Après niveau musique, j'ai de beaux souvenirs. Monsieur Moto avait mis un morceau qui porte mon prénom que j'aime beaucoup sans qu'il le sache. J'avais trouvé ça mignon par exemple.
Rencontres, nuit et petite mélodie
Le problème c'est que je suis un peu comme toi et je risque d'être plus concentrée sur Ken que sur l'acte. Par contre sur du gangstarap, je kifferais à mort et ça pourrait révéler des choses intéressantes
Après niveau musique, j'ai de beaux souvenirs. Monsieur Moto avait mis un morceau qui porte mon prénom que j'aime beaucoup sans qu'il le sache. J'avais trouvé ça mignon par exemple.
Après niveau musique, j'ai de beaux souvenirs. Monsieur Moto avait mis un morceau qui porte mon prénom que j'aime beaucoup sans qu'il le sache. J'avais trouvé ça mignon par exemple.
1er FR : Ma rencontre avec Ju le 11 octobre, soit 14 jours après mon arrivée à Paris. La suite a été décevantes mais je garde un souvenir génial du premier rendez-vous.
Monsieur tatoué est caché.
Celui qui tripotait mon bracelet - 11 octobre 2015
Ju, 26 ans, jeune cadre, 1m80 et fin, chatain barbu aux yeux verts foncés, matché sur Tinder lundi. Voilà pour les informations utiles.
Tinder marche du feu de Dieu pour moi à Paris. Beaucoup mieux que dans le sud. Les longs cheveux noirs bouclés. Ils s'amusent tous à deviner d'où je viens.
Match lundi avec Ju, le dialogue se fait rapidement sous forme de "test" ludique. Chacun passe sans problème celui de l'autre. Echange de numéros.
Il me téléphone mardi soir avant d'aller à un concert de Blues ( Ah il marque déjà un point). Le courant passe bien, très bien. J'ai le sourire jusqu'aux oreilles et il le devine. Je lui parle de ma baignoire, il glisse "Ah je t'y rejoindrais bien". Je dis que je suis une jeune fille absolument innocente. " Rien qu'à entendre ta voix, c'est impossible d'y croire". Les allusions ne sont jamais insistantes ou lourdes, c'est léger et bien dosé.
Il me demande mes disponibilités, je lui réponds que j'ai mon samedi soir ou midi libres pour l'instant.
Mercredi soir je lui envoie un texto pour lui demander de me confirmer le rendez vous pour que je m'organise. Il me confirme pour le samedi midi. Je lui réponds que je risque d'être fatiguée comme je sors la veille mais que je ferai au mieux.
Jeudi, je lui renvoie un message en lui disant de choisir un endroit pas loin de chez moi parce que je me suis fait mal et que je ne peux plus poser le pied à terre. Il m'appelle pour me demander si je vais bien. Adorable.
A ceci se rajoute que je dois impérativement aller faire ma prise de sang samedi matin à jeun 2h après le réveil. Je ne vais pas cumuler plus de 4h de sommeil. Je commence à me dire que les conditions ne sont pas géniales pour le rencontrer mais je n'ai pas envie d'annuler. Je le sens bien le petit.
La veille du date vers minuit et demi. Nous sommes attendus avec Juju, comme samedi dernier, par un ami dans un bar/boite chic. Je suis très en forme. Nous formons LE duo de soirées. On papote avec deux ou trois hommes complètement barrés. Je fais beaucoup rire un mec du staff (over sexy) en lui demandant d'où viennent les bougies parfumées des toilettes. Je ne peux m'empêcher de faire un sous-entendu sur les miroirs partout et les bougies qui créent une ambiance... particulière.
Vers 2h30, il est temps pour nous tous de bouger sur notre 3e plan en boite. Etre traitées comme des princesses de cette façon, ça me plait, mais ça reste particulier et il faut toujours faire attention à bien poser les limites pour ne pas que ça tourne malsain.
La soirée est franchement géniale.
4H30, les autres veulent bouger dans une autre boîte. Juju et moi commençons à être fatiguées et nous avons toutes les deux un date le lendemain. C'est plus raisonnable de rentrer maintenant. Une fois dehors je croise un mec rencontré samedi dernier au même endroit avec qui le courant était bien passé. Ajout sur FB le soir même. Il est brun barbu mais pour le reste ce n'est pas mon style de d'habitude du tout. Tatoué de partout, qui sort tous les soirs, mode de vie opposé au mien. Pourtant j'avais un peu craqué sur son regard ... Il est promoteur et je lui avais bien fait comprendre que je ne serai pas une de ses "filles". Vendredi soir, je lui avais demandé sur FB si on se croiserait. A priori non parce qu'il devait aller dans une autre boîte. Mais il avait ajouté qu'il essaierait de passer. Finalement il est arrivé quand je partais. Du coup on a seulement discuté 5 minutes et il a pris un taxi pour partir ailleurs.
Couchée à 5h30, le réveil est warrior. Perchée sur mes talons, parce que c'est la seule façon pour moi d'arriver à marcher sans avoir trop mal.
La journée commence mal, le labo ne peut pas me faire la prise de sang, ce qui me contrarie pas mal.
