[A] La porno-addiction
Mais des fois, ça peut t'eviter de faire une connerie. Plusieurs fois, à cause d'une envie de sexe pas possible, je me suis mis à rappeller des "plans". Des "plans" qui une fois tirés te font dire: " et merde, je vais me la coltiner toute la soirée voire plus". Alors qu'une bonne branlette devant un boulard m'aurait décourager d'appeller.
Mais bon sérieusement, quand tu mates un porno et la finalité qui s'en suit, ça te pompe toute ton énergie. Beaucoup moins la gniaque pour sortir draguer... C'est la méthadone du sexe. On prefere tous l'original mais quand on sait tous les efforts qu'il faut faire, on s'en contente.
Mais bon sérieusement, quand tu mates un porno et la finalité qui s'en suit, ça te pompe toute ton énergie. Beaucoup moins la gniaque pour sortir draguer... C'est la méthadone du sexe. On prefere tous l'original mais quand on sait tous les efforts qu'il faut faire, on s'en contente.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Lol par Xan
Je sais pas ce que je peux ajouter après 14 pages sur le sujet...
Je crois beaucoup aussi, pour l'avoir constaté, au principe de remplacer une habitude par une autre.
Par exemple, cet été, bien motivé à serrer de la minette plutôt qu'à perdre mon mojo sur des vidéos au final déprimantes... Ben, quand j'avais envie et aucune fille sous la main : je me mettais à jouer de la guitare.
Je remplaçais une pulsion qui fait du bien puis qui sert à rien par une qui fait du bien et qui sert à qqch.
Similairement, mes sessions solo solo en DAY, je les ai faite parce que j'avais la NIAQ. Et que le porno ça le fait pas.
Je crois qu'un effet pervers, c'est de vouloir baisser sa libido comme on arrête de mater du cul sur le Net : il faut CONSERVER sa libido, voir l'exalter, mais la DIRIGER vers autre chose. Les femmes, ou u ntruc qui fait du bien, qui CONSTRUIT qqch. (La branlette soulage, mais ne construit rien !
)
Sport... Drague... Musique... Travail...
Il y a tout un chapitre sur cela dans "Pensez et devenez riche" de Napoleon Hill... Et le bouquin a 100 ans. (Sublimer le sexe ça s'appelle.)
LIBIDO => MOJO =>
=> PORNO
ou
=> MEILLEUR TOI
?
A chacun de choisir.
Je crois beaucoup aussi, pour l'avoir constaté, au principe de remplacer une habitude par une autre.
Par exemple, cet été, bien motivé à serrer de la minette plutôt qu'à perdre mon mojo sur des vidéos au final déprimantes... Ben, quand j'avais envie et aucune fille sous la main : je me mettais à jouer de la guitare.
Je remplaçais une pulsion qui fait du bien puis qui sert à rien par une qui fait du bien et qui sert à qqch.
Similairement, mes sessions solo solo en DAY, je les ai faite parce que j'avais la NIAQ. Et que le porno ça le fait pas.
Je crois qu'un effet pervers, c'est de vouloir baisser sa libido comme on arrête de mater du cul sur le Net : il faut CONSERVER sa libido, voir l'exalter, mais la DIRIGER vers autre chose. Les femmes, ou u ntruc qui fait du bien, qui CONSTRUIT qqch. (La branlette soulage, mais ne construit rien !

Sport... Drague... Musique... Travail...
Il y a tout un chapitre sur cela dans "Pensez et devenez riche" de Napoleon Hill... Et le bouquin a 100 ans. (Sublimer le sexe ça s'appelle.)
LIBIDO => MOJO =>
=> PORNO
ou
=> MEILLEUR TOI
?
A chacun de choisir.
Ah si, la mastrbation nourrit toute une industrie de celle do porno a celle du kleenexCreation a écrit :
(La branlette soulage, mais ne construit rien !)

Plus sérieusement, je sais pas si la branlette (féminine ou masculine) doit forcément être remplacée par quelque chose. Certains ont peut être juste des périodes avec et des périodes sans. Quand j'étais célibataire, il pouvait m'arriver de passer une semaine sans aller voir de FF sans pour autant m'occuper en solo.
