Si on arrive à arrêter lorsque l'on est célibataire c'est d'autant plus efficace. Depuis que je commence à me l'interdire, je trouve que ma vie est vraiment plus dure. Ce qui prouve qu'il y avait vraiment un problème. Si tu as le même problème que nous Coluche, essaie de ne pas te voiler la face.
Je me reconnais dans bien des choses que dit Crapule. Le mec qui se rend compte que ce n'est pas si génial d'embrasser, le mec qui se rend compte qu'elle n'a pas des seins énormes, le mec qui est soulagé quand la fille part pour regarder du porno.
En revanche, je n'ai pas le problème de sensations dont d'autres parlent (ou pas encore). Des pannes par contre. Pensant que c'était vraiment "mal" de faire ça, j'avais déjà essayé de me masturber sans support quelques temps auparavant, mais le porno est revenu de plus belle. Car lorsque l'on se sent coupable de faire quelque chose, on a justement encore plus envie de le faire. Mais il faut apprendre à apprécier certaines choses : la chaleur que leur corps dégage, leur parfum, la douceur de leur peau... Ça m'a surpris au début quand j'ai eu un peu de succès avec les femmes. Comme de toucher une entrejambe humide, au lieu d'en tirer du plaisir, j'en ai eu au début un sentiment de dégoût. Tu trouves ça normal ?
Le porno a tendance à détruire ton ressenti par rapport à ces choses là, qui me semblent pourtant essentielles à une sexualité épanouïe.
[A] La porno-addiction
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- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant par BinBee
Aller, on continue la réflexion.
J'ai regarder un peu ce soir tout les documentaires sur la pornographie qu'il peut y avoir sur les différents sites de streaming et je m'aperçois que 3 points resortent quasi systématiquement des débats.
1. La pornographie donne une image dégradante de la femme
Effectivement, l'image n'est pas flatteuse. Mais c'est un cinéma fait par des hommes pour des hommes. Et c'est finalement le seul domaine qui reste aux hommes pour garder un tant soi peu de leur "ancienne domination" sur les femmes. Autant leur laisser ce reliquat.
2. Le plus grand probleme de la pornographie est la pornographie enfantine
Je ne m'attarde pas sur ce point là, le sujet fait consensus.
3. Les jeunes ont une vision de la relation sexuelle à base de faciale et de sodomies
La je ne suis pas d'accord. Meme au vu du reportage d'arté qui avait fait débat, je pense que les jeunes restent quand même conscient qu'ils ne peuvent pas se permettre de faire ce genre de chose sans le consentement de leur partenaire. A moins d'etre un attardé ou avoir vu des films vraiment à un trop jeune age, je pense que tous les petits mecs vont rester conscient de la différence. Oui, pour certains, ils auront peur de ne pas avoir un sexe à la hauteur ou de ne pas tenir aussi longtemps ou de se demander si il faut changer de positions systematiquement mais je pense que le probleme sera ailleurs.
Dans le fait que le porno, pour reprendre un post de leader en page 3 fait de nous des spectateurs et donc quand c'est l'heure de passer à l'action, il y a panique, angoisse ou meme tout simplement pas de désir et donc y a plus personne.
Et je trouve que dans tous les débats, ce coté nocif est souvent soit passer sous silence , soit trop vite abordé.
De plus, generalement, les gens qui y participent sont totalement pour la pornographie lui attribuant pleins d'avancée comme par exemple dans la liberté sexuelle, le fait de pouvoir avoir le droit de faire ce qu'on veut... mais finalement, les gens ont jamais aussi peu baiser en vrai malgré l'erotisation et la pornographisation de tout ce qui nous entoure. Ils le disent d'ailleurs, la pornographie a influencé la télé (tele realité), les pubs, les emissions radios, les arts contemporains etc... Et pour ma part, je ne trouve pas personnellement que ce soit un bien.
