Tu as raison.Je ne sais pas, encore une fois, je ne me sens pas qualifiée pour te répondre, je crois qu'il n'était pas venu ici demander à ce qu'on le diagnostique...et en fait c'est surtout pour ça que je réagit.
Il aimerait savoir s'il faut et comment et quand en parler.
Syndrome d'Asperger, faut-il en parler ?
D'où l'importance de confirmer que son diagnostique vieux de 15 ans a une epoque ou le syndrome etait encore tres mal cerné est bien toujours valide.Sathinelilly a écrit :Je crois qu'il n'était pas venu ici demander à ce qu'on le diagnostique...et en fait c'est surtout pour ça que je réagit.
Il aimerait savoir s'il faut et comment et quand en parler.
Parce que se mettre a parler éventuellement d'un handicap qui ne serait pas réel, c'est l'autoroute pour se trainer une étiquette de mytho et/ou hypocondriaque...
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- [0] Oui le 20.05.14, 15h33 par Sathinelilly
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Bon ben écoutez, tout ce que vous me dites est positif est gratifiant d'une certaine manière. C'est assez bouleversant dans le sens où ça remet en cause quelques croyances que j'avais, du style : la communication n'est pas mon point fort, je suis incapable de bien me comporter en société, etc.
Après, peut-être peut-on douter par rapport à la validité d'un diagnostic passé il y a 15 ans environ. J'ai juste envie d'ajouter quelques éléments, pas pour me complaindre sur une situation passée, mais pour vous dire comment j'ai pu être petit :
- je ne pleurais quasiment pas petit
- on m'a souvent dit être dans ma bulle, et que j'en sortais difficilement
- hypersensibilité auditive : dans la cour/au collège lorsque la cloche sonnait, je me bouchais les oreilles
- quand mes parents m'appelaient, je ne les regardais pas, pas dans leur direction. J'étais plutôt attiré par un objet fixe et j'avais beaucoup de mal à le lâcher
- en repensant à une vidéo enregistrée, je me souviens que quand mes parents me prenaient dans leurs bras, je n'ajustais pas ma position et je ne les regardais pas non plus
- j'avais un comportement obsessionnel (je répétais les mêmes histoires, mêmes scénarios quand je jouais tout seul, je sautillais, courais)
- je n'ai pas parlé avant l'âge de 4-5 ans. Et j'avais tendance à avoir un langage soutenu au départ. Genre, on était dans un restaurant et alors que je ne parlais pas trop trop au départ (juste des mots isolés), je me suis mis à sortir "Ces nouilles sont délicieusement tendres.". Ou alors en maternelle je demandais à des filles "Quel poids atteins-tu ?", ou encore à la plage à une petite fille que je ne connaissais pas : "J'ai mon vernis qui s'écaille", ou à une institutrice qui m'avait simplement demandé un peu plus d'attention, je lui ai répondu "C'est ça ouais, bon débarras pauvre andouille" (une réplique de Woody à Buzz dans Toy Story
).
Donc mon sentiment c'est que si je repassais aujourd'hui un diagnostic, je ne serais sans doute plus détecté. Mais ce qui est certain c'est que petit, mon comportement était beaucoup plus stéréotypé, prévisible. Et si c'est le cas ben, ça veut dire que j'ai eu une super bonne évolution, et ça fait plaisir.
@lucie1 : les quelques éléments de comportement que j'ai mentionnés ci-dessus correspondent à des traits autistiques chez l'enfant, non ?
