Oui mais non, parce que tu lances ton magasin, point. Tu le lances pas en concurrence des autres gens qui ouvrent eux aussi un magasin. Sauf si vous vous lancez dans le même type de produits sur la même aire géographique, mais là c'est un cas particulier. Mais sinon tu t'en fous de savoir que des gens plus ou moins riches que toi ouvrent aussi un magasin.Ecu a écrit : Mais malheureusement ce raisonnement atteint assez vite les limites du possible. La limite principale étant le temps. Car qu'est-ce qui empêche le fils à papa de peaufiner son business plan pendant que le "pauvre" trime pour rassembler son capital ? Le premier partira alors avec un avantage sur le second.
[A] Le secret de ceux qui réalisent leur Rêve
@ Syd
T'as pas compris. Ce que je disais c'est qu'à volonté égale, pour une même quantité d'efforts, tout le monde n'est pas à égalité devant la réussite. L'argent est un facteur, il y en a d'autres. Et si tu lis ce que j'ai mis en bas, je pense que l'ouverture d'un magasin est à la portée de la plupart des gens, à condition de travailler dur bien sûr (ce n'est pas trivial). Par contre il existe des projets plus ambitieux où malheureusement la volonté et le travail seuls ne suffisent pas.Mais sinon tu t'en fous de savoir que des gens plus ou moins riches que toi ouvrent aussi un magasin.
Ah oui ça d'accord, mais c'est vrai pour tout. Tout le monde n'est pas aussi beau, tout le monde n'est pas en aussi bonne santé, ... Du coup ce que tu dis est vrai mais j'aurais tendance à dire qu'il ne faut pas en tenir compte, sinon tu ne vas jamais rien faire.Ecu a écrit :Ce que je disais c'est qu'à volonté égale, pour une même quantité d'efforts, tout le monde n'est pas à égalité devant la réussite.

Pour Zuckerberg, il avait surtout la capacité de s'en foutre de tout et de se penser supérieur à tout le monde, je crois. D'ailleurs il me semble qu'il est plus ou moins autiste, ce qui est le cas de beaucoup de grands noms de l'informatique (Bram Cohen, qui a inventé BitTorrent, par exemple).Par contre il existe des projets plus ambitieux où malheureusement la volonté et le travail seuls ne suffisent pas.
Un nouveau facebook, il pourrait très bien y en avoir un, d'ailleurs ça devrait arriver bientôt. Tous les 4-5 ans il y a un nouveau "truc social" qui émerge, cf. MSN, Myspace, skyblog en France, ...
Peut-être bien un truc avec les Google glasses ou les applications de rencontres utilisant la géolocalisation.
Pour Google, ils sont arrivés au bon moment au bon endroit, ça joue aussi beaucoup. L'informatique c'est un domaine qui a connu un boom absolument incroyable, le PC est devenu un objet indispensable en moins d'un demi-siècle d'existence. C'est un secteur très particulier.
Du coup pour faire un Google, il ne faut pas juste être intelligent ou quoi, il faut aussi le bon secteur avec le bon boom, mais ça c'est pas toi qui décide.
@ Syd
Mais c'est vrai qu'il y aussi des choses que tu ne peux pas prévoir. Un retournement de conjoncture est toujours très dur à anticiper.
Il faut en tenir compte dans le sens où il faut être conscient de ses capacités. Cela n'empêche pas de faire plein de choses, dans la mesure de ses moyens. En fait, il faut trouver un équilibre entre la confiance en soi et la conscience des ses limitations.Du coup ce que tu dis est vrai mais j'aurais tendance à dire qu'il ne faut pas en tenir compte, sinon tu ne vas jamais rien faire.
Si, c'est toi qui choisit de te lancer dans tel ou tel domaine. Et il faut être très intelligent pour sentir les nouveaux besoins, ainsi que pour pouvoir y apporter une réponse. Et puis, un génie de l'informatique va te coder un moteur de recherche en 2 mois là où toi (ou moi) tu vas mettre 2 ans.Du coup pour faire un Google, il ne faut pas juste être intelligent ou quoi, il faut aussi le bon secteur avec le bon boom, mais ça c'est pas toi qui décide.
Mais c'est vrai qu'il y aussi des choses que tu ne peux pas prévoir. Un retournement de conjoncture est toujours très dur à anticiper.