Donc oui, le porno à haute dose creent des troubles et je trouve totalement normal que le fait de toucher une entrejambe mouillé puisse degouter au lieu d'exiter. Car le porno n'a pas d'odeur, n'est pas tactile, n'est pas partagé, n'est pas gouter. Le seul sens qui est mis en eveil est la vision. Et pas de pot, d'une, lors des premiers rapports, on est rarement entrain de reluquer la chatte de sa copine et de plus, le corps de sa copine ressemble tres rarement à celui d'une star du x.
Le post de leader (en page 3) est tres éloquent et merite d'etre lu par ceux qui tomberait sur ce topic. Il explique clairement que ce mode de vie finalement permettait de juguler sa frustration et que c'est peut ça qu'il l'empechait de peter un cable. En lisant ses autres posts, il a quand meme fait l'effort de vouloir avoir une vraie sexualité mais il pars quand meme avec un veritable handicap rajouté à son pucelage. Bref, il a pas donné de news depuis un an.... je serais curieux.
Bref, il explique aussi qu'en se retrouvant au lit avec une copine a lui qu'il trouve attirante, il n'a meme pas eu de désir pour ellle, ce qui recoupe bien avec mon argumentaire de la page 12. Ou oui, cette fille est dans son lit, mais son imaginaire, son cerveau ne la considere pas comme une source de plaisir donc il n'en a pas envie. Tout en etant bien sur, au meme moment capable de se branler si on lui donnais un porno (j'extrapole!) D'ou quand meme un reel probleme.... ( meme si il arrive à choper une fille, j'aimerais bien savoir comment il va s'en sortir pour avoir une erection)
Pour repondre une nouvelle fois à coluche et sur le non danger de la pornographie>>>page 7, post de tiamat. Pornographie comparée à l'heroine.
J'ai regarder un peu ce soir tout les documentaires sur la pornographie qu'il peut y avoir sur les différents sites de streaming et je m'aperçois que 3 points resortent quasi systématiquement des débats.
1. La pornographie donne une image dégradante de la femme
Effectivement, l'image n'est pas flatteuse. Mais c'est un cinéma fait par des hommes pour des hommes. Et c'est finalement le seul domaine qui reste aux hommes pour garder un tant soi peu de leur "ancienne domination" sur les femmes. Autant leur laisser ce reliquat.
2. Le plus grand probleme de la pornographie est la pornographie enfantine
Je ne m'attarde pas sur ce point là, le sujet fait consensus.
3. Les jeunes ont une vision de la relation sexuelle à base de faciale et de sodomies
La je ne suis pas d'accord. Meme au vu du reportage d'arté qui avait fait débat, je pense que les jeunes restent quand même conscient qu'ils ne peuvent pas se permettre de faire ce genre de chose sans le consentement de leur partenaire. A moins d'etre un attardé ou avoir vu des films vraiment à un trop jeune age, je pense que tous les petits mecs vont rester conscient de la différence. Oui, pour certains, ils auront peur de ne pas avoir un sexe à la hauteur ou de ne pas tenir aussi longtemps ou de se demander si il faut changer de positions systematiquement mais je pense que le probleme sera ailleurs.
Dans le fait que le porno, pour reprendre un post de leader en page 3 fait de nous des spectateurs et donc quand c'est l'heure de passer à l'action, il y a panique, angoisse ou meme tout simplement pas de désir et donc y a plus personne.
Et je trouve que dans tous les débats, ce coté nocif est souvent soit passer sous silence , soit trop vite abordé.
De plus, generalement, les gens qui y participent sont totalement pour la pornographie lui attribuant pleins d'avancée comme par exemple dans la liberté sexuelle, le fait de pouvoir avoir le droit de faire ce qu'on veut... mais finalement, les gens ont jamais aussi peu baiser en vrai malgré l'erotisation et la pornographisation de tout ce qui nous entoure. Ils le disent d'ailleurs, la pornographie a influencé la télé (tele realité), les pubs, les emissions radios, les arts contemporains etc... Et pour ma part, je ne trouve pas personnellement que ce soit un bien.