Après, peut-être peut-on douter par rapport à la validité d'un diagnostic passé il y a 15 ans environ. J'ai juste envie d'ajouter quelques éléments, pas pour me complaindre sur une situation passée, mais pour vous dire comment j'ai pu être petit :
- je ne pleurais quasiment pas petit
- on m'a souvent dit être dans ma bulle, et que j'en sortais difficilement
- hypersensibilité auditive : dans la cour/au collège lorsque la cloche sonnait, je me bouchais les oreilles
- quand mes parents m'appelaient, je ne les regardais pas, pas dans leur direction. J'étais plutôt attiré par un objet fixe et j'avais beaucoup de mal à le lâcher
- en repensant à une vidéo enregistrée, je me souviens que quand mes parents me prenaient dans leurs bras, je n'ajustais pas ma position et je ne les regardais pas non plus
- j'avais un comportement obsessionnel (je répétais les mêmes histoires, mêmes scénarios quand je jouais tout seul, je sautillais, courais)
- je n'ai pas parlé avant l'âge de 4-5 ans. Et j'avais tendance à avoir un langage soutenu au départ. Genre, on était dans un restaurant et alors que je ne parlais pas trop trop au départ (juste des mots isolés), je me suis mis à sortir "Ces nouilles sont délicieusement tendres.". Ou alors en maternelle je demandais à des filles "Quel poids atteins-tu ?", ou encore à la plage à une petite fille que je ne connaissais pas : "J'ai mon vernis qui s'écaille", ou à une institutrice qui m'avait simplement demandé un peu plus d'attention, je lui ai répondu "C'est ça ouais, bon débarras pauvre andouille" (une réplique de Woody à Buzz dans Toy Story
).Donc mon sentiment c'est que si je repassais aujourd'hui un diagnostic, je ne serais sans doute plus détecté. Mais ce qui est certain c'est que petit, mon comportement était beaucoup plus stéréotypé, prévisible. Et si c'est le cas ben, ça veut dire que j'ai eu une super bonne évolution, et ça fait plaisir.
@lucie1 : les quelques éléments de comportement que j'ai mentionnés ci-dessus correspondent à des traits autistiques chez l'enfant, non ?
En résumé, t'avais des tendances, qui sont toujours un peu là, mais t'es loin de l'autisme.
Le probleme c'est que ca a amené tes parents à faire un diagnostic et depuis 20 ans tu analyses tes rapports humains sous l'angle du "Je suis malade" alors que t'as juste du mal en fait. Bon je ne les juge pas, mais résultat je crois que pour répondre à ta question ca serait dommage de parler d'un syndrome invisible.
Le probleme c'est que ca a amené tes parents à faire un diagnostic et depuis 20 ans tu analyses tes rapports humains sous l'angle du "Je suis malade" alors que t'as juste du mal en fait. Bon je ne les juge pas, mais résultat je crois que pour répondre à ta question ca serait dommage de parler d'un syndrome invisible.
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- [+1] +1 le 21.05.14, 09h42 par NeverEnough
animale :
Le fait de regarder au plafond, de ne pas regarder les gens dans les yeux clairement oui.
Il y a aussi le fait de ne pas parler mais de crier. De ne pas se sentir concerné quand on s'adresse au groupe. D'avoir des gestes répétitifs, nerveux. Des crises dues au stress plus ou moins importantes où l'enfant tape, crie, jette tout ce qui il y a autour de lui et va se balancer d'un côté à l'autre. Ils peuvent s'intéresser à des détails avec beaucoup de minutie, avoir des lubies, des bizarreries comme l'envie d'entendre toujours et encore le même son.
Pour ceux qui parlent (mais pas très bien), le fait de répondre souvent à côté par exemple (au passage c'est souvent drôle, comme la remarque que tu as lancée à ton instit ^^ : ))
Globalement ils ont du retard (un peu voire beaucoup) sur les autres.
Ça c'est pour les autistes qui peuvent être scolarisés avec généralement une AVS qui les accompagne dans la classe sinon ils ne viennent que quelques heures pour les familiariser à l'environnement de l'école.
Tous les autistes ne sont pas ou ne peuvent pas être scolarisés. Il y en a un dans la rue où habitent mes parents. C'est le fils de la coiffeuse. Tous les jours, qu'il neige ou qu'il pleuve, il était là-dehors, toute la journée, devant le salon de coiffure à compter les voitures paraît-il. J'avais de la peine pour lui. Aujourd'hui, il doit avoir la vingtaine et de temps en temps, quand je retourne chez mes parents, je le vois immanquablement devant le salon de sa mère à compter les voitures...
Sinon je n'ai eu que des autistes classiques plus ou moins handicapés, je ne sais pas du tout ce que ça donne un enfant Asperger. Peut-être que le seul petit autiste qui parlait que j'ai eu était Asperger.
