Salut à vous !
Aujourd'hui, Chapitre assez spécial.
Chapitre 12 : Oh ... You touch my ding ding dong.
Récemment, j'ai eu des emmerdes avec une fille, une certaine I., comme vous le savez surement.
Il y a peu de temps, on a discuté, et ça s'est embourbé. Bref, après une discussion houleuse par Sms, elle m'a fait la révélation, elle m'a "aimé" physiquement. Ca m'a un peu surprit. On m'a quelques fois dis que j'étais mignon, mais je n'y ai jamais cru. Bref, après quelques allusions, on s'est mis d'accord pour adopter une relation "physique", c'est-à-dire, comme vous l'aurez surement compris, des Fuck Friends.
Bref, je suis assez fier, comme vous pouvez vous en douter.
Je vais donc, et je vous le promets, me remettre en quête de demoiselles, parce que ça fait plusieurs jours, probablement semaines que je n'ai pas été abordé une demoiselle. Du coup, vous vous faites sans doute chier sur ce journal, et cette impression d'écrire pour ne rien dire puisque je ne fais rien m'exaspère.
Et j'ai déjà commencé. Hier, c'était Vendredi, enfin, sauf si je ne vis pas dans le même espace-temps que vous. J'étais à la Fac', mais je ne vous apprends rien. A 16 heures, j'ai décidé de partir, je marchais tranquillement, et quelque chose m'a sauté aux yeux. Sur le rebord bétonné du parking des étudiants, il y avait une jeune femme. Elle était blonde, mince, les yeux dans le vide.
Elle avait l'air d'attendre, je ne saurais dire quoi. Je me suis souvenu d'une chose, je l'avais déjà vu. Une fois. J'étais passé, au même endroit, et je l'avais déjà vu, sans m'arrêter. Mais cette fois, pas question de ne rien faire. Je m'arrête à son niveau. Je me retourne d'un quart de cercle. Comme à Street Fighter. Et j'engage la discussion.
Raven : Bonjour, excuse-moi, je suis sur de t'avoir déjà rencontré.
??? : Je ne crois pas non.
Elle répond d'une façon froide. Ca me désarme tout d'abord. Que faire lorsqu'on combat semble perdu d'avance ? Je n'ai encore pas affronté de cas similaire. Je n'ai donc aucun repère, je pars donc sur ce qui me semble de l'improvisation.
Raven : Je t'assure que l'on s'est déjà rencontré. Je me souviens de toutes les femmes que je rencontre. Tu n'as pas froid ?
??? : Si, mais ma soeur ne va pas tarder à venir me chercher. Dans 5 minutes elle est là, si elle est pas en retard.
J'ai donc 5 minutes pour récupérer son numéro, elle n'a pas l'air intéressée, par ce que je lui raconte. Je sens mal cette interaction.
Raven : Je suis bête ! On ne se connait ni d'Eve ni d'Adam, et je viens te parler sans t'expliquer pourquoi ! En fait, comme tu l'as surement deviné, je suis à la Fac de Droit, et là, je sèche un cours, je me dis donc que je vais passer tranquillement mon après-midi chez moi, et en passant devant le parking, je ne saurais l'expliquer, je tombe sur une fille charmante.
Elle me regarde éberluée. Je dois avouer que ce genre d'approches m'a toujours terrifié.
??? : C'est assez étonnant d'entendre ça ...
Raven : Moi-même je dois t'avouer être étonné aussi. En fait, je n'aborde jamais les demoiselles comme ça, c'est un peu ... spontané.
??? : Ca t'es venu comme ça ? Me dit-elle, d'un air étonné.
Raven : Oui, c'est un peu comme l'envie de fraises chez une femme enceinte tu vois ?
??? : Oui, je vois.
Raven : Je viens de me rappeler qu'un ami m'attend, je suis désolé, je vais devoir y aller ! Allez, au revoir !
??? : Au revoir !
Je choisis de partir, je crois que je ne l'intéresse pas, je préfère sauvegarder ma dignité et ma réputation. C'est un échec, mais je ne le regrette pas.
Bref, depuis que je tiens ce journal, et depuis que je m'intéresse à la séduction, je remarque une chose. Mon regard sur les femmes n'a globalement pas changé, mais sur les hommes, c'est une toute autre chose. Désormais, lorsque je vois des hommes en compagnie de femmes, j'essaye d'observer, qu'est-ce qui marche, qu'est-ce qui repousse les femmes dans le comportement des hommes ? Bref, le mot du jour, c'est observer. Les femmes réagissent différemment, mais je suis sur qu'il y a une "norme" à dégager. Il y a probablement des choses qui plaisent, et qui déplaisent, et je dois réussir à éviter les pièges.
Bref, j'ai passé une journée plutôt sympathique Vendredi. A l'heure où j'écris ceci, il est un peu plus de 21h00, on est Samedi. J'ai reçu il y a une heure ou deux un message d'un de mes vieux amis, qui sort désormais avec une fille que je connais depuis longtemps. Cet ami, il est continuellement en One-Itis. Très souvent à propos de filles à problèmes, comme je l'ai été plus tôt. Certaines femmes ne sont pas toxiques car elles sont attirantes, mais sont attirantes car elles sont toxiques. Bref, l'un de mes meilleurs amis est amoureux d'une fille avec des penchants nymphomanes, et je sais pertinemment que si je lui dis ça, il va me sauter à la gorge.
Donc si vous avez un conseil à ce propos, faites m'en part.
Bref, je vous souhaite une bonne soirée à tous.
C'était la journée la plus normale que j'ai vécu. Parce que oui, il y a des journées normales.
Post Scriptum : Je crois que terminer Kid Chameleon et le Temple de l'Eau de Zelda, c'est à peu près aussi dur que faire intégrer Jynx Maze dans un monastère Mormond. Les mecs qui ont fait les jeux vidéos des années 90 étaient quand même de sacrés salopards.
Raven : The (poor) Catcher in the Rye
Salut à vous !
Pour être honnête, en me levant ce matin, j'avais aucune envie de vous écrire un truc, puisque depuis quelques jours, la situation est un peu plate.
Chapitre 12 : Nevermind.
I. n'est finalement pas ma Fuck Friend, elle est plus versatile qu'un schizophrène. Mais je m'en cogne.
Bref, aujourd'hui, j'avais des T.D, mais manque de bol, ma partenaire de T.D, J., la fille qui m'a mis un râteau en début d'année n'est pas là. Bref, je commence à être assez à l'aise quand je parle aux autres, du coup, lorsque j'arrive dans la salle de T.D, je me place à côté d'une très jolie fille.
Dans ma courte vie, j'ai souvent dragué des petites brunes, un peu plates, ce côté "Presque femme", et là, je me suis trouvé à côté d'une fille aux cheveux ébène longs, avec de jolies fesses rebondies (Le genre qui fait croire à ton esprit que ça fait des bonds quand elle marche) et une poitrine scandaleuse, elle n'était pas en surpoids, mais étonnamment, elle reflétait l'abondance. Chose étrange, quand je l'ai vu, je l'ai trouvé presque féline. Son sourire, son rouge à lèvre rouge, tout ça me faisait présager une fille libérée, et à l'aise avec le sexe. Et la suite donnera raison à cette supposition. Son nom, c'est C., vous ne le savez pas, puisque je me contente d'initiale, mais elle porte le prénom qui me fait le plus fantasmer.