Donc oui, le porno à haute dose creent des troubles et je trouve totalement normal que le fait de toucher une entrejambe mouillé puisse degouter au lieu d'exiter. Car le porno n'a pas d'odeur, n'est pas tactile, n'est pas partagé, n'est pas gouter. Le seul sens qui est mis en eveil est la vision. Et pas de pot, d'une, lors des premiers rapports, on est rarement entrain de reluquer la chatte de sa copine et de plus, le corps de sa copine ressemble tres rarement à celui d'une star du x.
Le post de leader (en page 3) est tres éloquent et merite d'etre lu par ceux qui tomberait sur ce topic. Il explique clairement que ce mode de vie finalement permettait de juguler sa frustration et que c'est peut ça qu'il l'empechait de peter un cable. En lisant ses autres posts, il a quand meme fait l'effort de vouloir avoir une vraie sexualité mais il pars quand meme avec un veritable handicap rajouté à son pucelage. Bref, il a pas donné de news depuis un an.... je serais curieux.
Bref, il explique aussi qu'en se retrouvant au lit avec une copine a lui qu'il trouve attirante, il n'a meme pas eu de désir pour ellle, ce qui recoupe bien avec mon argumentaire de la page 12. Ou oui, cette fille est dans son lit, mais son imaginaire, son cerveau ne la considere pas comme une source de plaisir donc il n'en a pas envie. Tout en etant bien sur, au meme moment capable de se branler si on lui donnais un porno (j'extrapole!) D'ou quand meme un reel probleme.... ( meme si il arrive à choper une fille, j'aimerais bien savoir comment il va s'en sortir pour avoir une erection)
Pour repondre une nouvelle fois à coluche et sur le non danger de la pornographie>>>page 7, post de tiamat. Pornographie comparée à l'heroine.
Bon j'ai lu les 13 pages de débat et j'avoue que beaucoup de réflexions m'ont apporté lumière sur le porno et m'ont fait évoluer de ce côté là.
Sans honte ni gène, je vais rapidement faire un topo sur mon expérience à ce sujet ce qui pourrais apporter un nouveau témoignage pour alimenter le débat, même si je vais probablement reparler de même choses que d'autre.
Personnellement, j'ai découvert le porno à 13 ans. Je ne saurais vous dire comment mais je sais que j'avais dans ces eau là. Les premières années, c'étais avant tout des petites videos sur le net de 2 à 3 minutes et surtout des photos (connexion 56k oblige) mais quand j'allais chez mon père qui avais le cable, c'étais l'orgie et je téléchargeais à mort.
J'ai eu des périodes avec plus de porno que d'autres, parfois même plusieurs fois par jours, et c'étais principalement quand je me sentais mal. Je ressentais beaucoup de culpabilité à regarder ces films et ce n'est que vers 20 ans que j'ai commencé à l'assumer et à en parler de plus en plus ouvertement avec des potes voir même avec des amies. Au final, c'étais tout à fait "normal" de regarder un porno pour un homme et donc peu à peu je n'ai plus eu de culpabilité à en regarder. Malgré mes LTR, je regardais toujours du porno à une fréquence plus ou moins variable avec quand même des périodes de grande consommation et des périodes de quelques semaines sans un seul porno. Mais globalement, il me fallait ma session quasiement tout les soirs.
J'ai identifié plusieurs type d'envie au porno. Il y avait l'envie qui me prenais au bas ventre de me vider devant une scène, et ces scènes devenait de plus en plus trash (je suis néanmoins resté dans les "limites de l'acceptable" ie pas de pédophilie ou de zoophilie, ni de truc trans ou gay.) mais je me rendais bien compte que pour satisfaire ce besoin j'avais parfois besoin de trucs plus hard. Parfois je passais deux ou trois heures à fureter sur le net pour trouver LA scène qui m'excitait à mort... Et c'étais avec le temps de plus en plus dur à trouver.
