Pourquoi les femmes dominent le marché du sexe?
Tout à fait d'accord avec toi, amelia. Sauf sur la drague au féminin.
Pour ma part, j'essaye d'aller de plus en plus vers les autres en soirée. Et je remarque que plus je suis active dans le processus de séduction, moins je tombe sur des bras cassés et plus je suis satisfaite. Je ne remarque pas vraiment cette passivité de se faire aborder chez les mecs. En général, ils sont plutôt étonnés et réceptifs. Maintenant, oui, c'est sûr, les plus attirants physiquement ne sont pas forcément les plus intéressants. Mais je pense que c'est la même chose pour les filles.
Puis la passivité féminine dans la drague... En fait, souvent on met en œuvre tout un tas de tactiques et de signaux pour se faire aborder par la personne qu'on voudrait aborder (Un regard, un rapprochement spatial, un sourire furtif). C'est pas aussi simple que de faire la jolie fleur qui se laisse cueillir.
Pour ma part, j'essaye d'aller de plus en plus vers les autres en soirée. Et je remarque que plus je suis active dans le processus de séduction, moins je tombe sur des bras cassés et plus je suis satisfaite. Je ne remarque pas vraiment cette passivité de se faire aborder chez les mecs. En général, ils sont plutôt étonnés et réceptifs. Maintenant, oui, c'est sûr, les plus attirants physiquement ne sont pas forcément les plus intéressants. Mais je pense que c'est la même chose pour les filles.
Puis la passivité féminine dans la drague... En fait, souvent on met en œuvre tout un tas de tactiques et de signaux pour se faire aborder par la personne qu'on voudrait aborder (Un regard, un rapprochement spatial, un sourire furtif). C'est pas aussi simple que de faire la jolie fleur qui se laisse cueillir.
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- [+1] Absolument le 29.04.14, 03h06 par wayl
Oui Ploum, je n'ai pas développé mais ça ne m'arrête pas, être active, je préfère ça et c'est vrai que nous avons nos petits signaux et une expression corporelle "séduction"
. C'était une constatation en fait, je me suis mal exprimée.
Et Automatic, je ne suis pas d'accord. ça veut dire qu'on doit rester plantée là même si un mec super mignon ne nous a pas vu ou semble timide tout ça parce que ça risquerait de le destabiliser.. Je trouve ça triste et ce sont pleins d'occasions perdues. Et le fait de nous cantonner à un rôle de demoiselle qui attend, ça participe à cette idée que je vois parfois selon laquelle ce serait plus facile pour les femmes, puisqu'elles n'abordent pas, ça les met sur un piédestal que les femmes regrettent et qui ne créé pas forcément du bon chez les hommes.
Et je reviens sur cette idée que l'on doit mériter cette femme extraordinaire. A mes yeux, il ne doit pas y avoir de question de mérite, on ne mérite pas quelqu'un. On se rencontre, on partage, il y a connexion, parce que notre histoire, nos expériences, nos gouts, les corps qui dialoguent, mais pas parce qu'on "mérite" quelqu'un. Qu'on souhaite s'améliorer pour soi et parce cette personne nous donne cette énergie de nous élever c'est génial, mais je crois qu'il faut vraiment bannir cette idée de méritocratie en séduction. On se sent bien dans notre peau, on est en évolution positive, on dégage quelque chose et on rencontre quelqu'un qui nous pousse à vouloir être encore mieux, c'est ça à mes yeux.
Ce n'est peut-être pas ce que tu voulais dire, mais comme je le vois parfois écrit, j'en profite pour m'exprimer sur ce sujet
parce que penser qu'on ne mérite pas quelqu'un c'est surtout preuve d'insécurités (je le sais parce qu'à une époque j'ai raisonné comme ça)

Et Automatic, je ne suis pas d'accord. ça veut dire qu'on doit rester plantée là même si un mec super mignon ne nous a pas vu ou semble timide tout ça parce que ça risquerait de le destabiliser.. Je trouve ça triste et ce sont pleins d'occasions perdues. Et le fait de nous cantonner à un rôle de demoiselle qui attend, ça participe à cette idée que je vois parfois selon laquelle ce serait plus facile pour les femmes, puisqu'elles n'abordent pas, ça les met sur un piédestal que les femmes regrettent et qui ne créé pas forcément du bon chez les hommes.