Je ne suis pas loin de penser que "être conscient [des limites] de ses capacités", c'est justement ce qui empêche de faire de grandes choses. Tout le monde n'est pas Gauss, mais je pense que beaucoup de Gauss potentiels n'ont pas été Gauss parce qu'ils étaient convaincus de ne pas le pouvoir.Ecu a écrit : Il faut en tenir compte dans le sens où il faut être conscient de ses capacités.
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- [0] 100% d'accord le 11.02.13, 17h08 par FK
Etre conscient des limites de ses capacités, et être conscient du fait que ces limites peuvent être dépassées la plupart du temps si on les oublie suffisamment longtemps.
C'est pas parce que tu as des limites que du coup tu ne dois rien faire. Mais ça peut aider à faire le bon choix. Le mec qui est bâti comme une armoire à glace a-t-il intérêt à se lancer dans la course de fond si son but est de devenir sportif professionnel ? Par contre dans la boxe ou le judo il a peut-être une carte à jouer. Ce qui ne l'empêche pas :
--> de quand même faire de la course de fond en amateur
--> d'agir et de se battre pour atteindre son but via une autre voie
Donc encore une fois, dans mon esprit, connaître ses capacités n'est pas du tout synonyme de se brider soi-même, que du contraire.
--> de quand même faire de la course de fond en amateur
--> d'agir et de se battre pour atteindre son but via une autre voie
Donc encore une fois, dans mon esprit, connaître ses capacités n'est pas du tout synonyme de se brider soi-même, que du contraire.
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- [0] Ca va mieux en le disant le 11.02.13, 19h40 par shadonkey
Je suis en désaccord avec cet article.
Le travail acharné et le sacrifice ne sont pas ce qu'il y a de plus efficace pour atteindre le succès. Il faut aussi et surtout de l'astuce du feeling (ou intuition) et de la chance.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il travailler d'une bonne façon. Et lorsqu'on utilise son ingéniosité, nul besoin de sacrifices pour que ses efforts portent leurs fruits.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il savoir patienter qu'une opportunité se présente à nous pour nous amener vers le succès. Et encore faut-il être humble pour reconnaître qu'il nous faille être à l'affut d'un coup de pouce du destin.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il avoir le feeling nécessaire pour prendre certaines bonnes décisions en un instant qui peut tout boulverser.
Il faut savoir être persévérant dans la vie c'est sûr. Et dans le même temps, il faut aussi parfois savoir renoncer et transformer ses objectifs et ses rêves, sans quoi ils peuvent devenir des cauchemars. Savoir quand persévérer et quand renoncer, c'est intuitif.
Le principe d'un rêve, c'est d'être un scénario imaginaire qui fait du bien. C'est un scénario que l'on contrôle totalement. La réalité, en revanche, c'est tout ce qui s'impose à nous, et que nous ne contrôlons pas en grande partie. Le rêve c'est dans notre tête alors que la réalité c'est à l'extérieur de notre tête.
Nous avons besoin de nos rêves et de notre imaginaire pour affronter la réalité. Par conséquent, le rêve ne peut pas devenir réalité, et même, ce ne serait pas souhaitable car cela signifierait que nous n'aurions plus d'arme pour affronter le réel.
Pour résumer : Certes il faut savoir rester concentré sur un objectif et être persévérant. Mais dans le même temps, il faut aussi savoir se laisser aller et lâcher le contrôle.
Le travail acharné et le sacrifice ne sont pas ce qu'il y a de plus efficace pour atteindre le succès. Il faut aussi et surtout de l'astuce du feeling (ou intuition) et de la chance.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il travailler d'une bonne façon. Et lorsqu'on utilise son ingéniosité, nul besoin de sacrifices pour que ses efforts portent leurs fruits.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il savoir patienter qu'une opportunité se présente à nous pour nous amener vers le succès. Et encore faut-il être humble pour reconnaître qu'il nous faille être à l'affut d'un coup de pouce du destin.
Travailler dur. Oui c'est bien. Mais encore faut-il avoir le feeling nécessaire pour prendre certaines bonnes décisions en un instant qui peut tout boulverser.
Il faut savoir être persévérant dans la vie c'est sûr. Et dans le même temps, il faut aussi parfois savoir renoncer et transformer ses objectifs et ses rêves, sans quoi ils peuvent devenir des cauchemars. Savoir quand persévérer et quand renoncer, c'est intuitif.
Le principe d'un rêve, c'est d'être un scénario imaginaire qui fait du bien. C'est un scénario que l'on contrôle totalement. La réalité, en revanche, c'est tout ce qui s'impose à nous, et que nous ne contrôlons pas en grande partie. Le rêve c'est dans notre tête alors que la réalité c'est à l'extérieur de notre tête.
