Re: Oldboy : Un nouveau départ ( bis repetita )
Posté : 06.04.19
Ouais faire des montages deguise en John Rambo et tout...
Discussions et conseils sur la séduction et les relations amoureuses
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Le mec s'arrache, au bout de deux heures de ce cirque Mac arrime sa cible vers moi et fait les présentations. Comme ma cible à moi est l'amie de la cible de mon pote, elle arrive. J'apprend qu'elle est finlendaise. J'essaie du mieux que je peux d'établir la connexion, elle dit que j'ai l'air de m'emmerder, je lui dis en anglais que c'est pas ma faute, j'ai un visage qui souris vers le bas. Elle me demande ce que je cherche, je dis que je suis timide, comme tous les Suisses, on parle un peu. Les lumières s'allument, mon pote a pu KS sa cible. Pas moi. J'ai même pas pris le numéro. Physiquement, c'était un coup de coeur et c'est rare, et j'ai rien fait. Je pue la merde. Je pue encore la merde. J'ai claqué 600 balle dans cette soirée pour rien chopper. Je me suis amusé, certes, j'ai un cercle social, certes, mais je suis encore à 1000 lieues de ce que je veux. J'ai pué.La Finlandaise
Pour une fois, j'ai mangé. Repas avec mes amis, à la bien. Quel plaisir de se sentir entouré. On a engouffré des pâtes, avant que Mac, mon collègue natural nouvellement célibataire, nous rejoigne dans un bar a cocktail.Mac est pas venu seul, avec lui il a ramené Toutenkamon, une miss sois-disant rencontrée le week end passé, objectivement assez bonne, qui à ajouté tous mes collègues ( sauf moi ) sur les réseaux sociaux. La miss danse, essaie de faire amis-amis, je la bullshit sur mon nom, elle pue les problèmes, le manque de thune, elle a repéré un groupe de jeunes banquiers et jette le grappin dessus, ça se sent.Pour finir tout le monde s'arrache, j’hésite à rentrer mais je garde un peu de Mojo et avec mac on décide de sortir. On va dans la boite " in " je paie les verres, entre ça et le resto j'en suis déjà à 500 chfs, vive la suisse. Y'a un groupe de jeunes nanas qui dansent vers nous, je lui demande d'aborder, j'argue que c'est facile, mais il ne fait rien et évidemment moi non plus. On bouge à l'espace VIP, y'a plus de plus de place, et sur le dancefloor, y'a deux blondes. Une première un peu boulotte, que je calcul pas, et une autre avec les cheveux coupés aux carrés, qui ressemble à une actrice. Elles sont ensemble, on le remarque. Je vois assez vite que Mac aborde la boulotte. Et moi, pendant je pense deux heure, je regarde l'autre danser. Elle s'amuse seule, le sourire aux lèvres, couverte par le regards concupiscent de la moitié de la salle qui n'ose l’aborder. Je la regarde, avec une insistance psychopathologique. Un moment, elle dérive vers moi, j'essaie maladroitement de l’aborder, elle me met un vent avec un fort accent et retourne danser. Pendant ce temps. Mac galoche sa pote. Je me formalise pas. Je continue à la fixer, alors qu'elle danse seule et parfois jette de fugaces regards vers moi. Une pseudo connexion s'installe. Un homme arrive, moulé, viril, et m'aborde en ces thermes:Yo c'est ta moeuf ? Elle est bonne la blonde. Tu devrais attaquer.
Oldboy : Tu veux que je t'arrache le visage ?
Moulé: Hein?
Oldboy: Continue à me parler et je t'arrache le visage.