Et je reviens sur cette idée que l'on doit mériter cette femme extraordinaire. A mes yeux, il ne doit pas y avoir de question de mérite, on ne mérite pas quelqu'un. On se rencontre, on partage, il y a connexion, parce que notre histoire, nos expériences, nos gouts, les corps qui dialoguent, mais pas parce qu'on "mérite" quelqu'un. Qu'on souhaite s'améliorer pour soi et parce cette personne nous donne cette énergie de nous élever c'est génial, mais je crois qu'il faut vraiment bannir cette idée de méritocratie en séduction. On se sent bien dans notre peau, on est en évolution positive, on dégage quelque chose et on rencontre quelqu'un qui nous pousse à vouloir être encore mieux, c'est ça à mes yeux.
Ce n'est peut-être pas ce que tu voulais dire, mais comme je le vois parfois écrit, j'en profite pour m'exprimer sur ce sujet

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- [0] Ca va mieux en le disant le 28.04.14, 16h14 par Blusher
Je ne vois pas où tu veux en venir, je ne suis pas en train de les défendre Blusher. La séduction c'est difficile pour beaucoup, alors si tu es une fille qui cherche un mec et que tu rompts tous les codes, tu te mets une balle dans le pied. L'exemple que donne Amelia montre que c'est ce qui se passe...Blusher a écrit :S'ils sont perturbés pour si peu c'est qu'ils doivent pas être si sûrs d'eux tes "mâles dominants"...Pour moi en séduction comme en danse, il faut une polarité, ce n'est pas dramatique si une femme aborde et chacun fait ce qu'il veut, mais c'est contreproductif car ça perturbe les repères des hommes et ils ont plus de mal à retrouver la position dominante qui les rendra sexuellement attirants. Du coup ils agiront bêtement, en allant trop vite (comme tu le décris), ou trop lentement.
Intéressant, peux tu expliquer comment tu abordes ? et comment se passe une bonne interraction généralement ?ploum a écrit : Pour ma part, j'essaye d'aller de plus en plus vers les autres en soirée. Et je remarque que plus je suis active dans le processus de séduction, moins je tombe sur des bras cassés et plus je suis satisfaite. Je ne remarque pas vraiment cette passivité de se faire aborder chez les mecs. En général, ils sont plutôt étonnés et réceptifs. Maintenant, oui, c'est sûr, les plus attirants physiquement ne sont pas forcément les plus intéressants. Mais je pense que c'est la même chose pour les filles.
Oui, et je pense que c'est cet aspect là qu'il est plus intelligent de travailler pour une femme aujourd'hui.ploum a écrit :Puis la passivité féminine dans la drague... En fait, souvent on met en œuvre tout un tas de tactiques et de signaux pour se faire aborder par la personne qu'on voudrait aborder (Un regard, un rapprochement spatial, un sourire furtif). C'est pas aussi simple que de faire la jolie fleur qui se laisse cueillir.
Ce n'est pas se tirer une balle dans le pied. Celle qui aborde un mec et qui se rend compte qu'il est con comme une souche d'arbre pourra abréger la conversation. (une autre compétence primordiale pour les hommes comme pour les femmes, se désengager quand on est en face d'un boulet)La séduction c'est difficile pour beaucoup, alors si tu es une fille qui cherche un mec et que tu rompts tous les codes, tu te mets une balle dans le pied. L'exemple que donne Amelia montre que c'est ce qui se passe...
Et puis "rompre tous les codes" c'est un peu grandiloquent pour juste désigner le fait que la fille initie une conversation. Ce qu'elles font depuis la nuit des temps le plus souvent de manière implicite ou non verbale mais pas seulement.
Des études menées par Monica Moore de l'Université de St LLouis me paraissent assez intéressantes sur le sujet: ce sont le plus souvent les femmes qui initient le flirt en envoyant des signes de disponibilité (gestuels, regards...) et d'autre part ce ne sont pas les personnes les plus belles qui ont le plus de succès mais les personnes qui envoient le plus régulièrement lesdits signaux.
Moore, M. M., & Butler, D. L. (1989). Predictive aspects of nonverbal courtship behavior in women. Semiotica, 76(3/4), 205-215.
Moore, M. M. (1985). Nonverbal courtship patterns in women: Context and consequences. Ethology and Sociobiology, 64, 237-247.
Le problème que rencontrent de plus en plus de femmes aux Pays-Bas ar exemple c'est que même après plusieurs contacts visuels soutenus, les hommes n'osent toujours pas venir à elles. Ou alors ils se décident quand ils sont à 2 grammes et il n'en reste plus grand chose.
