Merci ! Super : oui et non, à vrai dire, je ne pensais pas à avoir vivre ça un joue sachant que j’étais proche d’eux. Là ça m’embête vraiment, j’essaie de m’émanciper, et au final, on trouve toujours à redire sur mes décisions en me demandant d’être prudent prudent ahaha !Focus a écrit : ↑24.08.20 Salut,
Moi je trouve ça super que la question se pose pour toi à 24 ans, tu vas pouvoir gagner du temps.
De mon côté, j'ai du régler ce type de difficulté à 31 ans, avec des années de perdues à tergiverser entre mon choix et le choix parental, que j'ai finalement fait aligner sur le mien, à la satisfaction générale...et des regrets parentaux par rapport à mon retard pris!
Certains parents te laissent libres plus tôt, d'autres te retiennent plus tard.
Mais au final, c'est à toi de forcer ta liberté, en essayant de ne pas blesser.
S'ils choisissent de l'être, tant pis pour eux, garde de ton côté le cap avec eux. Aimes les, sois disponible pour eux etc mais défends toujours (intelligemment et avec assertivité) tes choix. Ils s'aligneront, puisqu'ils t'aiment.
Mais ne fais jamais l'erreur d'essayer de faire plaisir à tout le monde ou de maintenir tout le monde dans le "mouflou". Tu seras seul à y perdre. De la même manière, tiens ta parole, et ne la donne qu'après mûre, mûre, mûre réflexion: pas de changement de dernière minute, pas de revirements non expliqués.
Affirmes toi, vis à vis de ta nana, de tes parents et du reste du monde en général. Ce n'est pas leur manquer de respect, c'est te considérer toi. Si tu es clean sur la forme, tu peux tout dire, à plus forte raison à des gens qui t'aiment.
Bon courage.
Relation parents/copine
C’est ultra frustrant cette position. D’un côté ma copine qui fait tout pour faire le dos rond, mais n’y arrive pas avec cet hyper contrôle et de l’autre mes parents qui remettent tout en question sur mes choix, comme si j’étais né de la dernière pluie et faisait tout sur un coup de tête. Je suis prudent. Très prudent. Pas besoin de me mettre des barrières pour que je le sois encore plus. Et ce, même si ça part d’un bon fond, et c’est un cercle vicieux entre les deux ce qui fait que les deux parties ont du mal, pourtant, je ne veux blesser personne, je suis heureux là, et j’aimerais tant que les deux s’entendent.Poordonkey a écrit : ↑24.08.20 Alors je vais reprendre ce qu'a dit FK : face à des gens aussi peu prêts à se remettre en question, la communication ne sert à rien et il va falloir prendre des décisions radicales.
Sérieusement, c'est quoi ces parents qui veulent tout contrôler et qui nient l'individualité même de leur enfant, qui critiquent ses choix en y mettant en plus une bonne vieille manipulation émotionnelle derrière? Pour avoir vu ça dans certaines familles, ça ressemble à un gros souci de dépendance affective de leur côté (je n'affirme pas à 100% mais ça y ressemble).
Repense à la situation : tu décides de partir de chez eux pour vivre avec ta copine, donc de vivre une vie d'adulte, ce qui est normal à 24 ans. Et tes parents vont non seulement se plaindre, mais critiquent votre aménagement, tes choix et ta copine. Qui a une sale influence ici, toi qui vis ta vie, ou tes parents qui n'acceptent pas de ne pas te contrôler?
Un de mes mottos, c'est "Parfois, les gens ne s'arrêteront pas tant que tu ne les arrête pas toi-même". Je ne te parle pas de les renier hein, mais de te marquer une rupture dans ton comportement, leur montrer que que ça leur plaise ou non, tu prends tes décisions et que tu es une personne à part entière, qui fait ses choix, et qu'ils n'ont pas à interférer de la sorte, et que ce n'est pas négociable.
