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Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par Venusian
Sur le premier contact, en IRL c'est bien plus signifiant quand même. Tu vois la personne bouger, sourire, son regard, peut-être même qu'elle te voit aussi, pour moi... y a pas photo.

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par FK
Venusian a écrit :Sur le premier contact, en IRL c'est bien plus signifiant quand même. Tu vois la personne bouger, sourire, son regard, peut-être même qu'elle te voit aussi, pour moi... y a pas photo.
Le premier contact est toujours IRL (j'exagère, mais tu vois ce que je veux dire); Tinder c'est vraiment qu'une étape préliminaire, équivalente au coup d'oeil "j'y vais j'y vais pas" quand tu spottes une nana dans le bar ou dans la rue. Avec un peu plus de flairage de cul avant, ok, mais on a déjà eu l'occasion de le souligner, une fois que la nana est en face de toi, ce qui se passe en toi suit une dynamique absolument similaire à une rencontre faite autrement.

C'est d'ailleurs un point sur lequel attirer l'attention : si tu dois utiliser Tinder ou tout autre outil de rencontre en ligne, ça doit pas se substituer au réel.

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par Cellar Door
Venusian a écrit :Sur le premier contact, en IRL c'est bien plus signifiant quand même. Tu vois la personne bouger, sourire, son regard, peut-être même qu'elle te voit aussi, pour moi... y a pas photo.
Tu t’évertues à vouloir préférencer l’un à l’autre quand moi je dis qu’ils sont différents et complémentaire.

5 minutes en IRL c'est super trompeur aussi, ne me fais pas croire que tu n'as jamais super accroché sur des filles rencontré dans la rue pour te rendre compte lors du verre qu'elles étaient complètement folles / chiantes / ne te correspondaient pas.

Sur ce point tu peux penser autant que tu veux que l’un est plus signifiant que l’autre, moi je n’y vois qu’une croyance limitante de ta part.

Approfondie et reessaye les rencontres par tinder, tu en verras toi aussi les avantages. Enfin si tu arrives à passer outre tes croyances limitantes sur les sdr …

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par Venusian
Dire que la première vue d'une fille est bien plus signifiante IRL qu'en photo est une croyance limitante maintenant, de mieux en mieux.

Mais on s'est peut-être pas vraiment compris, je parle bien de la première fois qu'on voit la fille : que ça soit en photo sur un sdr ou en vrai.

Ça reste bien plus riche et signifiant IRL qu'en photo, c'est ce que je veux dire. D'ailleurs un mec qui aborde une nana en vrai, inscrite sur un sdr aura toujours un avantage sur le mec inscrit sur le sdr et qui tente de la draguer.

Pour ce qui est d'être déçu par certaines rencontres, bah oui, mais c'est le jeu de la vie ça.

Mais sinon non merci Cellar, je compte pas briser mes "croyances limitantes" en m'inscrivant sur Tinder. :mrgreen:

Toute façon jpeux po. J'ai pas de smartphone.

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par The_PoP
Voilà, je ne sais pas si ça va avancer à grand chose mais voici ma modeste contribution.

D'abord je regrette que ce débat ne soit pas plus serein et moins virulent. On y gagnerait en compréhension. Je tire mon chapeau à Tulpa pour la qualité de ses interventions et avoir su un peu désamorcer le débat...

A titre perso je considère Tinder (dont je ne suis cependant pas utilisateur), comme les sites de rencontres comme un outil. Un outil, on peut choisir de s'en servir ou pas. Un outil ne réfléchis pas, c'est à nous de décider ou non de sa pertinence pour un cas de figure. Une pioche c'est super, mais pour ouvrir une boite de thon, on a connu mieux.
De même qu'une machine à commande numérique c'est le pied, mais encore faut-il savoir s'en servir.

