Rencontres, nuit et petite mélodie
Merci !!! Je suis tellement contente!
Je ne sais pas. J'ai eu cette anesthésie pendant mois octobre-novembre-décembre.
En fait, si je pense savoir. Je sortais d'une déception à l'époque. Je crois que Nuit a dû me faire le même effet.
Ce n'est pas une protection volontaire ou un choix. Au contraire. Si je vais autant à la rencontre c'est que j'ai envie de ressentir à nouveau. Mais je ne maitrise pas du tout. Je ne ressens rien. ça me gène sans me gêner. Je sais que c'est juste une phase et ça finira par me passer. Faut que j'accepte. L'avantage c'est que c'est plus facile de rester sereine en ne ressentant rien. Pour autant, ça me manque.
Il y a l'aspect timing qui doit jouer. J'ai les partiels dans 10 jours. Ensuite, fin juin, je rentre dans le sud et j'aurais peu de raisons de remonter à Paris avant 3 mois. Donc en soi, je n'aurais aucun intérêt à vivre un truc fort avant fin septembre prochain (je sais que ça n'arrivera pas dans le sud).
Je ne sais pas. J'ai eu cette anesthésie pendant mois octobre-novembre-décembre.
En fait, si je pense savoir. Je sortais d'une déception à l'époque. Je crois que Nuit a dû me faire le même effet.
Ce n'est pas une protection volontaire ou un choix. Au contraire. Si je vais autant à la rencontre c'est que j'ai envie de ressentir à nouveau. Mais je ne maitrise pas du tout. Je ne ressens rien. ça me gène sans me gêner. Je sais que c'est juste une phase et ça finira par me passer. Faut que j'accepte. L'avantage c'est que c'est plus facile de rester sereine en ne ressentant rien. Pour autant, ça me manque.
Il y a l'aspect timing qui doit jouer. J'ai les partiels dans 10 jours. Ensuite, fin juin, je rentre dans le sud et j'aurais peu de raisons de remonter à Paris avant 3 mois. Donc en soi, je n'aurais aucun intérêt à vivre un truc fort avant fin septembre prochain (je sais que ça n'arrivera pas dans le sud).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 11.05.16, 17h01 par Thedaze
Pas de jugement de valeur de ma part, juste pour comprendre.
Tu penses que tu serais capable de bloquer d'éventuelles sentiments en raison d'autres priorités ou de fin programmée?
Tu penses que tu serais capable de bloquer d'éventuelles sentiments en raison d'autres priorités ou de fin programmée?
Bonne question.
La réponse est non : les deux derniers pour qui j'ai eu des sentiments rentraient exactement dans ces "conditions ".
Pour Nuit, le fait d'apprendre qu'il pouvait partir ne m'a pas empêchée du tout de vouloir poursuivre et j'allais forcément continuer à m'attacher à lui.
Rationnellement je m'en empêcherais peut-être dans l'idée et en pratique pas du tout ( je suis pas certaine d'être franchement claire, hésite pas si besoin que j'eclaircisse).
Mais là, j'en parlais avec Juju au téléphone et je me disais : partiels dans 10 jours qui vont durer 3 semaines puis 10 jours pour déménager. Début juillet retour chez mes parents jusqu'à fin septembre.
Si j'ai une raison de revenir à Paris, je le ferais ( et certainement que je devrais pour suivre les travaux).
Si je dois rencontrer quelqu'un, je m'adapterais mais j'avoue, j'y crois pas du tout. Cette sensation de ne rien ressentir je commence à la connaître très bien ...
Vos commentaires m'intéressent, n'hésitez pas !
La réponse est non : les deux derniers pour qui j'ai eu des sentiments rentraient exactement dans ces "conditions ".
Pour Nuit, le fait d'apprendre qu'il pouvait partir ne m'a pas empêchée du tout de vouloir poursuivre et j'allais forcément continuer à m'attacher à lui.
Rationnellement je m'en empêcherais peut-être dans l'idée et en pratique pas du tout ( je suis pas certaine d'être franchement claire, hésite pas si besoin que j'eclaircisse).
Mais là, j'en parlais avec Juju au téléphone et je me disais : partiels dans 10 jours qui vont durer 3 semaines puis 10 jours pour déménager. Début juillet retour chez mes parents jusqu'à fin septembre.
Si j'ai une raison de revenir à Paris, je le ferais ( et certainement que je devrais pour suivre les travaux).
Si je dois rencontrer quelqu'un, je m'adapterais mais j'avoue, j'y crois pas du tout. Cette sensation de ne rien ressentir je commence à la connaître très bien ...
Vos commentaires m'intéressent, n'hésitez pas !
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- [0] Merci ! :) le 11.05.16, 17h24 par Thedaze
Celui qui parlait de Sorrentino partie 2
Je suis tellement incohérente, c'est fou.
Bon. L'heure est grave. Je crois que Thibault me plait. Vraiment.