Il m'attend en bas de chez moi pour 13h. Je croise son regard et là : BIM. Il me plait. Ho ça il me plait. Il a un charme monstrueux, un sourire miam, des cheveux dans lesquels j'ai envie de plonger mes mains, une barbe de 3 jours qui vieillit son air de petit garçon et des petites rides au coin des yeux adorables.
Nous nous dirigeons vers un restaurant juste parfait pour la gourmande que je suis. Il me dit que je suis superbe et me complimente sur mes cheveux bouclés (j'aime). Il est déjà subtilement tactile. Une main sur les hanches, sur l'épaule. Une fois à table, la conversation est très naturelle et agréable. Il a de l'esprit. je dis l'air de rien que je collectionne les robes et... la lingerie hehe. Il me fait le coup plusieurs fois du secret pour approcher sa bouche de mon oreille. Oups la température monte déjà d'un cran. Au cours du repas il me confie qu'il n'a couché qu'avec des françaises. Je glisse ma double nationalité, ses yeux brillent. ça part sur l'Italie. J'en parle avec émotion, je lui raconte mon dernier voyage à Rome, que ça a été un des voyages les plus magiques de ma vie et que je rêve d'y retourner. Il embraye sur La Grande Bellezza. Je suis tombée sous le charme à ce moment là. Comment a-t-il deviné que ce film était mon film...
Une fois sortie du restaurant, il me propose d'aller profiter de la douceur du temps pour aller se poser dans le jardin. Nous nous asseyons au bord du petit plan d'eau. Les maquettes des bateaux me rappellent les régates royales de chez moi. Des enfants font des bulles au loin. Je lui raconte que j'adore les bulles, que ça offre un peu de féérie au monde. Je me sens en confiance et j'aborde naturellement des sujets plus sensibles sur mon passé. Il est très à l'écoute, les mots ne sont pas difficiles. Assis côte à côte, il prend mon poignet droit entre ses mains et détaille mon bracelet en me disant qu'il est très joli. Je lui raconte que ce bijou a une valeur sentimentale. Il me caresse les mains, me dit que j'ai la peau terriblement douce. Il me demande si ça va, si ça ne va pas trop vite pour moi. J'ai aimé qu'il me pose la question. Je lui réponds que tout va bien. Il m'embrasse dans le cou avant que je fasse le dernier pas pour l'embrasser. Bim badaboum. On rejoue la scène plusieurs fois entre deux conversations. Sur un coup de tête nous décidons d'aller acheter du sucre et de la farine pour aller préparer un gâteau chez moi.
Il continue les caresses tout en marchant, et que je te prends la main, que je te donne le bras pour t'aider à cause des talons, que j'effleure tes fesses l'air de rien. Putain il est doué.
Arrivés chez moi, je mets un album que nous adorons tous les deux et qui colle bien à la situation. Forcément ça dérape à plusieurs reprises. Je lui dis que ça ne pourra pas aller beaucoup plus loin comme je ne suis pas opérationnelle. ça devient difficile de tenir. Il est définitivement doué.
Arrêt sur image : le soleil inonde l'appartement, un délicieux morceau de jazz, lui allongé dans mon canapé et qui lit à voix haute un de mes poèmes préférés après qu'il ait trouvé mon anthologie de la poésie érotique dans ma bibliothèque.
Au cours de la conversation, il me dit qu'il est précoce mais qu'il ne l'est plus quand il est avec une femme qui a vraiment envie. Ah. Je reste stoïque.
Après avoir failli laisser brûler le gâteau, nous buvons tranquillement notre thé. Je lui raconte que je prends toujours mon bain à minuit. Il me propose de revenir à minuit pour le prendre avec moi. J'accepte. Il ajoute qu'il y a une alchimie très particulière entre nous. Il me demande si je veux l'accompagner lui et son pote au feu d'artifice mais j'ai des choses à faire et j'ai toujours des difficultés à marcher.
Il part à 19h avec la promesse de revenir plus tard.
Je l'attends tranquillement devant Ally McBeal. Il sonne vers 23h. Il m'embrasse gentiment. Il me dit de continuer à regarder mon épisode pendant qu'il prend des photos de moi. Il avait son appareil à cause du feu d'artifice. Il me mitraille, je suis timide, je n'ai pas l'habitude.
La suite est à la hauteur. Largement à la hauteur. Arrive le moment où il me demande si on ne peut vraiment pas le faire. Je craque. Mais pas de capotes. Le voilà parti en chercher illico dans la rue. Il est de retour 2minutes plus tard, après en avoir demandé au patron du bar en bas de chez moi.
Complètement épuisée après avec la tête qui tourne, je ne peux m'empêcher de lâcher:
-Mais t'es pas censé être précoce toi ?.
-Ah non mais c'était avant ça et rappelle toi ce que j'ai ajouté...
Il est parti ce matin à 8h, monsieur étant un lève tôt. Même ce matin il a été adorable.
" Termine bien ta nuit, A bientôt." m'a-t-il dit à la porte en m'embrassant.
Je suis retournée dormir et j'ai trouvé à mon réveil les photos prises hier soir. Il me les avait envoyées en rentrant chez lui.
Honnêtement j'ai presque du mal à croire ce que je viens de vivre tellement c'était hallucinant.