Alors ça ne se fera pas sans conséquences, il faudra te préparer à une période de froid avec eux voire une grosse brouille, parce qu'ils ne lâcheront pas le contrôle aussi facilement. Vu ta relation avec eux, ce sera forcément inconfortable, ça te rendra triste et tu vas culpabiliser, forcément. Et leur attribution externe, du style "gnagnagna c'est ta copine qui t'a changé", même si c'est blessant pour vous 2, ça ne reste que leur perception biaisée qui ne correspond pas à la réalité, donc c'est leur problème, pas le votre.
Mais vu comme ils ont l'air obtus et peu aptes à la remise en question, et si tu veux continuer à explorer cette relation avec ta copine, je pense que tu n'auras pas le choix. Et ce n'est pas de l'ingratitude, juste de l'émancipation et prendre des distances face à des parents toxiques.
Faut juste que tu apprennes à dire "non" et "stop" et "je vous aime mais je dois prendre mon envol".
T'es plus un petit piou piou, c'est l'heure de sortir du nid. Et ça ne veut pas dire abandonner tes parents, les renier ou leur faire marque d'ingratitude. C'est juste grandir et vivre. C'est égoiste et toxique de leur part que de chercher à t'en empêcher, ou de te faire culpabiliser pour ça.
T'es plus un petit piou piou, c'est l'heure de sortir du nid. Et ça ne veut pas dire abandonner tes parents, les renier ou leur faire marque d'ingratitude. C'est juste grandir et vivre. C'est égoiste et toxique de leur part que de chercher à t'en empêcher, ou de te faire culpabiliser pour ça.
J'entends bien mais pour que tout le monde s'entende, il faut déjà des gens qui sont prêts à écouter. Là, tes parents jouent sur un rapport de force passif-agressif, ce ne sont pas tes actes qui les blessent mais l'abandon de leur position de "contrôle", et comme je te disais, ils vont tout faire pour que tu fasses ce qu'ils veulent. Si vraiment tu veux vivre ta vie comme tu l'entends, il va falloir poser ses limites et se foutre de si ça les blesse ou pas. Tant que tu n'auras pas posé tes limites, ils ne s'entendront pas et tu prends le risque que ta copine se barre (et je rejoins FK, c'est déjà bien qu'elle ne se soit pas déjà barrée, beaucoup n'auraient pas eu cette patience).Le_Paternel a écrit : ↑24.08.20 Et ce, même si ça part d’un bon fond, et c’est un cercle vicieux entre les deux ce qui fait que les deux parties ont du mal, pourtant, je ne veux blesser personne, je suis heureux là, et j’aimerais tant que les deux s’entendent.
Et en ne voulant "blesser personne", au final on finit par s'abandonner soi-même, donc je te conseille d'abandonner cette idée et de t'affirmer, enfin ; d'expérience, tu ne pourras pas ménager la chèvre et le chou avec des gens qui t'imposent un rapport de force, aussi sournois soit-il.
Après pour s’affirmer et vivre ta vie et être légitime et crédible encore faut il ne pas leur demander de l’aide pour tout et n’importe quoi. C’est aussi l’un des prix de l’indépendance.
Globalement je serais toi je me blinderais par rapport à leurs reproches tout en continuant à les voir avec plaisir. En gros tu traces ta route comme tu l’entends. Tu les laisses râler, tu recadres quand ils dépassent les bornes, tu t’expliques chaque fois qu’il le faut et tu te mets dans la position du mec qui a du recul. Mais tu ne les fuis pas et tu continues de passer du temps avec eux, et du temps gratuit ou tu ne leur demandes rien.
D’un autre côté je le redis, explique aussi à ta chérie que tu vas gérer cette situation mais que tu comptes sur elle pour être tolérante et bienveillante envers eux.
Explique lui que si elle se voit longtemps en couple avec toi, ils feront longtemps partie des gens qu’elle va côtoyer, à quoi bon être dans l’épreuve de force permanente.