Bref je ne sais pas si vous voyez ou pas ou je veux en venir. Simplement ce n'est pas l'outil qui est fondamentalement mauvais mais son/ses utilisateur(s). Du coup dans les critiques de Tinder que je vois/lis, j'ai surtout l'impression d'y trouver une certaines critique des gens et de la société. Pas forcément inintéressante d'ailleurs.

Cette vision des choses me permet en tout cas de comprendre pourquoi il y a plein d'exemples parlants et concrets des deux cas de figure...

Non Tinder n'est pas une solution miracle, tout comme les coachs n'en sont pas une non plus. D'ailleurs s'il y avait une solution miracle en matière de séduction, FTS n'aurait plus de raison d'être. Cependant, tout comme les coachs, tout comme les autres approches, je suppose qu'elle peut avoir une pertinence pour quelques cas de figures. La jeter pour toutes les personnes qui ne sauront pas s'en servir c'est dommage. Tout comme la décrire comme la panacée.

Voilà, à titre perso, j'utilise lorsque mes circonstances personnelles s'y prêtent les sites de rencontre, et je confirme qu'on y fait de belles rencontres aussi, mais ça vous le savez déjà. Et ces histoires ne se sont pas finies parce qu'elles avaient commencées sur le net :) De la même façon que j'ai vécu de bien belles histoires avec des filles rencontrées directement en vrai !
Je n'utilise pas Tinder car je ne le considère pas approprié à mon cas (la boite de thon et la pioche en quelque sorte :) ). Ceci étant je ne m'interdis pas de conseiller les sites de rencontre à certains amis. Ceux que j'estime pouvoir éviter les pièges inhérent à l'outil. Grosso modo, je crois que pour un gars équilibré et bien dans ses bottes, cela ne représente pas de gros danger. Tout comme la pioche dans les mains d'un gars sain.


Vous voyez ou je veux en venir ?

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par Venusian
Perso j'ai déjà expliqué que je croyais pas au fait qu'être "sain d'esprit" n'était pas une barrière contre la perversité de Tinder.
Cf un témoignage d'un esprit sain ayant constaté le caractère addictif de l'appli : http://mregent.com/blog/2013/12/jai-tes ... li-tinder/

Mais sinon on peut aussi aborder le volet purement business et le modèle économique de Tinder, très pervers et dont la stratégie est assez floue. Si on part du principe qu'on ne peut se loguer que via un profil Facebook et s'interconnecte donc avec les infos qu'on a y a mises, rien que ça perso ça me fait tilter.

Au delà de ça, des annonceurs commencent à insidieusement pénétrer l'application, avec de faux profils profitant de la géolocalisation pour vous mener par magie devant certaines boutiques (une marque de chocolat par exemple, ayant passé contrat avec Tinder pour une stratégie de comm de ce genre).

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par FK
Venusian a écrit :Perso j'ai déjà expliqué que je croyais pas au fait qu'être "sain d'esprit" n'était pas une barrière contre la perversité de Tinder.
Cf un témoignage d'un esprit sain ayant constaté le caractère addictif de l'appli : http://mregent.com/blog/2013/12/jai-tes ... li-tinder/
Marrant qu'un témoignage comme ça soit recevable pour toi, alors que tu balayes ceux des autres parce que trop micro. Mais ok. y'a des trucs pertinents dans cet article, même si je le trouve vraiment "verre à moitié vide" et alarmiste.
Venusian a écrit :Mais sinon on peut aussi aborder le volet purement business et le modèle économique de Tinder, très pervers et dont la stratégie est assez floue. Si on part du principe qu'on ne peut se loguer que via un profil Facebook et s'interconnecte donc avec les infos qu'on a y a mises, rien que ça perso ça me fait tilter.

Au delà de ça, des annonceurs commencent à insidieusement pénétrer l'application, avec de faux profils profitant de la géolocalisation pour vous mener par magie devant certaines boutiques (une marque de chocolat par exemple, ayant passé contrat avec Tinder pour une stratégie de comm de ce genre).
Des sources là dessus stp ? ça m'intéresse (vraiment), et j'ai encore vu passer aucune info à ce sujet. Pour moi Tinder n'a pas d'autre modèle éco que la pub (dans l'app) et ils vivent grâce au volume de dingue qu'ils génèrent, mais j'ai peut être loupé une étape.

