FTS

Je dois reconnaître que tu as réellement raison là dessus tiamat. Je pense qu'à draguer pour draguer. Je vais essayer de me focaliser sur le fun. Ce qui suit y ressemble plus.


* Bisou sur la bouche avec une post doc rencontrée dans un groupes d'amis "lointains"

Hier, par exemple, je suis allé voir une amie australienne revenue de chez ses kangourous où elle y était retourné pour quasiment 6 mois.


Mais rien que pour aller la voir (c'est vraiment pas un canon, mais elle est vraiment très sympa, très joyeuse et intéressante), ça me faisait stresser, sachant qu'il y allait avoir tous ses anciens potes avec qui elle faisait de la recherche et que je connais mal.


Je me sens soulagé en voyant que l'on est sur une petite table ronde, en petit comité dans un restaurant. Je parle avec elle,aussi avec une autre australienne de même profil (ronde, pas très jolie, mais gentille, futée, créative) avec laquelle j'avais aussi bien sympathisé avant, donc je ne me sentais pas si mal à l'aise. En plus j'étais entre les deux !



Il y a aussi des français et une marocaine post-doc que je rencontre pour la première fois. Après avoir mangé au restaurant à 6, nous allons dans un bar de pochtrons.



Je ne fais rien d'autre que discuter sans arrière pensée. A un moment la marocaine ramène une copine, pas trop mal. Je cause avec elle aussi sans arrière pensée. Je sens seulement qu'il est nécessaire de faire en sorte que la marocaine se sente valorisée. Elle dit un truc comme :

"Ici les filles sont femmes à 15 ans, moi quand je suis arrivée en France, je ne savais même pas ce que c'était une facture !Avant c'était mon père qui réglait ça"

Je ne lui demande pas à quelle âge elle est arrivée car ce n'est pas un truc qui se demande à une femme. Je lui dis avec une main sur l'épaule, comme je l'aurais dit à un ami que je n'aime pas entendre dire du mal de lui-même :

"Tu te trompes, on a tous connus ce genre de chose, comme faire le repassage aussi, etc...".

Je ne sais pas si ça a son importance, mais il me semble vraiment nécessaire de qualifier dans ce genre de cas.



En lui parlant, je pense juste qu'elle est plutôt sexy finalement, donc je la regarde en la dévorant des yeux, et elle doit l'avoir senti car au moment de partir, je me retrouve avec elle, à la raccompagner au métro. Je pense juste que l'on fera le chemin jusqu'au métro ensemble.

Mais elle me demande : "tu vas où ?" Je lui réponds. "X"

Et là, elle sort son plan de son sac et fait des calculs pour voir comment ce serait l'idéal pour qu'elle rentre sans rater sa correspondance, sauf qu'elle n'arrête pas d'hésiter :

"Bon, je peux descendre à Bastille et prendre la 1ou.... à Strasbourg Saint Denis et prendre la 4... ou....Madeleine et prendre la 12..."

... En fait, elle n'arrête pas de rallonger le temps qu'elle compte passer avec moi ! Je la laisse dire tellement c'est jouissif de savoir qu'une femme dont j'ai envie est en train de me chasser. En plus, en allant dans l'autre sens, elle va plus vite chez elle !



Puis, elle monte dans le métro (ligne 8 ) et va sur les strapontins, me laissant une place, sous-entendant que l'on allait être serrés. Elle aurait pu se mettre sur les groupes de 4 sièges en face à face. Là encore elle me chasse, m'offre des opportunités.



On raconte que des trucs sans intérêt du côté militaire de sa ville, à pourquoi il y a "y" à la fin des noms de villes françaises... Je prétexte vouloir regarder sa bague pour saisir ses mains (ok ça c'est une routine ). Elle se laisse complètement faire. Puis, je les lui laisse et je trouve un autre prétexte pour les ressaisir, et avec ses bras.