[quote=Coluche]]Le porno [...] comme n'importe quelle autre drogue, puisque ça n'en est pas une (je rappelle la définition : "composé chimique, biochimique ou naturel, capable d'altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les communications neuronales.". [/quote]
Hmmm, selon un communiqué du CAP, la cyber-addiction est souvent définie, et c'est un nouveau genre à prendre en compte, comme "toxicomanie sans drogues".
C'est donc en tout cas pas aussi simple.
Hmmm, selon un communiqué du CAP, la cyber-addiction est souvent définie, et c'est un nouveau genre à prendre en compte, comme "toxicomanie sans drogues".
C'est donc en tout cas pas aussi simple.
La cyber addiction oui, mais ça désigne pas uniquement le porno. Ca désigne l'ensemble de ce qui est joint a l'ordinateur et internet. A mon avis, ça fait plus référence aux jeux videos, aux chats, aux forums, qu'au X, car le X peut pas prendre autant de temps de toute façon, donc ça limite l'addiction.
Bah aucun de nous deux ici à de réponse précise à ça n'étant pas professionnels, mais ce que j'en ai lu sur le net associe la plupart du temps la porno addiction à la cyber addiction, comme l'est d'ailleurs l'addiction aux mmorpg, forums, etc, bref, cyber addiction en tout genre. La porno addiction en fait partie car elle "joue" également sur le fait d'éviter tout un tas de problèmes sociaux en étant simplement assis devant son ordinateur; on assiste au même phénomène de confort psychologique que dans le cas d'autres cyber addictions.
Je tiens pas à aller plus loin ce soir mais ouvrez les yeux quoi :S
Je tiens pas à aller plus loin ce soir mais ouvrez les yeux quoi :S
C'est vrai que généralement ça va ensemble mais ça n'est quand même pas tout à fait pareil.
On peut matter beaucoup de films de cul sans pour autant etre accro à internet.
Un cyber addict ne matte pas forcément des films de boules, et c'est pas pasque tu mattes des films de boules que tu es cyber addict (tous les gens qui vont dans les sex shops, ou qui enregistrent des films de cul sur le cable, ou les différents magazines, tout ça n'a rien a voir avec internet)
On peut matter beaucoup de films de cul sans pour autant etre accro à internet.
Un cyber addict ne matte pas forcément des films de boules, et c'est pas pasque tu mattes des films de boules que tu es cyber addict (tous les gens qui vont dans les sex shops, ou qui enregistrent des films de cul sur le cable, ou les différents magazines, tout ça n'a rien a voir avec internet)
On sait qu'une personne sujette à l'addiction pour quelque chose, sera plus facilement sujette à l'addiction pour quelque chose d'autre.
L'addiction est un déséquilibre qui se déporte, se transpose, voire se multiplie.
Une personne accro au shit, est plus à même de devenir accro aux jeux vidéo, aux jeux d'argents et / ou à la coke, qu'une personne plus équilibrée qui ne souffre d'aucune addiction.
Source : tous les manuels de psychiatrie et d'addictologie.
L'addiction est un déséquilibre qui se déporte, se transpose, voire se multiplie.
Une personne accro au shit, est plus à même de devenir accro aux jeux vidéo, aux jeux d'argents et / ou à la coke, qu'une personne plus équilibrée qui ne souffre d'aucune addiction.
Source : tous les manuels de psychiatrie et d'addictologie.
Oui mais ce qu'on appelle addiction pour un domaine est appelé passion pour un autre, en fonction de la valeur qu'on estime pour le domaine en question.
Exemple ceux qui sont passioné de lecture, de musique, de sport, peuvent le vivre comme une vraie addiction. Seulement on dirait qu'on garde le mot addiction seulement en ce qui concerne les activités passives et un peu mal vues, et qu'au contraire on valorise ces personnes la en les faisant passer pour des gens persévérants, ambitieux, éclairés, alors qu'au fond ils vivent leur activité comme une drogue, et peuvent ressentir des problèmes dans leur vie sociale (isolement pour travailler avec acharnement, ou pour un entrainement sportif), leur état physique (problèmes musculaires, tendinites, fatigue cumulée, affaiblissement du système immunitaire).
