[A] Les filles à problèmes

Note : 221

le 27.10.2005 par Dior

316 réponses / Dernière par bistofly le 27.05.2013, 13h16

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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C'est sûrement un peu égoiste mais il y a des moments dans la vie où il faut surtout penser à soi pour se préserver, ce qui est tout a fait normal.
effectivement même une personne "equilibrée" (et dieu sait si elle existe, car nous avons tous nos petites nevroses, autrement nous serions soit des robots soit des anges) peut se retrouver dans une situation difficile a se poser la question du "en finir".
mais en même temps l'autre le conjoint, a du laisser la situation pourir, ne pas être clair!
vous savez a mon avis la chose la plus douleureuse dans la fin d'une rupture c'est de ne pas savoir.
et d'en etre reduit a de comprendre. or la solution serai peut être un peu plus de clarté et de sincerité.
oui cette personne vous l'avez aimé peut etre, c'est une personne avec qui vous avez partagé quelque chose, je pense que le moins qu'on puisse faire c'est d'etre honnete (avec délicatesse peut être) mais être honnete même pour dire que c'est fini.
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Ceci est un de mes premier post sur le site, j’ai peu de temps à consacrer à la communauté entre les cours, le sport, et les sortie. C’est également ma première expérience avec ce genre de fille, mais jusqu'à il y’a une semaine je n’était pas totalement conscient que j’avais affaire à une LSE Extravertie.

Une HB7, jolie certes, et surtout qui possède un sex appeal et un charme a me faire craquer. Elle ne se sens pas belle et elle le dit sans aucune honte, mais n’hésite pas a me poser la question pour sentir sa fierté grimper. Nos conversations sont principalement basés sur le sexe. Sans oublier la frame gigantesque avec laquelle elle se balade la plupart du temps. Son mec, un vrai jerk, la bat pour la remettre en place, et le pire c’est que ça lui fait plaisir. Plus tard elle me confie que son père avait quitté sa mère lorsqu’elle était petite. Tout s’explique alors.

J’ai commencer à la gamer début novembre. La tension sexuelle est établie : des EC sexués avec de gros sous-entendu, je me suis permis de la jouer H2G, elle aussi, mais je reste le prix. Mon meilleur atout est de la bombarder de push&pull, et non seulement verbal, je dirais même que les kinos push&pull marchent très bien. Lorsque c’est elle qui décide de faire la H2G, ma meilleure façon de m’imposer et de la plaquer violemment contre un mur, histoire de lui dire ce que j’en pense. Cette fille n’a pas froid au yeux, elle déteste voir un nice guy en travers de son chemin et ne se gène pas pour lui lancer un « vieux puceau ». Pour ma part, je vais gamer d’autre fille à coté et bien sur, ça la rends folle de me voir kinoter une autre HB.

Cependant j’ai du mal a la kcloser. Je lui ai déjà fait comprendre que le coup du « je suis fidèle, j’ai un mec » ne marchait pas avec moi (elle en a vraiment un). J’ai un BL en confiance, la tonalité de ma voix est basse, je reste calme, posé, sexy. A mon avis il doit me manquer de la congruence et ma frame ne doit pas être assez solide pour son arsenal. Je continue de travailler mon inner-game en ce moment même et je posterais ma progression sur fts.

Amicalement,
Tulip
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] par Krishna
  • [0] Tout ça pour dire quoi ? par Kerozen
  • [0] par l'elfe
  • [0] Ca va mieux en le disant le 29.09.10, 07h39 par Worldreams
Je remonte un peu ce post car je viens moi aussi de sortir d'une relation avec une "fille à problème".

Juste quelques mots...

Je pense effectivement que qualifier une fille de LSE (extravertie ou pas) est un peu réducteur. A mon sens, certains l'ont déjà fait en les qualifiants parfois de histrionique, voir borderline, etc... Cependant, le "diagnostic" ne fait pas la personne et bien des éléments, autres, ont aussi leur importance. En ce sens, même si elle peuvent avoir des comportements inhabituels, il n'empêche qu'elles sont aussi des femmes avec leurs envies, désirs, projets, etc... comme toutes les autres. Il y a les cas extrêmes, d'autres moins marqués par leurs souffrances, à chacun de connaitre les limites acceptables sans sombrer avec elles.


La plupart d'entre elles c'est vrai auraient besoin de consulter, avec le mec avec qui elles sont dans l'idéal! Personnellement, j'ai éviter de nexter car je souhaitais voir jusqu'où pouvait mener ce type de relation.

