Re: Raven : The (poor) Catcher in the Rye
Posté : 07.11.16
Chose que j'ai oublié de préciser, ce n'est pas elle qui me fait des reproches. De son point de vue, la responsabilité est partagée.
J'ai forcé comme un forceur pour la revoir. Si elle refuse, je propose ultérieurement. Et un jour, elle craque. Quand ce Lundi matin pluvieux, on lui propose un chocolat, qu'elle n'a pas le moral, que c'est la reprise des cours, qu'elle a quitté sa famille qu'elle ne revoit que dans deux semaines, que son "mec" est loin, elle ne peut que craquer. Et je le sais. Elle a accepté. On s'est vu, je lui ai demandé à monter dans sa chambre, elle a accepté. Je lui ai proposé qu'on boive un verre, elle a accepté. Et je ne suis pas du genre à accepter comme consentement une absence de refus. Si je sens que je vais trop loin, j'arrête.
C'est de mon point de vue, que je me sens puéril. Je me rends compte que je ne voulais pas l'avoir. Je voulais avoir ce que je ne pouvais pas avoir. Maintenant que j'ai cela, je me rends compte que ça n'a plus aucune valeur à mes yeux. Elle n'est pas si attirante à mes yeux. Ne me plaît pas tant que ça. Elle m'attirait bien plus quand je ne faisais que l’idolâtrer de loin.
Je me pose des questions vis-à-vis de ma vie sexuelle et sentimentale future. Je ne suis pas capable de réussir à distinguer une personne qui me plaît en son essence, d'une personne qui me plaît parce qu'elle m'est indisponible.
Je suis comme un enfant dont le seul souhait est de se vanter à la fin d'être si précieux qu'un couple, précédé d'une amitié durant depuis de nombreuses années se brise à cause de lui, ou pour lui, je ne sais pas. Mais force est de constater que cette vie sentimentale lugubre ne me plaît pas. Et que ce n'est plus excitant de penser que je peux réussir à pousser une femme à la faute. C'était drôle, ces plaisirs coupables, ces messages qui disaient "Quand on se voit, je ne résiste pas".
Mais quand elle est là, comme un fantôme, nue sur son lit, à dire qu'elle a déjà pleuré toutes les larmes de son corps d'être sous l'emprise d'un véritable démon, ce n'est plus si drôle.
J'ai forcé comme un forceur pour la revoir. Si elle refuse, je propose ultérieurement. Et un jour, elle craque. Quand ce Lundi matin pluvieux, on lui propose un chocolat, qu'elle n'a pas le moral, que c'est la reprise des cours, qu'elle a quitté sa famille qu'elle ne revoit que dans deux semaines, que son "mec" est loin, elle ne peut que craquer. Et je le sais. Elle a accepté. On s'est vu, je lui ai demandé à monter dans sa chambre, elle a accepté. Je lui ai proposé qu'on boive un verre, elle a accepté. Et je ne suis pas du genre à accepter comme consentement une absence de refus. Si je sens que je vais trop loin, j'arrête.
C'est de mon point de vue, que je me sens puéril. Je me rends compte que je ne voulais pas l'avoir. Je voulais avoir ce que je ne pouvais pas avoir. Maintenant que j'ai cela, je me rends compte que ça n'a plus aucune valeur à mes yeux. Elle n'est pas si attirante à mes yeux. Ne me plaît pas tant que ça. Elle m'attirait bien plus quand je ne faisais que l’idolâtrer de loin.
Je me pose des questions vis-à-vis de ma vie sexuelle et sentimentale future. Je ne suis pas capable de réussir à distinguer une personne qui me plaît en son essence, d'une personne qui me plaît parce qu'elle m'est indisponible.
Je suis comme un enfant dont le seul souhait est de se vanter à la fin d'être si précieux qu'un couple, précédé d'une amitié durant depuis de nombreuses années se brise à cause de lui, ou pour lui, je ne sais pas. Mais force est de constater que cette vie sentimentale lugubre ne me plaît pas. Et que ce n'est plus excitant de penser que je peux réussir à pousser une femme à la faute. C'était drôle, ces plaisirs coupables, ces messages qui disaient "Quand on se voit, je ne résiste pas".
Mais quand elle est là, comme un fantôme, nue sur son lit, à dire qu'elle a déjà pleuré toutes les larmes de son corps d'être sous l'emprise d'un véritable démon, ce n'est plus si drôle.