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 11.08.14
par Axelos
Pour ma part, j'ai dit tout ce que j'avais à dire sur le sujet.

Et je pense également avoir apporté pour le moment tout ce que je pouvais sur FTS.

Je vais donc me faire discret à partir de maintenant.

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 12.08.14
par Blusher
Le premier contact est toujours IRL (j'exagère, mais tu vois ce que je veux dire); Tinder c'est vraiment qu'une étape préliminaire, équivalente au coup d'oeil "j'y vais j'y vais pas" quand tu spottes une nana dans le bar ou dans la rue. Avec un peu plus de flairage de cul avant, ok, mais on a déjà eu l'occasion de le souligner, une fois que la nana est en face de toi, ce qui se passe en toi suit une dynamique absolument similaire à une rencontre faite autrement.
En fait, avant la rencontre les partenaires potentiels sont plus attirés que s'ils s'étaient rencontrés IRL. Attentes idéalisées. Les gens se dévoilent plus en ligne par tchat qu'ils ne le feraient IRL. Parfait non?

Sauf que forcément quand on part sur la base de photos choisies avec soin et de répliques qui font mouche à chaque fois (forcément quand on a le temps de trouver la réponse la plus spirituelle au prochain message) l'illusion ne tient pas. Du coup il y a qq déceptions au moment de la rencontre réelle.


Mais bon ce n'est pas l'essentiel effectivement.

Pas contre pour ceux qui avancent qu'on ne filtre pas très bien IRL, je rappelle l'étude citée plus haut (et qq autres ce n'est pas la première) :

On décèle mieux les traits de personnalité d'une personne rencontrée en vrai que d'une personne aperçue en photo sur un smartphone. (je sais c'est à peine croyable)

Rappel donc:
Tinder est une app basée essentiellement sur une sélection des "candidats" sur la base d'une sélection de leur photo. Quand un chercheur de Princeton se penche sur le sujet il se rend compte que les impressions que nous formons sur cette base sont tellement malléables que le moindre changement sur une photo fait que nous formons une opinion entièrement différente sur cette personne. Todorov, c'est le nom du chercheur nous apprend (si nous ne le savions déjà) que sur sur la base d'une photo, nous formons une idée de la personnalité de quelqu'un n'a aucune pertinence dans le réel, rien, nada, ziltch, quedalle. Ce qui en soi est un peu problématique quand justement on s'en sert pour choisir des partenaires potentiels.

http://pss.sagepub.com/content/early/20 ... 4.abstract

Re: "It's real life but better ?"

