Re: Raven : The (poor) Catcher in the Rye
Posté : 28.12.12
Salut à vous !
Ca faisait un bail que j'étais pas passé. Je passe donner des nouvelles.
Comme je suis en vacances loin de la Fac, Ju., S., C., on met de côté. Et on reparlera dans un mois.
Bref. Je suis rentré dans mon patelin. Le soir même, je me mettais une race avec deux amis. Whisky et Juana, en somme, rien de neuf. Mais bordel, ça fait du bien.
Tu te fais déchirer à Mortal Kombat par un mec qui a la dignité d'un membre de Boys Band et qui spam compulsivement avec Scorpion, en tirant quelques lattes sur le stick, c'est ça qu'est bon.
Mais bref, passons.
Donc j'ai fêté quelques jours plus tard, et j'ai eu une révélation. J'ai discuté avec la soeur d'un ami, que je trouve à mon goût. Etrangement, j'ai été incapable d'agir, alors que je pense en avoir eu l'occasion. Pourquoi ? Je crois que j'ai simplement eu envie de laisser le passé à sa place. Je crois que je dois prendre une nouvelle page, et y apposer mon sceau, plutôt qu'essayer de rattraper les erreurs du passé. Pourtant, je me sens attiré, irrémédiablement.
Ces deux semaines, je ne compte pas draguer, sauf au Nouvel An, où je suis invité chez une fille que je désire à un point qui dépasse l'entendement. Et je me prépare déjà à jouer toutes mes cartes, à me servir de toute mon expérience, ne serait-ce que pour lui faire l'amour.
Sinon, j'avais d'autres trucs à raconter.
Je me suis fais mordre la jambe et le bras par un chien. En gros, un norvégien bourré m'a insulté quand j'étais moi-même dans un état second. Je l'ai défié à une dégustation de Whisky/Coca cul sec dans des verres à flotte gigantesque. Après trois verres, il s'est écroulé, tandis que j'étais encore debout (Le quatrième me fut fatal d'ailleurs), il m'a insulté ensuite, moi, et ma génitrice. Et ça, ça ne passe pas. Du coup, j'ai suggéré que son orientation sexuelle était ambigue. Manque de chance, il avait un chien. J'ai une marque de dentition canine sur la jambe et le bras du coup.
Sinon, cette nuit, j'ai piqué des boules sur le sapin municipal, à quatre heures du matin, défoncé, avec un ami. Sur le chemin, on croise des filles bourrées, je leur demande si elles ont une clope. Elle me laisse tirer deux lattes sur la leur. Mentolée. Bon, tant pis, je piocherais du tabac dans le pot Camel de mon pote quand on sera rentré. On leur parle de notre forfait. Elles nous parlent de leur ancien bahut situé à quelques centaines de mètres. On se décide à frapper une seconde fois. On retourne chercher une échelle, et on décroche trois lettres sur l'enseigne de l'établissement.
L'une des trois filles me regarde et me sourit, quand je m'amuse avec mes boules de Noël plus grosses que les roploplos de Lolo Ferrari, et les lettres métalliques. On erre dans un jardin public, dans l'herbe. Je caresse doucement le pompon de sa veste.
??? : Ca t'amuse de prendre mon pompon ?
Raven : C'est pas ma faute, les pompons, ça m'excite.
??? : Ah vraiment ? Moi, ce qui m'excite, c'est de baiser quand j'suis défoncée dans les lieux publics.
Okay, ça, c'est un message pour le moins clair, non ?
Je m'approche doucement, mon palpitant accélère, ce genre de situations a tendance à me stresser, le tout est de ne pas le laisser paraître.
Raven : C'est vrai que c'est tentant. Je me demande ce que je vais faire de ces boules de Noël géantes, et de ces lettres métalliques …
??? : Tu peux me les donner !
Raven : Ah non, j'ai eu trop de mal à les chopper, si j'te les donne, je veux quelque chose en échange !
??? : Comme quoi ?
Raven : J'aurais bien envie de te dire une nuit d'amour dans ce jardin public. A défaut de nuit d'amour, au moins la possibilité de tripotter les pompons ?
??? : Tu penses que je refuserais la nuit d'amour ?
Elle m'envoie un sourire qui oscille entre la proposition coquine, et l'invitation au sexe débridé.
On s'embrasse, on se caresse, et j'ai même le droit à la petite finition buccale. Mais rien de plus, les demoiselles sont pressées, et nous aussi, le jardin n'est pas très sur la nuit. Je prends le numéro de la demoiselle à la langue habile, et nous nous quittons.
Je rentre en ayant encore une boule rouge et une or, tandis que mon pote n'en a plus qu'une, mais énorme.