La deuxième envie étais de voir du porno qui m'exitait aussi, mais pour le plaisir de voir une belle scène. Je suis parfois tombé sur des scène pas du tout hard, avec des mises en situations excitante. Ces scènes là ont plutôt alimenté mes fantasmes et ma libido car c'étais des trucs plutôt sensuels ou des situations qu'on peut imaginer faire avec une femme. J'avoue que ces scènes là étaient quand même mes préférées mais j'en ai trouvé trop peu (ça va trop directement aux "choses sérieuses" à mon goût).
Toute ma vie jusqu'à il y a peu, j'avais une grande frustration sexuelle. Ma première LTR m'apportais beaucoup sur le plan sexuel et c'étais le pied avec elle. J'avais même arrêté le porno les premiers mois. Mais elle ne satisfesait pas mes fantasmes et j'étais totalement soumis à elle. Le sexe étais devenu une récompense et elle m'a largué parce que je n'étais pas un Homme. Le porno est vite réapparu pendant cette relation et ça a très vite tué mon envie d'elle et son envie de moi, même si elle n'était pas au courant de ce que je faisais (j'en avais encore honte à l'époque).
J'ai eu une période chaste de deux ans pendant lesquelles je n'ai pas touché une femme. Ce n'étais pas la pire côté addiction mais rapidement je ne pouvais plus aller dormir sans avoir vu ma scène quotidienne. J'ai remarqué aussi que je consommais beaucoup de porno quand une tentative de séduction avait échouée (et vu mes compétences à l'époque, j'échouais pour ainsi dire tout le temps). Le porno devenait donc comme une sorte de refuge, une "valeur sûre". J'ai eu une période où le sexe ne m'interessait quasiement plus (avec une femme) parce que le porno me satisfaisait sur ce plan là...
Ces derniers mois, j'ai réemménagé chez mes parents le temps d'une transition entre deux changements de ville. Vu qu'ils n'avaient pas le net, plus de porno à la demande, mais la tv par satellite me permettait d'y avoir "droit" de temps à autre. Néanmoins, pendant environs 1 mois et demi, je n'avais même pas envie d'en voir un. J'ai quand même un soir payé un porno (nul en plus) sur le cable et parfois l'envie de m'en faire un m'a compulsivement poussé à attendre jusqu'à deux heures du mat pour en voir un. J'ai remarqué que quand je cède à ce désir de matter un porno, je suis parfois prêt à tout pour en voir un, ce qui parfois m'a coûté cher...
Ces dernières semaines, je n'en ai vu que 3. Certains très exitant, d'autres nuls. J'ai cédé une nouvelle fois à cette pulsion mais j'ai plus le sentiment que le porno a tellement longtemps fait partie de ma vie et de mes habitudes que c'est certains soirs difficile de résister. Néanmoins, grâce à la lecture de ce topic, j'ai recentré mon attention sur ma libido et j'ai quasiement stoppé le porno et la masturbation. Au lieu de ça, j'essaie de stimuler mon imagination de façon non visuelle et je vais me lancer dans la lecture/Ecriture de nouvelles érotiques. J'en ai parlé avec mon ex et ai tenté de la faire "bander avec ses oreilles" et elle a pris un billet de train pour venir me voir le week end prochain XD
J'ai pris conscience que le porno ne m'apportais rien de positif, mais que ce n'est pas pour autant une tare d'en avoir beaucoup regardé. Je pense qu'il est important de réaliser que ça tue notre libido quand c'est du "mauvais porno" (premier cas que j'évoque plus haut) Alors que ça peut la booster dans le deuxième cas. Un porno de temps en temps, mais pas juste pour se vider, voir même sans se masturber, mais avec des scènes érotiques et excitante à souhait devrais pouvoir apporter une frustration que l'on se doit de combler par une vraie femme. Personnellement j'ai essayé de le faire sur mon dernier visionnage et j'y suis arrivé, et je débordais d'énergie le lendemain !
