ta vie...
Deuxième chose, as-tu fais des recherches et compris ce qui doit changer? Bon là je dirais que oui dans le sens où tu fais du sport... Donc les changements à faire qui sont tout aussi importants que la décision de prendre des AD,
- changer d'alimentation si elle est pas suffisamment équilibrée
- arrêt des substances excitantes, délirantes, etc, si jamais tu en prenais (cigarette alcool et autres, ainsi que café)
- faire du sport, ce que tu fais déjà
- apprendre la relaxation (mais ça c'est plus conseillé aux anxieux, cela dit ça peut aussi t'aider je n'sais pas?)
Ensuite, très important, vient le travail psychologique (et je ne parle même pas de "voir un psy" qui vient, en même temps / avant le diagnostique).
Tu as plein plein de choix et de possibilités ici.
Il s'agit d'un travail qu'on sous estime mais complètement. Moi c'est en grande partie ce travail qui m'a permis de m'en sortir au quotidien, et de croire en la guérison. Tu as du choix...
- tenir un journal personnel où tu racontes tout avec les détails que tu veux, comme tu le veux
- ou un journal de progression
- écrire des phrases (mantras) positifs, ce qui te fais du bien à entendre, et qui te fais croire en toi ou en de meilleurs jours. (je peux te donner des modèles en privé si tu veux, du coup ce sont ceux qui m'ont aidée moi mais tu peux en trouver sur le net)
En dernier lieu si tu te décides pour les AD, voilà les points à connaître.
La prise d'AD se fait graduellement, et s'arrête graduellement.
Oui tu as parfaitement raison, c'est dangereux d'arrêter les AD comme ça d'un coup sec. Dangereux est le mot. Outre les symptômes sévères de manques qui peuvent faire apparition, la santé mentale peut être affectée, le corps est brutalement sevré et certains effets peuvent demeurer à long terme voire à vie. Ca dépend des personnes, de la molécule, et malheureusement on a aucune idée de comment telle molécule peut fonctionner sur telle personne. La seule chose qu'on sait c'est l'action de telle molécule en général, et espérer qu'elle marche sur telle personne. C'est comme si on connaissait la nature et la fonction d'un gamète mais pas de l'autre, et espérer concevoir un enfant de cette façon... C'est un peu à l'aveuglette. Il n'y a aucun examen psycho-neurologique fait pour savoir exactement quelle est la carence dans le cerveau pour quelqu'un qui souffre et donc quelle molécule est la plus adaptée, et quelle molécule est la plus dangereuse.
- Effets secondaires: tu en auras probablement, lesquels on ne sait pas. Généralement ce ne sont pas ceux du bas de la liste quand même.
- Accoutumance: au début tu commenceras par de petites doses pour ne pas t'achever mais tu vas probablement avoir besoin d'un dosage plus important et au bout d'un moment les AD ne feront plus forcément effet - sauf que ça ne veut pas dire que tu peux arrêter les AD comme ça, ton corps sera alors accro!
- Addiction: oui tu vas devenir accro ça c'est quelque chose qu'il faut savoir.
- Sevrage: et là c'est le plus difficile, le corps médical se fiche complètement du sevrage, les labo, les pharma, personne n'en a rien à faire. Les psy ne savent rien à ce sujet. Au mieux on trouve des supports écrits par des psy qui écrivent des choses non fondées, les généralistes nous conseillent de façon aberrantes. A savoir, tu vas être plutôt livré à toi même. Voilà un article qui donne les bons chiffres.
http://depression.comprendrechoisir.com ... depresseur
Chaque diminution de dose doit se faire de 5% sur un pallier 2 à 3 semaines. Toutes les 2/3 semaines, 5% de plus. C'est long c'est ennuyant et il faut jouer au laborantin en coupant les comprimés mais sans ça tu risques d'expérimenter des symptômes de sevrage qui vont te faire rechuter (rechuter comme au premier jour de ton mal-être).
Oui et tu auras probablement aussi des symptômes de sevrages, même si ils sont légers et que tu suis bien tes palliers.
- Post-sevrage: ce n'est pas fini, selon ce que tu as pris comme AD et selon ton trouble, tu expérimenteras ce qu'on appelle l'effet rebond. C'est à dire que ton corps va comprendre que tu as arrêté les AD et il va te faire croire à une rechute pour que tu cèdes et en reprennes. Sois fort et ne lâche rien.
Après ça, ça devrait aller mieux, il y aura tout de même des rebonds sur 1 an (c'est ce qu'on m'a expliqué et ce à quoi je m'attends! J'ai dépassé le post-sevrage là).
