Spike une question me brûle les (doigts ?) : à aduler Montherlant et Costals, n'as tu pas peur de t'enfermer, de devenir prisonnier du personnage, de même que les Arlequins' addicts deviennent cuculs, tôt ou tard, et de façon inévitable ?Je me sens très Pierre Costals en ce moment
... même si j'avoue comprendre ce sentiment - ces Hacquebaut : comment leur faire comprendre leur pathétisme ? On ne peut même pas leur faire lire Montherlant : elles n'aimeraient pas (l'éternelle histoire de la pince à sucre) ou ne sauraient pas lire entre les lignes (et s'identifier à Andrée la cruche).Je me sens très Pierre Costals en ce moment
Le plus troublant quand on lit Montherlant, d'après moi : on condamne autant qu'on COMPREND Costals, aussi détestable... qu'il est comme n'importe quelle homme, finalement (la culture en plus peut être ?).
Enfin.
Blusher a écrit :C'est pas ça qui nous ramènera Mike Brant