Elle me dit

"Tiens, tu m'as caressé le bras"

alors qu'elle est pourtant déjà "compliante" depuis un moment. Je lui dis

"Oui, et alors ? "

Son visage est déjà tourné vers moi. Je lui mets l'index sous le menton (j'aime faire ça), et l''embrasse. C'est si simple !



J'arrête, puis je remets ça, et à la différence du premier baiser, elle est nettement plus investie. Elle descend à Strasbourg St Denis. Moi aussi (faut pas être idiot quand même). Et on remet ça de plus belle. Je m'assieds et la mets sur mes genoux (ok ça c'est une routine ) et au bout d'un certain temps elle note son numéro sur mon bras (comme les gamines) et me dit mes amis m'appelle "M" (un diminutif) en l'écrivant ...



C'était vraiment agréable. Lorsqu'on s'embrassait une voix dans ma tête me disait "on fait quoi après ?", mais c'était tellement agréable (je ne l'aurais pas cru de cette fille) qu'une autre voix plus forte l'emportait et me disait juste "profite du moment". C'est ce que j'ai fait. Un moment purement romantique.



C'est arrivé tellement simplement, je ne m'y attendais pas vraiment. Je n'ai pas sorti de storytelling (juste un peu parlé de voyage), j'ai dit que j'étais au chômage ... Je n'ai pas non plus cherché à être drôle. Si on a pas envie de faire le clown, pourquoi le faire ? Et aussi, je suis juste resté simple, sans aucun but.



D'un point de vue technique, je sais ce qui a fonctionné, parce que ce n'est pas la première fois que ça m'arrive avec ce groupes d'amis : la grande force est la préselection voire même l'effet de wingwomen, pas des canons, mais des filles que j'aime beaucoup pour plein de raisons : joyeuses, festives, goût de l'aventure, créativité, ouverture d'esprit, esprit d'initiative, générosité...





Bon, allez je vais chercher du travail


PS : Je ne suis pas tout à fait "en vacances" par contre...

*Baise avec la marocaine post-doc


Je revois la fille que j'ai embrassé le mardi (jeudi, donc 2 jours après). Je parle de "baise" en évitant le terme "fclose"... à quoi bon coder le langage sur le forum ? Après tout, nous ne sommes pas dehors.



¤ De la soirée à chez moi


C'est une autre soirée, organisée par l'australienne qui revient dans l'autre hémisphère, mais ne reste pas longtemps. Je discute avec l'australienne et les autres, revois la marocaine en question.


J'apprends qu'elle a 34 ans, qu'elle imaginais que j'étais plus âgé qu'elle... Je kinote la fille devant ami(e)s et officialise donc la relation. Elle me dit "devant tout le monde ?". Alors je lui demande "ça pose un problème". Elle me dit "non, bien sûr". (En fait, à ce moment j'imagine qu'elle peut avoir un mec officiel).


Ensuite je l'amène chez moi, au moment où elle décide de partir. J'ai envie de passer du temps avec les autres, mais ne soyons pas bête... Je la réembrasse dehors. Elle se laisse faire. J'arrive au métro.
Je lui dis par ailleurs :

Moi : "Viens chez moi"
Elle : 'Je n'ai pas envie", plutôt neutre

On prend la ligne, mais je l'embrasse sans arrêt pour "tuer" son cerveau logique. On s'arrête que pour prendre ma ligne. A partir du moment où je la fais descendre à la bonne correspondance pour modifier son chemin et qu'elle vienne chez moi, je gagne. Mais vraiment pas de difficulté particulière.



¤ Seduction


Chez moi, je n'ai aucune résistance. Je lui offre de l'eau, lui montre les toilettes (elles veulent toute y aller). On revient sur le canapé. Je la déshabille en me déshabillant. En fait, j'alterne. Mon t-shirt, puis le sien, mon pantalon, puis le sien, etc... (bon conseil de goofy83, car il y a aussi une "escalation" à ce niveau).


Je resterai toute la nuit sur mon clic clac avec elle.