Bref.
Superbes vacances.
Ca faisait un bail que j'étais pas passé. Je passe donner des nouvelles.
Comme je suis en vacances loin de la Fac, Ju., S., C., on met de côté. Et on reparlera dans un mois.
Bref. Je suis rentré dans mon patelin. Le soir même, je me mettais une race avec deux amis. Whisky et Juana, en somme, rien de neuf. Mais bordel, ça fait du bien.
Tu te fais déchirer à Mortal Kombat par un mec qui a la dignité d'un membre de Boys Band et qui spam compulsivement avec Scorpion, en tirant quelques lattes sur le stick, c'est ça qu'est bon.
Mais bref, passons.
Donc j'ai fêté quelques jours plus tard, et j'ai eu une révélation. J'ai discuté avec la soeur d'un ami, que je trouve à mon goût. Etrangement, j'ai été incapable d'agir, alors que je pense en avoir eu l'occasion. Pourquoi ? Je crois que j'ai simplement eu envie de laisser le passé à sa place. Je crois que je dois prendre une nouvelle page, et y apposer mon sceau, plutôt qu'essayer de rattraper les erreurs du passé. Pourtant, je me sens attiré, irrémédiablement.
Ces deux semaines, je ne compte pas draguer, sauf au Nouvel An, où je suis invité chez une fille que je désire à un point qui dépasse l'entendement. Et je me prépare déjà à jouer toutes mes cartes, à me servir de toute mon expérience, ne serait-ce que pour lui faire l'amour.
Sinon, j'avais d'autres trucs à raconter.
Je me suis fais mordre la jambe et le bras par un chien. En gros, un norvégien bourré m'a insulté quand j'étais moi-même dans un état second. Je l'ai défié à une dégustation de Whisky/Coca cul sec dans des verres à flotte gigantesque. Après trois verres, il s'est écroulé, tandis que j'étais encore debout (Le quatrième me fut fatal d'ailleurs), il m'a insulté ensuite, moi, et ma génitrice. Et ça, ça ne passe pas. Du coup, j'ai suggéré que son orientation sexuelle était ambigue. Manque de chance, il avait un chien. J'ai une marque de dentition canine sur la jambe et le bras du coup.
Sinon, cette nuit, j'ai piqué des boules sur le sapin municipal, à quatre heures du matin, défoncé, avec un ami. Sur le chemin, on croise des filles bourrées, je leur demande si elles ont une clope. Elle me laisse tirer deux lattes sur la leur. Mentolée. Bon, tant pis, je piocherais du tabac dans le pot Camel de mon pote quand on sera rentré. On leur parle de notre forfait. Elles nous parlent de leur ancien bahut situé à quelques centaines de mètres. On se décide à frapper une seconde fois. On retourne chercher une échelle, et on décroche trois lettres sur l'enseigne de l'établissement.
L'une des trois filles me regarde et me sourit, quand je m'amuse avec mes boules de Noël plus grosses que les roploplos de Lolo Ferrari, et les lettres métalliques. On erre dans un jardin public, dans l'herbe. Je caresse doucement le pompon de sa veste.
??? : Ca t'amuse de prendre mon pompon ?
Raven : C'est pas ma faute, les pompons, ça m'excite.
??? : Ah vraiment ? Moi, ce qui m'excite, c'est de baiser quand j'suis défoncée dans les lieux publics.
Okay, ça, c'est un message pour le moins clair, non ?
Je m'approche doucement, mon palpitant accélère, ce genre de situations a tendance à me stresser, le tout est de ne pas le laisser paraître.
Raven : C'est vrai que c'est tentant. Je me demande ce que je vais faire de ces boules de Noël géantes, et de ces lettres métalliques …
??? : Tu peux me les donner !
Raven : Ah non, j'ai eu trop de mal à les chopper, si j'te les donne, je veux quelque chose en échange !
??? : Comme quoi ?
Raven : J'aurais bien envie de te dire une nuit d'amour dans ce jardin public. A défaut de nuit d'amour, au moins la possibilité de tripotter les pompons ?
??? : Tu penses que je refuserais la nuit d'amour ?
Elle m'envoie un sourire qui oscille entre la proposition coquine, et l'invitation au sexe débridé.
On s'embrasse, on se caresse, et j'ai même le droit à la petite finition buccale. Mais rien de plus, les demoiselles sont pressées, et nous aussi, le jardin n'est pas très sur la nuit. Je prends le numéro de la demoiselle à la langue habile, et nous nous quittons.
Je rentre en ayant encore une boule rouge et une or, tandis que mon pote n'en a plus qu'une, mais énorme.
Bref.
Superbes vacances.