Le mec s'arrache, au bout de deux heures de ce cirque Mac arrime sa cible vers moi et fait les présentations. Comme ma cible à moi est l'amie de la cible de mon pote, elle arrive. J'apprend qu'elle est finlendaise. J'essaie du mieux que je peux d'établir la connexion, elle dit que j'ai l'air de m'emmerder, je lui dis en anglais que c'est pas ma faute, j'ai un visage qui souris vers le bas. Elle me demande ce que je cherche, je dis que je suis timide, comme tous les Suisses, on parle un peu. Les lumières s'allument, mon pote a pu KS sa cible. Pas moi. J'ai même pas pris le numéro. Physiquement, c'était un coup de coeur et c'est rare, et j'ai rien fait. Je pue la merde. Je pue encore la merde. J'ai claqué 600 balle dans cette soirée pour rien chopper. Je me suis amusé, certes, j'ai un cercle social, certes, mais je suis encore à 1000 lieues de ce que je veux. J'ai pué.La Finlandaise
Pour une fois, j'ai mangé. Repas avec mes amis, à la bien. Quel plaisir de se sentir entouré. On a engouffré des pâtes, avant que Mac, mon collègue natural nouvellement célibataire, nous rejoigne dans un bar a cocktail.Mac est pas venu seul, avec lui il a ramené Toutenkamon, une miss sois-disant rencontrée le week end passé, objectivement assez bonne, qui à ajouté tous mes collègues ( sauf moi ) sur les réseaux sociaux. La miss danse, essaie de faire amis-amis, je la bullshit sur mon nom, elle pue les problèmes, le manque de thune, elle a repéré un groupe de jeunes banquiers et jette le grappin dessus, ça se sent.Pour finir tout le monde s'arrache, j’hésite à rentrer mais je garde un peu de Mojo et avec mac on décide de sortir. On va dans la boite " in " je paie les verres, entre ça et le resto j'en suis déjà à 500 chfs, vive la suisse. Y'a un groupe de jeunes nanas qui dansent vers nous, je lui demande d'aborder, j'argue que c'est facile, mais il ne fait rien et évidemment moi non plus. On bouge à l'espace VIP, y'a plus de plus de place, et sur le dancefloor, y'a deux blondes. Une première un peu boulotte, que je calcul pas, et une autre avec les cheveux coupés aux carrés, qui ressemble à une actrice. Elles sont ensemble, on le remarque. Je vois assez vite que Mac aborde la boulotte. Et moi, pendant je pense deux heure, je regarde l'autre danser. Elle s'amuse seule, le sourire aux lèvres, couverte par le regards concupiscent de la moitié de la salle qui n'ose l’aborder. Je la regarde, avec une insistance psychopathologique. Un moment, elle dérive vers moi, j'essaie maladroitement de l’aborder, elle me met un vent avec un fort accent et retourne danser. Pendant ce temps. Mac galoche sa pote. Je me formalise pas. Je continue à la fixer, alors qu'elle danse seule et parfois jette de fugaces regards vers moi. Une pseudo connexion s'installe. Un homme arrive, moulé, viril, et m'aborde en ces thermes:Yo c'est ta moeuf ? Elle est bonne la blonde. Tu devrais attaquer.
Oldboy : Tu veux que je t'arrache le visage ?
Moulé: Hein?
Oldboy: Continue à me parler et je t'arrache le visage.