J'ai été très honnête avec toi parce que j'en ai moi-même pris, après m'être posée sérieusement la question. A la base j'étais une fervente anti médicaments mais le mal-être m'a fait craquer. Si tu décides de prendre des AD en connaissance de cause alors c'est un choix et il ne tient qu'à toi de le suivre, quelque part c'est bien ça prouve que tu sais le genre de difficulté qu'il va falloir surmonter pour pouvoir aller mieux. Et que tu ne les prends pas comme ça, par lassitude mais vraiment par choix de ce que tu estimes être la prochaine étape vers aller mieux.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Post responsable le 03.11.15, 15h40 par mctyson
- [+1] Bien le 03.11.15, 17h53 par BadGoodGuy
- [+1] Post responsable le 03.11.15, 18h59 par DTS
- [+1] A lire le 03.11.15, 19h26 par Rickhunter
- [+2] Très intéressant le 03.11.15, 23h21 par voucny
Actuellement j'en prends et ça fait plus de 1 semaine, et à vrai dire que ça a calmé un peu mon anxiété, ma dépression aussi s'atténue au fil du traitement. Le psy m'a donné des AD qui sont très efficaces et visent particulièrement la dépression, l'anxiété (généralisée, sociale). Je ne sais pas si c'est un placébo, mais je me sent moins angoissé par la présence des gens, je n'angoisse plus dès que quelqu'un me regarde dans les yeux. Je pense que la prise de ce traitement va peut-être m'aider, du moins ça m'a soulagé et ça me permet de mieux dormir et d'être moins dans mes pensées.
Et pour ce qui est des effets secondaires, j'en ai ressenti que quelques un jusqu'à présent mais qui se sont un peu calmés :
- Vomissements
-Perte d'appétit
-Fourmis dans les doigts (rarement)
Sinon à part ça ça va. Et pour ce qui est de la raison qui m'a fait prendre ce médicament, c'est que je connait mon problème, donc je dois le combattre. Mais bien entendu c'est pas le médoc seul qui fera seul qui m'aidera, faudra aussi que j'y mettes.
Et pour ce qui est du sevrage, j'en ai entendu parler, et ça m'a un peu mis de l'hésitation, mais je me suis lancé quand même. On verra au moment venu, la situation ne peut-être pire qu'actuellement.
Mais si j'ai ces problèmes de motivation et d'intérêt à tout, (la raison à laquelle je ne m'ouvre pas trop aux gens), c'est du fait que ma dépression m'a rendu ainsi d'après ce que m'a dit le psy. Les dépressifs n'ont goût à rien (ce qui est mon cas), et s'isolent souvent. Et hier, je me suis rendu compte que j'ai été comme ça depuis la 4ème, je pleurais souvent pour un rien, j'étais facilement démotivé. Donc je dois en conclure que ma dépression ne rate pas d'hier.
Et pour conclure, je pense que prendre ces médocs ne feront que m'aider (au point où j'en suis) et les vrais effets du traitement ne commenceront qu'après 10-15 jours de prise quotidienne. Donc je dois rester patient.
Sinon ton ressenti est très intéressant, même si je savait déjà que je devait m'attendre au 3 quart de ce que tu m'as dit. Merci d'être intervenu !
Et pour ce qui est des effets secondaires, j'en ai ressenti que quelques un jusqu'à présent mais qui se sont un peu calmés :
- Vomissements
-Perte d'appétit
-Fourmis dans les doigts (rarement)
Sinon à part ça ça va. Et pour ce qui est de la raison qui m'a fait prendre ce médicament, c'est que je connait mon problème, donc je dois le combattre. Mais bien entendu c'est pas le médoc seul qui fera seul qui m'aidera, faudra aussi que j'y mettes.
Et pour ce qui est du sevrage, j'en ai entendu parler, et ça m'a un peu mis de l'hésitation, mais je me suis lancé quand même. On verra au moment venu, la situation ne peut-être pire qu'actuellement.
Mais si j'ai ces problèmes de motivation et d'intérêt à tout, (la raison à laquelle je ne m'ouvre pas trop aux gens), c'est du fait que ma dépression m'a rendu ainsi d'après ce que m'a dit le psy. Les dépressifs n'ont goût à rien (ce qui est mon cas), et s'isolent souvent. Et hier, je me suis rendu compte que j'ai été comme ça depuis la 4ème, je pleurais souvent pour un rien, j'étais facilement démotivé. Donc je dois en conclure que ma dépression ne rate pas d'hier.
Et pour conclure, je pense que prendre ces médocs ne feront que m'aider (au point où j'en suis) et les vrais effets du traitement ne commenceront qu'après 10-15 jours de prise quotidienne. Donc je dois rester patient.
Sinon ton ressenti est très intéressant, même si je savait déjà que je devait m'attendre au 3 quart de ce que tu m'as dit. Merci d'être intervenu !
En tout cas tu t'es renseigné ça se voit et c'est plus que beaucoup de gens déjà. Ta famille te soutient? Maintenant que pour les AD tu sais où tu vas, je te conseille de faire un travail psy personnel. Ton psy te donne peut-être des "devoirs", il s'agit de ça. Si ce n'est pas le cas tu peux essayer avec ce que je t'ai cité. Courage et tu peux aussi en parler sur ton journal ça peut être bien pour ceux qui te lisent et qui ont ce problème.
Non j'en ai personnellement pas parlé avec ma famille, et je le ferais pas. Et je publierais un post dans la semaine sur mon journal, afin de partager mes expériences, en espérant que ça guidera certaines personnes, sur certains de leurs choix à propos des AD. Bref passe une bonne soirée et merci à ceux qui ont pris le temps de me répondre.