Posté : 12.08.14
par Onmyoji
J'ai pas le temps d'apporter une réponse constructive au reste, mais là on parle de choses sur lesquelles je peux apporter plus d'éléments (au passage, merci Ash d'avoir pavé le chemin)
Venusian a écrit : Le vélo, la conduite, sont des apprentissages qui deviennent des réflexes et il n'y a pas de plasticité du cerveau les concernant.
Faux. Les noyaux gris centraux sont parmi les zones les plus plastiques du cerveau. Et c'est là que sont encodés les engrammes neuronaux qui permettent l'activation du cortex moteur suivant des programmes préétablis (ça et toute une partie dans le tronc cérébral et les étages inférieurs de la moelle épinière, mais on est pas là pour chipoter).
D'ailleurs, heureusement qu'on est plastique, sinon on pourrait pas s'adapter à de nouvelles situations et à un nouveau vélo en grandissant, à de nouvelles règles, etc.
Ce serait ballot.
Heureusement la nature est bien faite, en général.
Pour ce qui est de l'empathie, cette fabuleuse capacité de comprendre l'autre dans ce qu'il ressent, ses signes d'intérêt pour faire court, et indispensable à la séduction, il y a indéniablement une plasticité, c'est à dire que c'est comme un muscle : il faut l'entrainer régulièrement.
Sauf que déjà, l'empathie s'exerce en permanence et pas seulement à l'approche, et ensuite, les neurones miroirs ont beau être plastiques et l'entrainement favoriser certaines identifications, les gnosies du type interprétation d'expression ne peuvent être perdues qu'en mettant des shoots dans le cerveau à coups de barres de fer ou d'impulsions magnétiques ou de drogues.
ça ne s'atrophie pas. On revient juste et au pire à son niveau de base (qui dépendra essentiellement du développement de la zone qui doit en gros se figer quand le cerveau "s'arrête" de se développer en masse, vers 25 ans. Mais ce niveau de base est normalement bien suffisant. Les barrages à l'interprétation sont plus d'ordre psychique que cognitifs. En gros, si on supprimait les complexes, les a priori, les mauvaises croyances, et tout un tas de "basses latences", on faciliterait grandement l'interprétation de ce qu'il y a à interpréter (parce que les gens qui sont "inaptes" ont tendance à faire plus de boulot d'interprétation, au lieu d'en être incapables comme vous semblez le dire)
Oh non l'addiction n'est vraiment pas le fait d'un "manque profond". C'est un processus qui s'installe sans aucun autre prérequis et peut toucher tout le monde.
Il peut y avoir des facteurs aggravants, mais essayer de trouver des facteurs externes c'est dangereux car ça insinue que si on est "sain et sans manque profond" on est à l'abri. Ce qui est évidemment faux.
Vrai.
Mais une addiction c'est toujours une triade entre un utilisateur, un environnement et un objet. Donc les facteurs externes ne sont pas à négliger. Ensuite, l'addiction par définition, crée un manque profond.
Pour ce qui est de "l'addiction qui chasse l'autre", c'est faux aussi. On peut très bien être tombé dans le piège de candy crush, et n'en avoir aucun autre.
ça c'est assez faux, il y a des personnalités disposées à être addict et ça a des bases neurobiologiques.
Et la majorité des addicts peuvent être polyaddictes, d'ailleurs.
Tu verras comme la plupart du temps, les gens cumulent "café+clopes", +cannabis si c'est rentré dans leur culture, par exemple.
Ou Alcool + prods et médocs en tous genres,
etc.
La plupart des nolife le sont parce qu'ils sont addicts au moindre jeu qui leur tombe sous la main, et ce serait pareil avec des jeux d'argent.
De toute manière faut bien se dire que les circuits de l'addiction sont des trucs qui sont pratiquement identiques (même s'ils y a des points de départ différents dans le cerveau) quel que soit l'objet. Pour la simple et bonne raison que ce sont à la base des circuits qui servent à diriger notre attention, notre motivation, vers des stimulis nécessaires à notre survie: douleur, faim, soif, partenaires sexuels, etc. Et leurs pendants: soulagement/bien-être, satiété et plaisir.
Et que les trucs auxquels on est addicts détournent ces circuits là à leur profit en induisant un fonctionnement anormal (c'est ce qui fait que par exemple, on oublie de bouffer parce qu'on joue ou qu'on a envie de se camer).
Donc une fois que tu es détraqué tu es détraqué, et ça a des chances de s'appliquer à tout (et ce n'est plus seulement une question de volonté).
Après il y a des gens qui ont un bagage génétique qui les rend plus ou moins plastiques et sensibles à divers stimulis ce qui fait que certains partent en vrille tous seuls, d'autres sous certains effets comme le stress ou uniquement face à certains produits mais voilà, en moyenne on est quand même tous plus ou moins polyaddicts potentiels de par notre fonctionnement de base.
Bref, c'est toujours cette croyance sur laquelle les éditeurs de ces applications (et les producteurs de télé-réalité) surfent; selon laquelle seuls les gens qui ont un souci deviennent accros.
Il y a des études en neuropsychologie qui sont utilisées c'est vrai pour induire des niveaux de stimulation qui vont accrocher les gens à certains jeux (d'où par exemple une certaine géométrie des échanges dans certains jeux en ligne, des niveaux de mise et des timings utilisés par exemple pour les machines à sous virtuelles ou les niveaux de jeu).
Cependant, pour ce qui est de tinder où est la stimulation? normalement ça vient de quelque chose de gratifiant, donc ici recevoir des matchs. Ce qui est totalement indépendant de la volonté du créateur de l'app. Pour un jeu ce serait bien plus contrôlé.