Elle me demande aussi :

"Qu'est-ce que tu aimes faire ou qu'on te fasse ?"

Je ne peut pas dire "Je n'en sais rien" (au vu de mon inexpérience), alors je dis

"Fellation"

timidement parce que j'aimais bien quand l'ivoirienne me léchait les boules (vanille)...


Mais je me retrouve à lui faire un cuni ensuite (elle est demandeuse).... en 69, pfiou inutilement compliqué et je me demande pourquoi et comment je me retrouve là. Je n'aime toujours pas le goût, j'aime encore moins la vue bizarrement, mais c'est mieux qu'avec la black. Mais cette position me fait perdre mon érection.


Je me focalise plus sur le fait de l'embrasser et de trouver, me concentrant plus sur moi, sur mon propre plaisir, que sur le fait de bien la baiser ou de faire je ne sais quoi de technique, etc... Car encore une fois, c'est une fille plus ronde que je l'imaginais. Ce n'est pas Yasmine.


Aussi, elle me fait mal quand elle me suce. Avec ses dents sur le gland ou quand elle me masturbe, comme j'ai un "frein" court, ça me latte facilement et je préfère qu'on me branle à la base. Je ne sais pas si vous connaissez aussi ce genre de problèmes...


Je finis par la pénétrer je ne sais plus comment mais je ne suis vraiment pas à l'aise. Je ne sais pas si je suis dehors ou dedans. Je la touche /caresse beaucoup, je lui dis que j'aime faire ça bien que je n'aime pas le cuni (je veux bien faire plaisir mais je n'arrive pas). D'ailleurs comme avec la visite de la black, j'ai mal au ventre le lendemain (je ne sais pas si c'est lié à ça).


Je me répète : c'est donc une fille assez ronde, une chose que je n'ai pas tant calculé avant tant que ça. Mais j'essaie de me focaliser sur les sensations, le toucher, ce qu'elle sent, la chaleur de son corps plus qu'à l'imagerie pornographique à déprogrammer. Un gros problème, c'est intéressant de l'avoir soulevé.



Par contre, s'il reste quelque chose que je peux pas voire ne veut pas éradiquer de mon rapport au porno, c'est que j'aime dominer. D'ailleurs on évoque vite fait je sujet "fantasmes". C'est à cette occasion que je lui dis

"J'ai envie de dominer"

, ne sachant pas répondre à une question au sujet de mes fantasmes d'hommes (Nancy Friday a raison...). Elle me répond

"Ce n'est pas un fantasme ça, c'est un fait"

.
Je ne sais pas si je suis pas un peu "taré", mais j'aime bien lui tirer les cheveux, donner des petites fessées, petites claques, être derrière elle / au dessus d'elle...



Satisfaction en demi teinte donc pour la soirée, car au moment de la pénétration, on a des appels téléphoniques des australiennes (juste à ce moment !) qui semblent se demander pourquoi on était partis sans dire au revoir.


Bref, pas d'éjaculation ou quoi que ce soit, en plus il commençait à se faire tard et elle veut dormir (elle travaille le lendemain, moi pas). On reste à dormir nus sur mon clic clac avec la couette de mon lit en mezzanine, trop "branlant" à mon avis pour que l'on y dorme à deux.



Difficile de dormir avec elle. J'ai tendance à un peu trop me coller, je reviens un peu en mode "nice guy" sans m'en rendre compte tout de suite. Je ne sais pas comment gérer le fait de bien dormir avec une fille, enlacé ou pas, à distance ou pas.... goofy83 parlait avec moi et une de ses copines et s'était mis d'accord sur le fait que "la cuillère c'est l'idéal !", autrement dit, les deux en latéral avec la fille devant ou le mec... Et bien, je pense que l'idéal c'est finalement quand on est loin l'un de l'autre ! :-)