Celui qui passe son temps sur internet a lire, a se documenter, a écouter de la musique, c'est un cyber addict? Et celui qui passe son temps a jouer à CS? Et celui qui se passione pour l'informatique? Alors il faudrait établir une hiérarchie entre les différentes activités selon le niveau social qui leur serait attribué, et a partir duquel on jugerait s'il s'agit d'une addiction ou d'une passion?
Exemple ceux qui sont passioné de lecture, de musique, de sport, peuvent le vivre comme une vraie addiction. Seulement on dirait qu'on garde le mot addiction seulement en ce qui concerne les activités passives et un peu mal vues, et qu'au contraire on valorise ces personnes la en les faisant passer pour des gens persévérants, ambitieux, éclairés, alors qu'au fond ils vivent leur activité comme une drogue, et peuvent ressentir des problèmes dans leur vie sociale (isolement pour travailler avec acharnement, ou pour un entrainement sportif), leur état physique (problèmes musculaires, tendinites, fatigue cumulée, affaiblissement du système immunitaire).
Celui qui passe son temps sur internet a lire, a se documenter, a écouter de la musique, c'est un cyber addict? Et celui qui passe son temps a jouer à CS? Et celui qui se passione pour l'informatique? Alors il faudrait établir une hiérarchie entre les différentes activités selon le niveau social qui leur serait attribué, et a partir duquel on jugerait s'il s'agit d'une addiction ou d'une passion?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] 100% d'accord par MaryMorgane
Ce que tu dis est censé, mais en fait, ce n'est pas une question de point de vue, de jugement de valeurs : une passion peut devenir une addiction.
Une addiction est clairement et objectivement définie; ce n'est pas quelque chose qui est qualifié par quelqu'un.
Un sportif de haut niveau par exemple : son sport est sa passion.
Il arrive parfois (assez souvent semble-t-il) que la pratique de sa passion DEVIENNE une addiction. Il bascule dans le fonctionnement addictif et dès lors, il a une addiction.
Ce n'est pas quelqu'un qui dit "ce qui est passion pour lui, est une addiction"; c'est le sportif qui devient addict à sa passion. Il en a besoin, il y'a accoutumance, manque,...
Je sais pas si je suis très clair; c'est pas évident à expliquer.
Je me base sur la définition clinique de l'addiction, et sur des témoignage que j'ai vus / lus au sujet des différents types d'addiction, de la part d'addicts / ex-addicts, et de spécialistes de l'addiction.
A voir :
=> Pr W. Lowenstein, une sommité en la matière, et qui a le mérite de savoir briser les idées reçues sur les addictions, même les plus communément partagées. On le voit souvent dans le Magazine de la Santé, sur France5 (excellente émission médicale, très intéressante à regarder si vous avez le temps, et si le sujet vous intéresse).
Une addiction est clairement et objectivement définie; ce n'est pas quelque chose qui est qualifié par quelqu'un.
Un sportif de haut niveau par exemple : son sport est sa passion.
Il arrive parfois (assez souvent semble-t-il) que la pratique de sa passion DEVIENNE une addiction. Il bascule dans le fonctionnement addictif et dès lors, il a une addiction.
Ce n'est pas quelqu'un qui dit "ce qui est passion pour lui, est une addiction"; c'est le sportif qui devient addict à sa passion. Il en a besoin, il y'a accoutumance, manque,...
Je sais pas si je suis très clair; c'est pas évident à expliquer.
Je me base sur la définition clinique de l'addiction, et sur des témoignage que j'ai vus / lus au sujet des différents types d'addiction, de la part d'addicts / ex-addicts, et de spécialistes de l'addiction.
A voir :
Vidéo : http://www.omegatv.tv/video/1601303677/ ... clenchantsWilliam Lowenstein est l’un des grands médecins français spécialiste des addictions. Il nous parle du profil des personnes accros aux addictions, ou susceptibles de l’être !
=> Pr W. Lowenstein, une sommité en la matière, et qui a le mérite de savoir briser les idées reçues sur les addictions, même les plus communément partagées. On le voit souvent dans le Magazine de la Santé, sur France5 (excellente émission médicale, très intéressante à regarder si vous avez le temps, et si le sujet vous intéresse).
Intéressant; ce trait de caractère s'applique à pas mal de membres de FTS, moi y compris ;)... des personnes qui cherchent peut être un peu plus dans la vie, que les autres