FTS

Destiny.


Lecteur du soir, bonsoir.

Ecoute donc cette petite musique avant de poursuivre. Elle est super.

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Les séries c'est une telle source d'inspiration pour les fabulations love. Et plus que ça, on s'identifie aux héros, on a envie de leur ressembler. Ce serait bête de bannir tout ces fantasmes parce que "s'pas la réalité". Il y a plein de codes dont on peut s'inspirer, et utiliser à notre profit.

On a toujours l'impression que toutes les histoires d'amours et romances magnifiques qu'on y voit sont hollywoodiennes et ne reflètent pas la réalité.

Mais des histoires magnifiques, il en arrive tous les jours. Simplement excepté ses personnages, personne n'est la pour les voir.

Il faut réaliser qu'à 20 ans, on est tous au début d'un film ou d'une série, dont personne ne connait la fin. Mais que vu la durée de celle ci, beaucoup de choses vont arriver. Ce n'est pas une probabilité, c'est une certitude.
Par exemple, mon père est sorti pendant quelques années avec une fille vers ses 20 ans. Puis ils ont rompu. Et son meilleur ami, a finit par sortir avec elle. Aujourd'hui ils sont mariés et ont des enfants.
Je trouve ça génial. Tu vois ta meilleur amie aujourd'hui, ben tu te marieras peut être avec elle. Ou tu vois ton ex que ton frère déteste? Peut être qu'un jour ils s'aimeront plus que tout. Ou encore cette fille dans ta classe que tu n'as jamais calculé. Pareil.

C'est énorme.

Parce que ça signifie que rien n'est figé. Une fille qui t'adore, ou qui te hais, ou qui t'a aimé mais ne t'aime plus. Tout ça aujourd'hui, qu'en sera-t-il dans 10, 20 ans?

***


Aujourd'hui, j'étais encore avec ma copine.

Avant ça, j'ai parlé avec un ami. Il m'a demandé si je lui avais dis "Je t'aime" parce que ça fait "longtemps que vous êtes ensemble". Je lui ai répondu non, car ça ne faisait que 2 mois et demi, et que l'amour de se commande pas, qu'on l'exprime quand on le ressent, et on ne le ressent pas par choix ou après un labs de temps défini.

Parfois ça fait flipper. Tout ce qui touche à l'amour, tant qu'il n'est pas réciproque, me fait stresser. Ce qui me fait le plus flipper, c'est d'être aimé avant d'aimer. Je redoute toujours qu'elle puisse penser "Il va le dire? il va le dire? est ce qu'il m'aime? moi oui...". Comme quoi, je suis pas encore tout à fait serein dans mes relations, je veux bien faire les choses.

Mais bien faire les choses, est ce que c'est être honnête après tout?

C'est vrai que c'est dur de ne rien répondre à un "Je t'aime", mais c'est surement mieux que de répondre "Moi aussi" sans le penser. Enfin, c'est ce que je pense.

***

Il y a de grandes leçons que j'ai tiré de ma précédente relation.

Notamment deux, qui représentent aujourd'hui mes deux credo.

Je veux être honnête envers ma copine.
L'honnêteté, ce n'est pas la transparence, ce n'est pas faire un rapport détaillé de ses activités à chaque sortie.
C'est assumer ses actes, prendre ses responsabilités jusqu'au bout, envers l'autre. Être un mec bien.

Le deuxième credo, est de communiquer et partager.
Quand on est honnête, qu'on a rien à se reprocher, qu'on fait confiance à l'autre et qu'on le mérite... Rentrer en fusion, partager les émotions, faire ressentir à l'autre ce qu'il nous fait ressentir... Vibrer à deux. Ne pas avoir peur des sentiments, des ressentiments. De tout ce qu'il y a de fort. Mais au contraire, les exprimer avec fierté.

Il y a quelques années, je parlais avec une fille.