Maintenant j'ai quand même envie d'y aller doucement. Déjà je ne pense pas relancer moi pour le revoir pour le moment. J'ai envie de le laisser faire. Parce qu'au delà de cette rencontre folle, je n'ai pas la sensation d'avoir eu un coup de coeur.
Analyse :
- Un smsgame léger. Pas collant et pas de textos inutiles.
- Le coup de téléphone avant le date : très bonne idée.
- Je sais dans la première seconde si j'aurais envie d'aller plus loin possiblement.
- Il avait un vrai style totalement assumé de dandy amoureux des femmes.
- Très à l'aise avec le tactile. C'était naturel, jamais lourd. Grâce à ça, le baiser a été la suite logique.
- Sexualisation maitrisée, naturelle.
- Attentif. A chaque mot et geste de ma part.
- Il avait l'ai sincèrement intéressé par moi (dans tous les sens du terme) ce jour là.
- Il était rassurant.
-Le timing et les circonstances étaient avec nous.
- J'ai placé mes petits "Je suis sage" et mon amour de la lingerie. ça marche toujours.
- Mention spéciale pour la recherche de capotes dans la rue à minuit.
- Pourtant, pas de coup de coeur de ma part.
Monsieur tatoué est caché.
Celui qui tripotait mon bracelet - 11 octobre 2015
Ju, 26 ans, jeune cadre, 1m80 et fin, chatain barbu aux yeux verts foncés, matché sur Tinder lundi. Voilà pour les informations utiles.
Tinder marche du feu de Dieu pour moi à Paris. Beaucoup mieux que dans le sud. Les longs cheveux noirs bouclés. Ils s'amusent tous à deviner d'où je viens.
Match lundi avec Ju, le dialogue se fait rapidement sous forme de "test" ludique. Chacun passe sans problème celui de l'autre. Echange de numéros.
Il me téléphone mardi soir avant d'aller à un concert de Blues ( Ah il marque déjà un point). Le courant passe bien, très bien. J'ai le sourire jusqu'aux oreilles et il le devine. Je lui parle de ma baignoire, il glisse "Ah je t'y rejoindrais bien". Je dis que je suis une jeune fille absolument innocente. " Rien qu'à entendre ta voix, c'est impossible d'y croire". Les allusions ne sont jamais insistantes ou lourdes, c'est léger et bien dosé.
Il me demande mes disponibilités, je lui réponds que j'ai mon samedi soir ou midi libres pour l'instant.
Mercredi soir je lui envoie un texto pour lui demander de me confirmer le rendez vous pour que je m'organise. Il me confirme pour le samedi midi. Je lui réponds que je risque d'être fatiguée comme je sors la veille mais que je ferai au mieux.
Jeudi, je lui renvoie un message en lui disant de choisir un endroit pas loin de chez moi parce que je me suis fait mal et que je ne peux plus poser le pied à terre. Il m'appelle pour me demander si je vais bien. Adorable.
A ceci se rajoute que je dois impérativement aller faire ma prise de sang samedi matin à jeun 2h après le réveil. Je ne vais pas cumuler plus de 4h de sommeil. Je commence à me dire que les conditions ne sont pas géniales pour le rencontrer mais je n'ai pas envie d'annuler. Je le sens bien le petit.
La veille du date vers minuit et demi. Nous sommes attendus avec Juju, comme samedi dernier, par un ami dans un bar/boite chic. Je suis très en forme. Nous formons LE duo de soirées. On papote avec deux ou trois hommes complètement barrés. Je fais beaucoup rire un mec du staff (over sexy) en lui demandant d'où viennent les bougies parfumées des toilettes. Je ne peux m'empêcher de faire un sous-entendu sur les miroirs partout et les bougies qui créent une ambiance... particulière.
Vers 2h30, il est temps pour nous tous de bouger sur notre 3e plan en boite. Etre traitées comme des princesses de cette façon, ça me plait, mais ça reste particulier et il faut toujours faire attention à bien poser les limites pour ne pas que ça tourne malsain.
La soirée est franchement géniale.
4H30, les autres veulent bouger dans une autre boîte. Juju et moi commençons à être fatiguées et nous avons toutes les deux un date le lendemain. C'est plus raisonnable de rentrer maintenant. Une fois dehors je croise un mec rencontré samedi dernier au même endroit avec qui le courant était bien passé. Ajout sur FB le soir même. Il est brun barbu mais pour le reste ce n'est pas mon style de d'habitude du tout. Tatoué de partout, qui sort tous les soirs, mode de vie opposé au mien. Pourtant j'avais un peu craqué sur son regard ... Il est promoteur et je lui avais bien fait comprendre que je ne serai pas une de ses "filles". Vendredi soir, je lui avais demandé sur FB si on se croiserait. A priori non parce qu'il devait aller dans une autre boîte. Mais il avait ajouté qu'il essaierait de passer. Finalement il est arrivé quand je partais. Du coup on a seulement discuté 5 minutes et il a pris un taxi pour partir ailleurs.
Couchée à 5h30, le réveil est warrior. Perchée sur mes talons, parce que c'est la seule façon pour moi d'arriver à marcher sans avoir trop mal.
La journée commence mal, le labo ne peut pas me faire la prise de sang, ce qui me contrarie pas mal.
