Re: Mémoires d'AllAndRightNow
Posté : 26.06.16
Je continue le SPU. C’est amusant, et même jouissif, de vivre des situations que j’ai lues sur FTS. Des filles contentes d’être abordées, quand c’est bien fait (ça m’arrive de plus en plus souvent), des filles qui acceptent de me laisser seul 5 min avec ma cible… Un seul numclose depuis la dernière fois, par contre…
Quelques situations :
Vendredi 25 juin
« Excusez-moi, c’est votre amie ?
— Oui.
— Je vais vous l’emprunter, juste cinq minutes, je vous la ramène. »
Elle accepte et s’écarte: encore une première fois depuis que j’ai commencé le SPU. Je m’adresse donc à celle que je n’ose pas appeler ma “cible” (lisez la suite)…
— Je vous ai arrêtée parce que je trouve que vous avez un très beau visage et c’est pour ça que j’ai décidé de faire votre connaissance.
— …
— Je m’appelle All. Et vous ?
— Anne… Mais j’ai 17 ans… »
Samedi 28 juin
Assis à une terrasse j’ai repéré une fille qui passait, je la croise alors qu’elle revient dans ma direction (là, je marche) :
« Excusez-moi, vous n’êtes pas passé dans l’autre sens tout à l’heure ?
— Si, pourquoi ?
— Ben, je suis content de vous retrouver, ce n’est pas vraiment que je vous cherchais [je sais pas si ça le fait de dire ça, en tout cas c’est la vérité], mais j’ai pensé qu’il fallait qu’on fasse connaissance.
— Pourquoi faire ? »
Je suis prêt à improviser quelque chose, mais ne voulant peut-être pas m’embarrasser (?), elle enchaîne : elle a des gens chez elle, elle donne une soirée, elle est pressée.
« Cinq minutes ! » je lui dis. Je ne crois pas avoir employé un ton needy, ça ressemble plutôt à un ordre.
Elle ne peut vraiment pas, mais c’est elle qui propose le numclose, « comme ça on aura le temps une autre fois. » 07 etc… Juliette…
Mince… Je crois rêver.
C’est avec ce genre de situations que je deviens de plus en plus accroc au SPU. Ça se soigne ?
Deux défauts que j’ai identifiés :
— Par moments, je parle trop vite ; c’est à surveiller.
— J’ai tendance à perdre mes moyens quand il y a un passant statique à côté ; c’est encore un manque de confiance en moi à travailler, en abordant des filles dans cette configuration.
— J’aborder les sets de deux, mais j’ai du mal avec les sets de trois.
Encore plein de progrès à faire !
Sinon, je vous raconterai pour Violette, la distributrice de journaux numclosée samedi dernier. Ça semble compliqué.
Quelques situations :
Vendredi 25 juin
« Excusez-moi, c’est votre amie ?
— Oui.
— Je vais vous l’emprunter, juste cinq minutes, je vous la ramène. »
Elle accepte et s’écarte: encore une première fois depuis que j’ai commencé le SPU. Je m’adresse donc à celle que je n’ose pas appeler ma “cible” (lisez la suite)…
— Je vous ai arrêtée parce que je trouve que vous avez un très beau visage et c’est pour ça que j’ai décidé de faire votre connaissance.
— …
— Je m’appelle All. Et vous ?
— Anne… Mais j’ai 17 ans… »
Samedi 28 juin
Assis à une terrasse j’ai repéré une fille qui passait, je la croise alors qu’elle revient dans ma direction (là, je marche) :
« Excusez-moi, vous n’êtes pas passé dans l’autre sens tout à l’heure ?
— Si, pourquoi ?
— Ben, je suis content de vous retrouver, ce n’est pas vraiment que je vous cherchais [je sais pas si ça le fait de dire ça, en tout cas c’est la vérité], mais j’ai pensé qu’il fallait qu’on fasse connaissance.
— Pourquoi faire ? »
Je suis prêt à improviser quelque chose, mais ne voulant peut-être pas m’embarrasser (?), elle enchaîne : elle a des gens chez elle, elle donne une soirée, elle est pressée.
« Cinq minutes ! » je lui dis. Je ne crois pas avoir employé un ton needy, ça ressemble plutôt à un ordre.
Elle ne peut vraiment pas, mais c’est elle qui propose le numclose, « comme ça on aura le temps une autre fois. » 07 etc… Juliette…
Mince… Je crois rêver.
C’est avec ce genre de situations que je deviens de plus en plus accroc au SPU. Ça se soigne ?
Deux défauts que j’ai identifiés :
— Par moments, je parle trop vite ; c’est à surveiller.
— J’ai tendance à perdre mes moyens quand il y a un passant statique à côté ; c’est encore un manque de confiance en moi à travailler, en abordant des filles dans cette configuration.
— J’aborder les sets de deux, mais j’ai du mal avec les sets de trois.
Encore plein de progrès à faire !
Sinon, je vous raconterai pour Violette, la distributrice de journaux numclosée samedi dernier. Ça semble compliqué.