Face à un fait, une infidélité de votre copine par exemple. En imaginant la souffrance évidente que j'aurais éprouvé, j'avais dis "Dans ce cas la je préfères ne pas le savoir." Elle m'avait répondu : "tu préfères te voiler la face et vivre dans le mensonge? pas moi".

Elle avait raison. Et ce serait lâche de fuir, même si c'est parfois dur.

***

Donc aujourd'hui j'étais avec ma copine.

Elle s'est en allée aujourd'hui pour quelques jours en vacances. Dans un sens, c'est bien. Ça ne peut qu'être stimulant, il faut bien se quitter un peu pour se retrouver.

On a couché ensemble cette après midi avant qu'elle prenne le train. C'était sauvage, et alors qu'on n'avait pas arrêté cette semaine, j'en avais encore envie, mais ce n'était pas une pulsion sexuelle standard, j'avais envie d'elle particulièrement cette fois. C'était jouissif.
Avec elle, je me transforme en bête féroce dans ces moments. Et elle aime ça.

Je n'aime pas les fessés pendant l'acte, c'est pas naturel pour moi. Moi, je mord. Pas pour faire mal, mais j'aime bien avoir une emprise, comme des crocs autour de sa proie. Et elle aime que je la morde.

On est sur la même longueur d'onde, je suis bien avec elle... Jusqu'ou ça ira? qui vivre verra.

On ne sait jamais à quel point on va s'attacher à quelqu'un à l'avance.

Avec L², mon ex, personne n'y croyait. Moi le premier. J'étais un Don Juan, elle le savait. M'attacher n'était pas dans mes habitudes. Puis petit à petit, naissant de nul part, une petite flamme est apparue. Flamme qui est devenue brasier avec le temps.

Qui l'aurait cru au début? Personne.

C'est marrant les souvenirs que j'ai aujourd'hui. Il y a des souvenirs marquants.

Notamment un.

Ça faisait à peu près 5 mois que nous étions ensemble. Nous passions un weekend à la campagne dans une maison d'ami, nous étions une quinzaine.

Je devais prendre le train avec deux amis en urgence, et quitter la maison en courant pour faire du stop.

Je choppe mon sac, dis au revoir à tout le monde.
Je la prend dans mes bras et l'embrasse. Je n'allais pas la revoir de tout l'été. 2 mois entier.

On sort de la maison, on se met à courir sur cette route à perte de vue entre les arbres.

Puis. Je m'arrête. Je regarde mes amis continués à courir, s'éloignant devant moi.

Et j'ai pour la première fois un pincement un coeur.

Je vais plus la voir pendant deux mois.

Désolé les gas, je rentrerais plus tard. Bonne chance.

Et alors qu'elle me pensait parti, je retourne vers la maison... Je me sens bien... Quelque chose se passe à l'intérieur.

Comme des retrouvailles, on est tout content. Amoureux.

Ensuite on est monté dans une chambre. On a fait l'amour. L'Amour. Ce fut la première fois que je jouissais en elle.

***


Ahhh... Ou est ce que la vie va nous mener?

Je ne sais pas...

Ce que je sais, c'est que je ne forcerais pas le destin.

Les dès sont déjà jetés de toute façon.
Alors si je retrouve L² un jour, autant que ce soit en toute sérénité puisque c'est le destin et qu'on ne peut pas lutter contre.

Je serais ce que je suis aujourd'hui. Solide, honnête, serein, tranquille, apaisé.

Tu ne tournes pas la page tant que tu as de la rancœur envers quelqu'un. Cet écueil était tentant, après toute la souffrance que j'avais vécu.
Allez savoir pourquoi, il n'y a pas une once de rancoeur aujourd'hui. Disparue.

Il y a peut être encore des sentiments... Et ce serait en faite mentir que de dire le contraire.

Vous me direz que tout ça n'a pas de sens. Pourquoi ne pas essayer de retrouver l'être aimé?