Le fait de regarder au plafond, de ne pas regarder les gens dans les yeux clairement oui.
Il y a aussi le fait de ne pas parler mais de crier. De ne pas se sentir concerné quand on s'adresse au groupe. D'avoir des gestes répétitifs, nerveux. Des crises dues au stress plus ou moins importantes où l'enfant tape, crie, jette tout ce qui il y a autour de lui et va se balancer d'un côté à l'autre. Ils peuvent s'intéresser à des détails avec beaucoup de minutie, avoir des lubies, des bizarreries comme l'envie d'entendre toujours et encore le même son.
Pour ceux qui parlent (mais pas très bien), le fait de répondre souvent à côté par exemple (au passage c'est souvent drôle, comme la remarque que tu as lancée à ton instit ^^ : ))
Globalement ils ont du retard (un peu voire beaucoup) sur les autres.
Ça c'est pour les autistes qui peuvent être scolarisés avec généralement une AVS qui les accompagne dans la classe sinon ils ne viennent que quelques heures pour les familiariser à l'environnement de l'école.
Tous les autistes ne sont pas ou ne peuvent pas être scolarisés. Il y en a un dans la rue où habitent mes parents. C'est le fils de la coiffeuse. Tous les jours, qu'il neige ou qu'il pleuve, il était là-dehors, toute la journée, devant le salon de coiffure à compter les voitures paraît-il. J'avais de la peine pour lui. Aujourd'hui, il doit avoir la vingtaine et de temps en temps, quand je retourne chez mes parents, je le vois immanquablement devant le salon de sa mère à compter les voitures...
Sinon je n'ai eu que des autistes classiques plus ou moins handicapés, je ne sais pas du tout ce que ça donne un enfant Asperger. Peut-être que le seul petit autiste qui parlait que j'ai eu était Asperger.
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Ouais, ben ça me conforte dans l'idée d'une évolution forte et rapide.
Bon, j'ai encore rencontré une nouvelle fille aujourd'hui, une amie à P. qui s'appelle D. Il y a un peu d'intérêt (sexualisation de son côté et du mien aussi), quelques kinos que j'ai enclenchés, mais pas possibilité d'aller plus loin pour le moment.
P. et D. sont toutes les deux passées à mon appart pour que je leur explique un point de cours qu'elles n'ont pas compris, dans ma matière de prédilection. Mais leur demande n'était pas très précise alors on a abrégé. Je leur ai dit que je leur indiquerais mes disponibilités, au cas où leur besoin d'explications se ferait plus précis. J'ai profité pour NC D. sans trop de difficultés.
P. m'a reproposé d'aller en boîte ce soir, je lui ai dit "ça me tente bien, on verra où j'en suis avancé dans mon projet informatique". En effet j'ai encore pas mal de boulot avant la deadline (demain soir), mais on ne partirait en boîte qu'à minuit, alors je me dis que j'ai le temps d'avancer ce projet, et au pire je continuerai après être sorti de la boîte/rentré chez moi. P. irait en boîte mais sans D., qui ne peut pas. Dommage.
Je viens de me rendre compte que pour le flirt/la séduction, avoir à gérer un set de 2 filles et plus at home, c'est juste injouable. Faudrait que j'arrive à isoler une d'entre elles et n'avoir que celle-ci dans le viseur car appartenant au même cercle social ça serait purement suicidaire de les draguer toutes, elles finiraient par le savoir.
En bref parmi ces filles avec qui j'ai une certaine complicité, voire plus :
- P. : on rigole ensemble et quelques kinos mais rien de concret/possible dans les situations où on s'est vus
- D. : un intérêt naissant mais qui demanderait à être développé
- S. : c'est ma piste la plus chaude vu ce qu'on a fait en boîte, mais je n'ai pris son numéro, depuis qu'on s'est vus samedi. J'aimerais récupérer son numéro par un prétexte bidon via P., mais vous pensez que ça se ferait bien ? J'ai pas rattaqué aussitôt après l'avoir vue/draguée/kinotée, sinon le poisson aurait déjà été ferré. Là faudrait que je recrée du confort et une occasion de la voir
Bon, j'ai encore rencontré une nouvelle fille aujourd'hui, une amie à P. qui s'appelle D. Il y a un peu d'intérêt (sexualisation de son côté et du mien aussi), quelques kinos que j'ai enclenchés, mais pas possibilité d'aller plus loin pour le moment.