Globalement je serais toi je me blinderais par rapport à leurs reproches tout en continuant à les voir avec plaisir. En gros tu traces ta route comme tu l’entends. Tu les laisses râler, tu recadres quand ils dépassent les bornes, tu t’expliques chaque fois qu’il le faut et tu te mets dans la position du mec qui a du recul. Mais tu ne les fuis pas et tu continues de passer du temps avec eux, et du temps gratuit ou tu ne leur demandes rien.
D’un autre côté je le redis, explique aussi à ta chérie que tu vas gérer cette situation mais que tu comptes sur elle pour être tolérante et bienveillante envers eux.
Explique lui que si elle se voit longtemps en couple avec toi, ils feront longtemps partie des gens qu’elle va côtoyer, à quoi bon être dans l’épreuve de force permanente.
Oui, plutôt dans une optique d’assumer mes choix. Je comprends leurs craintes, mais ils me connaissent, m’ont bien éduqué et jamais je ne changerai du tout au tout. Je me sens bien. Nous avons notre fonctionnement qu’on apprécie et si je dois faire des erreurs, je les ferai c’est l’apprentissage de la vie.FK a écrit : ↑24.08.20 Faut juste que tu apprennes à dire "non" et "stop" et "je vous aime mais je dois prendre mon envol".
T'es plus un petit piou piou, c'est l'heure de sortir du nid. Et ça ne veut pas dire abandonner tes parents, les renier ou leur faire marque d'ingratitude. C'est juste grandir et vivre. C'est égoiste et toxique de leur part que de chercher à t'en empêcher, ou de te faire culpabiliser pour ça.
Oui, en soit, c’est plus ça qui m’embête. Le mot intrusif n’était pas forcément bien choisi. C’est plus qu’ils aiment avoir le contrôle, un contrôle prudent, et toutes décisions qu’ils ne jugent pas prudentes à leurs yeux, ils vont trouver à redire et me tâner avec ça.Poordonkey a écrit : ↑25.08.20J'entends bien mais pour que tout le monde s'entende, il faut déjà des gens qui sont prêts à écouter. Là, tes parents jouent sur un rapport de force passif-agressif, ce ne sont pas tes actes qui les blessent mais l'abandon de leur position de "contrôle", et comme je te disais, ils vont tout faire pour que tu fasses ce qu'ils veulent. Si vraiment tu veux vivre ta vie comme tu l'entends, il va falloir poser ses limites et se foutre de si ça les blesse ou pas. Tant que tu n'auras pas posé tes limites, ils ne s'entendront pas et tu prends le risque que ta copine se barre (et je rejoins FK, c'est déjà bien qu'elle ne se soit pas déjà barrée, beaucoup n'auraient pas eu cette patience).Le_Paternel a écrit : ↑24.08.20 Et ce, même si ça part d’un bon fond, et c’est un cercle vicieux entre les deux ce qui fait que les deux parties ont du mal, pourtant, je ne veux blesser personne, je suis heureux là, et j’aimerais tant que les deux s’entendent.
Et en ne voulant "blesser personne", au final on finit par s'abandonner soi-même, donc je te conseille d'abandonner cette idée et de t'affirmer, enfin ; d'expérience, tu ne pourras pas ménager la chèvre et le chou avec des gens qui t'imposent un rapport de force, aussi sournois soit-il.
Elle en a conscience, comme elle me dit qu’il faut que j’ai conscience que si on continue, faudra que je fasse avec ces « tensions » des deux côtés. Mais c’est peut-être ça, j’ai sous-estimé le pas de ne plus vivre chez eux et quitter le domicile parental qui revient à quelque chose au-delà du simple fait de dormir et vivre dans un endroit différent et pas que je ne sois dans l’entre deux.The_PoP a écrit : ↑25.08.20 Après pour s’affirmer et vivre ta vie et être légitime et crédible encore faut il ne pas leur demander de l’aide pour tout et n’importe quoi. C’est aussi l’un des prix de l’indépendance.