Sinon, même si je ne partage pas l'avis de Blusher en général sur le sujet, je suis quand même d'accord sur le point que sans se montrer bêtement élitiste, il faut admettre que même si on joue à des jeux pour se détendre, il y a quand même mieux à faire (un bon bouquin par exemple).
Pensez à Seven, ces gardiens de bibliothèque qui jouent au poker au lieu de lire les plus grands trésors du monde.
Je pense qu'une capacité qu'on perd, elle est culturelle et éducationnelle, et c'est celle de savoir s'intéresser à la culture justement, au profit des "futilités". Sinon on passe pour un ringard. Après je dis pas, je suis le premier à avoir besoin de temps en temps de débrancher le cerveau et dézinguer des objets sur un jeu ou faire une petite course ou ce genre de trucs, mais quand même, avec la masse de trucs géniaux auxquels internet donne accès, c'est franchement de la merde de jouer à Angry birds, Farmville ou autres. Quand tu vois que les mecs y passent 200 niveaux, tu te demandes quand même...

Enfin en ce qui concerne Tinder, 77 minutes de connexion ça veut dire 7 minutes à regarder des profils (ça se renouvelle pas si vite) par intermittence, et 70 minutes connecté en faisant autre chose hein. + éventuellement des discussions au milieu mais dans ce cas c'est de la socialisation, donc rien de critiquable (pas sur FTS, j'espère, ce serait malvenu).

Quant à la problématique de la perception et de la photo, lors des rencontres des tas de facteurs peuvent affecter aussi nos perceptions et les fausser, le stress, le manque de temps, la luminosité, le caractère enfumé de la zone, le son élevé, etc.
Autant de choses qui ne nous parasitent pas sur smartphone; donc grosso merdo on doit se retrouver à égalité en termes de capacité à évaluer (ce qu'on gagne au niveau du "vivant" avec l'attitude étant perdu par le reste).
Sans compter que l'attitude qu'on voit d'une personne en soirée dépend aussi beaucoup de son entourage et de la journée qu'elle a eue, tout ça, donc en gros on peut pas s'y fier, le seul truc permettant vraiment de connaitre la personnalité d'une personne c'est de passer du temps avec. ça c'est après Tinder ou la drague en direct.
Mais avant, il n'y a que des postures que nous adoptons qui dépendent des gens qui nous accompagnent, etc. Selon nos amis on se comportera pas pareil, pas question de pression sociale mais de dynamique apprise dans un groupe (c'est une légère nuance parce que c'est aussi une place et une attitude qu'on choisit soi-même). Donc une nana que tu pourrais trouver totalement exubérante entourée de ses copines sera chiante comme une année de goulag en tête à tête.
Comme je disais sur le select, c'est admis par le sens commun, "l'habit ne fait pas le moine".
Et en général, si on parle d'approche à froid (le même principe que "tinder", d'une certaine manière) on va pas draguer une nana pour sa belle personnalité. On décide de la revoir pour ça, mais au risque de passer pour un affreux bourrin, avant on va la voir parce qu'elle a un beau cul, des jolis yeux, une manière de bouger qui nous fait triper.
La personnalité ne rentre en compte que dans les rencontres fortuites, non décidées, pour cette décision de draguer ou pas. Et faire ce genre de rencontres par définition ce n'est pas controlable, app ou pas app.