FTS

Eh bien alors laisse FTS de côté pour un temps, et répare-toi.
Construis-toi une petite vie que tu aimes:
- un appart douillet, où tu te sens chez toi et où tu as du plaisir à inviter des potes.
- Un cercle de potes que tu aimes sincèrement, composé de personnes que tu admires et respectes, et qui te le rendent.
- Un job qui te donne du plaisir, dans lequel tu as le sentiment d'être épanoui, un job qui te grandit, dans lequel tu te sens à ta place. Des collègues et un patron qui t'apprécient, et qui jugent le travail que tu effectues à sa juste valeur.

Si tu arrives à cela, je n'ai aucun doute que ta confiance en toi et que tes capacités sociales seront au beau fixe. Et draguer - ou élargir tes contacts - ne sera même plus un défi ou un point d'interrogation : juste un truc évident, normal.


Courage.

Il y a un truc qui reste quand même : faut que tu dissocies le râteau du rejet.

On ne peut pas plaire à tout le monde, et heureusement. Et parfois, on n'a vraiment pas envie d'être séduit et c'est juste pas le bon timing. Les nanas qui ne te rappellent pas en savent souvent bien trop peu sur toi pour que ce soit effectivement un véritable "rejet".


Prendre les râteaux et les échecs de manière aussi personnelle c'est juste une manifestation de tes propres insécurités vis à vis de toi même.

Si cela peut t'aider :

dedramatiser-les-rateaux-vt33451.html

Mais MaryeL, c'est justement ce que j'essaye de construire depuis je sais pu combien de temps..
Je sais bien que ça finira par payer au bout d'un moment, mais ça devient super longuet, et difficile de tenir à force.

Oui, mais tu mélanges un peu tout ici-même par tes brèves anecdotes sur tes tentatives de prendre contact avec la gent féminine. Et forcément, tu en prends plein la gueule parce que tu n'es pas prêt pour cette étape-là, et forcément les résultats - et tes posts - irritent plus d'un personne car ils sont l'antithèse de l'idéologie de FTS.
C'est pour ça que je te conseille de laisser ça de côté et de ne pas en parler. Tu dis toi-même que tu ne peux pas tout faire en même temps, et je te soutiens là-dessus. Mais alors tiens-y toi. Car c'est contre-productif de dire que c'est pas de ta faute car tu ne peux pas être sur tous les fronts, mais de vouloir quand même être sur tous les fronts puis de te plaindre du résultat qui ne suit pas. Tu vois ce que je veux dire?

Tant que tu t'acharnes à vouloir parler de tes échecs avec les femmes, les membres continueront de te rentrer dedans. Et je pense que d'une certaine manière, ça te nuit beaucoup. Je pense que ça fissure encore plus le mur de ta confiance et de ton assurance qui n'est déjà pas très épais.
Alors règle tes problèmes persos du mieux que tu peux, pendant le temps qu'ils faudra. Et le reste suivra, naturellement.

On est bien d'accord, et je suis content car ça vient de la bouche d'une femme en plus.

Donc, les posts du style: "Tu peux très bien gérer social/nanas en même temps avec le reste", bah non je ne plussoie pas, les professionnels qui m'aident non plus.

Quand t'as TROP de trucs à gérer, et TROP de trucs qui te pourrissent le karma, et pendant LONGTEMPS, non tu ne peux PAS positiver, surtout quand t'as un handicap assez sérieux à maîtriser par dessus le reste.

Merci à toi.

Je comprend parfaitement le point de vue de Cellar, ce qu'il dit est une réalité, chômage et précarité ne sont pas incompatible avec relation sexuelle et vie amoureuse. Au fond, si tu assume ta situation et que tu te bouge tout en étant suffisamment malin pour ne jamais la mettre sur le devant de ta relation, les filles peuvent s'en foutre comme de l'an quarante : Attention, je n'ais pas dis toute. Je te parle d'un point de vue personnel, je n'ais ni le permis de conduire et j'étais dans une merde financière terrible il y as quelques mois en arrière ( je raconterais comment je m'en suis sortie dans mon journal si ça peut te motiver ) tout en vivant au domicile familiale.

Cela ne m'a pas empêché de séduire une fille qui était parfaitement au courant de ma situation, puisque c'est une amis a ma petite sœur. Elle connaissait même mon passé psychiatrique, archaïque et violent. Pourtant, elle ma confié : Pour moi, tu es au dessus des autres. Tiens donc, une de tes croyance limitante viens de partir en éclat, j'avais moi même du mal a le croire puisque j'étais dans le même schéma sclérosant que le tiens.