Il m'attend en bas de chez moi pour 13h. Je croise son regard et là : BIM. Il me plait. Ho ça il me plait. Il a un charme monstrueux, un sourire miam, des cheveux dans lesquels j'ai envie de plonger mes mains, une barbe de 3 jours qui vieillit son air de petit garçon et des petites rides au coin des yeux adorables.
Nous nous dirigeons vers un restaurant juste parfait pour la gourmande que je suis. Il me dit que je suis superbe et me complimente sur mes cheveux bouclés (j'aime). Il est déjà subtilement tactile. Une main sur les hanches, sur l'épaule. Une fois à table, la conversation est très naturelle et agréable. Il a de l'esprit. je dis l'air de rien que je collectionne les robes et... la lingerie hehe. Il me fait le coup plusieurs fois du secret pour approcher sa bouche de mon oreille. Oups la température monte déjà d'un cran. Au cours du repas il me confie qu'il n'a couché qu'avec des françaises. Je glisse ma double nationalité, ses yeux brillent. ça part sur l'Italie. J'en parle avec émotion, je lui raconte mon dernier voyage à Rome, que ça a été un des voyages les plus magiques de ma vie et que je rêve d'y retourner. Il embraye sur La Grande Bellezza. Je suis tombée sous le charme à ce moment là. Comment a-t-il deviné que ce film était mon film...
Une fois sortie du restaurant, il me propose d'aller profiter de la douceur du temps pour aller se poser dans le jardin. Nous nous asseyons au bord du petit plan d'eau. Les maquettes des bateaux me rappellent les régates royales de chez moi. Des enfants font des bulles au loin. Je lui raconte que j'adore les bulles, que ça offre un peu de féérie au monde. Je me sens en confiance et j'aborde naturellement des sujets plus sensibles sur mon passé. Il est très à l'écoute, les mots ne sont pas difficiles. Assis côte à côte, il prend mon poignet droit entre ses mains et détaille mon bracelet en me disant qu'il est très joli. Je lui raconte que ce bijou a une valeur sentimentale. Il me caresse les mains, me dit que j'ai la peau terriblement douce. Il me demande si ça va, si ça ne va pas trop vite pour moi. J'ai aimé qu'il me pose la question. Je lui réponds que tout va bien. Il m'embrasse dans le cou avant que je fasse le dernier pas pour l'embrasser. Bim badaboum. On rejoue la scène plusieurs fois entre deux conversations. Sur un coup de tête nous décidons d'aller acheter du sucre et de la farine pour aller préparer un gâteau chez moi.
Il continue les caresses tout en marchant, et que je te prends la main, que je te donne le bras pour t'aider à cause des talons, que j'effleure tes fesses l'air de rien. Putain il est doué.
Arrivés chez moi, je mets un album que nous adorons tous les deux et qui colle bien à la situation. Forcément ça dérape à plusieurs reprises. Je lui dis que ça ne pourra pas aller beaucoup plus loin comme je ne suis pas opérationnelle. ça devient difficile de tenir. Il est définitivement doué.
Arrêt sur image : le soleil inonde l'appartement, un délicieux morceau de jazz, lui allongé dans mon canapé et qui lit à voix haute un de mes poèmes préférés après qu'il ait trouvé mon anthologie de la poésie érotique dans ma bibliothèque.
Au cours de la conversation, il me dit qu'il est précoce mais qu'il ne l'est plus quand il est avec une femme qui a vraiment envie. Ah. Je reste stoïque.
Après avoir failli laisser brûler le gâteau, nous buvons tranquillement notre thé. Je lui raconte que je prends toujours mon bain à minuit. Il me propose de revenir à minuit pour le prendre avec moi. J'accepte. Il ajoute qu'il y a une alchimie très particulière entre nous. Il me demande si je veux l'accompagner lui et son pote au feu d'artifice mais j'ai des choses à faire et j'ai toujours des difficultés à marcher.
Il part à 19h avec la promesse de revenir plus tard.
Je l'attends tranquillement devant Ally McBeal. Il sonne vers 23h. Il m'embrasse gentiment. Il me dit de continuer à regarder mon épisode pendant qu'il prend des photos de moi. Il avait son appareil à cause du feu d'artifice. Il me mitraille, je suis timide, je n'ai pas l'habitude.
La suite est à la hauteur. Largement à la hauteur. Arrive le moment où il me demande si on ne peut vraiment pas le faire. Je craque. Mais pas de capotes. Le voilà parti en chercher illico dans la rue. Il est de retour 2minutes plus tard, après en avoir demandé au patron du bar en bas de chez moi.
Complètement épuisée après avec la tête qui tourne, je ne peux m'empêcher de lâcher:
-Mais t'es pas censé être précoce toi ?.
-Ah non mais c'était avant ça et rappelle toi ce que j'ai ajouté...
Il est parti ce matin à 8h, monsieur étant un lève tôt. Même ce matin il a été adorable.
" Termine bien ta nuit, A bientôt." m'a-t-il dit à la porte en m'embrassant.
Je suis retournée dormir et j'ai trouvé à mon réveil les photos prises hier soir. Il me les avait envoyées en rentrant chez lui.
Honnêtement j'ai presque du mal à croire ce que je viens de vivre tellement c'était hallucinant.