J'ai juste envie de faire confiance au destin et d'accepter la tête haute tout ce qu'il me proposera en temps et en heure.

Let her go.

Let's be a man.

Katsu

Je sais pas ce qu'on fout dans ma bouffe en ce moment, ou alors je développe ma schizophrénie, mais ça fait plusieurs soirs que je me retrouve à divaguer bizarrement, ce qui m'empêche de dormir.

Ca doit être l'effet Arrow, la série, les derniers épisodes font rêver. Fort en émotion, inconsciemment ça me chamboule, et je viens ici fébrile avec des étoiles dans les yeux pour raconter mes envies love fantasmées.

Mais y'a plein de conneries au dessus, enfin c'est très mal tourné.

Par exemple les sentiments pour L², c'est pas vrai. Enfin j'en sais rien, mais ce que je voulais dire, c'est qu'il n'y a plus la perte d'objectivité et l'entêtement que j'ai pu avoir pendant une période.
Il n'y a plus de colère, de rancœur ou même de désir. Je n'attend rien d'elle.

Elle vie sa vie, je vis la mienne, rien de plus. Et si on est amené à se rapprocher à nouveau, tant mieux, ça me ferait plaisir de passer du temps avec elle parce que j'aimais passer du temps avec elle et qu'on a toujours eu un lien bien à nous. Après, objectivement, avec le temps je crains que ce lien se soit déformé. Que lorsqu'on se verra, sans le désir qu'on avait par le passé, tout ça se chamboule et qu'on en ressorte tous les deux avec une pensée : "Hum... Ça faisait bizarre.".

C'est pour ça que je suis pas si pressé que ça de la voir, en tout cas seul à seul. Le problème c'est qu'elle pense que je ne veux pas la voir du tout (enfin ça l'arrange, car l'idée de me voir semble la rendre anxieuse) donc elle évite les soirées communes. Bref, beaucoup de blabla pour pas grand chose.

Ces éclaircissements terminés, je retourne aux révisions.

Katsu

Fuck that shit.

Il y a un domaine qui ne va pas du tout même depuis que tout va bien.

C'est les cours, le taf de façon général.

Ça me déprimerait presque, je suis désespéré. Et optimiste comme je suis, être à deux doigts de perdre espoir, c'est très mauvais signe.

Mes examens sont dans 20 jours. J'ai, grossomodo, 80 pages de cours par matière. Donc 480 pages Word à réviser.

J'ai quasiment rien fait. Et j'y arrive pas putain de merde, ça me rend fou. Je me pose sur mon bureau, j'ouvre le cours de Droit international par exemple. Page 1. Il en reste 68. 68 pages de paraphrase, pas une phrase concrète et précise. Ça me saoule! J'ai l'impression d'apprendre du vent, je régurgite chaque ligne. Et au bout de 10 pages, au choix: je finis par m'endormir, ou je m'en vais écœuré de rien avoir appris ou retenu en 1h.

"Mais fais des fiches!". Ok, sauf que ficher un cours de 80 pages, ça prend une semaine entière, et avec beaucoup de sérieux. Il me reste 3 semaines. J'ai pas le temps de ficher putain, j'ai le temps de rien!

J'ai juste l'impression d'avoir une montagne énorme devant moi, et plutôt que de me dire "Aller, si j'en dévore la moitié ce sera suffisant pour assurer, avec un peu d'impro."

Bah non, je vois cette montagne, et comme j'aime pas le travail inachevé ou mal fait, j'y touche pas, je me casse perdre mon temps ailleurs. (Ecueil du perfectionnisme...)

Le problème c'est que j'ai pas mis de sérieux à travailler depuis 2 ans. Et, en large, depuis 5 ans.