Elle a une sorte de pull qui se prolonge jusqu'à ses jambes, avec des motifs qui ressemblent à ce qu'ont les mecs des Mystérieuses Cités d'Or (Mate moi cette référence, elle est pas magique ?), je lui demande d'où ça vient.
Raven : C'est assez sexy ce truc, ça vient d'Amérique du Sud ?
C. : J'en sais rien. Peut-être du Pérou.
Elle me parle avec un grand sourire, toujours, elle rit à mes blagues. Elle rit d'une façon honnête. Pourtant, je ne suis jamais drôle.
Raven : En fait, si ça se trouve, c'est un chinois ou un mexicain qui les assemble dans sa cave dans le 93 ...
C. : T'es con !
Je me suis évertué à éviter les "^^" jusqu'à maintenant, mais il faut avouer que ça représente assez bien le moment.
On rigole, elle me parle de Katsuni en cours de Droit, je vous jure. J'adore ça.
Elle a des lunettes noires, qui lui vont bien, elle refuse de me les montrer, elle me propose de venir la voir en Amphi' plus tard pour les voir. Je suppose que c'est un perche pour qu'on se revoit, enfin, j'espère. Avec toutes les fenêtres de tir que j'ai raté, je commence à voir des fenêtres partout de peur de rater quoi que ce soit.
Je la complimente sur son physique, elle sourit, elle rit. Elle a le tempérament explosif de l'Amérique du Sud. A un moment, elle lâche l'une des phrases qui m'aura surement le plus marqué.
C. : J'ai envie de te sentir contre moi, et que tu me caresses.
Comme ça. On m'avait prévenu qu'il y avait des filles qui n'étaient pas coincées, mais ça, ça m'a presque tué. Sur le coup, je n'ai pas su quoi répondre. Je me suis contenté de sourire.
Comme vous vous en doutez, j'avais aussi envie de la ë“‘{{¶«¡Ç¡«¶{«¶¡Çøøøø«¶{‘‘¶««“ë{¶«¡ÙÙÙô÷………÷≠÷ôÙ@€.
Afin de ne pas heurter la sensibilité de chacun, le monologue cochon a été remplacé par un joli pictogramme des années 2000.
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D'un autre côté, j'ai ouvert un journal pour parler cul sans me faire cogner. Donc j'ai le droit de niquer la moitié de la page pour un pictogramme daubé d'une gonzesse qui ne vaut pas la moitié de ce que vous trouverez sur Google Images. Enjoy :
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Breeeeef, après ce cours, elle s'en va rapidement, à tel point que je ne peux même pas la rattraper. Mais elle m'a situé où elle était en amphi', et a insisté qu'elle voulait que je lui rende visite dès demain.
Bref, j'ai senti une attirance de dingue avec une fille chaude comme la braise, qui change totalement du genre de filles que j'ai dragué avant. Les petites brunes, c'est fini au moins pour le moment, et place à cette beauté aux cheveux ébène, aux formes généreuses, et à la peau couleur soleil.
Je présens que je vais avoir des rapports sexuels avec elle, c'est un pressentiment, inexplicable. Et je sens que ça sera le meilleur coup jusqu'ici.
Je vous tiens au courant.
Bref, c'était la journée la plus remplie en inconnues Hot que j'ai connue.
Pour être honnête, en me levant ce matin, j'avais aucune envie de vous écrire un truc, puisque depuis quelques jours, la situation est un peu plate.
Chapitre 12 : Nevermind.
I. n'est finalement pas ma Fuck Friend, elle est plus versatile qu'un schizophrène. Mais je m'en cogne.
Bref, aujourd'hui, j'avais des T.D, mais manque de bol, ma partenaire de T.D, J., la fille qui m'a mis un râteau en début d'année n'est pas là. Bref, je commence à être assez à l'aise quand je parle aux autres, du coup, lorsque j'arrive dans la salle de T.D, je me place à côté d'une très jolie fille.
Dans ma courte vie, j'ai souvent dragué des petites brunes, un peu plates, ce côté "Presque femme", et là, je me suis trouvé à côté d'une fille aux cheveux ébène longs, avec de jolies fesses rebondies (Le genre qui fait croire à ton esprit que ça fait des bonds quand elle marche) et une poitrine scandaleuse, elle n'était pas en surpoids, mais étonnamment, elle reflétait l'abondance. Chose étrange, quand je l'ai vu, je l'ai trouvé presque féline. Son sourire, son rouge à lèvre rouge, tout ça me faisait présager une fille libérée, et à l'aise avec le sexe. Et la suite donnera raison à cette supposition. Son nom, c'est C., vous ne le savez pas, puisque je me contente d'initiale, mais elle porte le prénom qui me fait le plus fantasmer.
Elle a une sorte de pull qui se prolonge jusqu'à ses jambes, avec des motifs qui ressemblent à ce qu'ont les mecs des Mystérieuses Cités d'Or (Mate moi cette référence, elle est pas magique ?), je lui demande d'où ça vient.
Raven : C'est assez sexy ce truc, ça vient d'Amérique du Sud ?
C. : J'en sais rien. Peut-être du Pérou.
Elle me parle avec un grand sourire, toujours, elle rit à mes blagues. Elle rit d'une façon honnête. Pourtant, je ne suis jamais drôle.
Raven : En fait, si ça se trouve, c'est un chinois ou un mexicain qui les assemble dans sa cave dans le 93 ...
C. : T'es con !
Je me suis évertué à éviter les "^^" jusqu'à maintenant, mais il faut avouer que ça représente assez bien le moment.
On rigole, elle me parle de Katsuni en cours de Droit, je vous jure. J'adore ça.
Elle a des lunettes noires, qui lui vont bien, elle refuse de me les montrer, elle me propose de venir la voir en Amphi' plus tard pour les voir. Je suppose que c'est un perche pour qu'on se revoit, enfin, j'espère. Avec toutes les fenêtres de tir que j'ai raté, je commence à voir des fenêtres partout de peur de rater quoi que ce soit.
Je la complimente sur son physique, elle sourit, elle rit. Elle a le tempérament explosif de l'Amérique du Sud. A un moment, elle lâche l'une des phrases qui m'aura surement le plus marqué.
C. : J'ai envie de te sentir contre moi, et que tu me caresses.
Comme ça. On m'avait prévenu qu'il y avait des filles qui n'étaient pas coincées, mais ça, ça m'a presque tué. Sur le coup, je n'ai pas su quoi répondre. Je me suis contenté de sourire.
