kushi59 a écrit :Mais je ne vois pas ce que tu comprends pas...
Du coup nous sommes tout les deux en train de ne pas comprendre l'autre je pense.
Je dis juste qu'un sédentaire, qui se met au sport, son taux de testostérone va augmenter, même si il se met en hypocalorie. (Principe de l'effet débutant en musculation)
Ce n'est pas si j'ai dit qu'être en hypocalorie nuisait à la synthèse de testostérone que j'ai dit que l'un ne pouvait aller sans l'autre. "Ne pas être en hypocalorie", n'est pas forcément nécessaire pour ne pas avoir plus de testo. J'ai jamais dit que les deux étaient contraire.
J'avais dit :
"Entrer en phase hypocalorique, c'est précisément ce qu'il ne faut pas faire si l'on veut synthétiser un maximum de testostérone."
Tu as dit en réponse :
"Hypocalorie et testostérone ne sont pas
forcément contraire, un gars qui est débutant en sport, pourra très bien avoir un taux plus haut que lorsqu'il était sédentaire même en étant en hypocalorie."
Vois-tu où je trouve le problème ? C'est que ce que j'ai dis, c'est exactement ce que tu raconte là, et pourtant, tu use de "forcément", "pourra", comme si tu voulais me montrer une faute. Je suis pour la pédagogie, mais mette un "en effet" éviterait les problèmes. Quand quelqu'un écrit des mots pour "nuancer" mes propos ("ne sont pas forcément"), et qu'il répête la même chose que ce que j'ai dit, tout me porte à penser qu'en voulant me contredire il dit autre chose que ce que j'ai moi-même dit, et ainsi j'étais persuadé que tu voulais dire pas là même au travers de ta phrase.
Cela revient un peu, en somme, à me faire une "grimace" de désapprobation, via ton discours, pour en fait me répêter ce que j'ai moi-même dit.
Ainsi je me suis méfié de toutes tes phrases et me suis demandé quand est-ce que tu voulais vraiment (légitimement

), me contredire.
Pour ce qui est de l'alcool, je trouve qu'il est peu fiable de le défendre. Même si comme tu le dis le polyphénols (je ne connais pas), serait bénéfique à l'homme (dans le vin), il faut rappeller que l'alcool est nocif dans l'absolu. Et plus pragmatiquement, l'alcool peut se révêler être un poison pour certaines personnes. Les Indiens d'Amérique adaptés à la société américaine, par exemple, était très contrarié dès le premier "verre", et la surmortalité qu'a provoqué l'alcool sur eux les ont décimé, littéralement.
C'est bien de dire qu'un verre de vin est bénéfique. Mais l'alcool peut causer de trop lourdes complications, sans compter qu'il induit un élément capital : à chaque fois que tu prend de l'alcool, tu perds une partie de ton libre arbitre. Beaucoup de personnes ne se rendent pas compte, mais même avec leur quelques verres de vins qu'ils disent controler, ils se font du mal. Demande-toi pourquoi les contrôles d'alcolémies sont si sévères. Un peu plus d'un verre pour une grande majorité, et tu es déjà considéré comme dangereux. Sans compter certains facteurs qui augmentent ta sensibilité à l'alcool. Fatigue, stress, hypertension.
Ne jamais boire d'alcool, c'est précisément la sage décision, parce-que le simple fait que ça nous fasse perdre partie de notre libre arbitre (scientifiquement prouvé), c'est...
Bref ça comporte trop de risques en perspectives, et je pense bien que l'on peut aisément tirer bien plus de bénéfices en buvant autre chose que de l'alcool.
Maintenant pour se faire plaisir, d'accord. Mais dire du bien de l'alcool, étant donné qu'il est associé le plus souvent à des produits peu adaptés à l'homme (la bière est trop lourde), c'est précisément manquer de réalisme. Le vin ça à l'air cool, mais c'est même pas un vrai ami de la santé humaine.