Maintenant j'ai quand même envie d'y aller doucement. Déjà je ne pense pas relancer moi pour le revoir pour le moment. J'ai envie de le laisser faire. Parce qu'au delà de cette rencontre folle, je n'ai pas la sensation d'avoir eu un coup de coeur.
Analyse :
- Un smsgame léger. Pas collant et pas de textos inutiles.
- Le coup de téléphone avant le date : très bonne idée.
- Je sais dans la première seconde si j'aurais envie d'aller plus loin possiblement.
- Il avait un vrai style totalement assumé de dandy amoureux des femmes.
- Très à l'aise avec le tactile. C'était naturel, jamais lourd. Grâce à ça, le baiser a été la suite logique.
- Sexualisation maitrisée, naturelle.
- Attentif. A chaque mot et geste de ma part.
- Il avait l'ai sincèrement intéressé par moi (dans tous les sens du terme) ce jour là.
- Il était rassurant.
-Le timing et les circonstances étaient avec nous.
- J'ai placé mes petits "Je suis sage" et mon amour de la lingerie. ça marche toujours.
- Mention spéciale pour la recherche de capotes dans la rue à minuit.
- Pourtant, pas de coup de coeur de ma part.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Like a boss ! le 02.05.16, 13h17 par MaryeL
- [0] Like ! le 03.05.16, 23h56 par Onmyoji
- [0] Intéressant le 05.05.16, 09h36 par mistermint
Bon.
Après qu'il m'ait envoyée des textos tout le week-end. Proposée de se voir mercredi soir. Avoir été sur happn pour me trouver, faire une capture d'écran et me l'envoyer en mode "coucou" et m'avoir reprochée ce matin par texto que je ne faisais pas preuve d'enthousiasme ces derniers jours, j'ai répondu " on se voit pour un café jeudi si ça te convient ." J'en peux plus. J'étouffe. Je ne le supporte plus. C'est presque violent. Je vais tâcher de le lui expliquer en douceur pour que ça lui serve pour les prochaines. Je vais lui ramener toutes les affaires qu'il a laissé chez moi ( ça aussi c'est flippant.).
J'avais déjà écrit un article sur les débuts d'une relation. Je vais en écrire un autre plus "pratique". Que ça serve au moins à quelque chose.
Après qu'il m'ait envoyée des textos tout le week-end. Proposée de se voir mercredi soir. Avoir été sur happn pour me trouver, faire une capture d'écran et me l'envoyer en mode "coucou" et m'avoir reprochée ce matin par texto que je ne faisais pas preuve d'enthousiasme ces derniers jours, j'ai répondu " on se voit pour un café jeudi si ça te convient ." J'en peux plus. J'étouffe. Je ne le supporte plus. C'est presque violent. Je vais tâcher de le lui expliquer en douceur pour que ça lui serve pour les prochaines. Je vais lui ramener toutes les affaires qu'il a laissé chez moi ( ça aussi c'est flippant.).
J'avais déjà écrit un article sur les débuts d'une relation. Je vais en écrire un autre plus "pratique". Que ça serve au moins à quelque chose.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Pas de chance mais ça arrive le 03.05.16, 23h20 par Jsh
Très intéressant ton FR.
Du coup, qu'est-ce qui explique pour toi l'absence de coup de cœur ? Tu décris des moments vraiment intuitifs, de la première fois où tu le vois (il te plaît immédiatement), jusqu'à la suite de l'interaction ou tout se déroule naturellement.
Une question de sémantique ? Qu'est-ce que tu appellerais "coup de cœur" puisqu'il n'a pas eut lieu ?
Du coup, qu'est-ce qui explique pour toi l'absence de coup de cœur ? Tu décris des moments vraiment intuitifs, de la première fois où tu le vois (il te plaît immédiatement), jusqu'à la suite de l'interaction ou tout se déroule naturellement.
Une question de sémantique ? Qu'est-ce que tu appellerais "coup de cœur" puisqu'il n'a pas eut lieu ?
S'il s'imagine que vous êtes "en couple" et que tu n'as jamais abordé le sujet de la fréquence des messages, il croit peut-être que c'est normal de t'envoyer autant de messages.
Mais tu lui répondais ? Tu prenais parfois l'initiative du contact ? Ou tu considères qu'il t'a carément harcelé ?
Mais tu lui répondais ? Tu prenais parfois l'initiative du contact ? Ou tu considères qu'il t'a carément harcelé ?
Merci ! Je trouve ce FR intéressant aussi parce qu'il a été vraiment bon objectivement.Très intéressant ton FR.
Du coup, qu'est-ce qui explique pour toi l'absence de coup de cœur ? Tu décris des moments vraiment intuitifs, de la première fois où tu le vois (il te plaît immédiatement), jusqu'à la suite de l'interaction ou tout se déroule naturellement.
Une question de sémantique ? Qu'est-ce que tu appellerais "coup de cœur" puisqu'il n'a pas eut lieu ?
Plusieurs raisons :
- Je sortais d'une période difficile et j'avais encore des choses à régler à l'époque. J'étais aussi totalement anesthésiée émotionnellement. J'ai passé de septembre à décembre sans rien ressentir. Le néant. Ce qui explique que je n'ai vécu que des aventures physiques. ça m'allait très bien d'ailleurs à cette période. Je me sens à nouveau comme ça en ce moment.