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- [0] A lire le 28.04.14, 16h34 par Mr.Smooth
- [+1] +1 le 24.05.14, 23h37 par olivier
Non non, ne restez pas plantées là, mon conseil serait de lui donner une chance, mais ne pas commencer par un signe d'intérêt flagrant. Dans tout ce qu'on fait on rate des opportunités et on en gagne d'autres, tu pourrais tomber sur un mec super en lui faisant un open direct, ce n'est juste pas ce que je préconise.amelia a écrit : Et Automatic, je ne suis pas d'accord. ça veut dire qu'on doit rester plantée là même si un mec super mignon ne nous a pas vu ou semble timide tout ça parce que ça risquerait de le destabiliser.. Je trouve ça triste et ce sont pleins d'occasions perdues. Et le fait de nous cantonner à un rôle de demoiselle qui attend, ça participe à cette idée que je vois parfois selon laquelle ce serait plus facile pour les femmes, puisqu'elles n'abordent pas, ça les met sur un piédestal que les femmes regrettent et qui ne créé pas forcément du bon chez les hommes.
Sur ça je ne suis pas du tout d'accord.amelia a écrit : Et je reviens sur cette idée que l'on doit mériter cette femme extraordinaire. A mes yeux, il ne doit pas y avoir de question de mérite, on ne mérite pas quelqu'un. On se rencontre, on partage, il y a connexion, parce que notre histoire, nos expériences, nos gouts, les corps qui dialoguent, mais pas parce qu'on "mérite" quelqu'un. Qu'on souhaite s'améliorer pour soi et parce cette personne nous donne cette énergie de nous élever c'est génial, mais je crois qu'il faut vraiment bannir cette idée de méritocratie en séduction. On se sent bien dans notre peau, on est en évolution positive, on dégage quelque chose et on rencontre quelqu'un qui nous pousse à vouloir être encore mieux, c'est ça à mes yeux.
Ce n'est peut-être pas ce que tu voulais dire, mais comme je le vois parfois écrit, j'en profite pour m'exprimer sur ce sujetparce que penser qu'on ne mérite pas quelqu'un c'est surtout preuve d'insécurités (je le sais parce qu'à une époque j'ai raisonné comme ça)
Je veux une femme qui soit cultivée (a voyagé, a bouquiné, parle plusieurs langues), athlétique (un sport sexy à haut niveau par exemple), intelligente (QI 120+ disons), plus belle que 95% des autres grand min, entre 22 et 26 ans idéalement, avec une grande maturité émotionelle, si possible également sexuelle.
Si je la rencontre après un marathon série de 2 semaines, en ayant manqué le sport depuis 2 mois et sans avoir ouvert de livre dans l'année, vivant un boulot qui m'emmerde sans plan de rien changer, mon appart rempli de slibards sales et de cartons de pizzas, me sentir indigne est juste un reality check. Même si le game étant ce qu'il est, aucun de ces paramètres n'est nécessairement un obstacle absolu à la pécho, et éventuellement à la rendre amoureuse...
Donc tu crois qu'il faille produire des efforts pour mériter une fille "de qualité" même si tu reconnais qu'on peut aussi la rendre amoureuse sans produire ces mêmes efforts. Cela semble confus.Si je la rencontre après un marathon série de 2 semaines, en ayant manqué le sport depuis 2 mois et sans avoir ouvert de livre dans l'année, vivant un boulot qui m'emmerde sans plan de rien changer, mon appart rempli de slibards sales et de cartons de pizzas, me sentir indigne est juste un reality check. Même si le game étant ce qu'il est, aucun de ces paramètres n'est nécessairement un obstacle absolu à la pécho, et éventuellement à la rendre amoureuse...
Au passage, ce que tu nous décris dans ta shopping list de la fille idéale, ce sont des caractéristiques. C'est le QUOI. Ce qui est plus pertinent en matière de relations serait de s'intéresser au QUI, une personne n'étant pas qu'une addition de caractéristiques pseudo-objectives aussi désirables soient-elles. O tempora, O mores...
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- [+2] +1 le 28.04.14, 16h32 par Mr.Smooth
Le neutre n'existe pas en français. Il s'agit du masculin dont on prétend qu'il a valeur universelle, mais cela représente quand même bien un état d'esprit particulier (en allemand, le neutre existe, effectivement). Croire que la langue n'est pas un outil de représentation sociale est un peu naïf, quand même...Mr.Smooth a écrit :Arrrg "auteure"
C'est un auteur ou une auteur. Auteure c'est un canadianisme.
Auteur est un mot neutre, comme professeur.