Pourquoi j'arrive pas à travailler? Il me suffirait que de quelques bonnes journées, de 10 a 19h, ça ferait déjà 8h de travail, je pourrais faire tellement de choses! Les étudiants de première année de médecine font ça pendant presque 2 ans non stop sérieux... C'est vraiment une paresse pathétique que d'être incapable de s'activer UNE journée. Ces 10 derniers jours, j'ai du travailler au total... 3H. Faites une moyenne par jour. BRAVO KATSU!

Et bien sur je n'ai eu aucune régularité pendant ce semestre, donc je pars de presque 0 dans ces "révisions" ou plutôt dans cet apprentissage.

Ça me dégoûte, j'ai honte, ça me met en colère.. J'y arrive pas putain j'y arrive pas!

Et le pire c'est qu'à la place, je fais rien de mon temps! Je reste chez moi pour me donner bonne conscience, sans rien faire pour autant.

J'ai bien peur d'être ne train d'accepter petit à petit l'idée de redoubler (pour la première fois de ma scolarité), et j'avoue que ça n'aide vraiment pas à se motiver. PUTAIN PUTAIN PUTAIN

En faite c'est bien ça : je suis désespéré.

Help.

Katsu

Petit conseil:

Coupe tes révisions en plusieurs petites révisions. Normal que tu sois découragé quand tu te poses face à 68 pages de cours à ingurgiter. Par contre si tu n'avais que dix pages (voir 5) à la fois, ce serait plus simple.

Organise tes révisions de la façon suivante: assis toi à ton lieu de révision pour 15 minutes. Dis-toi que tu vas réviser juste pour 15 minutes. C'est pas long 15 minutes.

Si au bout de 15 minutes t'en as marre, stoppe et fais autre chose. Mais la vérité c'est qu'après 15 minutes, tu voudras continuer et tu t'en rendras pas compte. Et si t'as pas envie de continuer, stoppe là.

Et recommence plus tard d'autres 15 minutes de révisions. 15mn+15mn+15mn... tu connais la chanson.

Voilà j'espère que ça t'aidera.

P.S: ah et commence par réviser les choses qui te plaisent. Les choses qui te plaisent pas, laissent les pour plus tard.

Hey!

Tout d'abord très bon FR, agréable à lire, et je me suis un peu retrouvé dans le fait de ta rupture avec ton ex au bout de deux ans, ça m'as d'ailleur permis de relativiser..

Ton dernier post m'as interpellé car étant également en droit, et que mes partiels à moi sont dans 3 jours, et je galère toujours autant à réviser alors que j'ai eu haut la main ce puta*n de premier semestre..

Je pense que tu stresses pour rien, tu as encore le temps devant toi pour t'y mettre sérieusement! Il y a plusieurs solutions:

-Tu restes défaitiste et tu échoues sans avoir même pris les armes pour te battre.
-Tu te motives, tu en parles à tes amis avec qui tu peux leur demander de te forcer à réviser.
-Tu vas à la BU sans portable (stop FTS et facebook) ordi, etc... Et tu te mets à fond dedans sans avoir aucun élément de distraction.

Essaye également d'imprimer tes feuilles word en plus petit caractère: c'est con mais ça motive.

Également avoir une bonne hygiène de vie et surtout du sommeil!

Premier post sur ce carnet, qui au passage est très bien structuré, tu as "totalement" changer sur de nombreux points quand même.

Honnêtement, j'étais en prépa kiné (d'ailleurs je vais poster bientôt un sujet la dessus) qui au niveau charge de travail est comparable à médecine, en fait c'est plutôt qu'on se dit qu'en bossant autant on va tout retenir etc. L'apprentissage, même si parfois on est obligé de se faire 4-5h par jour de sa, il faut relativiser, quand on rentre à la fac après le bac on a aucune méthodologie de travail, on apprend bêtement par coeur et on cherche pas à maîtriser son cours.
Alors en médecine, dans certaines matières, il ne faut pas seulement maîtriser son cours mais jouer avec aussi, d'où certains qui se plante royalement.
Notre cerveau sur une heure ne peut être concentrer réellement que 15 minutes sa fait peu..