Je devais le voir hier mais il me dit dans l'après midi qu'il n'arrivera jamais à partir avant 23h du boulot et me propose ce soir. Je refuse. C'est la deuxième fois qu'il me fait le coup cette semaine et je suis déjà prise. Plus tard dans la journée je lui dis que je partirai plus tôt du verre avec mes amis mais qu'il n'a pas intérêt à annuler. Il promet.
A 22h, il m'envoie qu'il terminera sa présentation plus tard et qu'il arrive.
Il me rejoint dans un bar sympa, lounge, à côté de chez moi.
Il est en costume. Il a des cernes. ça le rend encore plus mignon. Il est vraiment mignon. Et pourtant il est à l'opposé de mon idéal physique. Pas très grand, pas brun, ni barbu, ni les mains épaisses. Il fait très british.
Il a beau avoir 28 ans, je le trouve un peu coincé, et je lui ai dit qu'il allait falloir se rebeller un peu.
Je porte un décolleté indécent. Ma tenue est un appel. Ce n'est pas vulgaire mais ça laisse peu de doutes sur mon corps disons.
J'étais stressée avant de le voir. J'avais le ventre noué. ça fait un moment que je n'avais pas ressenti l'angoisse avant un rendez-vous.
Le rendez-vous se passe bien. La conversation est vraiment intéressante. Sur l'éthique scientifique, la notion de famille, Proust. Il a une sacrée culture littéraire.
Son téléphone n'arrête pas de sonner. Je comprends aussi qu'entre son emploi du temps et le mien, ça va être compliqué d'arriver à se voir.
23h, après 45 minutes dans le bar avec quelques pics de tension, nous décidons de sortir. Nous marchons quelques minutes jusqu'à mon immeuble. Une fois devant, il est proche de moi. Je lui parle d'écriture. Un blanc. Il m'embrasse. J'ai cru qu'il ne le ferait jamais. Je me laisse faire volontiers. Ce n'est pas l'explosion mais c'est pas mal. Il me dit qu'à la fin du 1er rendez-vous j'ai tourné la tête. Je lui réponds sincèrement que ce n'était même pas volontaire.
Je lui demande s'il doit rentrer travailler. Il le doit. Il me demande ce que je vais faire. Je vais prendre un bain, je réponds le sourire coquin.
Il n'essaie pas de monter, n'y fait même pas allusion. C'est bien la première fois que ça m'arrive. Dommage je n'aurais pas été contre.
On a attendu ensemble son taxi. Dernier baiser et je suis rentrée.
On a échangé quelques messages ensuite et j'ai laissé trainer quelques sous-entendus ponctués d'un "ce n'est pas moi qui devait travailler ce soir. Je dis ça je dis rien.".
Il est à Malte ce week-end. 3 jours à Berlin la semaine prochaine. Je ne pense pas pouvoir le revoir avant 15 jours.
Ce mec donne tort à tout ce que j'ai connu. 2e rendez, pas de tentatives pour coucher avec moi. Le contraire de mon idéal physique. Je suis perturbée. Et je crois qu'il me plait vraiment. Il m'impressionne beaucoup intellectuellement. C'est plutôt très révélateur.
Bijou qui était dans Love (et je l'avais raté) :
[youtube][/youtube]
Je suis tellement incohérente, c'est fou.
Bon. L'heure est grave. Je crois que Thibault me plait. Vraiment.
Je devais le voir hier mais il me dit dans l'après midi qu'il n'arrivera jamais à partir avant 23h du boulot et me propose ce soir. Je refuse. C'est la deuxième fois qu'il me fait le coup cette semaine et je suis déjà prise. Plus tard dans la journée je lui dis que je partirai plus tôt du verre avec mes amis mais qu'il n'a pas intérêt à annuler. Il promet.
A 22h, il m'envoie qu'il terminera sa présentation plus tard et qu'il arrive.
Il me rejoint dans un bar sympa, lounge, à côté de chez moi.
Il est en costume. Il a des cernes. ça le rend encore plus mignon. Il est vraiment mignon. Et pourtant il est à l'opposé de mon idéal physique. Pas très grand, pas brun, ni barbu, ni les mains épaisses. Il fait très british.
Il a beau avoir 28 ans, je le trouve un peu coincé, et je lui ai dit qu'il allait falloir se rebeller un peu.
Je porte un décolleté indécent. Ma tenue est un appel. Ce n'est pas vulgaire mais ça laisse peu de doutes sur mon corps disons.
J'étais stressée avant de le voir. J'avais le ventre noué. ça fait un moment que je n'avais pas ressenti l'angoisse avant un rendez-vous.
Le rendez-vous se passe bien. La conversation est vraiment intéressante. Sur l'éthique scientifique, la notion de famille, Proust. Il a une sacrée culture littéraire.
Son téléphone n'arrête pas de sonner. Je comprends aussi qu'entre son emploi du temps et le mien, ça va être compliqué d'arriver à se voir.