Madame la professeur. Pas madame la professeurE.
A la limite "écrivaine".
Pourquoi pas Auteur-e. Aussi. Mais la c'est de la pique gratuite haha.
On n'a pas eu besoin du féminin du mot "auteur" pendant des années parce que les seuls auteurs lus et respectés étaient des hommes. Il n'y a rien d'aberrant à ce qu'on fasse évoluer la langue et qu'on permette à des mots de se féminiser.
Tu n'es quand même pas sans ignorer que la majorité des magazines féminins passe son temps à expliquer aux femmes comment plaire aux hommes — qu'il s'agisse des vêtements à porter, des régimes à faire, ou même de psychologie ("comment réagir si mon mec regarde d'autres filles ?" et autres fadaises) ou de sexualité.Automatic a écrit :Je suis tellement d'accord avec ça... Et à vrai dire le reste de ton message Spring a une logique qui semble assez implacable, mais quelque chose me chiffone malgré tout quand on place tout ça dans un cadre féministe. On peut dire que le féminisme ce serait s'émanciper de cette situation et faire des efforts pour devenir meilleures aux yeux des hommes, mais je n'ai pas l'impression que c'est comme ça que ça se passe du tout.
J'ai l'impression que plus la culture est féministe et moins les femmes font d'efforts à vrai dire, comme si elles revendiquaient le droit d'"être elles mêmes et juste ça, pour toujours".
Ca en fait de grosses paresseuses en réalité.
J'avais vu ce reportage russe ou les filles apprenaient à marcher avec des talons, se tenir droites et être féminines, bref à répondre aux envie stéréotypées des hommes. C'est caricatural et critiquable, et je comprends que les femment veuillent s'émanciper de ça, mais en le remplaçant par quoi ? Par des chips et des séries ? Les besoins des hommes sont trop nuls pour qu'on essaie d'y répondre ?
Si tu regardes FTS ou les milliers d'autres forums similaires de par le monde, tu trouves des mecs qui veulent se relooker et apprendre quelques techniques certes, mais aussi remettre leur vie en place en faisant du théatre, des arts martiaux, de la méditation, devenir leur propre boss, se cultiver, comprendre en profondeur la psychologie de l'autre, manger sain, lire Nietsche, lire des romans pour gonzesses... Tout ça avec l'idée d'améliorer leurs relations avec les femmes en augmentant leur valeur. Dites moi si je me trompe, mais je pense qu'absolument rien de similaire n'existe de l'autre coté, not even close. Je vais même faire le mauvais esprit et dire que je mange ma chemise si la section girls only de FTS me dément (tenez moi au courrant si j'ai tort).
Je te recite pour la forme:Si répondre aux envies des hommes et augmenter sa valeur est vu comme de la soumission, le féminisme n'arrange pas les choses. Je pense que le problème va au delà du slut shaming, et manifestement dans ton exemple, le fait qu'elles n'abordent pas elles même les hommes n'est pas le problème fondamental. En Norvège les filles ont passé ce cap, elles sont devenues les grosses nazes bourrées qui abordent les mecs, avec un coté girls just wanna have fun à l'américaine, let's get drunk and party and kiss random dudes wooooo empowerment. Pas sûr que ça soit tellement un pas en avant.qu'est-ce que l'on a proposer à l'autre?" De la joie de vivre, des voyages, l'assurance de ne jamais s'ennuyer, des émotions fortes, du calme et de la sérénité, de la fantaisie sexuelle, faire découvrir la haute montagne ou le bas-moyen âge... Ça peut être tout et n'importe quoi, mais ça doit être quelque chose.
Et ça, ça existe depuis bien plus longtemps que les communautés de séducteurs sur le web qui conseillent aux hommes de bien se fringuer et de lire de bons bouquins.
En réalité, tu prends le problème à l'envers : la pression qui pèse sur le corps des femmes est une réalité assez ancienne et qui ne s'exprime pas que dans le cadre de la séduction. Forcément, quand le féminisme a commencé à se développer, il a simplement voulu rappeler que la féminité, ce n'est pas forcément le conformisme à des normes établies. Permettre aux femmes de devenir des individus à part entière, c'était d'abord leur dire qu'elles n'étaient pas obligées de toutes se ressembler — ce qui ne signifie pas qu'il ne faille pas prendre soin de soi, d'ailleurs, mais qu'on peut le faire comme on le désire.