P. et D. sont toutes les deux passées à mon appart pour que je leur explique un point de cours qu'elles n'ont pas compris, dans ma matière de prédilection. Mais leur demande n'était pas très précise alors on a abrégé. Je leur ai dit que je leur indiquerais mes disponibilités, au cas où leur besoin d'explications se ferait plus précis. J'ai profité pour NC D. sans trop de difficultés.
P. m'a reproposé d'aller en boîte ce soir, je lui ai dit "ça me tente bien, on verra où j'en suis avancé dans mon projet informatique". En effet j'ai encore pas mal de boulot avant la deadline (demain soir), mais on ne partirait en boîte qu'à minuit, alors je me dis que j'ai le temps d'avancer ce projet, et au pire je continuerai après être sorti de la boîte/rentré chez moi. P. irait en boîte mais sans D., qui ne peut pas. Dommage.
Je viens de me rendre compte que pour le flirt/la séduction, avoir à gérer un set de 2 filles et plus at home, c'est juste injouable. Faudrait que j'arrive à isoler une d'entre elles et n'avoir que celle-ci dans le viseur car appartenant au même cercle social ça serait purement suicidaire de les draguer toutes, elles finiraient par le savoir.
En bref parmi ces filles avec qui j'ai une certaine complicité, voire plus :
- P. : on rigole ensemble et quelques kinos mais rien de concret/possible dans les situations où on s'est vus
- D. : un intérêt naissant mais qui demanderait à être développé
- S. : c'est ma piste la plus chaude vu ce qu'on a fait en boîte, mais je n'ai pris son numéro, depuis qu'on s'est vus samedi. J'aimerais récupérer son numéro par un prétexte bidon via P., mais vous pensez que ça se ferait bien ? J'ai pas rattaqué aussitôt après l'avoir vue/draguée/kinotée, sinon le poisson aurait déjà été ferré. Là faudrait que je recrée du confort et une occasion de la voir
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Eh ben dites donc je viens encore de me faire une copine on dirait 
C'est une fille qui habite dans ma résidence. Je vais l'appeler Pau. On a commencé à discuter naturellement, au moment où tous les deux on pensait avoir perdu nos clés permettant de déverrouiller l'accès à notre bâtiment.
Du coup, on a eu le temps de faire connaissance et c'était plutôt pas mal. Elle m'a envoyé quand même des IOI très flagrants pour une première rencontre. Genre elle me demande si c'est pas trop dur d'être tout seul dans mon appart, tout en ajoutant après que si j'en ai envie je peux me joindre à elle pour des sorties. Sur le coup j'ai pas trop réfléchi et j'ai rebondi en lui disant : "eh bien écoute si toi aussi un jour tu te sens seule tu peux passer à mon appart ;) au fait c'est quoi le numéro de ta chambre ?". Ses exemples de sorties étaient vraiment concrets : aller faire du volley, sortir en boîte, aller voir des concerts... voilà.
Et voilà, maintenant je sais où elle habite et je peux aller toquer chez elle quand je veux, quasiment. J'ai été voir du côté de sa boîte au lettre et ce n'est pas du vent, c'est vraiment elle qui y habite. C'est trop coooooooool !
Et j'ai recontacté P. aussi, pour prendre des nouvelles dans ses révisions. J'en ai profité pour lui proposer d'aller en boîte, celle où je n'ai pas pu y aller à cause de mon travail. Elle est disponible. Voilà, donc jeudi soir je sors.
J'ai très envie d'inviter Pau. à venir avec nous, histoire d'installer une forme de concurrence entre filles. Enfin surtout, montrer que je suis sociable et qu'être entouré de belles HB ne me fait pas peur !