J'avais évidemment tout faux. Mon ex m'a rebloqué, je le sais, car elle peut pas s'empêcher de me stalk sur whatsapp. Il s'est rien passé avec stef. Aucun de mes potes / collègue n'a approché ni Wing, ni Mortitia. J'ai même le souvenir de Mac qui m'expliquait qu'il y avait assez de nanas dans la boite pour pas avoir à tourner autours de mes amies. J'étais entouré de gens bienveillants, pour qui je ne suis pas le centre du monde et qui ne me veulent aucun mal. Un jour, je me sortirais ces pensées limitantes du crâne.Les 30 ans de mon pote Dan, vendredi passé :
Toute la semaine, j'ai senti la pression monter. Mon ex m'avait débloqué de whatsapp, elle m'a rebloqué. Je me suis dis qu'elle avait fait une connerie, je me suis convaincu qu'elle avait chopé un de mes collègues, j'en ais déduis je sais pas comment que c'était Stef, celui qui était repartis avec la canadienne. Comme l'anniversaire était prévu dans la boite ou elle sort souvent, j'ai commencé à stresser à en perdre le sommeil. Je me suis dis que mes collègues parlaient dans mon dos, me cachaient un truc à ce propos. A l'anniversaire de mon pote, y'avait Wing et Mortitia. Je me suis convaincu qu'ils allaient chopper une des deux, voir les deux. J'angoissais de croiser mon ex, j'angoissais de me taper une crise de jalousie, je délirais sur les possibilités qu'on me cache un truc. Au final, je me suis mis minablissime tant le manque de sommeil et le stress m'avaient usés.
Et ce matin, une solide gueule de bois mais pas vraiment de déprime. Je suppose donc que c'est uniquement dû à l'alcool et la fatigue. Mais j'ai peur de la solitude, peur de pas réussir à me dépasser et à faire enfin ce que je veux. Pour être parfaitement honnête :Soirée à un petit festival du coin avec mon meilleur pote le rital et les players Mac et Stef. On commence par un petit apéro qui se transforme vite en beuverie, puis on se dirige sur place. On fait le tour, on picole bien, on se retrouve dans un genre de caveau et stef remarque qu'il y a deux filles derrière nous. Une 5, une 6 je dirais. Il perd pas de temps et aborde immédiatement. Les nanas restent et commencent à discuter.
J'ai trop bu, pas assez dormi et pas assez mangé. Je suis en roue libre. Je parle des mérites de l'élevage ovin, de la consanguinité dans ma montagne d'origine, de tout et n'importe quoi. Un vrais one-man-show, tout le monde est hilare. Je sens Stef et Mac très actif sur la 6 mais la 5 ne me lâche pas, je déconne à mort et c'est marrant. Elle paie une bouteille, restent encore avec nous une bonne heure puis se barrent.
Stef est maussade, il estime qu'elles sont parties par sa faute, il dit pas avoir été assez direct, puis estime peut-être avoir été trop direct. Il perd le mojo. On marche un peu, on vois un groupe de jolies filles dont une blonde particulièrement mignonne qui a pas l'air au mieux de sa forme. On lui parle un peu, une fille me saute dessus super agressivement alors qu'on était vraiment détendu et commence à m'agresser à propos de je sais plus quoi, je lui dis de dégager. Je parle à la blonde quand je sens qu'un grand mec me pousse et cherche à me confronter car j'aurais soit-disant traiter sa copine de salope, ce qui est faux. Je perd aussitôt mon mojo, remplacé par ma bonne vielle rage, Mac interpose ses 100 kg et calme le type. Mac, de plus en plus arraché, à réussi à aller s'embrouiller avec 3 dealers de coke 30 minutes après, et là c'est moi qui ai du aller calmer le jeux. On bouge dans la boite habituelle. Je commence à être en bad, je le sens. Ça grouille littéralement de filles plus superbes les unes que les autres. Y'a du monde, l'ambiance est électrique, je le ressens négativement. Stef est plus là, Mac, déchiré, paie à boire à des filles.
Une vague familière de mélancolie, que j'avais plus ressenti depuis que je suis sortis avec l'Espagnole, m'envahi. Je me sens étranger à tout ça. Pas à ma place. Je décide de rentrer, de plus en plus déprimé. Je me dis, aux vues de la photo de mon ex, que jamais plus j'aurais une fille comme ça. Que ma vie est vaine, que je perd mon temps, que je finirais seul derrière mon pc et autres joyeuseté. J'hésite à appeler Wing, la seule fille pour qui je compte un tant sois-peu. Le gros bad. Je me couche, convaincu que cette déprime familière étrangement absente de ma vie ces derniers mois est partie pour durer.