Mon analyse est que :

Je souhaitais me poser en envisageant une relation moyen/long terme (je sais, on peut jamais savoir à l'avance) et non plus le Fclose "habituel". J'étais dans un moment down. Une HSE m'aurait lachée dans la semaine, alors qu'une "LSE" pouvait faire gonfler mon égo durant la fameuse lune de miel qui les caractérisent.

Je confirme par ailleurs que le Fclose n'est pas si compliqué. Personnellement, ce sont des filles qui ont besoins plus que la moyenne de rêver. Faites leur vivre un truc qu'on ne voit que dans les films, et elle sera toute à vous...hélas. Qui pourrait tout donner, sans retenu, sans s'épuiser. Je me pose d'ailleurs encore la question de savoir si dans le fond, vouloir tout donner d'une manière passionnelle n'a pas un lien direct avec la dépendance affective qui les caractérisent. Un peu comme si dès le départ, "inconsciement", elles savaient qu'elles ne pourraient mener une relation sur le long terme et que donc autant tout donner "sans perdre de temps". En conséquence, je garde encore la sensation d'une relation qui s'est faites dans l'urgence avant que la phase de descente ne commence.

Ma conclusion est que vivre ce type de relation (avant/après), c'est éprouver le manque à deux tout le temps, et ça le cerveau l'enregistre, voilà pourquoi c'est éprouvant.

Personnellement, je pense que c'est une expérience riche en sensation, extrêmement passionnelle, brulante, etc... Mais hélas, tout se paye et il faudra parfois un certain temps pour s'en remettre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Très intéressant par Kensaï
  • [+1] Il y'a du vrai... par AixAce
  • [+1] 100% d'accord le 15.06.14, 09h35 par luke27
Pour un de mes premier post (bonjour à tous...) je choisis ce sujet, interessant qui me rappel deux ou trois ex... Va donc essayer d'en parler sans faire 3615 mylife ou demande d'aide perso!

Comme le disait je sais plus qui on a tous nos quotas de problème, de nevroses et de sauts d'humeurs... La question qui peut donc se poser c'est de "définir" une certaine limite acceptable ou non par rapport à la fille qui est en face une fois qu'on l'a "détectée"...


Pour les FAP légerement extraverties surtout... déjà les détecter me parait pas évident et c'est souvent trop tard; on s'en rend compte une fois que çà nous pète à le gueule, par exemple quand elle nous largue comme une envie de pisser après X temps d'une relation dans laquelle elle disait être épanoui 2 jours plus tôt ou bien quand on se rend compte qu'on a perdu la majorité de notre "vie d'avant" (amis...) ect, ect...


Je vous pose donc cette question, quelle semble être la meilleur solution (pour vous ) afin de fixer une limite lorsqu'on a quelques doutes sur la fille? Ou plutot quelle attitude adopter?

-Plier les gaules aux premiers doutes? Surtout pas prendre le risque de souffrir...

-On y va les yeux fermés, on verra si y aura des dégats après, c'est la vie...

-Avancer dans la relation avec prudence et plier les gaules si de nouveaux "signes" apparaissent en esperant qu'il ne soit pas trop tard.

-Ou je sais pas quoi d'autre...


En tant "qu' homme" on a plutot une nature à foncer et regarder les dégats après. Mais bon une fois, deux fois... on en a marre des dégats!


C'est une question qui me semble très importante dans ce débat, parcequ' après tout on est pas psy et on remarque pas tout du premier coup d'oeil!

Surtout que les FAP "extra" offrent des début de relation généralement très plaisant, si on est joueur...

Quand aux FAP "intro", sans vouloir jouer le nice guy apprenti psy, on peut toujours se dire qu'il en faut peu pour qu'elle evolue dans le "bon" sens ou qu'elle est sur la bonne voie de la "guérison". Et après tout elle peut cacher une fille géniale puisqu' elle est toujours là, bien que marquée, après des épreuves qu'on aurait peut-être nous même pas supporté et où on aurait fais le grand saut.


La question de "tenter" ou "fuir" se pose quand même, mais dans quelles limites et de quelle manière ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] par Bunny Rose
Max427, jettes un coup d'oeil sur le 101 LSE,
-certains disent : fuyez
-d'autres : dans une nana LSE y'a pas que le caractère LSE qui compte s'il y'a d'autres qualités qui compensent et surpassent ce pb.
-d'autres encore: c'est comme une montagne russe : ce qui est cool c'est qu'elle sait se donner intensément comme s'il n'y aura pas de lendemain. A tester si on est conscient et prêt à assumer qu'il y aura une chute.
J'ajouterais que parfois ce n'est pas un choix. cf: les posts de Celestin très instructifs
Ahhh ces LSE.