- Feeling. Je ne sais pas comment expliquer. Au bout du 3e rendez-vous j'ai compris que ça ne fonctionnerait pas. On ne partageait rien de vrai et je sentais qu'on n'avait rien à se dire. Comme avec Antoine, on parlait de banalités et de cul. C'est marrant, mais ça ne suffit pas. Pourtant j'avais essayé de provoquer les situations propices à discuter : expos, films. Mais on n'arrivait pas à communiquer du vrai. J'ai dû sentir tout de suite que ça allait être comme ça.
Le déclic a été un soir où il a tenu des propos pour moi inacceptables sur le viol. Je l'ai revu le lendemain. ça a confirmé ce que je pensais. Plus aucune confiance en lui. Fini.
- J'ai besoin d'admirer. J'ai admiré tous mes coups de coeur. L'un pour son parcours et son désir de vivre, l'autre pour ses capacités intellectuelles, un autre pour son sens de l'écoute et le fait qu'il était très "complet". Ju, je ne l'admirais pas et je m'en suis rendue compte très vite.
Comment tu peux t'imaginer en couple au bout de 15 jours ? Surtout quand je lui ai dit que j'étais très indépendante. Même en couple, ce n'est pas normal d'envoyer autant de textos inutiles. Je déteste les textos inutiles. S'il m'envoyait des choses qui lui font penser à moi, ok, mais les "tu fais quoi?" "ça va?". C'est pas possible.S'il s'imagine que vous êtes "en couple" et que tu n'as jamais abordé le sujet de la fréquence des messages, il croit peut-être que c'est normal de t'envoyer autant de messages.
Mais tu lui répondais ? Tu prenais parfois l'initiative du contact ? Ou tu considères qu'il t'a carément harcelé ?
J'échange beaucoup de messages avec Lucas ou d'autres amis. Mais on échange toujours du sens. Une photo d'une librairie, d'un livre, d'un poème. Du contenu.
Mais il ne pourrait pas le faire puisqu'en 5 nuits, la seule chose qu'il sait de moi, ce sont mes matières préférées cette année (et encore il a posé la question 3 fois) et des détails sans réelle importance. Il aime une image qu'il a de moi mais il n'a aucune idée de ce que je suis vraiment.
Je réponds beaucoup plus tard, quand je réponds. Pas d'initiative sauf pour fixer les rendez-vous de ma part. Pour moi déjà le coup du "je t'ajoute sur tous les réseaux et je te demande sur tous si ça va parce que tu ne réponds pas", c'était déjà flippant. Mais là dimanche, il m'appelle, je ne réponds pas. Puis textos. Puis le lendemain la photo d'happn. Encore texto pour me reprocher de ne pas répondre. Je me suis sentie oppressée. Je me suis fait violence pour ne pas l'envoyer chier à ce moment là. Je me suis sentie vraiment mal. Je ne peux pas supporter ça. C'est pas possible.
Et puis au bout de 15 jours quoi... Au bout de 15 jours, t'es toujours dans l'incertitude normalement, encore dans le jeu. Au train où il va, il me dit "je t'aime " dans une semaine. Mais je l'avais senti au 1er date, j'avais même écrit "il va trop en attendre de moi" et je ne me suis pas trompée. Je ne peux pas donner autant aussi vite.
Je suis très accrochée à ma liberté et pour espérer m'apprivoiser, il faut du temps, et partager. Rien de tout ça n'est présent.
En te répondant, je me dis que j'exagère un peu mais c'est trop tard pour revenir en arrière, je ne peux plus. C'est physique. Et il aime pas Nekfeu.
Je pense sincèrement que j'aurais pu passer outre cette histoire de textos si j'avais ressenti plus. Mais ce n'est pas le cas. Il ne me manque pas. Je ne pense pas à lui. Je ne ressens aucun papillon dans le ventre à l'idée de le voir. Je n'ai pas envie de l'embrasser. Ni même de coucher avec lui. Difficile de faire pire combo.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Instructif le 05.05.16, 15h38 par mistermint
Je ne pensais pas écrire à nouveau un jour sur Ernest.
Celui qui lisait Hemingway
Ernest. 31 ans. Requin de la finance. Il écrit bien. Une petit tendance à l'autorité. J'admire l'homme qu'il est, jeune fille innocente de 20 ans que j'étais.
Je le rencontre alors qu'il était en vacances dans le sud fin été 2014. Il ne se passe rien et il rentre à Paris alors que je fais mes études dans le sud.
Nous échangeons beaucoup, passionnément. il m'appelle Miss Dessous Chics. J'apprends pourtant rapidement qu'il a une copine depuis 1 an qui compte venir vivre chez lui. Coup de massue.
Nous continuons tout de même. Aux heures où il peut. Je culpabilise.
L'automne passe. Une première fois en octobre, il me propose de descendre passer le week-end avec moi. Il a déjà trouvé une excuse. J'en brûle d'envie. Mais je refuse. Je ne veux pas être une "erreur" qu'il regrettera.
15 jours plus tard, je ne tiens plus. Je le veux. Je lui demande de venir. Il accepte, regarde les billets. Il ne les prendra jamais. C'est à son tour de culpabiliser.