On peut être fauché, sans permis, vivre aux crochés de ses parents, et apparaître au yeux d'une femme comme étant une perle rare. Tu peux être riche comme un trader a Wallstreet, si tu es chiant comme une moule marinière tu ne baisera rien d'autres que des putes.

D'un autre côté, je comprend aussi le point de vue Lucie, on ne peux pas juger ton état émotionnelle actuelle et je sais a quel point cela peut être dur. Le problème, c'est que tu lie ton moral, mais aussi tes difficultés a séduire, a ta situation social. Tu rentre donc dans le schéma suivant : Je ne peux pas séduire pour le moment, il faut que je regles mon problème de logement et de travail, comme cela j'irais mieux et je pourrais séduire. Certes, se sera mieux quand tu aura réglé ça, mais ça ne veut pas dire que tu séduira plus pour autant ou que tu sera heureux.

Et une fois que tu aura réglé ces problèmes, tu pourra encore trouver d'autre choses a régler pour te bloquer, si tu attend de régler tout tes problèmes pour être prêt a commencer a séduire, alors tu va continuer a t'astiquer devant ta webcam en matant des putes Ukrainiene jusqu'à la fin de ta vie, des problèmes et des freins tu en aura toujours, le courage c'est d'aller au delà de ses frein pour profiter de la vie et ne pas se laisser abattre, tu as une vision beaucoup trop négative des choses et c'est là ton principale blocage en séduction.

cercle vicieux

"je ne peux pas être heureux tant que tous mes problèmes ne sont pas réglés", or ils ne le seront jamais tous, tu ne seras donc jamais heureux. Être heureux, ça se décide. Pour l'instant, tu prends la décision d'être malheureux jusqu'à ce que tous tes problèmes soient réglés, c'est-à-dire pour toujours puisque, même si tu règles les actuels, de nouveaux apparaitront.

Nan mais je cherche pas à régler TOUS mes problèmes non plus; juste ceux qui vraiment sont devenus trop hard à supporter: famille-logement.

Sinon oui, je suis d'accord avec toi: je prends les choses trop comment dire.. merde je vois pas trop le terme, mais je confirme: je connais un gars de 30 piges qu'est encore chez son père, qui mène une vie de fou, super malsaine; il est pas sportif, pas cultivé, carrément plus moche que moi, et oui c'est un super-séducteur..

Mais lui, c'est lui; toi, c'est toi. Ma situation actuelle, tout comme ma famille, bah je supporte plus! Vivre chez mes parents, dont rien que la présence me fait mal au ventre, c'est devenu invivable, au point de me venger dans la tise, alors que j'étais assez cool dessus depuis 10 ans.

Donc oui, c'est la façon dont je vois ma propre situation qui fout en grande partie le bordel dans ma tête. Mais je sais pu quoi faire pour arriver à mieux le vivre, en attendant que mes démarches aboutissent enfin.

Au lieu de parler de positivité et de négativité, pourquoi ne pas tenter de vivre le processus tout simplement ?

Quand tu danses en mode rationnel, tu vas penser à tes pas. Tu vas te juger sans arrêt que ce soit en bien ou en mal. Ca rend ta danse pas fluide et compliqué. Tu en tire peu de plaisir si tu rates et beaucoup de plaisir si tu réussis. Ca dépendra des jours.

Par contre, si tu es dans le processus de la danse : la sensation de ton corps, l'écoute de la musique. Il n'y a pas de notion de positif ou négatif. Tu le fais, tu vis l'expérience. T'es au-delà de tout ça.


My two cents

Le truc, c'est que j'ai une nature à toujours analyser, juger, et rechercher la performance et le développement, pour pratiquement tout.. Faire quelque chose juste pour le faire, comme ça sans pression, c'est pas du tout dans ma façon d'être. Chez moi, tout a un but, une fonction, une logique..

Pourquoi? bah j'en sais rien.. J'ai toujours préféré ne rien faire que ne pas donner mon maximum et essayer de faire partie des meilleurs; et si j'y arrive pas, soit je lâche l'affaire, soit je me focalise (limite je m'obsède) dans l'idée de progresser dans ce domaine. Ce qui implique pas mal de déception en cas d'échec ou d'impasse, comme un peu là..