Voilà pour ma modeste contribution.
Sans honte ni gène, je vais rapidement faire un topo sur mon expérience à ce sujet ce qui pourrais apporter un nouveau témoignage pour alimenter le débat, même si je vais probablement reparler de même choses que d'autre.
Personnellement, j'ai découvert le porno à 13 ans. Je ne saurais vous dire comment mais je sais que j'avais dans ces eau là. Les premières années, c'étais avant tout des petites videos sur le net de 2 à 3 minutes et surtout des photos (connexion 56k oblige) mais quand j'allais chez mon père qui avais le cable, c'étais l'orgie et je téléchargeais à mort.
J'ai eu des périodes avec plus de porno que d'autres, parfois même plusieurs fois par jours, et c'étais principalement quand je me sentais mal. Je ressentais beaucoup de culpabilité à regarder ces films et ce n'est que vers 20 ans que j'ai commencé à l'assumer et à en parler de plus en plus ouvertement avec des potes voir même avec des amies. Au final, c'étais tout à fait "normal" de regarder un porno pour un homme et donc peu à peu je n'ai plus eu de culpabilité à en regarder. Malgré mes LTR, je regardais toujours du porno à une fréquence plus ou moins variable avec quand même des périodes de grande consommation et des périodes de quelques semaines sans un seul porno. Mais globalement, il me fallait ma session quasiement tout les soirs.
J'ai identifié plusieurs type d'envie au porno. Il y avait l'envie qui me prenais au bas ventre de me vider devant une scène, et ces scènes devenait de plus en plus trash (je suis néanmoins resté dans les "limites de l'acceptable" ie pas de pédophilie ou de zoophilie, ni de truc trans ou gay.) mais je me rendais bien compte que pour satisfaire ce besoin j'avais parfois besoin de trucs plus hard. Parfois je passais deux ou trois heures à fureter sur le net pour trouver LA scène qui m'excitait à mort... Et c'étais avec le temps de plus en plus dur à trouver.
La deuxième envie étais de voir du porno qui m'exitait aussi, mais pour le plaisir de voir une belle scène. Je suis parfois tombé sur des scène pas du tout hard, avec des mises en situations excitante. Ces scènes là ont plutôt alimenté mes fantasmes et ma libido car c'étais des trucs plutôt sensuels ou des situations qu'on peut imaginer faire avec une femme. J'avoue que ces scènes là étaient quand même mes préférées mais j'en ai trouvé trop peu (ça va trop directement aux "choses sérieuses" à mon goût).
Toute ma vie jusqu'à il y a peu, j'avais une grande frustration sexuelle. Ma première LTR m'apportais beaucoup sur le plan sexuel et c'étais le pied avec elle. J'avais même arrêté le porno les premiers mois. Mais elle ne satisfesait pas mes fantasmes et j'étais totalement soumis à elle. Le sexe étais devenu une récompense et elle m'a largué parce que je n'étais pas un Homme. Le porno est vite réapparu pendant cette relation et ça a très vite tué mon envie d'elle et son envie de moi, même si elle n'était pas au courant de ce que je faisais (j'en avais encore honte à l'époque).
J'ai eu une période chaste de deux ans pendant lesquelles je n'ai pas touché une femme. Ce n'étais pas la pire côté addiction mais rapidement je ne pouvais plus aller dormir sans avoir vu ma scène quotidienne. J'ai remarqué aussi que je consommais beaucoup de porno quand une tentative de séduction avait échouée (et vu mes compétences à l'époque, j'échouais pour ainsi dire tout le temps). Le porno devenait donc comme une sorte de refuge, une "valeur sûre". J'ai eu une période où le sexe ne m'interessait quasiement plus (avec une femme) parce que le porno me satisfaisait sur ce plan là...