Comme vous vous en doutez, j'avais aussi envie de la ë“‘{{¶«¡Ç¡«¶{«¶¡Çøøøø«¶{‘‘¶««“ë{¶«¡ÙÙÙô÷………÷≠÷ôÙ@€.
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D'un autre côté, j'ai ouvert un journal pour parler cul sans me faire cogner. Donc j'ai le droit de niquer la moitié de la page pour un pictogramme daubé d'une gonzesse qui ne vaut pas la moitié de ce que vous trouverez sur Google Images. Enjoy :
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Breeeeef, après ce cours, elle s'en va rapidement, à tel point que je ne peux même pas la rattraper. Mais elle m'a situé où elle était en amphi', et a insisté qu'elle voulait que je lui rende visite dès demain.
Bref, j'ai senti une attirance de dingue avec une fille chaude comme la braise, qui change totalement du genre de filles que j'ai dragué avant. Les petites brunes, c'est fini au moins pour le moment, et place à cette beauté aux cheveux ébène, aux formes généreuses, et à la peau couleur soleil.
Je présens que je vais avoir des rapports sexuels avec elle, c'est un pressentiment, inexplicable. Et je sens que ça sera le meilleur coup jusqu'ici.
Je vous tiens au courant.
Bref, c'était la journée la plus remplie en inconnues Hot que j'ai connue.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Lol le 04.12.12, 22h10 par Snow
- [0] Like ! le 05.12.12, 10h35 par Katsu
- [0] Pertinent le 09.01.13, 20h55 par Aristophane
Bon courage Raven 
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 05.12.12, 09h49 par Raven
ça m’intéresse que tu nous racontes comment vous en êtes arrivés à ce qu'elle te sorte ça. j'imagine que ça n'est pas arrivé de but en blanc mais que vous avez escaladé niveau tension sexuelle ?C. : J'ai envie de te sentir contre moi, et que tu me caresses.
En tout cas ça démonte ;)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 07.12.12, 22h07 par Raven
- [0] Absolument le 09.01.13, 20h56 par Aristophane
Salut à vous !
J'ai fais un peu court, je m'aperçois que ça n'est pas clair du coup. Je n'avais pas envie d'écrire un pavé parce que j'ai l'impression que ça rebute beaucoup les gens à venir lire ce journal, mais comme j'y suis contraint, je n'ai pas le choix. Non, j'déconne, vous pondre un pavé m'emplit de bonheur.
J'en ai parlé avec Y., je vous balance le dialogue, avant de revenir à ce qui s'est passé hier, en détaillant plus la conversation. J'étais crevé après plusieurs heures de T.D, j'avais pas le courage de jouer au scribe.
Bref, ce matin, je vais chercher mon Bac dans mon ancien bahut, et Y. m'accompagne, j'en discute avec lui. Il ne semble pas étonné.
Y. : Mec, j'suis content pour toi, tu découvres les plans cul de la Fac, tu vas voir, tu vas adorer ça, de la pure baise.
Raven : Ouais, enfin, ça me fait un peu flipper.
Y. : Si tu te balades, et une fille canon vient te voir, et te propose de la sauter, tu réponds oui ou non ?
Raven : Oui, je suppose.
Y. : Imagine que t'es cette fille canon, et que le mec que tu dragues, c'est C., elle ne demande que ça.
Raven : Okay ... Et toi, ça avance, avec la fille de ton groupe de T.D ?
Y. : Lentement, mais surement, j'assure le coup.
Raven : Avoue, en fait, t'oses pas te mouiller.
Y. : Mais ta gueule, j'assure le coup j'te dis, la patience, c'est le meilleur moyen de chopper.
Raven : J'croyais qu'il fallait aller vite.
Y. : Pas quand t'es un pro'. Tu vois, la patience, ça s'apprend avec la patience. En gros, les mômes comme toi, ils en ont pas.
Raven : ...
Y. : Tu l'as eu avec quelle mention ton Bac ?
Raven : Aucune, c'est la loose.
Y. : J'avoue, il était donné en plus l'année dernière en S.
Raven : Le pire, c'est que je l'ai eu grâce à la Philo'.
Y. : J'avoue, c'est la loose. On peut faire un détour ? J'dois m'acheter des clopes.
Raven : Et après tu te plains de bouffer des nouilles.
Y. : Vie d'étudiant, pédé.
Bref, revenons aux évènement d'hier, j'ai bien dormi, je vais manger un énorme Kebab, donc je suis prêt à tout vous détailler à l'extrême les p'tits loups.
On a commencé le cours, je me suis installé à côté d'elle, ma camarade habituelle n'étant pas là.
Dés le début, elle me prévient, elle se dit bavarde.
C. : J'te préviens, j'suis bavarde.
Raven : Ca tombe bien, j'adore les filles bavardes.
Au bout de quelques minutes de cours, elle n'a rien dit, elle suit.
Raven : Vilaine fille, tu m'as menti, t'es peut-être mignonne, mais t'es pas bavarde !
Je dis ça avec une petite moue, type garçon innocent tristounet, un effet très "auto-dérision", que j'aime beaucoup.
C. : Pas en cours ! J'veux des bonnes notes. Me dit-elle en rigolant.
Je commence à tripotter son espèce de ... comme un poncho, mais en laine, enfin, j'sais pas si vous voyez à quoi ca ressemble, y'a des motifs type Amérique du Sud dessus.
Raven : Ca vient d'Amérique du Sud ça ?
C. : J'en sais rien du tout, peut-être du Pérou.
Raven : Si ça se trouve, c'est un mexicain ou un chinois qui les fabrique dans sa cave dans le 93, t'imagines !
C. : T'es con !
En dessous de son espèce de poncho laineux, elle a un haut blanc qui laisse vraiment paraître ses formes, avec le décolleté, les manches qui se terminent par un effet dentelle qui montre sa peau couleur soleil.
Raven : Un haut blanc qui laisse tout transparaître, avoue, tu m'érotises ! Encore une fois, je dis ça avec la moue du petit garçon. C'est une façon géniale de faire monter la tension sans pour autant dévoiler ses ardeurs, perso', j'adore.
C. : Pas du tout ! Je m'habille toujours comme ça !
Raven : Ah, le rouge à lèvres c'était pas pour moi non plus ? Oh que je suis triste ...
C. : J'en mets chaque jour, tu n'as jamais remarqué ?
Raven : Mon regard est toujours captivé par autre chose, c'est pas ma faute ...
Elle sourit et on reprend le cours. Plus tard, on parle d'un Cas Pratique en T.D de Civil, le partage du nom. En gros, personne en peut se plaindre que la marque Leclerc par exemple ait le même nom qu'un mec qui s'appelle Leclerc, il n'y a pas de risque de confusion. Et là, C. prend l'exemple d'une histoire dans laquelle une actrice porno' (Elle a dit ça sans aucune retenue, sans gêne, sans rire bêtement, j'ai de suite compris qu'elle avait l'air à l'aise avec le sexe, bien plus que moi.) a versé du blé à une gamine qui portait le même nom.
Elle m'a regardé.