De manière plus générale, est-ce que pour séduire, il faut se renier et se conformer aux attentes de l'autre ? Moi ce que j'aime dans la séduction, c'est quand on me surprend. Je n'aime pas sortir toujours avec les mêmes genres de personnes, parce que ça ne m'intéresse pas. Du coup, je pense qu'un mec aurait bien du mal à se conformer à mes "attentes" puisque je n'en ai pas.
Je crois qu'il est effectivement essentiel de se cultiver et de développer sa personnalité — mais avant tout pour soi. Lire des bouquins pour séduire des nanas, c'est quand même un peu triste. De la même manière que de mettre de jolis vêtements uniquement pour l'autre est un peu triste : si on n'est pas capable de se regarder soi-même, d'apprécier son propre reflet, alors quel intérêt ?
D'ailleurs, je ne suis pas sûre que tous les mecs aient envie de filles tentant de "correspondre à leurs attentes"...
En fait vous savez quoi, j'admets qu'il existe peut être une manière efficace de le faire, mais je ne la connais pas... C'est effectivement incontestablement logique qu'en multipliant les opportunités et en minimisant le temps perdu tu augmentes l'efficacité, c'est juste que je vois mal une fille réellement utiliser cette approche, donc je donne un conseil qui me semble plus réaliste et qui mènera à moins d'interractions bizarres et de traumatismes psychologiquesBlusher a écrit :Ce n'est pas se tirer une balle dans le pied. Celle qui aborde un mec et qui se rend compte qu'il est con comme une souche d'arbre pourra abréger la conversation. (une autre compétence primordiale pour les hommes comme pour les femmes, se désengager quand on est en face d'un boulet)La séduction c'est difficile pour beaucoup, alors si tu es une fille qui cherche un mec et que tu rompts tous les codes, tu te mets une balle dans le pied. L'exemple que donne Amelia montre que c'est ce qui se passe...

Tu parles ensuite d'approches non verbales, pour celles ci je te suis à 100%.
Très intéressant, il y a donc tout à fait une place pour un game féminin (ça ne fait pas l'unanimité).d'autre part ce ne sont pas les personnes les plus belles qui ont le plus de succès mais les personnes qui envoient le plus régulièrement les dits signaux.
J'ai fait une soirée à Amsterdam, ou je me suis pris rateau sur rateau, jamais méchant, mais très dur des les isoler de leur groupe et de connecter plus loin que le flirt superficiel. On parle juste d'un sample d'une quinzaine d'opens mais quand même, j'ai trouvé le field difficile, les touristes étaient 10 fois plus open... Si c'est représentatif du terrain je les comprends un peuLe problème que rencontrent de plus en plus de femmes aux Pays-Bas ar exemple c'est que même après plusieurs contacts visuels soutenus, les hommes n'osent toujours pas venir à elles. Ou alors ils se décident quand ils sont à 2 grammes et il n'en reste plus grand chose.

Celà mis à part, effectivement, si les hommes n'open plus du tout ça a du sens que les femmes s'y mettent si elles veulent un peu d'action.
Tu parles ici du look et de l'équivalent du game. Toutes ces gimmicks pour femmes n'augmentent pas leur valeur. Ce sont juste des techniques de micro management. Je disais qu'en plus de ces techniques, les hommes avaient plus souvent que les femmes tendance à faire des efforts à long terme pour leur développement.Luxisbon a écrit :Tu n'es quand même pas sans ignorer que la majorité des magazines féminins passe son temps à expliquer aux femmes comment plaire aux hommes — qu'il s'agisse des vêtements à porter, des régimes à faire, ou même de psychologie ("comment réagir si mon mec regarde d'autres filles ?" et autres fadaises) ou de sexualité.
Et ça, ça existe depuis bien plus longtemps que les communautés de séducteurs sur le web qui conseillent aux hommes de bien se fringuer et de lire de bons bouquins.
Si je rencontre une fille qui a vécu 2 ans en Australie pour observer des koalas, qui fait un type de capoera spécial que je ne connais pas basé sur de la musique ternaire à 300 bpm, passionnée d'une branche de la psychologie dont je n'ai jamais entendu parler, je serai surpris, et elle correspondra à mes attentesDe manière plus générale, est-ce que pour séduire, il faut se renier et se conformer aux attentes de l'autre ? Moi ce que j'aime dans la séduction, c'est quand on me surprend. Je n'aime pas sortir toujours avec les mêmes genres de personnes, parce que ça ne m'intéresse pas. Du coup, je pense qu'un mec aurait bien du mal à se conformer à mes "attentes" puisque je n'en ai pas.