Globalement je serais toi je me blinderais par rapport à leurs reproches tout en continuant à les voir avec plaisir. En gros tu traces ta route comme tu l’entends. Tu les laisses râler, tu recadres quand ils dépassent les bornes, tu t’expliques chaque fois qu’il le faut et tu te mets dans la position du mec qui a du recul. Mais tu ne les fuis pas et tu continues de passer du temps avec eux, et du temps gratuit ou tu ne leur demandes rien.
D’un autre côté je le redis, explique aussi à ta chérie que tu vas gérer cette situation mais que tu comptes sur elle pour être tolérante et bienveillante envers eux.
Explique lui que si elle se voit longtemps en couple avec toi, ils feront longtemps partie des gens qu’elle va côtoyer, à quoi bon être dans l’épreuve de force permanente.
Autre exemple typique. J'appelle mes parents aujourd'hui pour prendre des nouvelles, je leur dis que je vais fêter l'anniversaire d'une amie dans le WE : "C'est super, ça va te faire du bien, c'est important que tu gardes le lien avec tes amis et ne les perde pas de vue". Et ensuite je dis que j'enchaîne car le WE prochain, nous fêtons les 20 ans de la soeur de ma copine : "Oulala, t'es sûr que tu veux y aller ? Tu n'as pas peur avec le coronavirus ? C'est vraiment pas prudent". Des petites remarques comme ça, illogiques et qui me titillent.
Après, je les aime fort et cette situation me met vraiment dans l'embarras. Si on élargit le débat, à quel point la famille de notre conjoint(e) peut peser dans la balance ? Je m'explique. Je suis vraiment très bien avec ma copine, quand nous sommes tous les deux, on s'entend vraiment super et bien et sommes sur la même longueur d'onde. Néanmoins, on a deux familles très très différentes aux extrêmes opposées. De mon côté, j'ai plutôt été tiré à quatre épingles en mode "Jamais un mot plus haut que l'autre" où tout était sous contrôle pour que j'aille dans le droit chemin et l'excellence. De son côté, c'est l'inverse où c'est plus le côté bon vivant (boisson voire d'autres choses), caractère volcanique très méditerranéen où au final ça tend tout autant ma copine qui a toujours fait chez elle pour maintenir sa famille en vie. Et j'avoue que quand je vois ça, j'ai l'impression d'être dans une autre galaxie tant c'est à l'opposé de ce que j'ai vu chez moi. Paradoxalement, c'est plus le fonctionnement des miens qui lui correspond sauf qu'il y a cette confrontation entre personnalités qui aiment le contrôle. Et dans mes réflexions je me demandais à quel point cela pouvait gêner dans tout ça. Oui, je sais, je vais loin mes amis !
Après, je les aime fort et cette situation me met vraiment dans l'embarras. Si on élargit le débat, à quel point la famille de notre conjoint(e) peut peser dans la balance ? Je m'explique. Je suis vraiment très bien avec ma copine, quand nous sommes tous les deux, on s'entend vraiment super et bien et sommes sur la même longueur d'onde. Néanmoins, on a deux familles très très différentes aux extrêmes opposées. De mon côté, j'ai plutôt été tiré à quatre épingles en mode "Jamais un mot plus haut que l'autre" où tout était sous contrôle pour que j'aille dans le droit chemin et l'excellence. De son côté, c'est l'inverse où c'est plus le côté bon vivant (boisson voire d'autres choses), caractère volcanique très méditerranéen où au final ça tend tout autant ma copine qui a toujours fait chez elle pour maintenir sa famille en vie. Et j'avoue que quand je vois ça, j'ai l'impression d'être dans une autre galaxie tant c'est à l'opposé de ce que j'ai vu chez moi. Paradoxalement, c'est plus le fonctionnement des miens qui lui correspond sauf qu'il y a cette confrontation entre personnalités qui aiment le contrôle. Et dans mes réflexions je me demandais à quel point cela pouvait gêner dans tout ça. Oui, je sais, je vais loin mes amis !