C. : L'actrice, c'est Katsuni, tu vois qui c'est ?
Raven : Ouais, je l'ai rencontré une fois.
C. : Ah bon !?
Raven : Ouais, à un salon ... Mais de Jeux Vidéos, quand j'étais môme, c'est pas ce que tu crois.
On se met à rire.
Plus tard, sans m'en rendre compte, nos jambes se touchent, aucun de nous deux ne brise le contact, c'est plaisant. Je la sens contre moi, j'adore.
Son téléphone vibre plusieurs fois pendant le cours, elle doit avoir la blinde d'amis.
Raven : Tu as tout plein d'amis, ou ton téléphone ne fait pas que téléphone ?
C. : T'es con ! J'ai plein d'amis, c'est tout. Elle rit encore, c'est typiquement le genre de blagues qui peut mettre mal à l'aise pas mal de filles, mais elle non.
C'est notre dernier T.D avec ce chargé, qui est un mec que j'adore. Il nous parle d'une de ses anciennes prof', qui était une vraie sorcière, et là, c'est le drame.
Raven : J'suis sur que y'a une justice, elle est surement morte d'un cancer.
Tout le monde se retourne, me regarde, et éclate de rire, même le chargé de T.D, qui nous incite à respecter les victimes de cette terrible maladie entre deux éclats de rire. A tous ceux qui sont morts à cause de cette saloperie, désolé les gens.
C. sort de son sac une paire de lunettes noires, très tendance, très mignonne.
Raven : J'suis sur que ça te rend encore plus sexy les lunettes, nah ?
C. : J'aime pas les mettre, j'suis sure que ça me fait de gros yeux.
Raven : Laisse-moi juger, allez, met-les, pour me faire plaisir… Encore une fois, moue de petit garçon tristounet, ça marche vraiment bien ça.
C. : Non, pas aujourd'hui. Elle me tire la langue.
Raven : Je me sens triste, j'ai mal ... ici. Je désigne mon coeur en mimant une larme.
C. : Je les mettrais en Amphi' demain si tu veux !
Raven : Pourquoi pas maintenant ?
C. : Mais au fait, dans l'Amphi', tu es tout à droite non ?
A ce moment, ça ne fait qu'un tour dans mon cerveau. Elle sait où je me trouve en Amphi', par une logique implacable, je prends ça pour une marque d'intérêt.
Raven : Oui, et toi, tu es où ?
C. : Au milieu, en haut. Tu n'auras qu'à venir me voir demain, et je te promets que je mettrais les lunettes !
Raven : Ou sinon, je peux te kidnapper, te séquestrer chez moi.
C. : Je fermerais les yeux pour que tu vois pas le résultat !
Raven : Ah, tu parlais encore des lunettes toi ?
Elle comprend de suite, je remarque un petit sourire à peine dissimulé et elle se met à rire.
C. : Tu vas m'empêcher de suivre le cours !
Raven : Mais tu vas me pardonner, non ?
Je pose ma tête sur son épaule.
Raven : Je crois que je suis dans une position adaptée pour la sieste, je peux rester ?
C. : Si on était pas en T.D, tu pourrais venir sur mes jambes si tu veux. Ce sourire, que je l'aimeuh.
Elle rapproche sa chaise de la mienne, je sens que c'est bon pour moi. Je décide d'initier un contact, je pose ma main sur son épaule gauche, c'est-à-dire qu'en fait, je la tiens presque, et lui demande de me détailler un mot au tableau.
C. : C'est responsabilité contractuelle. Il est doux ton Pull.
Elle prend mon bras, et le serre contre elle. Je suis vraiment tenté de me balader non loin de sa poitrine scandaleuse, mais je ne peux pas, F*ck.
Raven : C'est surement un autre chinois du 93 qui l'a fait !
On se rapproche, et quelques minutes plus tard, vint la fameuse phrase. Je crois que j'ai assez détaillé là. Je tiens à préciser que ça n'aurait jamais, au grand jamais marché avec une fille comme I. ou J., cette C. me semble particulièrement ouverte, expérimentée, elle ne se prend plus la tête, elle parle de sexe comme elle peut parler de son poncho laineux, du coup, on se sent à l'aise. C'est la première fois que j'ai l'impression d'avoir une interaction presque "parfaite", et je suis assez heureux que ça se soit passé comme ça.
Bonus : Y. l'a vu et m'a dit qu'elle ne lui plaisait pas du tout. Il aime les filles presque anorexiques, d'ordinaire, j'aime les p'tites brunes, un brin plate, un brin gamine, mais elle, elle m'a tué. Vraiment. Ce corps de femme, ça m'excite beaucoup plus que toutes les gamines avec qui je suis sorti.
Je vous tiens au courant, salut les p'tits loups !
J'ai fais un peu court, je m'aperçois que ça n'est pas clair du coup. Je n'avais pas envie d'écrire un pavé parce que j'ai l'impression que ça rebute beaucoup les gens à venir lire ce journal, mais comme j'y suis contraint, je n'ai pas le choix. Non, j'déconne, vous pondre un pavé m'emplit de bonheur.
J'en ai parlé avec Y., je vous balance le dialogue, avant de revenir à ce qui s'est passé hier, en détaillant plus la conversation. J'étais crevé après plusieurs heures de T.D, j'avais pas le courage de jouer au scribe.
Bref, ce matin, je vais chercher mon Bac dans mon ancien bahut, et Y. m'accompagne, j'en discute avec lui. Il ne semble pas étonné.
Y. : Mec, j'suis content pour toi, tu découvres les plans cul de la Fac, tu vas voir, tu vas adorer ça, de la pure baise.
Raven : Ouais, enfin, ça me fait un peu flipper.
Y. : Si tu te balades, et une fille canon vient te voir, et te propose de la sauter, tu réponds oui ou non ?
Raven : Oui, je suppose.
Y. : Imagine que t'es cette fille canon, et que le mec que tu dragues, c'est C., elle ne demande que ça.
Raven : Okay ... Et toi, ça avance, avec la fille de ton groupe de T.D ?
Y. : Lentement, mais surement, j'assure le coup.
Raven : Avoue, en fait, t'oses pas te mouiller.
Y. : Mais ta gueule, j'assure le coup j'te dis, la patience, c'est le meilleur moyen de chopper.
Raven : J'croyais qu'il fallait aller vite.
Y. : Pas quand t'es un pro'. Tu vois, la patience, ça s'apprend avec la patience. En gros, les mômes comme toi, ils en ont pas.
Raven : ...
Y. : Tu l'as eu avec quelle mention ton Bac ?
Raven : Aucune, c'est la loose.
Y. : J'avoue, il était donné en plus l'année dernière en S.
Raven : Le pire, c'est que je l'ai eu grâce à la Philo'.
Y. : J'avoue, c'est la loose. On peut faire un détour ? J'dois m'acheter des clopes.
Raven : Et après tu te plains de bouffer des nouilles.