Ces derniers mois, j'ai réemménagé chez mes parents le temps d'une transition entre deux changements de ville. Vu qu'ils n'avaient pas le net, plus de porno à la demande, mais la tv par satellite me permettait d'y avoir "droit" de temps à autre. Néanmoins, pendant environs 1 mois et demi, je n'avais même pas envie d'en voir un. J'ai quand même un soir payé un porno (nul en plus) sur le cable et parfois l'envie de m'en faire un m'a compulsivement poussé à attendre jusqu'à deux heures du mat pour en voir un. J'ai remarqué que quand je cède à ce désir de matter un porno, je suis parfois prêt à tout pour en voir un, ce qui parfois m'a coûté cher...
Ces dernières semaines, je n'en ai vu que 3. Certains très exitant, d'autres nuls. J'ai cédé une nouvelle fois à cette pulsion mais j'ai plus le sentiment que le porno a tellement longtemps fait partie de ma vie et de mes habitudes que c'est certains soirs difficile de résister. Néanmoins, grâce à la lecture de ce topic, j'ai recentré mon attention sur ma libido et j'ai quasiement stoppé le porno et la masturbation. Au lieu de ça, j'essaie de stimuler mon imagination de façon non visuelle et je vais me lancer dans la lecture/Ecriture de nouvelles érotiques. J'en ai parlé avec mon ex et ai tenté de la faire "bander avec ses oreilles" et elle a pris un billet de train pour venir me voir le week end prochain XD
J'ai pris conscience que le porno ne m'apportais rien de positif, mais que ce n'est pas pour autant une tare d'en avoir beaucoup regardé. Je pense qu'il est important de réaliser que ça tue notre libido quand c'est du "mauvais porno" (premier cas que j'évoque plus haut) Alors que ça peut la booster dans le deuxième cas. Un porno de temps en temps, mais pas juste pour se vider, voir même sans se masturber, mais avec des scènes érotiques et excitante à souhait devrais pouvoir apporter une frustration que l'on se doit de combler par une vraie femme. Personnellement j'ai essayé de le faire sur mon dernier visionnage et j'y suis arrivé, et je débordais d'énergie le lendemain !
Voilà pour ma modeste contribution.
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Le post de leader est page 4 Crapule.
Ne confondez pas addiction à la pornographie avec ces 3 sujets qui sont indépendants les uns des autres :
- déviance (la scatophilie, zoophilie, etc...), ce n'est PAS du sexe,
- l'homosexualité (on est en 2009 quand même !),
- la masturbation en général.
Ne confondez pas addiction à la pornographie avec ces 3 sujets qui sont indépendants les uns des autres :
- déviance (la scatophilie, zoophilie, etc...), ce n'est PAS du sexe,
- l'homosexualité (on est en 2009 quand même !),
- la masturbation en général.
Mon cher Crapule adoré, il y a un article interessant sur FTS qui parle de "comment éviter le stall?" Le topic est très court, puisque la réponse est simple : il suffit de contredire. On sait tous très bien que c'est quasi-impossible de se tapper une meuf avec qui on est en FZ, que pour sortir d'une rupture amoureuse faut tout oublier et aller sarger, et que pour être moins gentil faut plus lire FTS et pratiquer. Il est plus long parce qu'on est juste pas d'accord. On a chacun un passé différent, une vision différente, une pratique différente.Cher Coluche adoré que j'aime tant, dis toi bien qu'un post de 12 pages sur FTS a bien ses raisons. Tu te rends compte qu'il est plus long qu'un: "Comment sortir avec une amie ? Comment sortir d'une rupture amoureuse" ? ou que "pourquoi je suis trop gentil" ?
