Re: Oldboy : Objectif boules.
Posté : 13.08.13
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Trop pas,tu deviens un Parangon de vertu à force,mec !n outre, y'a un effet pervers à trainer avec des nanas chez moi. Par peur, paresse, ou je ne sais quoi, je m'amourache de plus ou moins n'importe laquelle d'entre elles, même si elle me déplaît fortement à la base. C'est un peu comme si je fantasmais sur du JnB car pas cher et toujours auprès de moi alors que ce qu'il me faut, ce qui me fait vraiment envie, c'est un Caol Ila.
Les amis, je suis content. C'était délicieusement chaste et adolescent. Adolescent, car je n'avais plus éprouvé des sensations pareilles depuis mon premier baisé, il y a de ça 10 ans. Et j'ai l'impression que ça m'a rendu quelque chose. Pas mes deux grosses burnes, certainement. Mais aux moins un morceau.Hier, donc, j'ai revu cette nana. 2 mois qu'on s'étaient pas croisé, donc on a logiquement descendu une bouteille de whisky à 4h de l'après midi, puis on est aller marcher. Pas pour profiter de l'air nocturne, mais pour que son envie de gerber lui passe.
Comme j'étais d'humeur joyeuse, on a fait des trucs rigolos, comme se toucher le cul mutuellement, essayer d'entrer ( et presque y parvenir) par effraction dans l'entreprise ou on bossaient ensemble, et tout.
Nos discutions étaient normales, habituelles. Elle ma dit que je comptais trop pour elle, qu'elle me voyait plus comme un frère qu'autre chose, que j'étais son pote gay.
son pote gayJ'ai légèrement tiqué, je lui ais demandé si elle touchait tout ses potes gays, elle ma demandé pourquoi je m'énervais, pourquoi à chaque fois qu'on se prenait une cuite je rentrais fâché.SON POTE GAY
Les autres fois, je la jouais à la dur. Je restais mystérieux, brun ténébreux, et tout. Et je rentrais frustré, marchant 3h en me traitant de lâche, de merde, et finissais par tabasser un mur. J'ai jamais gagné contre un mur.
Donc là, franchement bourré, franchement fâché, j'ai joué la carte de la franchise. En partie.
Je lui ais dis, en substance, que j'avais plus mes couilles. Que j'osais plus faire le premier pas avec les filles. Que je pensais avoir perdu mon charme, ou que je m'étais créé l'illusion d'en avoir jamais eu un. Elle a prit à coeur le problème, en me brossant des théories comme quoi j'étais bogoss, intelligent et tout le blabla. Mais qu'importe, j'étais saoulé, et je regrettais déjà d'avoir ouvert ma gueule, donc on a pris le chemin du retour.
On a continué a parler de ça. Elle marchait à mon bras, en me brossant un portrait flatteur et amical, comme quoi j'avais aucune raison de pas avoir confiance en moi, qu'il faut se lancer etc. A un moment, je me suis arrêté et j'ai du sortir un truc vachement émouvant et beau, genre vraiment quoi, car elle s'est figée, ma pris par les épaules, a approché son visage du mien et ...
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Et j'ai fait un faux mouvement et lui ais mis un coup de boule dans le tarin. Sérieux. Y'avais un truc, je le sentais, et je l'ai foiré par maladresse, à coup de front dans le nez. Il restait 20m de chemin sombre avant d'arriver chez elle. Ça ma mis en panique. Je me suis dis, c'est trop con.
C'est vraiment trop con, Oldboy, encore un instant T de foiré, encore combien d'années à culpabiliser sur des actes manqués? J'avais la nana face à moi, je suais, j'avais l'impression d'avoir une chaîne qui m'empêchait d'approcher mon visage du sien, sans déconner. J'ai pesé le pour et le contre, froidement pour une fois. Pendant aux moins 5 minutes, en calculant l'angle d'approche facial adéquat, en essayant de la mettre d'humeur par des mots magnifiques et stupides. Puis, enfin, après plus de 2 ans, 5 si je compte mes 3 ans en couple, j'ai arrêté de penser.
Kissclose
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Alors certes, ce ne fut qu'un smack, un bref effleurement de lèvres. Toute de suite après, elle ma pris dans ses bras, nichant sa tête au creux de mon épaule. Aux moins, j'ai pas pris de claque.
Par contre, elle a du me prendre pour un malade, un peu. Car immédiatement, je me suis couché dans l'herbe, je me suis allumé une clope, et je l'ai fumée tranquillement en rigolant tout seul. Je rigolais, car je sentais que quelque chose avait bougé en moi. Et pas dans mon slip.
Je l'ai raccompagnée chez elle. Sur le chemin, elle a prit mon geste à la légère, façon " si je peux te rendre service ". Elle me disait qu'elle aimait sa solitude, qu'elle avait pas embrassé un mec depuis son ex, deux années auparavant.