Y. : Vie d'étudiant, pédé.
Bref, revenons aux évènement d'hier, j'ai bien dormi, je vais manger un énorme Kebab, donc je suis prêt à tout vous détailler à l'extrême les p'tits loups.
On a commencé le cours, je me suis installé à côté d'elle, ma camarade habituelle n'étant pas là.
Dés le début, elle me prévient, elle se dit bavarde.
C. : J'te préviens, j'suis bavarde.
Raven : Ca tombe bien, j'adore les filles bavardes.
Au bout de quelques minutes de cours, elle n'a rien dit, elle suit.
Raven : Vilaine fille, tu m'as menti, t'es peut-être mignonne, mais t'es pas bavarde !
Je dis ça avec une petite moue, type garçon innocent tristounet, un effet très "auto-dérision", que j'aime beaucoup.
C. : Pas en cours ! J'veux des bonnes notes. Me dit-elle en rigolant.
Je commence à tripotter son espèce de ... comme un poncho, mais en laine, enfin, j'sais pas si vous voyez à quoi ca ressemble, y'a des motifs type Amérique du Sud dessus.
Raven : Ca vient d'Amérique du Sud ça ?
C. : J'en sais rien du tout, peut-être du Pérou.
Raven : Si ça se trouve, c'est un mexicain ou un chinois qui les fabrique dans sa cave dans le 93, t'imagines !
C. : T'es con !
En dessous de son espèce de poncho laineux, elle a un haut blanc qui laisse vraiment paraître ses formes, avec le décolleté, les manches qui se terminent par un effet dentelle qui montre sa peau couleur soleil.
Raven : Un haut blanc qui laisse tout transparaître, avoue, tu m'érotises ! Encore une fois, je dis ça avec la moue du petit garçon. C'est une façon géniale de faire monter la tension sans pour autant dévoiler ses ardeurs, perso', j'adore.
C. : Pas du tout ! Je m'habille toujours comme ça !
Raven : Ah, le rouge à lèvres c'était pas pour moi non plus ? Oh que je suis triste ...
C. : J'en mets chaque jour, tu n'as jamais remarqué ?
Raven : Mon regard est toujours captivé par autre chose, c'est pas ma faute ...
Elle sourit et on reprend le cours. Plus tard, on parle d'un Cas Pratique en T.D de Civil, le partage du nom. En gros, personne en peut se plaindre que la marque Leclerc par exemple ait le même nom qu'un mec qui s'appelle Leclerc, il n'y a pas de risque de confusion. Et là, C. prend l'exemple d'une histoire dans laquelle une actrice porno' (Elle a dit ça sans aucune retenue, sans gêne, sans rire bêtement, j'ai de suite compris qu'elle avait l'air à l'aise avec le sexe, bien plus que moi.) a versé du blé à une gamine qui portait le même nom.
Elle m'a regardé.
C. : L'actrice, c'est Katsuni, tu vois qui c'est ?
Raven : Ouais, je l'ai rencontré une fois.
C. : Ah bon !?
Raven : Ouais, à un salon ... Mais de Jeux Vidéos, quand j'étais môme, c'est pas ce que tu crois.
On se met à rire.
Plus tard, sans m'en rendre compte, nos jambes se touchent, aucun de nous deux ne brise le contact, c'est plaisant. Je la sens contre moi, j'adore.
Son téléphone vibre plusieurs fois pendant le cours, elle doit avoir la blinde d'amis.
Raven : Tu as tout plein d'amis, ou ton téléphone ne fait pas que téléphone ?
C. : T'es con ! J'ai plein d'amis, c'est tout. Elle rit encore, c'est typiquement le genre de blagues qui peut mettre mal à l'aise pas mal de filles, mais elle non.
C'est notre dernier T.D avec ce chargé, qui est un mec que j'adore. Il nous parle d'une de ses anciennes prof', qui était une vraie sorcière, et là, c'est le drame.
Raven : J'suis sur que y'a une justice, elle est surement morte d'un cancer.
Tout le monde se retourne, me regarde, et éclate de rire, même le chargé de T.D, qui nous incite à respecter les victimes de cette terrible maladie entre deux éclats de rire. A tous ceux qui sont morts à cause de cette saloperie, désolé les gens.
C. sort de son sac une paire de lunettes noires, très tendance, très mignonne.
Raven : J'suis sur que ça te rend encore plus sexy les lunettes, nah ?
C. : J'aime pas les mettre, j'suis sure que ça me fait de gros yeux.
Raven : Laisse-moi juger, allez, met-les, pour me faire plaisir… Encore une fois, moue de petit garçon tristounet, ça marche vraiment bien ça.
C. : Non, pas aujourd'hui. Elle me tire la langue.
Raven : Je me sens triste, j'ai mal ... ici. Je désigne mon coeur en mimant une larme.
C. : Je les mettrais en Amphi' demain si tu veux !
Raven : Pourquoi pas maintenant ?
C. : Mais au fait, dans l'Amphi', tu es tout à droite non ?
A ce moment, ça ne fait qu'un tour dans mon cerveau. Elle sait où je me trouve en Amphi', par une logique implacable, je prends ça pour une marque d'intérêt.
Raven : Oui, et toi, tu es où ?
C. : Au milieu, en haut. Tu n'auras qu'à venir me voir demain, et je te promets que je mettrais les lunettes !
Raven : Ou sinon, je peux te kidnapper, te séquestrer chez moi.
C. : Je fermerais les yeux pour que tu vois pas le résultat !
Raven : Ah, tu parlais encore des lunettes toi ?
Elle comprend de suite, je remarque un petit sourire à peine dissimulé et elle se met à rire.
C. : Tu vas m'empêcher de suivre le cours !
Raven : Mais tu vas me pardonner, non ?
Je pose ma tête sur son épaule.
Raven : Je crois que je suis dans une position adaptée pour la sieste, je peux rester ?
C. : Si on était pas en T.D, tu pourrais venir sur mes jambes si tu veux. Ce sourire, que je l'aimeuh.
Elle rapproche sa chaise de la mienne, je sens que c'est bon pour moi. Je décide d'initier un contact, je pose ma main sur son épaule gauche, c'est-à-dire qu'en fait, je la tiens presque, et lui demande de me détailler un mot au tableau.
C. : C'est responsabilité contractuelle. Il est doux ton Pull.
Elle prend mon bras, et le serre contre elle. Je suis vraiment tenté de me balader non loin de sa poitrine scandaleuse, mais je ne peux pas, F*ck.
Raven : C'est surement un autre chinois du 93 qui l'a fait !
On se rapproche, et quelques minutes plus tard, vint la fameuse phrase. Je crois que j'ai assez détaillé là. Je tiens à préciser que ça n'aurait jamais, au grand jamais marché avec une fille comme I. ou J., cette C. me semble particulièrement ouverte, expérimentée, elle ne se prend plus la tête, elle parle de sexe comme elle peut parler de son poncho laineux, du coup, on se sent à l'aise. C'est la première fois que j'ai l'impression d'avoir une interaction presque "parfaite", et je suis assez heureux que ça se soit passé comme ça.