Je dirais qu'il faut d'abord avoir expérimenté une relation avec une LSE pour pouvoir les repérer plus tard, rien de mieux que le vécu.

Pour repérer les LSE il est important de faire du screening et d'avoir un minimum d'expérience niveau relations, les LSE ne sont pas si difficile à repérer (parfois ça peut-être vicieux, j'avoue), il y a certains signes qui devraient clignoter comme un feu rouge dans votre tête, et à ce moment prendre du recul, se poser les bonnes questions et prendre les mesures qu'il faut, mais pas nécessairement fuir tout de suite.

Pour éviter les LSE (et les relations qui partent en cacahuète) il est essentiel d'être un minimum équilibré, d'avoir eu de l'expérience, et surtout de ne pas aller trop vite.

Je vais développer.

Fuir n'est n'est pas forcément la bonne solution, c'est une question relative.

Il y a certains signes qui ne trompent pas, et où effectivement il vaudrait me se tirer. Je pense notamment à des comportements extrêmes, aux jalousies excessives, a la demande d'attention beaucoup trop forte de sa part, le manque cruel de confiance en elle (qui va se traduire par ses actes, regarder donc et observez) etc.

Pourquoi souffrir ? Comme je l'ai dit dans une relation il ne faut pas y aller trop vite et se jeter a l'eau les yeux fermé, c'est typiquement le comportement de ceux qui n'ont pas beaucoup d'expérience.

Il faut prendre son temps, ne pas accélérer les choses et apprendre à connaitre son partenaire. Dans une relation il y a des étapes !
Si tu respecte tout ça et que tu es un minimum équilibré, il n'y a pas de raison de souffrir comme un taulard au mexique, vu que tu n'auras pas précipité les choses même si c'est une LSE.

Ça n'empêche pas de vivre les premières jours/semaines avec passion (le fameux début) et de vivre quelque chose de magique, l'essentiel est de trouver un équilibre et de ne pas précipiter les choses.

Après c'est la vie, il peut arriver énormément de choses, et une rupture n'est jamais facile.
Quand aux FAP "intro", sans vouloir jouer le nice guy apprenti psy, on peut toujours se dire qu'il en faut peu pour qu'elle evolue dans le "bon" sens ou qu'elle est sur la bonne voie de la "guérison". Et après tout elle peut cacher une fille géniale puisqu' elle est toujours là, bien que marquée, après des épreuves qu'on aurait peut-être nous même pas supporté et où on aurait fais le grand saut.
Une fille qui manque un peu de confiance en elle n'est pas forcément une LSE qui va t'en faire chier grave. L'essentiel c'est de voir comme ça se passe dans votre relation et voir comment elle se comporte.

Ont à tous eu des moments très difficiles à surmonter, une fille sans aucun passé tu n'en trouveras pas, et même, ce serait même pire !

Je vais prendre un exemple avec ma LTR, elle manque un peu de confiance en elle, mais elle est toujours prête à apprendre et à ne plus faire les même erreurs, elle travaille sur elle, ce qui compense largement son manque de confiance.

Même s'il est vrai qu'il arrive parfois que son comportement se traduit par un manque de confiance, ce n'est pas grave, nous sommes tous des êtres humains, elle fait ce qu'il y a faire, ne se plaint pas et continue d'avancer, je suis là pour lui donner un coup de pouce, et pourquoi pas l'aider à s'améliorer dans certains points, et elle aussi d'ailleurs, mais c'est à nous même de faire ce travail.

my 2 cents.
Pour essayer d'illustrer un peu ce post avec MYlife, je voudrais vous faire part à mon tour de mon expérience "particulière" avec ce que l’on diabolise tous comme étant une LSE extravertie, et espère contribuer à leur repérage.

LTR de …. 4 ans !

HB 7/8, intelligence sociale très développée, inner-gameuse, très kinesthésique, classe, elle avait des légions d’AFCs à ses pieds, créés à la fac, ou avant (notamment un « meilleur ami »), tout ça alors qu’elle avait un Boyfriend à l’etranger.