Ce n'est pas évident a accepter, mais NON vous n'êtes pas une victime. Le porno ne vous est pas tombé dessus et n'a pas massacré votre vie comme n'importe quelle autre drogue, puisque ça n'en est pas une (je rappelle la définition : "composé chimique, biochimique ou naturel, capable d'altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les communications neuronales.". Les revers que vous avez essuyés dans votre vie dépendent de tout un ensemble de vous même (relations sociales avec les parents/les amis difficiles, personnalité fragile, susceptibilité, paranoia) que vous devez résoudre petit a petit, progressivement, sans pointer du doigt un bouc émissaire qui n'est qu'un acteur mineur. C'est trop facile de se victimiser et de porter la faute de toute la misère sexuelle à l'industrie pornographique. Si vous n'avez pas compris que conduire une bagnole ce n'est pas jouer a GTA, que votre copine n'est pas Shyla Stylez, c'est que vous êtes immature et que vous devez vous construire. (Si pour cela vous DEVEZ arreter le porno, c'est a chacun de voir, bien entendu tout ceci reste strictement personnel.)
Une piste a envisager serait à mon avis de supprimer le sentiment de culpabilité. Si vous le supprimez, vous supprimez par la même la chute de l'estime de vous même, et la frustration, puisque la culpabilité mène a la frustration. Vous considérez donc ça comme un acte naturel, comme le fait d'aller chier dans les bois. Quand l'envie vous prend de le faire, il est à mon avis préférable de le faire tout de suite sachant qu'il est impossible de résister, et que résister ne vous donnera envie que de rester plus longtemps a matter du porno par la suite. Il est idiot de rester 5min devant un film qu'on a attendu pendant deux heures, alors on fait durer. Non, branlez vous tout de suite.
Vive l'hédonisme libertaire! Il n'y a pas de mal a se faire du bien.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord par Lossenia
- [0] par Crapule
- [0] Pas convaincu par Champion
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1°)
2°) Le libertarisme n'a rien à voir avec l'hédonisme: c'est un résidu politique archaïque de philosophie gauchiste des années 60.
3°) Coluche était intelligent, ce qui fait de toi un usurpateur.
__________________________________________________
Facilement réfutable: on peut contracter ou transmettre le Sida en se faisant du bien.Il n'y a pas de mal a se faire du bien.
2°) Le libertarisme n'a rien à voir avec l'hédonisme: c'est un résidu politique archaïque de philosophie gauchiste des années 60.
3°) Coluche était intelligent, ce qui fait de toi un usurpateur.
__________________________________________________
Erreur, il s'agit ici d'une conséquence indirecte. Le problème ne vient pas de se faire du bien, mais des deux conditions suivantes:Kevin Jones a écrit :Facilement réfutable: on peut contracter ou transmettre le Sida en se faisant du bien.
1) Ne pas prendre des précautions élémentaires
2) Avoir un partenaire séropositif (ou l'être soi-même)
Sauf accident (déchirure de préservatif), il est impossible de transmettre ou contracter les SIDA si ces deux conditions ne sont pas réunies.
C'est pour ça que je préfère les bouquins aux films..okapi a écrit :
Il semble en outre que la pornographie tend à réduire notre capacité de fantasmer
Les vécus romancés, les scénarii coquins, etc.. laissent l'imagination fantasmer ;
Mais c'est moins pratique, diront certains..
Il faut lire d'une seule main, et ça donne des crampes !
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Tu préfères les bouquins parce que tu es une femme et qu'en général les femmes fonctionnent comme cela, car vous n'avez pas la même sexualité que celle des hommes.
C'est pour ça que je préfère les bouquins aux films..
_________________________
Et c'est très bien comme ça.
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Ben non, moi je préfère les films aux bouquins malheureusement..Kevin Jones a écrit :
Tu préfères les bouquins parce que tu es une femme et qu'en général les femmes fonctionnent comme cela, car vous n'avez pas la même sexualité que celle des hommes.
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Et c'est très bien comme ça.