Donc je vais faire comme nous on a fait pour être efficace, car en prépa kiné on avait cours quasiment tout les jours de 9h à 19h voir 20h parfois, avec quelques trou entre mais pas tout le temps, donc après faut trouver le temps d'apprendre.
Il faut que tu cherches quand tu es le plus efficace pour bosser, tes heures etc.
Après je suis pas callé en droit, mais il doit y avoir des sujets qui tombent plus souvent que d'autre? Essaye de bosser ce que tu sais le moins surtout, car parfois en voyant des éléments tu vas te rappeler de certains trucs du cours etc. Alors que ce que tu sais pas du tout rien ne te viendras..

Enfin j'espère que tu vas t'en sortir mais je plussoie les conseils de ceux d'avant

Yo' !

Alerte clichés.

Bah c'est ta faute mon petit Katsu. Tu as choisi le Droit. Si tu voulais un truc facile, fallait aller en Musicologie, en Sociologie, ou en Psychologie ! Tu ressortirais avec un diplôme avec un nom très long (Comme les maladies infectieuses d'ailleurs, et c'est surement pas du au hasard) et tu pourrais frimer partout que tu possèdes une Licence, un Master ou un Doctorat. Et tu te ferais appeler Docteur Katsu (Et pas que par des filles petit coquin). Enfin, jusqu'à ce que tu tendes la main pour une pièce quoi.

Envoie-moi une photo, je te fais une carte de membre du club des mecs qui dormiront un jour sous un pont, j'sais pas pourquoi mais c'est moi le Président.

Bref.

Quand je vois 68 pages de cours, je me dis que la moitié ne sert à rien, qu'il y a les espaces, la mise en page, et ainsi, rien qu'en faisant du copier/coller sur les notions qui ont l'air importantes puisque plus détaillées, j'arrive à bien réduire le truc.

Tous les cours que j'ai, c'est un mec qui me les a filé. J'avais 82 pages sur un cours d'une matière insignifiante. Il s'est trouvé que le mec notait même les tics du langage du professeur tellement il buvait ses paroles. J'ai viré tous les paragraphes "Aujourd'hui j'ai lu le journal et …" ; "Pour en revenir à la fonction d'adjoint du vice secrétaire du cabinet de …", j'ai pris tous les titres, toutes les grosses notions, j'ai cherché des définitions, je les ai foutu en couleur, j'ai imprimé.

Et avant d'aller dormir, ou entre deux activités de merde, type quand je suis devant une poêle à attendre que mes nuggets cuisent, je relis vite fait.

Sinon, la technique qu'Adélaïde m'a proposé et qui devrait te plaire, tu te fais interroger par ta nana, et quand tu dis un truc juste, tu as le droit à un cadeau en nature. Je suppose que les résultats sont fulgurants quand c'est ton soldat qui demande à ton cerveau de se concentrer un peu.

En tant que petite première année de médecine qui a mis du temps à trouver des méthodes de travail, je vais te donner quelques petits trucs qui m'ont aidé


- Fais des listes et des plannings, sur la durée que tu veux, moi, c'est sur 15 jours. Pour chaque jour, je mets ce que je dois faire exactement avec le nombre d'heures, quel jour je vais faire du sport, quel jour pour le ménage. Je sais pertinemment que je ne le tiendrai pas, mais c'est pas grave, au moins je suis pas dans le flou, et la structure est essentielle.

- Eloigne l'ordi, sauf si tu mets de la musique (obligatoire pour moi, à part pour les UE de calculs).

-Fais des fiches! OK, là ça m'a l'air trop tard, mais rien que de les faire, tu les apprends. Tu t'appropries le cours, tu le lis à voix haute (mémoire auditive) et tu mets plein de jolies couleurs (mémoire visuelle)

- Fais des exos, je sais pas trop comment ça se passe en droit, mais quand j'en ai marre d'apprendre, je bouffe du qcm, du qcm, du qcm.