Je la croise en 5eme année de fac, en gamant assez classique (surtout kino, HTG, et big anchoring) je désarçonne le DMW, et m’embarque avec elle sans trop savoir ce que la suite réserve…

4 ans : on a vécu quasiment 2 ans ensemble ( 1 an dans son appartement/le mien en alternance, puis 1 an ensemble en Angleterre dans une coloc) puis 2 ans à distance (elle Bruxelles et moi Paris). Je devais trouver un job en Belgique pour la rejoindre (attention, je ne faisais pas ça uniquement pour elle mais avait réellement envie de bosser en Belgique). Elle rêvait, par périodes, d’une vie faite uniquement de voyages, allant de pays en pays chaque année, et m’a toujours dit qu’elle m’aimait tellement qu’elle voulait quand même rester près de moi « pour toute la vie ».

Étonnant : j’ai subi une répudiation unilatérale du style droit marocain 1 mois avant mon arrivée au plat royaume.

Je pense qu’on est face à un cas typique de LSE extravertie dont voici les traits caractéristiques (une "maison témoin" comme disent les agents immobiliers) :

_Elle est très orgueilleuse, séductrice, de manière naturelle, a soif de séduire tout le monde, homme ou femme, que ce soient mes amis, ma famille, dans le cadre de son boulot, les parents de mes potes, les guichetiers de la RATP ;
_Beaucoup de compliments sur moi, dès le 1er jour, je me souviens l'avoir pensé non sincère au départ puis me suis habitué,
_En contrepartie, elle se disait tjrs inférieure à moi car moins intelligente, moins sage, moins passionnée par son job et par ses loisirs ;
_Esprit Walt Disney, fleur bleue et compagnie, elle théatralise énormément la relation et tous les évènement de sa vie d'ailleurs, elle fait souvent la "fofolle” et me recouvrait de cadeaux (idem de mon coté pour les cadeaux) ;
_Elle adore le début des relations, elle quitte dès qu'elle ne ressent plus l'amour passionnel (ou plutôt sa dépendance). Elle a largué 100% de ses mecs, et ne s'est jamais fait larguée, passé composé entre autres de jerks (2) et de nices guys (2) ;
_J'ai souvenir de plusieurs "dark patterns" (notamment au début). Exemple : on vient de finir de faire l'amour pour la première fois, elle me dit "c'était trop bien... je ne sais pas si ça va durer longtemps entre nous" ; ou sur ma dernière carte d’anniversaire : un "avec mon amour éternel" suivi de "peut-être que notre histoire d'amour va continuer au pays des moules et des frites";
_Très bien au lit, elle recherchait clairement mon plaisir avant le sien ;
_Impossible pour elle de prendre une décision, elle est dévorée par les incertitudes (elle n’aime pas ses études, puis les aime, elle n’aime pas son job, puis l’aime, puis veut changer, veut voyager, elle veut que je la rejoigne en Belgique, veut qu’on aille vivre ailleurs, puis ne veut plus) ;
_A très peu d'amies filles ;
_Elle a constamment mal partout (genoux, ventre, etc…) et a besoin de se plaindre tout le temps d'un problème physique (qui visiblement est d'ordre mental) ;
_Vivait très fortement avec une projection mentale de ce qu’elle voulait que je sois (m'achetait SON parfum préféré, voulait que je mette tel vêtement absolument, m’a reproché de prendre 1,5 kilo…) ;
_Ne sait absolument pas cuisiner (mais pas du tout !)(ça relève plus du détail, mais il me semble que la cuisine est généralement un hobby de femme stable) ;
_Enfin peur de s'engager très très marquée (d’où en partie ma répudiation), mais aussi peur d'être abandonnée très marquée (elle ressent avoir été abandonnée par ses parents). J’en conclus, et d'ailleurs elle me l’a dit au début de la relation, qu’elle se sent obligée de quitter dès qu’elle n’est plus « dépendante » de ce qu’on appelle l’amour-passion.

Mais quel est son passé psychologique et histrionique ? (Œdipe nous voila) :

_Son père se marie à 20 ans, trompe sa mère au moins trente fois (si,si), se déchire avec la mère, et donc divorce lorsqu’elle avait 8 ans. Puis son père joue au bachelor, puis se remarie et reste 4 ans avec sa nouvelle femme, il la trompe aussi avant de finir en concubinage avec sa secrétaire. Elle a demandé à ce que son père ait sa garde. Mais Il avait un taf prenant et s’occupait très peu de sa fille (le tout avoué dès le début de la relation) ;
_Donc, schéma instable, absence du père… mais également adoration du père, elle le vénère tout simplement, au point de s’habiller pour lui plaire et chercher ses compliments ;
_ Elle est née le même JOUR que son père et ne supporte pas que leurs anniversaires soient célébrés ensembles, et que papa ait toute l'attention de tout le monde, et qu'elle n'ait ni l'attention du monde, ni celle de son père ;
_Mais ce n’est pas tout : abus sexuel dans la petite enfance par un ami de ses grands parent (avoué dès le début également) ;
_Instabilité chronique et déménagements depuis l'enfance, jusqu'à son départ en 4ème année d’études pour l'Angleterre pour "fuir son père" avec qui elle était en froid depuis l’arrivée de la secrétaire dans le ménage.