Nous avons besoin de nos rêves et de notre imaginaire pour affronter la réalité. Par conséquent, le rêve ne peut pas devenir réalité, et même, ce ne serait pas souhaitable car cela signifierait que nous n'aurions plus d'arme pour affronter le réel.
Pour résumer : Certes il faut savoir rester concentré sur un objectif et être persévérant. Mais dans le même temps, il faut aussi savoir se laisser aller et lâcher le contrôle.
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- [+1] C'est pas faux le 02.04.13, 11h26 par Lanzana
Yo' !
Le message de fond de l'article est très honorable, se battre pour ce qu'on veut, c'est quelque chose qu'il faut comprendre.
La vie, c'est aussi de la chance en fait.
Nombreux sont des mecs qui ont bâti leur succès sur une rencontre, une idée, un virage, un demi-tour, un hasard, et non pas sur une idée fixe que quel soit le coût, j'arriverais à être astronaute.
La réussite, c'est le savant mélange de la détermination d'aller au bout de ce qu'on souhaite, mais aussi la raison de se dire "Ca vaut le coup ?", et l'ouverture d'esprit.
Je vois des potes qui sont en médecine, qui galèrent pour leur seconde première année, dont l'année universitaire est une torture énorme.
Et quand dans huit ans, ils seront peut-être médecins (Ou peut-être pas), je suis persuadé qu'une bonne part se dira "Merde, tout ça pour ça ?".
On idéalise tout. Et rester ouvert à toutes les occasions, c'est peut-être désormais plus prometteur que se fixer sur une idée en particulier, parce qu'il se pourrait que la réalité soit moins belle que la vision que l'on en a.
Je suis en Droit, mais je sais que si je ne parviens pas à devenir avocat, tant pis, j'aurais d'autres branches d'activités, alors je préfère profiter, tout en travaillant (Enfin …) et me donner à fond, mais je ne vis pas en me levant chaque matin en me disant qu'un jour je serais avocat.
Le message de fond de l'article est très honorable, se battre pour ce qu'on veut, c'est quelque chose qu'il faut comprendre.
La vie, c'est aussi de la chance en fait.
Nombreux sont des mecs qui ont bâti leur succès sur une rencontre, une idée, un virage, un demi-tour, un hasard, et non pas sur une idée fixe que quel soit le coût, j'arriverais à être astronaute.
La réussite, c'est le savant mélange de la détermination d'aller au bout de ce qu'on souhaite, mais aussi la raison de se dire "Ca vaut le coup ?", et l'ouverture d'esprit.
Je vois des potes qui sont en médecine, qui galèrent pour leur seconde première année, dont l'année universitaire est une torture énorme.
Et quand dans huit ans, ils seront peut-être médecins (Ou peut-être pas), je suis persuadé qu'une bonne part se dira "Merde, tout ça pour ça ?".
On idéalise tout. Et rester ouvert à toutes les occasions, c'est peut-être désormais plus prometteur que se fixer sur une idée en particulier, parce qu'il se pourrait que la réalité soit moins belle que la vision que l'on en a.
Je suis en Droit, mais je sais que si je ne parviens pas à devenir avocat, tant pis, j'aurais d'autres branches d'activités, alors je préfère profiter, tout en travaillant (Enfin …) et me donner à fond, mais je ne vis pas en me levant chaque matin en me disant qu'un jour je serais avocat.
Cela rejoint bien ce qui est dit précédemment. Il faut persévérer, garder en tête ses objectifs, tout en restant en veille des opportunités à saisir.Louis Pasteur a écrit :La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés.
Car sans persévérance, sans travail important, la préparation nécessaire à la saisie de cette opportunité n'existe pas.
Exemple simple : un jour il y a bien un coach qui a proposé à Usain Bolt de participer à des compétitions d'athlétisme. Opportunité qu'il a su saisir. Pourquoi ? Parce qu'il s'entrainait déjà dur en athlétisme.
Il aurait fait du basket, les records du monde de sprint n'aurait pas été ce qu'ils sont aujourd'hui.
Donc oui, les talents innés font partie de l'équation.
Oui, les compétences acquises font partie de l'équation.
Tout comme le travail acharné, les objectifs de vie, les rêves...
C'est cette alchimie qui sépare ceux qui rêvent leur vie de ceux qui vivent leur rêves.