¤ Baise du lendemain matin


Le matin, elle a ses 3 réveils qui sonnent. On s'embrasse mais elle a une haleine de coyote (ancienne grande fumeuse), mais moi aussi peut être. Je l'embrasse assis à califourchon derrière elle. Je suis complètement maître de la situation alors j'en profite, palpe les seins, la prends par la nuque, la caresse même si ce n'est a priori pas au programme, etc... Alors là j'e n'ai pas de panne comme la veille. Je mets un préservatif, que je galère à sortir. C'est parti pour qu'on le fasse (c'est ce que je veux), parce que je ne veux pas laisser passer une occasion de vraiment essayer d'avoir du plaisir. On se remet sur le lit, et elle me branle (en accompagnant son mouvement au début, pour l'aider à bien faire, et en lui disant "c'est bien"...). Ça devient presque aussi parfait que si je le faisais.


Puis comme je suis à fond, je me mets en place pour la pénétrer en la mettant, elle, à califourchon sur moi qui suis allongé. Ça me fait mal encore ! Quand ça fait mal on ne bande pas ou on arrête... Je réessaie. On se rallonge l'un à côté de l'autre.



Autre chose : elle me dit sans arrêt aussi pendant tout ce temps "je vais partir", "il faut que j'y aille", "je dois me préparer"... mais j'ignore (ce qui semble la meilleure solution dans bien des cas avec les filles, que ce soit des shit tests, des AMOG, des LMR !).



Finalement comme je reprends du poil de la bête grace à la compétence qu'elle acquiert en masturbation,je l'allonge sur le dos et rentre dedans en missionnaire, les jambes en l'air (j'ai mes bras sous ses jambes). En plus comme je suis bien en elle et que j'ai une bonne sensation, là je suis bien, ça me plaît. ENFIN je me dis ! ENFIN je "kiffe" ! Et je la "ramone", toujours avec ce côté dominant... C'est alors que là je commence à craindre l'éjaculation précoce. Je ne fais pas d'aller et retour bien longtemps mais le coup part trop tard pour que je pense avoir été précoce.



Dès que j'éjacule en elle (dans mon plastique), elle me dit "bon je dois y aller maintenant", un peu robotiquement. Peu importe, je suis vraiment satisfait. Je me dis : "yeepee, j'ai eu du plaisir au lit !". En plus, je ne couche avec une bombe, ce n'est pas une sodomie ou je ne sais quel truc extrême dont je craignais avoir besoin, elle n'a pas tout un attirail d'accessoires sexy... Je pense commencer à avoir une sexualité NORMALE... ENFIN !



Sinon, cette nuit là, elle me demande :

- "Est-ce que tu as déjà été amoureux ?"
Je lui réponds"non"

- "Combien de temps a duré ta plus longue histoire?"
Je lui réponds "je n'ai eu que des histoires courtes, ce sont les aléas de la vie..." ou quelque chose du genre

Je ne sais pas si c'est correctement appréhendé....



Dernière petite chose : pendant le sommeil, je vais vers elle, la prend dans mes bras, mais qu'elle jettent en me dégageant. . Elle devait être en train de dormir .Dans le fond je ne suis peut être pas le seul à ne pas être à fond sur l'autre dans l'histoire !

j'ai lu ton journal en diagonale; j'ai l'impression que tu te prends beaucoup la tête sur le coît, presque autant que sur la drague ?

Pour moi, j'ai lu en diagonale, mais t'as aucun problème au pieu, mais à force de te prendre la tête, tu vas t'en créér des problèmes. Le truc du frein trop court, j'ai exactement la même chose... On m'a raconté un paquet de connerie assez hallucinante la dessus, du style qu'il fallait absolument que j'aille me le faire opérer parce qu'il est trop court... Ce n'est pas un docteur qui me disait ça, et en plus , ça ne m'a jamais gené pour baiser à partir du moment ou les filles tiraient pas dessus au sommet comme des malades...