La situation devient intenable et nous en souffrons tous les deux. Je coupe contact 2 fois. A chaque fois il revient. "Tu me manques" disait-il. Mais le problème reste le même. Je suis loin. Pas certaine de venir vivre à Paris un jour. Il a une copine et ne la trompera pas.
Mi janvier en plein cours sur l'adultère je reçois un message "elle a tout découvert". Le monde s'écroule, prise d'un vertige.
Elle était tombée sur nos textos enflammés de la veille. Textos où il me disait que j'étais exceptionnelle, qu'il me voulait. Où il avouait avoir déjà trompé sa copine.
Je prends la décision de couper définitivement contact. Je lui fais mes adieux. Cette situation me fait souffrir. Je déteste être l'autre. J'ai mal qu'il ne soit pas avec moi. C'est devenu trop dur. J'ai besoin d'avancer. Je ne recevrai jamais de réponse.
15 jours plus tard je rencontrais Charles.
J'ai continué à penser à lui. De moins en moins avec le temps. J'écoute Les dessous chics et madame rêve parfois la nuit. Je sens son parfum souvent au détour des rues. Sensation qu'il n'est jamais loin. Il était devenu un souvenir. Souvenir d'une époque où je pensais ne pas mériter mieux que ce qu'il me donnait. Où j'aurais fait beaucoup pour l'avoir pour une nuit. Depuis j'ai vécu tellement de choses que ce n'est plus qu'un souvenir d'une autre vie.
Je lui ai envoyé un message pour les attentats. Il m'a remerciée. Il était sain et sauf. Nous nous en sommes tenus à cet échange cordial.
Prince est mort. Il l'adorait. J'ai envoyé un message donc il y a 15 jours (excuse de merde bonjour). Nous avons échangé calmement, prendre des nouvelles l'un de l'autre. Un dernier message de ma part sans réponse. Un message sans rien d'exceptionnel. J'étais juste contente de savoir qu'il allait bien. Evidemment Caramelle m'a engueulée.
Il m'a envoyée un message hier soir de réponse. Il le commence en disant que ces regrets ne sont que des folies qu'il n'a pas vécu. Conclut en disant que souvent il a l'impression de me croiser... Mon coeur a sauté dans ma poitrine. Tout a refait surface. Les signaux " Warnings" ont clignoté à plein régime.
J'ai répondu que je pensais à lui moi aussi parfois. Qu'en arrivant à Paris je m'étais souvenue de cette époque où nous attendions cela avec impatience. Que je sentais son parfum régulièrement lors de mes balades, prise d'une nostalgie. Que la vie devait continuer et que c'étaient des souvenirs.
Il m'a envoyée ce matin qu'il avait rêvé de nos retrouvailles.
Moi j'ai rêvé de nos adieux futurs si je le vois.
Je crois qu'il est toujours avec sa copine et j'ai dépassé ma période "mecs pris". Je vis très mal avec la culpabilité.
Il aimait la Amélia innocente, romantique et rêveuse. J'ai tellement changé depuis 1 an. Je crois qu'il n'aimerait pas la jeune femme libérée que je suis devenue. Celle qu'il aimait n'existe plus. Ou presque plus. Sans compter nos divergences de point de vue sur le couple.
Je sais que je ne dois pas le revoir. Mais c'est drôle la vie. J'étais certaine qu'il m'avait oubliée facilement. Et pourtant...
Faut vraiment que j'arrête les bêtises. J'ai envie de ressentir du fort et je m'ennuie en ce moment, c'est vrai. Mais il faut vraiment que j'arrête les bêtises.
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Celui qui lisait Hemingway
Ernest. 31 ans. Requin de la finance. Il écrit bien. Une petit tendance à l'autorité. J'admire l'homme qu'il est, jeune fille innocente de 20 ans que j'étais.
Je le rencontre alors qu'il était en vacances dans le sud fin été 2014. Il ne se passe rien et il rentre à Paris alors que je fais mes études dans le sud.
Nous échangeons beaucoup, passionnément. il m'appelle Miss Dessous Chics. J'apprends pourtant rapidement qu'il a une copine depuis 1 an qui compte venir vivre chez lui. Coup de massue.
Nous continuons tout de même. Aux heures où il peut. Je culpabilise.
L'automne passe. Une première fois en octobre, il me propose de descendre passer le week-end avec moi. Il a déjà trouvé une excuse. J'en brûle d'envie. Mais je refuse. Je ne veux pas être une "erreur" qu'il regrettera.
15 jours plus tard, je ne tiens plus. Je le veux. Je lui demande de venir. Il accepte, regarde les billets. Il ne les prendra jamais. C'est à son tour de culpabiliser.
La situation devient intenable et nous en souffrons tous les deux. Je coupe contact 2 fois. A chaque fois il revient. "Tu me manques" disait-il. Mais le problème reste le même. Je suis loin. Pas certaine de venir vivre à Paris un jour. Il a une copine et ne la trompera pas.
Mi janvier en plein cours sur l'adultère je reçois un message "elle a tout découvert". Le monde s'écroule, prise d'un vertige.
Elle était tombée sur nos textos enflammés de la veille. Textos où il me disait que j'étais exceptionnelle, qu'il me voulait. Où il avouait avoir déjà trompé sa copine.