Bonus : Y. l'a vu et m'a dit qu'elle ne lui plaisait pas du tout. Il aime les filles presque anorexiques, d'ordinaire, j'aime les p'tites brunes, un brin plate, un brin gamine, mais elle, elle m'a tué. Vraiment. Ce corps de femme, ça m'excite beaucoup plus que toutes les gamines avec qui je suis sorti.
Je vous tiens au courant, salut les p'tits loups !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Sympa :) le 05.12.12, 12h54 par Cellar Door
- [0] +1 le 10.12.12, 18h00 par Fwi Man
- [0] Encore le 10.01.13, 16h34 par minamimoto
Alala profites bien car jsuis en amphi et zero fille
Vive le monde de l'aeronautique ...
Vive le monde de l'aeronautique ...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord le 15.02.17, 16h51 par valll
tu connais les cités d'or à ton age???
Sinon en réponse à ce que tu as mis sur le Carnet de Cellar Door, tu n'as pas a rougir, tu as déjà 10 x plus d'exp que les jeunes de ton age...
Sinon en réponse à ce que tu as mis sur le Carnet de Cellar Door, tu n'as pas a rougir, tu as déjà 10 x plus d'exp que les jeunes de ton age...
Salut à vous !
Non mais il sait que je déconne, je vais pas le tuer parce qu'il choppe 10 de Score par post et qu'il a baisé 9 fois cette année. Quoique dis comme ça, c'est tentant.
Cellar, si tu me lis, je te promets que je ne te veux que du bien. Si tu meurs, je ne pourrais plus lire ton journal, ma foi excellent.
Il y a des membres comme ça, je ne citerais qu'Olfff, Katsu, Cellar pour qui j'ai un immense respect, je ne pourrais pas les tuer, sinon, je ne pourrais plus lire leurs aventures.
J'ai acquis pas mal d'expérience ouais. Ca me fait plaisir. Maintenant, je donne quelques conseils à mes amis pour leurs propres relations, je suis heureux de les aider un peu, comme Y. m'aide par exemple.
@ faustXIII : Fac de Droit, c'est comme ça. Y'avait aussi Psycho' sinon, ça m'attirait pas mal, mais on m'a dit que certaines étaient un peu folles. Mais j'te rassure, en Droit aussi j'tombe sur des cas qui relèvent de la psychiatrie, en ce moment, je suis en Amphi' avec une fille qui me parle de suicide, et elle m'a convaincue. L'écouter déblatérer ses conneries m'a vraiment donné envie de me jeter par la fenêtre.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Mais j'ai aussi des nouvelles !
Hier, j'avais un Q.C.M en Amphithéâtre, j'y suis allé, et j'ai vu C., elle avait une veste en jean, ses cheveux noirs longs jusqu'au bas de ses reins, du rouge à lèvres qui te donne envie de l'embrasser, et des talons qui soutenaient parfaitement son joli petit derrière rebondis.
Quelque chose qui a changé chez moi, c'est mon regard sur les femmes, je crois. Avant, je n'assumais pas mon désir. Désormais, j'arrive à reconnaître qu'elles m'excitent, tout simplement. Mes cours me servent presque uniquement à ça, fantasmer.
J'ai foiré mon Q.C.M, vu le coefficient de la matière, je m'en fiche. Je pars en quête de la demoiselle couleur soleil. Je la trouve avec une de ses amies, plutôt ... laide.
Raven : Salut toi. Tu m'as toujours pas montré tes jolies petites lunettes.
C. : Je veux pas ...
Raven : Allez, si tu veux je t'aide.
J'attrape la paire, et lui met, doucement.
C. : Ca me fait de gros yeux ... Et on dirait une secrétaire de films porno avec ...
Raven : Moi je te trouve encore plus mignonne. Ca renforce ton regard félin.
Elle rit, en me lançant un regard sensuel. J'adore ça. Tout le contraire d'I. et J., qui ne m'ont jamais donné un quelconque signe d'intérêt. Quand j'y pense, les femmes sont toutes différentes. Certains peuvent vous donner envie de sexe rien qu'en vous regardant, tandis que d'autres peuvent presque vous castrer. C'est vraiment étonnant la puissance d'un simple regard.
Je ne lui ai pas proposé de rencard. Sa copine était avec elle, et elle ne me renvoyait aucunement ma bonne humeur, j'ai senti qu'elle allait clairement me mettre des bâtons dans les roues (Ce que vous appelez communément un "Cockblock" je crois.), je pense que je vais me renseigner sur cette amie, lui présenter un de mes amis, et essayer de devenir son pote, histoire qu'elle m'aide un peu.
Ca peut paraître idiot, mais j'ai plus d'amis. Au lycée, j'avais un noyau dur de trois ou quatre nerdz qui étaient mes potes. Du coup, les sportifs avec des abdos, et les petits bombes, ils étaient pas des mes contacts, mais à la Fac, tout a changé. Du coup, le nombre d'opportunités est multiplié par 10, non, plutôt 100. De mon lycée, je n'ai eu aucune copine. En quatre mois de Fac, je suis sorti avec 2 filles, j'ai eu des relations sexuelles avec une, et je ne sais pas comment ça va aboutir avec C., du coup, je suis fier. Juste fier. Quand j'étais en Seconde, il y a eu une fête costumée. Un de mes amis est arrivé déguisé en fille, et un type un peu abruti m'a fait la remarque suivante :
Type abruti : Tu ferais mieux de tripotter Hervé, c'est le truc le plus ressemblant à une fille que tu vas voir de ta vie. Evidemment suivi d'un rire moqueur.
La haine, ça n'aide pas à avancer, je le sais, mais c'est jouissif de se dire qu'on a réussi à évoluer, et à donner tort à ceux qui nous ont fait du mal.
Pour revenir à ma remarque précédente, il y a plus de monde à la Fac, donc plus de fille, du coup, je m'éparpille un peu, je découvre à peine le monde de la séduction, et ça m'émerveille.
Du coup, il y a une petite Ju. qui me plaît également, elle est très mignonne, et étrangement, elle est gentille avec moi. Elle est gentille avec tout le monde en fait. Je lui parle quelques fois, elle me sourit, je ne sais pas si c'est un signe d'intérêt ou non, je suis un peu perdu quand à elle. Il y a pas mal de garçons qui lui tournent autour, dont certains quand même plus beaux, plus grands, plus âgés, plus expérimentés, plus doués dans les études, plus fortunés. Et pour faire à ça, qu'ai-je ? Ma personnalité vous dites ? C'est bien beau, mais je ne pense pas pouvoir affirmer que celle de ses autres prétendants est inférieure à la mienne. Je suis donc en manque de courage pour l'aborder.
Bref, C., je vais me battre pour avoir la chance de l'emmener dans mon lit. Quant à Ju., je ne sais pas encore ce qui va se passer, j'espère que le destin est avec moi.
Une fois n'est pas coutume, je finirais ainsi.
C'était la journée la plus "Mystérieuses Cités d'Or" que j'ai connu.