Quand je te lis, j'ai l'impression que t'es pas assez égoîste au lit. Tu veux trop faire plaisir à la fille, comme si t'étais obligé, et tu n'assumes pas tes désirs et phantasmes, tu lâches pas assez la bête en toi. Tu te focalises trop sur la fille , pas assez sur toi et à chaque fois, tu perds ton érection. ( ce qui est normal ).
Tu te forces à faire des cunni alors que t'as même pas envie sur le moment ??? ( rien de pire à faire pour s'écoeurer du truc une bonne fois pour toute ----> sérieux, ne le fais que quand t'es suffisamment excité et que sur le moment ça te donne envie, mais le fais pas pour faire plaisir à la meuf ) ; Je veux dire par là que si elle prend son pied tant mieux, c'est préférable, mais jamais au prix de devoir te forcer à faire un truc que t'as pas envie sur le moment.

c'est normal que t'es envie de dominer au lit, t'es un mec quoi; assumes le naturellement, c'est normal... Dis toi qu'une fille aime être dominée au pieu, mais elle te le dira pas forcément.

Les filles aiment être dominées au pieu, mais elles peuvent avoir des résistances à se laisser aller à ça les premières fois ; préfèrerai donner ça, dans sa logique ( quand elle est branché sur sa logique ) , à quelqu'un qui a des sentiments pour elle ?

Cherches pas trop à lui faire plaisir, penses à toi surtout; si tu éjacules trop vite, fous t'en ( elle a pas pris son pied ? Bah, tu vas pas te marier avec non plus, c'est pas grave ), n'y accordes pas trop d'importance; penses à prendre ton pied surtout; lâches la bête qui est en toi ; le reste, te fous pas la pression, ça viendra tout seul ...

Bien sûr, c'est pas mal de vouloir faire plaisir à la fille, mais faut déjà savoir s'écouter soi même d'abord, se sentir, se faire plaisir avec le corps de l'autre...

cyberseb a écrit :j'ai lu ton journal en diagonale; j'ai l'impression que tu te prends beaucoup la tête sur le coît, presque autant que sur la drague ?

Même si tu as lu le journal merci de répondre !

cyberseb a écrit :Pour moi, j'ai lu en diagonale, mais t'as aucun problème au pieu, mais à force de te prendre la tête, tu vas t'en créér des problèmes. Le truc du frein trop court, j'ai exactement la même chose... On m'a raconté un paquet de connerie assez hallucinante la dessus, du style qu'il fallait absolument que j'aille me le faire opérer parce qu'il est trop court... Ce n'est pas un docteur qui me disait ça, et en plus , ça ne m'a jamais gené pour baiser à partir du moment ou les filles tiraient pas dessus au sommet comme des malades...

Je n'ai jamais pensé à me faire opérer pour ça. Ça me fait mal rien que d'y penser...

cyberseb a écrit :Quand je te lis, j'ai l'impression que t'es pas assez égoîste au lit. Tu veux trop faire plaisir à la fille, comme si t'étais obligé, et tu n'assumes pas tes désirs et phantasmes, tu lâches pas assez la bête en toi. Tu te focalises trop sur la fille , pas assez sur toi et à chaque fois, tu perds ton érection. ( ce qui est normal ).
Tu te forces à faire des cunni alors que t'as même pas envie sur le moment ??? ( rien de pire à faire pour s'écoeurer du truc une bonne fois pour toute ----> sérieux, ne le fais que quand t'es suffisamment excité et que sur le moment ça te donne envie, mais le fais pas pour faire plaisir à la meuf ) ; Je veux dire par là que si elle prend son pied tant mieux, c'est préférable, mais jamais au prix de devoir te forcer à faire un truc que t'as pas envie sur le moment.

J'ai déjà entendu ça sur l'égoïsme au lit. Je n'ai pas encore vraiment assimilé le truc. Je ne le ferai que si j'en ai envie la prochaine fois.

cyberseb a écrit :c'est normal que t'es envie de dominer au lit, t'es un mec quoi; assumes le naturellement, c'est normal... Dis toi qu'une fille aime être dominée au pieu, mais elle te le dira pas forcément.

