Re: L'histoire d'un Belge
Posté : 29.03.16
La partie avec l'Américaine.
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La veille du close, on avait passé une soirée à plusieurs, dont elle.
Ça parlait politique et autres joyeusetés du genre. Honnêtement, j'en avais rien à cirer (merci alcool + anglais
).
Je parlais peu.
Et si j'ai pas envie de parler, je le fais -réellement- pas. Ça ne signifie pas pour autant que je m'ennuie. Je peux passer une bonne soirée à écouter et ne rien dire.
C'est troublant quand on ne me connait pas. Genre je n'ai pas d'opinions et/ou je capte quedal.
Donc, l'Américaine "s'inquiétait" un peu et essayait de me faire parler, mais sans plus de ma part.
Le lendemain, on décide de se poser dans un bar à trois, étant samedi et la dernière soirée à Copenhague du Japonais et moi.
On discute énormément.
Politique, vision collective et individuelle de la société, environnement, sujets plus légers... blablabla.
Et là, l'Américaine me dit qu'elle est "so surprised" par mes discours, même si je galère parfois à m'exprimer avec mon anglais foireux.
Elle me regarde avec plus d'insistance.
Je vais la faire courte, ça me fait chier d'écrire quand ça m'inspire pas. Surtout sur un téléphone.
A un moment, le Jap' se barre aux wc.
J'en profite pour la faire jouer a un combat de pouces (j'avais déjà instauré du tactile avant).
Nos regards indiquent que c'est okay pour s'embrasser, mais je dois avouer un blocage à le faire. Par manque d'audace. Parfois ça arrive.
Donc, je ne fais rien.
Et c'est là qu'elle s'avance pour m'embrasser.
En gros, la soirée est faite de ça.
Bières, discussions à trois et câlins. On a même finish dans une soirée étudiante danoise. Prix des bières 4 fois moins chères haha (et ça douille, ce pays).
On rentre à l'auberge. Ça part en couille avec la fille.
Elle ne désire pas de sexe sans protection. Et c'est bien. On reste sur des préliminaires bien cochons, une petite heure (toujours un risque, ceci dit).
Honnêtement, elle s'y prenait comme un manche. J'essayais de la guider, mais c'était pas trop ça.
Ceci dit, c'est toujours plus intéressant que de rester chez soi à pleurer comme une merde.
Voilà en gros.
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La suite sera le début en Écosse, avec quelques rencontres, histoires et pensées personnelles intéressantes.
See ya'.
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La veille du close, on avait passé une soirée à plusieurs, dont elle.
Ça parlait politique et autres joyeusetés du genre. Honnêtement, j'en avais rien à cirer (merci alcool + anglais

Je parlais peu.
Et si j'ai pas envie de parler, je le fais -réellement- pas. Ça ne signifie pas pour autant que je m'ennuie. Je peux passer une bonne soirée à écouter et ne rien dire.
C'est troublant quand on ne me connait pas. Genre je n'ai pas d'opinions et/ou je capte quedal.
Donc, l'Américaine "s'inquiétait" un peu et essayait de me faire parler, mais sans plus de ma part.
Le lendemain, on décide de se poser dans un bar à trois, étant samedi et la dernière soirée à Copenhague du Japonais et moi.
On discute énormément.
Politique, vision collective et individuelle de la société, environnement, sujets plus légers... blablabla.
Et là, l'Américaine me dit qu'elle est "so surprised" par mes discours, même si je galère parfois à m'exprimer avec mon anglais foireux.
Elle me regarde avec plus d'insistance.
Je vais la faire courte, ça me fait chier d'écrire quand ça m'inspire pas. Surtout sur un téléphone.
A un moment, le Jap' se barre aux wc.
J'en profite pour la faire jouer a un combat de pouces (j'avais déjà instauré du tactile avant).
Nos regards indiquent que c'est okay pour s'embrasser, mais je dois avouer un blocage à le faire. Par manque d'audace. Parfois ça arrive.
Donc, je ne fais rien.
Et c'est là qu'elle s'avance pour m'embrasser.
En gros, la soirée est faite de ça.
Bières, discussions à trois et câlins. On a même finish dans une soirée étudiante danoise. Prix des bières 4 fois moins chères haha (et ça douille, ce pays).
On rentre à l'auberge. Ça part en couille avec la fille.
Elle ne désire pas de sexe sans protection. Et c'est bien. On reste sur des préliminaires bien cochons, une petite heure (toujours un risque, ceci dit).
Honnêtement, elle s'y prenait comme un manche. J'essayais de la guider, mais c'était pas trop ça.
Ceci dit, c'est toujours plus intéressant que de rester chez soi à pleurer comme une merde.
Voilà en gros.
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La suite sera le début en Écosse, avec quelques rencontres, histoires et pensées personnelles intéressantes.
See ya'.