Arrivé devant chez elle, on s'est posé sur un banc. Et j'étais différent. Un peu de ce que j'avais pu être semblait revenu. Sur le banc, donc, nous étions assis, dans le noir. Tout en tenant un discours léger et ironique sur ma personne, le pote gay qui l'embrasse, j'ai passé ma main droite sur son épaule, dans ses cheveux. Elle s'est nichée sur moi, ses jambes sur les miennes. Ma main gauche, elle errait doucement de ses cuisses à ses fesses. Elle ne s'en formalisait pas et, quand par jeux, je la retirait, la sienne revenait enlacer mes doigts.
Au bout d'un moment, hésitant à tenter à nouveau ma chance mais ne voulant pas trop tirer le tigre par la queue, j'ai décidé de partir. Elle ma raccompagné au bout de la rue, calmement. On a parlé un peu de la soirée, elle voulait mettre les choses au point. Elle ma collé une bise sur la joue
pour me dire aurevoir. Et là, plus encore que lorsque je me suis lancé, plus encore que quand je jouais de son hésitation sur le banc, l'ancien moi à surgit.
Après qu'elle m'aie collé une bise, j'ai eu un petit ricanement, je l'ai attrapée par la nuque et à nouveau, kissclose, plus long cette fois-ci. Puis je l'ai regardée dans les yeux, je lui ais sortis " allons, c'était à peine moins chaste que le tiens" et je suis rentré chez moi.
On est donc dans la même classe, toujours ensembles, vu qu'elle n'aime pas trop se mêler aux autres. Et là, moi non plus, en fait. En classe préparatoire, j'étais sociable car Ch ne l'était pas. Donc je l'avais " pour moi ". Mais depuis cette rentrée, les gens lui parlent. Donc je suis ultra glacial avec eux, je me suis pas fait un seul pote depuis septembre. Pour cette unique raison. Car j'veux pas qu'on approche ce qui est " à moi ". Vous voyez le niveau?Ch, 21 ans, blonde. Était avec moi l'année passée en classe préparatoire et se retrouve maintenant à l'uni dans ma classe. Caractère et personnalité " particulière " , comme j'aime. Look atypique, grande gueule, extrêmement exclusive dans l'attention qu'elle accorde, très difficile avec les mecs ( elle doit baiser autant que moi, c'est dire ) extravertie dans le comportement mais totalement glaciale et opaque sentimentalement ( ne supporte limite pas qu'on la touche, qu'on montre le moindre signe d'affection) Je suis devenu pote avec. Rétrospectivement, je pense que j'ai activement cherché à me rapprocher d'elle. On a fini par se voir, réviser ensemble, faire des trucs ensemble les week-end, a deux ou avec son inséparable sœur.
Et là, ce fut l'explosion. Elle m'a hurlé dessus qu'en effet, je devrais prendre un taxi, ma demandé ce que j'attendais pour dégager, que j'étais trop con, que le mec nous a raccompagné à la gare car il s'inquiétait vu que j'étais apparemment trop ivre.j'aurais du prendre un taxi, tu me causes pas.
Si je peux aider... il faut bien que mes erreurs servent...Oldboy a écrit :Merci beaucoup Outkast, j'ai relu ton poste plusieurs fois. Il est bluffant de pertinence et je suis effectivement incapable de prendre du recul.
Elle te rend service, elle montre à quel point elle te mérite pas. Elle est ridicule, elle se vexe à fond parce que tu étais bourré, et elle fait des choses mesquines.Du coup, et comme de juste, la nana aujourd'hui aux cours était courtoise mais glaciale. Elle s'est assise à ma table mais à bonne distance, en interposant un sac à main protecteur sur la chaise du milieu, entre nous, comme un genre de mur-anti-nullard.
Elle m'a dit texto qu'elle n'avait pas envie de me parler. Evidemment. Elle est vener, se sens déçue / trahie / effrayée ou autre, ce que je savais. Je pouvais pas ignorer ça. Elle a d'ailleurs passer la pause avec d'autres pendant que moi, je la passais tout seul. Passablement mécontent d'ailleurs, j'ai tenu une matinée avant de rentrer.
?Donc, dans mon cerveau tortueux et alcoolisé, j'ai échafaudé le plan suivant :
1. Je viens de lui envoyer un message ( oui, un message ) courtois, se voulant spirituel et assez long pour expliquer en gros que j'ai été con, que j'étais bourré, que les-choses-sont-compliquées-pour-moi-ces-temps et que l'allais régler ça. Et que si on faisait comme si rien ne s'était passé, ça serait cool.
[/quote]2. Une fois qu'elle sera calmée et que les choses redeviendront peu ou prou comme avant ( et il faut impérativement que ce soit le cas ) je vais sarger la classe. Pas les moeufs, la classe. Toute ma classe, comme j'ai su le faire, comme j'ai appris à le faire, pour être sociable, sympa et désiré.
Et ainsi ne plus m'isoler avec elle car comme tu l'as très, très justement fait remarquer Outkast, elle est exclusive. Et je vais me faire exclure, si je puis dire, sous peu, si ça continue.