L'autre truc frappant c'est que les DEUX filles m'ont proposé de sortir ce weekend. Et que j'ai dit que ce n'était pas possible (ce qui est vrai), du coup j'ai le sentiment que si je le veux, c'est moi qui décide quand bouger ensemble... quand nos disponibilités concordent bien entendu. C'est le genre de trucs qui me fait un bien fou.
Sans parler d'autres filles qui sont taquines avec moi ou qui n'hésitent pas à me faire savoir que ça faisait un petit moment qu'on ne s'était pas vus, après une période sans contacts. J'ai l'impression d'avoir du choix. Mais si j'ai envie d'aller me servir, faut que je m'attaque à une fille par cercle social maxi. Dans des cas comme ça où c'est dur de choisir je me demande si le mieux n'est pas de succomber aux IOI/SOI/tentatives de rapprochements de la première venue. Ces filles que je connais ont TOUTES un physique vraiment agréable, je dirais que dans des trucs comme ça, faut y aller à l'instinct et se laisser guider après. Et surtout ne pas penser à elles trop longtemps.
J'ai l'impression qu'en côtoyant plus de filles mon énergie sexuelle se diffuse plus, dans le sens où parfois je m'en sers pour me donner la force d'avancer dans mon travail. J'ai l'impression de "tomber amoureux" de projets où je me suis investi un minimum. Et quand j'ai dépassé ce seuil minimal, ce point de non-retour, j'ai envie de baiser ce projet, enfin de le prendre et de le faire avancer jusqu'à ce que la demande (celle de mes commanditaires, ou ma propre envie), soit satisfaite. C'est super agréable de ressentir ça. J'espère que ça durera.
C'est une fille qui habite dans ma résidence. Je vais l'appeler Pau. On a commencé à discuter naturellement, au moment où tous les deux on pensait avoir perdu nos clés permettant de déverrouiller l'accès à notre bâtiment.
Du coup, on a eu le temps de faire connaissance et c'était plutôt pas mal. Elle m'a envoyé quand même des IOI très flagrants pour une première rencontre. Genre elle me demande si c'est pas trop dur d'être tout seul dans mon appart, tout en ajoutant après que si j'en ai envie je peux me joindre à elle pour des sorties. Sur le coup j'ai pas trop réfléchi et j'ai rebondi en lui disant : "eh bien écoute si toi aussi un jour tu te sens seule tu peux passer à mon appart ;) au fait c'est quoi le numéro de ta chambre ?". Ses exemples de sorties étaient vraiment concrets : aller faire du volley, sortir en boîte, aller voir des concerts... voilà.
Et voilà, maintenant je sais où elle habite et je peux aller toquer chez elle quand je veux, quasiment. J'ai été voir du côté de sa boîte au lettre et ce n'est pas du vent, c'est vraiment elle qui y habite. C'est trop coooooooool !
Et j'ai recontacté P. aussi, pour prendre des nouvelles dans ses révisions. J'en ai profité pour lui proposer d'aller en boîte, celle où je n'ai pas pu y aller à cause de mon travail. Elle est disponible. Voilà, donc jeudi soir je sors.
J'ai très envie d'inviter Pau. à venir avec nous, histoire d'installer une forme de concurrence entre filles. Enfin surtout, montrer que je suis sociable et qu'être entouré de belles HB ne me fait pas peur !
L'autre truc frappant c'est que les DEUX filles m'ont proposé de sortir ce weekend. Et que j'ai dit que ce n'était pas possible (ce qui est vrai), du coup j'ai le sentiment que si je le veux, c'est moi qui décide quand bouger ensemble... quand nos disponibilités concordent bien entendu. C'est le genre de trucs qui me fait un bien fou.
Sans parler d'autres filles qui sont taquines avec moi ou qui n'hésitent pas à me faire savoir que ça faisait un petit moment qu'on ne s'était pas vus, après une période sans contacts. J'ai l'impression d'avoir du choix. Mais si j'ai envie d'aller me servir, faut que je m'attaque à une fille par cercle social maxi. Dans des cas comme ça où c'est dur de choisir je me demande si le mieux n'est pas de succomber aux IOI/SOI/tentatives de rapprochements de la première venue. Ces filles que je connais ont TOUTES un physique vraiment agréable, je dirais que dans des trucs comme ça, faut y aller à l'instinct et se laisser guider après. Et surtout ne pas penser à elles trop longtemps.