Même chose, encore une notion pas complètement assimilé.

cyberseb a écrit :Cherches pas trop à lui faire plaisir, penses à toi surtout; si tu éjacules trop vite, fous t'en ( elle a pas pris son pied ? Bah, tu vas pas te marier avec non plus, c'est pas grave ), n'y accordes pas trop d'importance; penses à prendre ton pied surtout; lâches la bête qui est en toi ; le reste, te fous pas la pression, ça viendra tout seul ...

Oui, comme me dit goofy83, il faut simplement aller chercher sa "récompense"... Et arrêter avec cette pression inutile.


Merci en tout cas.

(si vous êtes déstabilisés par le récit c'est parce que j'ai un peu de mal avec la concordance des temps)



J'ai dernièrement eu le numéro d'une jolie jeune femme (arabe, la petite vingtaine, les cheveux noirs et bouclés, une peau mate, les yeux noirs, élancée, des lèvres pulpeuses) dans un supermarché à côté de chez moi. Elle a répondu à un appel téléphonique que j'ai fait dans l'après-midi, mais elle a reporté le moment de notre rencontre au lendemain. J'ai papillonné toute la journée car elle me plaisait grave. Ce qui ne m'a pas empêché d'aborder d'autres filles et notamment une belle mexicaine dont j'ai pris le numéro, qui avait des seins comme des melons qui attendait son mec.



J'appelle la fille du supermarché le lendemain et lui ai laissé un message. Je la revois par hasard à côté d'un café. Je vais lui parler mais je suis aussi tremblant et manquant de sourire que la première fois. Je la kiffe grave, et je crains encore un retour à un one-itis.



Je suis au chômage depuis plus d'un mois maintenant, ce qui doit certainement jouer sur cet état émotionnel. Ne penser qu'aux filles et oublier sa vie tout court, c'est peut-être ce qui déclenche les one-itis.


En même temps je me complais dans ça parce que l'idée que cette femme est sublime et vraiment cool me plaît, et qu'elle puisse être avec moi encore plus. Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps cette sensation agréable d'avoir l'impression de plaire à une fille qui me plaît réellement. Pourtant je n'ai parlé avec elle que 20 minutes. Je ne connais presque rien d'elle. Je sais où elle habite, d'où elle vient, ses origines, mais pas ce qu'elle aime, rien d'autre... Je suis de nouveau perturbé...



Je lui ai demandé de me rappeler dans la journée, enfin de "ne pas hésiter" à le faire, ce qu'elle n'a évidemment pas fait. Devrais-je laisser couler maintenant ou continuer en rappelant ?



Quand on croit être guéri... Quel remède pour garder la tête froide à chaque micro-succès (ce n'était qu'un numéro pas si solide) ?

Laisse passer quelques jours et rappelle. N'appelles pas systèmatiquement pour poser un rdv.
Tu dis que tu ne sait rien d'elle et tu veux tout de suite la revoir?
Appelles la pour discuter un moment, pour en savoir plus sur elle. Déjà tu ne passeras pas pour un mec en chien.
En plus tu te rendras peut-être compte qu'elle n'est pas si intéréssante que tu le pensais.

Merci shadon,

shadonkey a écrit :Laisse passer quelques jours et rappelle. N'appelles pas systèmatiquement pour poser un rdv.

La base du phone game, tu fais bien de me le rappeler !

shadonkey a écrit :Tu dis que tu ne sait rien d'elle et tu veux tout de suite la revoir?

Exact ! Manque de confort.

shadonkey a écrit :Appelles la pour discuter un moment, pour en savoir plus sur elle. Déjà tu ne passeras pas pour un mec en chien.

Faire du confort au téléphone. Ne pas passer pour needy.

shadonkey a écrit :En plus tu te rendras peut-être compte qu'elle n'est pas si intéréssante que tu le pensais.