Sur l’ensemble de la relation, ca a été assez éprouvant de tenir face aux shits tests et à ses up/down confiance. J’ai aussi développé beaucoup d’ancrages dans nos moments à deux, pour la maintenir sous endorphine et suis parvenu à rester en dehors de ses soucis par empathie, c'est a dire en excluant tout emportement affectif dans ses soucis et en me gardant de la juger moralement (je l’ai fait naturellement en fait). L’avantage est qu’elle n’était pas chiante comme une HSE peut l’être (elle ne me faisait jamais chier pour que je ne sorte pas avec mes potes, ou fasse du shopping etc…). La relation était clairement tournée dans ma direction, par manipulation LSEienne caractéristique.

Ma répudiation est due à une légère perte d’outframe (je la localise sur ces 2 derniers mois), liée à mon stress professionnel de changer de pays (je me suis souvent confié à elle sur ce point) et au 1,5 kilo que j’avais pris ( !). Elle m’a aussi dit ne plus ressentir de « papillons dans le ventre » quand elle m’embrasse (son premier anchoring), bref elle ne ressent plus l’amour passion (après 4 ans… étonnant).

Surtout je renvoie au post de thanatos (sur FTS) qui explique mon largage en quelques mots:

« Une fille qui n’a pas de règle, pas de respect, pas de limite, pas d’avis tranché ne saura pas où elle veut aller et n’a pas le courage de choisir un avenir et de s’y tenir de peur de ressentir la douleur qu’elle a eu auparavant donc choisira la solution égoïste qui lui apportera le moins de souffrance. (Souffrance qu’elle a elle-même crée sans s’en rendre compte) « Même dans un couple, on (je) reste seul(e) »

Amusant : elle a aussi changé d’optique et veut quelqu’un agé de 6-7 ans de plus qu’elle ( !) (où es-tu papa ?).

Bilan : je ne pense pas être en one-itis et ai finalement passé 4 bonnes années sur tous les plans. Je ne suis pas à terre, mais garde quand même un goût nostalgique de tout ça, et espère revivre une relation aussi top avec une autre fille aussi top, plutôt une HSE. La revoir à froid, 5 jours après la rupture m’a fait du bien, elle m’a avoué avoir envie d’avoir des (ses) enfants d’ici 3 ans, et bien sûr quitter le père si (lorsque) elle ne ressentirait plus l’amour passion pour lui (…gloups...).

Pour les prochains : «ave Cesar, morituri te salutant».

En tous cas, il faut se méfier comme le sida ou la peste bubonique de ces mantes religieuses. Le mieux étant d’y aller pour les larguer après un F.Close, qui sera forcément bon, ou si on se sent l’âme d’un aventurier de la LTR perdue, de « dominer » la relation jusqu'à ce qu’elle se termine (et elle va se terminer…).

C’est une excellente formation, avec de bons moments, mais assez éprouvante, et il faudra supporter le choc de la rupture et ce qui vient après (vraiment moins drôle). Surtout, surtout, si vous l’avez repérée, PAS de gosses, mariage, achat immobilier en commun, sacrifice professionnel, déclaration d’impôts commune, achat d’un espace, du labrador, des hamsters…
La clé est qu’il faut être capable de la voir partir du jour au lendemain, on rejoint finalement Kiepling, « tu seras un homme mon fils », il faut pouvoir «Perdre d'un seul coup le gain de cent parties, Sans un geste et sans un soupir».
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Très intéressant par CumShotWagnerLove
  • [+2] Constructif par Xan
Premier messsage sur le forum pour dire que j'ai été dans une relation de 3,5 ans avec une LSE.
Au début, j'etais le niceguy et tout roulait. Au fil du temps, et ma situation professionnelle aidant j'ai développé plus d'assurance, de détermination et de confiance en moi. Forcément de l'autre coté, je devenais moins contrôlables. Alors a force de shit test,d'engueulade et a force de déguster, j'ai fini par passer en mode jerk en voulant me protéger.
L'histoire s'est terminée il y a quelques mois et depuis je suis devenu un rAFC, voir un petit player. C'est tant mieux.
Tout cela pour dire que cela peut être formateur si l'on arrive a se détacher suffisament.
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