Re: Safrania95 : Le commencement
Posté : 16.08.25
C'est légitime de vouloir marquer le coup, on n'a finalement que peu d'occasions de vivre réellement quelque chose de spécial avec les autres. Mais en l'occurrence, je te trouve un peu tiède par rapport à ce que tu as ressenti, "cool" c'est un peu générique, à oser ose vraiment, dis lui au moins que c'était un moment spécial, pas générique.
Fais juste attention à ne pas être décalé avec le rythme de la nana, ie, qu'elle soit déjà sur la même longueur d'onde au départ ou qu'elle y arrive et pas que ça sorte de nulle part pour elle.
Mais surtout, sois plus dans la création et la démonstration que la déclaration, ça pourrait facilement être un autre mécanisme d'esquive de l'action et de la confrontation au couperet de son attirance et de son envie d'aller plus loin.
En gros, si tu utilises ça pour te déculpabiliser de rien faire, c'est pas bon, s'il se passe un truc et que tu veux marquer la chose, vas-y.
Pour le reste, tu n'apprendras pas grand-chose dans mon journal, j'ai mes propres barrières auxquelles je me heurte en boucle, parce que je suis pris entre les choses qui font partie de moi que je veux garder, celles dont je n'arrive pas à me débarrasser (et qui sont de toute façon une part infime du problème), les contraintes imposées par la réalité et mes bagages. Tu vas déjà bien plus loin que moi
Fais juste attention à ne pas être décalé avec le rythme de la nana, ie, qu'elle soit déjà sur la même longueur d'onde au départ ou qu'elle y arrive et pas que ça sorte de nulle part pour elle.
Mais surtout, sois plus dans la création et la démonstration que la déclaration, ça pourrait facilement être un autre mécanisme d'esquive de l'action et de la confrontation au couperet de son attirance et de son envie d'aller plus loin.
En gros, si tu utilises ça pour te déculpabiliser de rien faire, c'est pas bon, s'il se passe un truc et que tu veux marquer la chose, vas-y.
Pour le reste, tu n'apprendras pas grand-chose dans mon journal, j'ai mes propres barrières auxquelles je me heurte en boucle, parce que je suis pris entre les choses qui font partie de moi que je veux garder, celles dont je n'arrive pas à me débarrasser (et qui sont de toute façon une part infime du problème), les contraintes imposées par la réalité et mes bagages. Tu vas déjà bien plus loin que moi