Je pense que c'est la bonne façon d'appréhender les choses en effet. Ce n'est pas la première fois que ça arrive. Le fait de l'oublier un peu permettra de désacraliser cette image. Je me rendrai peut être même compte que je ne peux pas ou difficilement la qualifier. Ensuite, il faudrait qu'elle décroche mais bon... ensuite si elle ne veut pas, elle ne veut pas, je ne vais pas et ne peux pas la forcer.


En tout cas, je n'ai jamais été aussi d'accord avec un mec sur le phone game !

Le phone game permet de faire du confort, donc de rassurer ton interlocutrice en lui montrant que tu es une personne normale. Surtout si tu l'a rencontré dans la rue et que tu n'a pu faire que brièvement sa connaissance.
Dans cette idée, une phrase que je sort souvent au tel, c'est: "ça me fait plaisir de te connaître un peu mieux, parceque tu sais, on ne sait jamais sur qui on tombe....".

Le phone game est aussi un outil pour cerner un peu mieux la demoiselle.
J'avais numclosé une poupoune adorable, mais après quelques coups de fil, je me suis aperçu qu'on était pas du tout sur la même longueur d'onde.
Elles peuvent balançer des allusions au détour de la conversation qui te mettent la puce à l'oreille. La, je sentais clairement la petite gratteuse superficielle.

Bon sang, j'ai choisi d'attendre quelques jours, mais je la recroise (la one-itis potentielle) par hasard (ça fait 3 fois, mais elle vit à côté de chez moi) et cette fois, je l'ignore (j'ai tenté de la joindre dans la journée, pas de réponse)... Après tout, c'est ce qu'elle fait.
Est-ce une réaction idiote (le fait de l'ignorer aussi) ?


Le fait de l'avoir recroisée une nouvelle fois, et qu'elle m'ai encore ignorée m'a mis le moral à zéro.
Il faut dire que la veille :
- j'ai invité 3 filles de mon cours de salsa + 3 filles que j'ai draguées en soirées pour faire de la salsa à Jussieu... les 3 du cours n'ont pas répondu, les 3 autres se sont désistées,
- j'ai aussi invité un pote qui me tannait pourtant avec ça aussi
- je devais voir une amie/ex de longue date qui semblait absolument vouloir me voir mais elle s'est désistée aussi,


Le matin :
- je pars pour aller au ciné à pied, j'arrive en retard et il y a pas mal de queue,
- on me dit que la place que j'avais achetée avec mon CE est périmée (et donc 4 autres que j'ai achetées avant de me faire licencier aussi),
- je sors alors du ciné et marche dans la merde,
- je prends le métro où je me retrouve à frauder parce que je n'ai pas mon pass navigo...


Le soir :
- je me prends un rateau monumental avec une nana que j'ai un peu suivi dans un couloir de métro. "TU VAS ME LACHER TOI ?" en me montrant le poing bien méchamment... J'ai répondu "je vous ai fait peur ? je suis désolé", timidement, et me suis enfuit.


la loose ultime.





Après, avec cette chaleur on dort terriblement mal, les recruteurs fonctionnent au ralenti, les gens sont plus cons (les petites frappes plus agressives que d'habitude, les filles plus fermées, on croit ne voir que des couples ...), et surtout il n'y a pas la mer pour se calmer... Ce n'est pas génial Paris l'été.


Désolé pour les états d'âme... Le chômage c'est amusant 1 mois pas plus. C'est peut-être le fond du problème.

Non, le fond du problème c'est cet enchaînement de faux plans/bad luck.
Ca n'arrive pas souvent, mais ça arrive quand même parfois, et ne focalise pas là-dessus, le mojo va revenir certainement à la charge très bientôt.
Pour ta rebeu, ça paraît mort. On dirait qu'elle a senti le truc venir et elle ne l'a pas pris au sérieux en se disant qu'elle est un numéro parmi d'autres.
Si décides de la relancer, tu arrives dans la pire configuration (needy + oneitis) et tu as 99% de chances qu'elle te flake. Si tu l'ignores et next, tu lui confirmes ce qu'elle pensait. Enfin ce n'est que mon avis