Post-Scriptum : Quand j'étais gosse, j'étais amoureux de Zia. Avouez, elle est pas mal.
Oui je connais les Cités d'Or, c'est une longue histoire, je vous conterais ça un autre jour.Siolb a écrit :tu connais les cités d'or à ton age???
Sinon en réponse à ce que tu as mis sur le Carnet de Cellar Door, tu n'as pas a rougir, tu as déjà 10 x plus d'exp que les jeunes de ton age...
Non mais il sait que je déconne, je vais pas le tuer parce qu'il choppe 10 de Score par post et qu'il a baisé 9 fois cette année. Quoique dis comme ça, c'est tentant.
Cellar, si tu me lis, je te promets que je ne te veux que du bien. Si tu meurs, je ne pourrais plus lire ton journal, ma foi excellent.
Il y a des membres comme ça, je ne citerais qu'Olfff, Katsu, Cellar pour qui j'ai un immense respect, je ne pourrais pas les tuer, sinon, je ne pourrais plus lire leurs aventures.
J'ai acquis pas mal d'expérience ouais. Ca me fait plaisir. Maintenant, je donne quelques conseils à mes amis pour leurs propres relations, je suis heureux de les aider un peu, comme Y. m'aide par exemple.
@ faustXIII : Fac de Droit, c'est comme ça. Y'avait aussi Psycho' sinon, ça m'attirait pas mal, mais on m'a dit que certaines étaient un peu folles. Mais j'te rassure, en Droit aussi j'tombe sur des cas qui relèvent de la psychiatrie, en ce moment, je suis en Amphi' avec une fille qui me parle de suicide, et elle m'a convaincue. L'écouter déblatérer ses conneries m'a vraiment donné envie de me jeter par la fenêtre.
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Mais j'ai aussi des nouvelles !
Hier, j'avais un Q.C.M en Amphithéâtre, j'y suis allé, et j'ai vu C., elle avait une veste en jean, ses cheveux noirs longs jusqu'au bas de ses reins, du rouge à lèvres qui te donne envie de l'embrasser, et des talons qui soutenaient parfaitement son joli petit derrière rebondis.
Quelque chose qui a changé chez moi, c'est mon regard sur les femmes, je crois. Avant, je n'assumais pas mon désir. Désormais, j'arrive à reconnaître qu'elles m'excitent, tout simplement. Mes cours me servent presque uniquement à ça, fantasmer.
J'ai foiré mon Q.C.M, vu le coefficient de la matière, je m'en fiche. Je pars en quête de la demoiselle couleur soleil. Je la trouve avec une de ses amies, plutôt ... laide.
Raven : Salut toi. Tu m'as toujours pas montré tes jolies petites lunettes.
C. : Je veux pas ...
Raven : Allez, si tu veux je t'aide.
J'attrape la paire, et lui met, doucement.
C. : Ca me fait de gros yeux ... Et on dirait une secrétaire de films porno avec ...
Raven : Moi je te trouve encore plus mignonne. Ca renforce ton regard félin.
Elle rit, en me lançant un regard sensuel. J'adore ça. Tout le contraire d'I. et J., qui ne m'ont jamais donné un quelconque signe d'intérêt. Quand j'y pense, les femmes sont toutes différentes. Certains peuvent vous donner envie de sexe rien qu'en vous regardant, tandis que d'autres peuvent presque vous castrer. C'est vraiment étonnant la puissance d'un simple regard.
Je ne lui ai pas proposé de rencard. Sa copine était avec elle, et elle ne me renvoyait aucunement ma bonne humeur, j'ai senti qu'elle allait clairement me mettre des bâtons dans les roues (Ce que vous appelez communément un "Cockblock" je crois.), je pense que je vais me renseigner sur cette amie, lui présenter un de mes amis, et essayer de devenir son pote, histoire qu'elle m'aide un peu.
Ca peut paraître idiot, mais j'ai plus d'amis. Au lycée, j'avais un noyau dur de trois ou quatre nerdz qui étaient mes potes. Du coup, les sportifs avec des abdos, et les petits bombes, ils étaient pas des mes contacts, mais à la Fac, tout a changé. Du coup, le nombre d'opportunités est multiplié par 10, non, plutôt 100. De mon lycée, je n'ai eu aucune copine. En quatre mois de Fac, je suis sorti avec 2 filles, j'ai eu des relations sexuelles avec une, et je ne sais pas comment ça va aboutir avec C., du coup, je suis fier. Juste fier. Quand j'étais en Seconde, il y a eu une fête costumée. Un de mes amis est arrivé déguisé en fille, et un type un peu abruti m'a fait la remarque suivante :
Type abruti : Tu ferais mieux de tripotter Hervé, c'est le truc le plus ressemblant à une fille que tu vas voir de ta vie. Evidemment suivi d'un rire moqueur.
La haine, ça n'aide pas à avancer, je le sais, mais c'est jouissif de se dire qu'on a réussi à évoluer, et à donner tort à ceux qui nous ont fait du mal.
Pour revenir à ma remarque précédente, il y a plus de monde à la Fac, donc plus de fille, du coup, je m'éparpille un peu, je découvre à peine le monde de la séduction, et ça m'émerveille.
Du coup, il y a une petite Ju. qui me plaît également, elle est très mignonne, et étrangement, elle est gentille avec moi. Elle est gentille avec tout le monde en fait. Je lui parle quelques fois, elle me sourit, je ne sais pas si c'est un signe d'intérêt ou non, je suis un peu perdu quand à elle. Il y a pas mal de garçons qui lui tournent autour, dont certains quand même plus beaux, plus grands, plus âgés, plus expérimentés, plus doués dans les études, plus fortunés. Et pour faire à ça, qu'ai-je ? Ma personnalité vous dites ? C'est bien beau, mais je ne pense pas pouvoir affirmer que celle de ses autres prétendants est inférieure à la mienne. Je suis donc en manque de courage pour l'aborder.
Bref, C., je vais me battre pour avoir la chance de l'emmener dans mon lit. Quant à Ju., je ne sais pas encore ce qui va se passer, j'espère que le destin est avec moi.
Une fois n'est pas coutume, je finirais ainsi.
C'était la journée la plus "Mystérieuses Cités d'Or" que j'ai connu.
Post-Scriptum : Quand j'étais gosse, j'étais amoureux de Zia. Avouez, elle est pas mal.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Lol le 09.01.13, 21h03 par Aristophane
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Je reviens sur ce passage intéressant.La haine, ça n'aide pas à avancer, je le sais, mais c'est jouissif de se dire qu'on a réussi à évoluer, et à donner tort à ceux qui nous ont fait du mal.
Pour revenir à ma remarque précédente, il y a plus de monde à la Fac, donc plus de fille, du coup, je m'éparpille un peu, je découvre à peine le monde de la séduction, et ça m'émerveille.