Je prends la décision de couper définitivement contact. Je lui fais mes adieux. Cette situation me fait souffrir. Je déteste être l'autre. J'ai mal qu'il ne soit pas avec moi. C'est devenu trop dur. J'ai besoin d'avancer. Je ne recevrai jamais de réponse.
15 jours plus tard je rencontrais Charles.
J'ai continué à penser à lui. De moins en moins avec le temps. J'écoute Les dessous chics et madame rêve parfois la nuit. Je sens son parfum souvent au détour des rues. Sensation qu'il n'est jamais loin. Il était devenu un souvenir. Souvenir d'une époque où je pensais ne pas mériter mieux que ce qu'il me donnait. Où j'aurais fait beaucoup pour l'avoir pour une nuit. Depuis j'ai vécu tellement de choses que ce n'est plus qu'un souvenir d'une autre vie.
Je lui ai envoyé un message pour les attentats. Il m'a remerciée. Il était sain et sauf. Nous nous en sommes tenus à cet échange cordial.
Prince est mort. Il l'adorait. J'ai envoyé un message donc il y a 15 jours (excuse de merde bonjour). Nous avons échangé calmement, prendre des nouvelles l'un de l'autre. Un dernier message de ma part sans réponse. Un message sans rien d'exceptionnel. J'étais juste contente de savoir qu'il allait bien. Evidemment Caramelle m'a engueulée.
Il m'a envoyée un message hier soir de réponse. Il le commence en disant que ces regrets ne sont que des folies qu'il n'a pas vécu. Conclut en disant que souvent il a l'impression de me croiser... Mon coeur a sauté dans ma poitrine. Tout a refait surface. Les signaux " Warnings" ont clignoté à plein régime.
J'ai répondu que je pensais à lui moi aussi parfois. Qu'en arrivant à Paris je m'étais souvenue de cette époque où nous attendions cela avec impatience. Que je sentais son parfum régulièrement lors de mes balades, prise d'une nostalgie. Que la vie devait continuer et que c'étaient des souvenirs.
Il m'a envoyée ce matin qu'il avait rêvé de nos retrouvailles.
Moi j'ai rêvé de nos adieux futurs si je le vois.
Je crois qu'il est toujours avec sa copine et j'ai dépassé ma période "mecs pris". Je vis très mal avec la culpabilité.
Il aimait la Amélia innocente, romantique et rêveuse. J'ai tellement changé depuis 1 an. Je crois qu'il n'aimerait pas la jeune femme libérée que je suis devenue. Celle qu'il aimait n'existe plus. Ou presque plus. Sans compter nos divergences de point de vue sur le couple.
Je sais que je ne dois pas le revoir. Mais c'est drôle la vie. J'étais certaine qu'il m'avait oubliée facilement. Et pourtant...
Faut vraiment que j'arrête les bêtises. J'ai envie de ressentir du fort et je m'ennuie en ce moment, c'est vrai. Mais il faut vraiment que j'arrête les bêtises.
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- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 05.05.16, 15h41 par MaryeL
- [0] Ca va mieux en le disant le 06.05.16, 11h57 par Onmyoji
Ah ouais, c'est le genre sangsue en fait...
Il est irrécupérable, on ne peut pas le sauver (j'ai pourtant essayé lol).
Fuis loin de lui
Il est irrécupérable, on ne peut pas le sauver (j'ai pourtant essayé lol).
Fuis loin de lui
Bah il vaut mieux arrêter dans ce cas...
Ce mec m'a l'air banal, plat, chiant. Le genre de mec qui rentre dans le moule, qui cherche à être en couple "comme tout le monde".
Avec ses SMS, on dirait qu'il essaye de, comment dire, combler un manque. Faire comme si vous vous parliez en vrai. Créer une sorte de fausse complicité. "Je connais trop bien ma copine! En ce moment elle est en train de manger une pomme!"
Enfin bref. Dans un mois vous vous mariez, vous achetez une maison standard, vous faites deux enfants (un garçon et une fille, bien respecter ça surtout), vous adoptez un labrador, et c'est parti pour la petite routine
Ce mec m'a l'air banal, plat, chiant. Le genre de mec qui rentre dans le moule, qui cherche à être en couple "comme tout le monde".
Avec ses SMS, on dirait qu'il essaye de, comment dire, combler un manque. Faire comme si vous vous parliez en vrai. Créer une sorte de fausse complicité. "Je connais trop bien ma copine! En ce moment elle est en train de manger une pomme!"
Enfin bref. Dans un mois vous vous mariez, vous achetez une maison standard, vous faites deux enfants (un garçon et une fille, bien respecter ça surtout), vous adoptez un labrador, et c'est parti pour la petite routine
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 05.05.16, 15h44 par amelia
Je note ton effort de sauvetage ahahah, merci pour lui.
Edit sur Ernest : il me dit à l'instant qu'il a été très triste quand nous avons coupé contact mais qu'il a toujours été certain que nous finirions par nous retrouver. Qu'il croit beaucoup aux vertus du temps qui passe. Voilà voilà.
Edit sur Ernest : il me dit à l'instant qu'il a été très triste quand nous avons coupé contact mais qu'il a toujours été certain que nous finirions par nous retrouver. Qu'il croit beaucoup aux vertus du temps qui passe. Voilà voilà.