-Varie les lieux pour apprendre/lire tes cours. Je suis incapable de travailler à un bureau, alors c'est le lit, dans le bain (je mets tout dans des portes-vues pour éviter la noyade) et sur le transat' au soleil. C'est là que j'apprends le mieux.

- Il te reste peu de temps, alors je te conseille de regarder quelle matière impasser, au regard de tes compétences/ gouts/ coefficients.

-Relis les trucs importants et que tu as du mal à retenir juste avant de dormir.

-J'enregistre certains cours au dictaphone sur mon tel et je les repasse dans le tram, quand je marche ou cours. ça finit par rentrer.

-Suis ton rythme biologique. Je me suis obligée à me lever tous les matins à 7h au premier semestre, or ça ne fonctionnait pas. Là je bosse de 11h à 2h du matin à peu près. ça t'oblige à te mettre dans un autre rythme, plus normal, quand tu t'approches du concours, parce que sinon tu seras destabilisé le jour de l'exam. C'est sur que ça sous-entend que je ne vais jamais en cours à la fac, c'est un choix que je fais. Mais je sais que ce n'est pas possible dans certaines filières.

-Affiche les notions que tu retiens mal partout. Mon appart' ressemble à Prison Break à la fin du semestre mais ça marche. A force de passer devant, tu finis par le savoir.

Et si en médecine on le fait, c'est en grande partie parce que c'est un concours la première année et que ça motive beaucoup plus. Parce que le temps où on est HS, l'autre bosse et prend notre place pendant qu'on perd des points. Donc faut te motiver et voir le positif à ne pas redoubler. Fais une liste en rouge et mets la sur ton frigo.


Allez courage

Amélia

Tu vas jamais en cours amélia mais tu fais comment? A moins que vos cours soient finis là?

Le fait de s'organiser est très important comme le dit amélia,après pour bouffer du qcm etc sa dépend le parcours en droit je sais pas si ça se pratique bien mais pour la prépa kiné, médecine et tout ce qui est assez scientifique évidemment, je retiens mes cours de bio qu'en bouffant du qcm et des exos, puis quelques def et truc de synthèse.

Les fiches, je suis pas partisan personnellement, j'ai des cours en prise de note, que je reprend au propre en mettant de la couleur pour séparer les grand titre de chaque chapitre, mais juste des fiches avec les notions essentielles etc très peu pour moi, car même si je suis très synthétique je trouve qu'on y perd un peu.. Ce que tu peux faire c'est genre quand tu buches, une expression importante ou un mot important que tu comprends pas tu fais une recherche et op tu prends un cahier pour mettre tout sa dedans, j'appelle sa ma bible moi

Je te dis sa parce que j'ai toujours été un gros branleur, j'ai des grosses facilités un peu comme toi apparemment, donc ce fut pour moi un vrai travail d'apprendre des méthodes de travail pour être efficace.. Et essayer un minimum d'être bon en prépa..

Médecine à côté d'une prépa véto c'est de la rigolade apparemment

Nos cours sont finis, mais même, j'avais les cours avec la prépa l'aprem et il y a les ronéos (des P2 qui viennent en cours, enregistrent et prennent tout en note et que tous les P1 peuvent avoir), donc aucune obligation d'aller en cours à la fac.

Enfin, on apprend TOUT par coeur pour le recracher en qcms, donc c'est impossible d'apprendre en faisant des exos et rajoutant des notions. Il faut d'abord apprendre et ensuite qcm, mais ça permet aussi de stabiliser un cours qu'on retient mal, adopter la façon de penser du prof.

Pareil pour les fiches, on enlève rien, à part ce qu'il ne tombera pas avec certitude, donc tes fiches sont ton cours.

Et pour connaitre quelqu'un en prépa veto, c'est pareil niveau boulot.