J'ai l'impression qu'en côtoyant plus de filles mon énergie sexuelle se diffuse plus, dans le sens où parfois je m'en sers pour me donner la force d'avancer dans mon travail. J'ai l'impression de "tomber amoureux" de projets où je me suis investi un minimum. Et quand j'ai dépassé ce seuil minimal, ce point de non-retour, j'ai envie de baiser ce projet, enfin de le prendre et de le faire avancer jusqu'à ce que la demande (celle de mes commanditaires, ou ma propre envie), soit satisfaite. C'est super agréable de ressentir ça. J'espère que ça durera.
Chacune son truc, si un mec s'intéresse à moi puis m'invite en soirée accompagné de jolies filles, je ne me sentirais pas spéciale à ses yeux et il perdra mon intérêt.J'ai très envie d'inviter Pau. à venir avec nous, histoire d'installer une forme de concurrence entre filles. Enfin surtout, montrer que je suis sociable et qu'être entouré de belles HB ne me fait pas peur
Tout ça pour dire : attention !
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Ok. Bah de toute manière ça s'est réglé rapidement, dans le sens où ce soir je ne vais pas en boîte avec les deux filles dont je parlais précédemment.
Hier je confirme à P. que c'est bon, à partir de 18h. Elle me répond : "ce soir de 18h à 20h ?"
Je lui dis : "ça dépend à quelle heure ouvre la boîte après". Elle me dit : "ahh ok nous on ira au *** après, mais pour la boîte ce serait mieux après nos rattrapages plutôt
". Je lui demande quand sont ses rattrapages, elle me donne une date et me dit : "au pire on peut y aller le weekend prochain" (pas pensé à demander si pour elle c'était celui-là, auquel cas je ne suis pas libre, ou celui d'après encore, où il faut que je négocie).
Après, elle me dit "à demain".
Du coup ce soir je me demandais ce qu'il se passait, je pensais qu'elles arriveraient aux alentours de 18h. Vers 19h je dis à P. "je suis dispo dans 15 min " et elle me dit : "Nous on est à la biblio en ville on sait pas si ce soir on pourra encore passer 
(". Notre discussion s'arrête quand je lui dis : "Ah ? Fallait prévenir hier, c'était pas grave si on fait ça un autre jour tu sais ^^ à vous de voir"
C'est pas très grave comme truc, mais c'est assez déstabilisant. J'ai dit un truc qui ne fallait pas ou quoi ? Ou bien je n'ai pas été clair sur un horaire ? Ou alors, raisons qui sont indépendantes de ma volonté ?
Hier je confirme à P. que c'est bon, à partir de 18h. Elle me répond : "ce soir de 18h à 20h ?"
Je lui dis : "ça dépend à quelle heure ouvre la boîte après". Elle me dit : "ahh ok nous on ira au *** après, mais pour la boîte ce serait mieux après nos rattrapages plutôt
". Je lui demande quand sont ses rattrapages, elle me donne une date et me dit : "au pire on peut y aller le weekend prochain" (pas pensé à demander si pour elle c'était celui-là, auquel cas je ne suis pas libre, ou celui d'après encore, où il faut que je négocie).Après, elle me dit "à demain".
Du coup ce soir je me demandais ce qu'il se passait, je pensais qu'elles arriveraient aux alentours de 18h. Vers 19h je dis à P. "je suis dispo dans 15 min
" et elle me dit : "Nous on est à la biblio en ville on sait pas si ce soir on pourra encore passer (". Notre discussion s'arrête quand je lui dis : "Ah ? Fallait prévenir hier, c'était pas grave si on fait ça un autre jour tu sais ^^ à vous de voir"C'est pas très grave comme truc, mais c'est assez déstabilisant. J'ai dit un truc qui ne fallait pas ou quoi ? Ou bien je n'ai pas été clair sur un horaire ? Ou alors, raisons qui sont indépendantes de ma volonté ?
Non je pense qu'elle ne trouve pas ça grave de modifier les sorties prévues tout simplement.