Quand j'ai découvert le monde de la séduction, l'été de transition 3e/Seconde, ça m'a fait un effet a peu prés similaire. J'ai senti la puissance déferler dans mes veines, mes yeux devenir rouge, et des dents pointues poussés. Le rire maléfique en plus, l'heure de la revanche arrivait enfin : j'avais des armes destructrices en ma possession, et bien utilisées je deviendrais le meilleur dresseur. (de meuf)
Et c'est ce qui s'est passé. J'ai enchaîné les filles comme personne, et plus que des armes, je me transformais moi même pour révéler un nouveau visage de ma personnalité, plus confiant, plus affirmé, conquérant.
A partir de ce moment la, je me suis soigneusement attaché à corriger tout ce qui m'avait fait défaut par le passé. Mettre sous mon joug les filles qui m'avaient dit non, choper celle que j'aurais jamais osé tenter, et même aller au delà en les envoyant toutes balader. Je me sentais tellement puissant, et j'avais tellement besoin de me le prouver qu'il fallait que je surclasse tout le monde. le nombre de mec cocu par ma faute... (Le nombre de problèmes aussi) Et plein d'autre exactions pour lesquelles j'aurais mérité la prison. (Ou quelques gifles à défaut) Sauf que ce besoin d'être meilleur était une source de confiance, de validation, tel une LSE au masculin, donc nuisible à la longue en plus d'être immoral souvent. Cela dit, je peux pas regretter tout ce que j'ai fais, loin de la. Ça m'a tellement apporté. Il a fallu que je m’affranchisse (tardivement) de ces besoins qui étaient devenus de petites drogues, ce qui n'a pas été facile. (Infidélité chronique...)
En résumé, encore une fois, adage de l'homme araignée : "Un grand pouvoir implique de grande responsabilité." Sois plus malin que moi, et évite les prélis avec la copine d'un de tes potes. (BIG FAIL) Surtout quand tu es en couple toi aussi. (BIGGEST FAIL EVER). (Ça pour le coup je ne le referais pour rien au monde, c'était le paroxysme de cette soif aveugle de conquête.)
Mais désormais tel un jedi, je retourne vers la lumière... La revanche est jouissive, profite, but be careful padawan!
Katsu
Salut à vous !
@ Katsu : Tu m'as filé les larmes aux yeux, je n'attendais qu'une quote de l'homme-araignée sur mon journal, et ça tombe si soudainement ... J'adore.
Le truc, c'est que je n'ai finalement aucun pouvoir. Je me sens plus proche de Kick-Ass que de Spider-Man à vrai dire. Le seul pouvoir que j'ai en partie, c'est celui de choisir. De choisir de se battre avec les armes que j'ai. Sans me faire piquer par une araignée, ou me balader avec une jarre pleine de sable dans le dos et une teinture roux plus que provocante.
J'ai aussi réalisé quelques préliminaires qui ont fini en sucette (Elle te plaît ma sucette ?) avec une fille dont un ami était amoureux (Une fille en couple ? It's a trap !), ça n'était pas réciproque, du coup, je me suis bien mis dans la merde comme un grand. Heu ... Non, comme un gland, oui c'est ça. Evidemment, rétrospectivement (Petit moment que je ne l'avais pas sorti celui-là, il en avait envie.) c'était très con. Mais mon pote l'a bien prit. Il m'a fichu une de ces droite, c'est autre chose que les fillettes de Brokeback Mountain.
Désormais, je ferais attention. Promis. Ton encouragement me fait chaud au coeur, un grand merci.
Et comme tu as balancé des Quotes plus cool que les miennes, j'ai été obligé de trouver un truc qui avait de la gueule :
« Un homme fait ce qu’il a à faire malgré les conséquences sur sa vie, les obstacles, les dangers et la pression ; c’est la base de toute morale humaine. », c'est de John Fitzgerald Kennedy.
L'explication de cette phrase j'attend.
Et enfin, j'ai envie de vous quote l'une des phrases mythiques que Y. m'a envoyé par Sms :
"Le destin, c'est un p'tit gros qui s'astique le manche devant la filmographie de Tori Black pendant qu'il glande sur IRC, en bouffant un Kebab. En gros ? Tu t'en carres du destin. Si tu es face à une bombe, tu fais ce qu'il faut pour la baiser, un point c'est tout.", sympathique, n'est-ce pas ? C'était à propos de Ju., la deuxième fille qui m'attire le plus. Je suis décidément trop bien entouré moi. Maintenant, j'ai plus aucune raison pour pas tremper le biscuit dans mon Amphi'.
Encore merci à tous, ça fait plaisir de voir que le journal vit, il vient de dépasser son mois d'existence il me semble. Ca fait chaud au coeur.
@ Katsu : Tu m'as filé les larmes aux yeux, je n'attendais qu'une quote de l'homme-araignée sur mon journal, et ça tombe si soudainement ... J'adore.
Le truc, c'est que je n'ai finalement aucun pouvoir. Je me sens plus proche de Kick-Ass que de Spider-Man à vrai dire. Le seul pouvoir que j'ai en partie, c'est celui de choisir. De choisir de se battre avec les armes que j'ai. Sans me faire piquer par une araignée, ou me balader avec une jarre pleine de sable dans le dos et une teinture roux plus que provocante.
J'ai aussi réalisé quelques préliminaires qui ont fini en sucette (Elle te plaît ma sucette ?) avec une fille dont un ami était amoureux (Une fille en couple ? It's a trap !), ça n'était pas réciproque, du coup, je me suis bien mis dans la merde comme un grand. Heu ... Non, comme un gland, oui c'est ça. Evidemment, rétrospectivement (Petit moment que je ne l'avais pas sorti celui-là, il en avait envie.) c'était très con. Mais mon pote l'a bien prit. Il m'a fichu une de ces droite, c'est autre chose que les fillettes de Brokeback Mountain.
Désormais, je ferais attention. Promis. Ton encouragement me fait chaud au coeur, un grand merci.
Et comme tu as balancé des Quotes plus cool que les miennes, j'ai été obligé de trouver un truc qui avait de la gueule :
« Un homme fait ce qu’il a à faire malgré les conséquences sur sa vie, les obstacles, les dangers et la pression ; c’est la base de toute morale humaine. », c'est de John Fitzgerald Kennedy.
L'explication de cette phrase j'attend.
Et enfin, j'ai envie de vous quote l'une des phrases mythiques que Y. m'a envoyé par Sms :
"Le destin, c'est un p'tit gros qui s'astique le manche devant la filmographie de Tori Black pendant qu'il glande sur IRC, en bouffant un Kebab. En gros ? Tu t'en carres du destin. Si tu es face à une bombe, tu fais ce qu'il faut pour la baiser, un point c'est tout.", sympathique, n'est-ce pas ? C'était à propos de Ju., la deuxième fille qui m'attire le plus. Je suis décidément trop bien entouré moi. Maintenant, j'ai plus aucune raison pour pas tremper le biscuit dans mon Amphi'.
Encore merci à tous, ça fait plaisir de voir que le journal vit, il vient de dépasser son mois d'existence il me semble. Ca fait chaud au coeur.