23h, après 45 minutes dans le bar avec quelques pics de tension, nous décidons de sortir. Nous marchons quelques minutes jusqu'à mon immeuble. Une fois devant, il est proche de moi. Je lui parle d'écriture. Un blanc. Il m'embrasse. J'ai cru qu'il ne le ferait jamais. Je me laisse faire volontiers. Ce n'est pas l'explosion mais c'est pas mal. Il me dit qu'à la fin du 1er rendez-vous j'ai tourné la tête. Je lui réponds sincèrement que ce n'était même pas volontaire.
Je lui demande s'il doit rentrer travailler. Il le doit. Il me demande ce que je vais faire. Je vais prendre un bain, je réponds le sourire coquin.
Il n'essaie pas de monter, n'y fait même pas allusion. C'est bien la première fois que ça m'arrive. Dommage je n'aurais pas été contre.
On a attendu ensemble son taxi. Dernier baiser et je suis rentrée.
On a échangé quelques messages ensuite et j'ai laissé trainer quelques sous-entendus ponctués d'un "ce n'est pas moi qui devait travailler ce soir. Je dis ça je dis rien.".
Il est à Malte ce week-end. 3 jours à Berlin la semaine prochaine. Je ne pense pas pouvoir le revoir avant 15 jours.
Ce mec donne tort à tout ce que j'ai connu. 2e rendez, pas de tentatives pour coucher avec moi. Le contraire de mon idéal physique. Je suis perturbée. Et je crois qu'il me plait vraiment. Il m'impressionne beaucoup intellectuellement. C'est plutôt très révélateur.
Bijou qui était dans Love (et je l'avais raté) :
[youtube][/youtube]
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Like ! le 13.05.16, 08h56 par mistermint
- [0] Like ! le 13.05.16, 09h05 par Stayfun
- [0] Like ! le 13.05.16, 10h12 par Jsh
- [0] La suite, vite ! le 13.05.16, 10h37 par MaryeL
En fait Amelia, ne serait-ce pas simplement le fait qu'il soit peu disponible et qu'il ne te saute pas directement dessus qui rend Thibault plus intéressant qu'Antoine par exemple ? Le bon vieux principe du "hard 2 get" quoi, qu'il soit utilisé consciemment ou pas 

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Il y'a du vrai... le 13.05.16, 10h39 par MaryeL
C'est une bonne question. Et la réponse est non. Ou alors c'est infime.En fait Amelia, ne serait-ce pas simplement le fait qu'il soit peu disponible et qu'il ne te saute pas directement dessus qui rend Thibault plus intéressant qu'Antoine par exemple ? Le bon vieux principe du "hard 2 get" quoi, qu'il soit utilisé consciemment ou pas
La patience est loin d'être une de mes qualités, en particulier dans ce domaine. Du fait de mon passé avec Mathieu, j'ai besoin, peut-être encore plus qu'une autre, de sentir que l'homme en face de moi me désire vraiment. Donc le "je ne monte pas chez toi et n'en montre pas l'envie", ça me fait beaucoup plus douter de lui qu'autre chose.
J'ai besoin de coucher assez tôt. ça n'a pas toujours été le cas dans ma vie mais depuis septembre à peu près je consomme tôt. Parce que j'ai besoin de découvrir l'autre dans sa sexualité. C'est important pour moi. On en découvre énormément sur quelqu'un dans sa façon de faire l'amour. Pour savoir si quelqu'un me plait vraiment, j'ai besoin de le connaitre de façon charnelle. De voir si on est compatibles.
Ensuite parce que c'est aussi une façon de créer du lien. Toujours depuis Mathieu (et j'en ai eu une légère piqure de rappel récemment), je sais que je ne peux pas créer du lien tant que je n'ai pas couché avec lui. Tant que je n'ai pas fait ça, je m'interdis tout lien.
Ne pas avoir couché avec moi jeudi soir, ça me destabilise, mais ça ne lui fait pas gagner des points. J'étais prête, j'en avais envie, je lui ai montré subtilement. Il est rentré travailler (et je comprends ses raisons, je ne lui en veux pas). Je n'ai pas senti de désir. Donc ou il n'a pas envie de moi ou il ne l'assume pas, mais dans un cas comme dans l'autre, ça ne lui fait pas gagner de points.
Surtout, j'ai un vrai doute quant à ma compatibilité sexuelle avec Thibault. Je ne vous l'ai pas écrit avant mais j'ai du mal à me lâcher dans mes paroles. Je parle sans tabou normalement et avec lui je prends des pincettes, comme si je sentais que je risquais de le choquer. Je me trompe peut-être, mais seul le fait de coucher avec lui montrera le contraire.
Je sais que tu sais, mais je précise quand même. Il y a une différence entre un mec collant et un mec qui a envie d'une femme et qui l'assume. Antoine, aux deux/trois premiers rendez-vous, j'avais envie de lui, très envie. Je le trouvais intéressant, on parlait. C'est quand il a commencé à devenir collant que ça a déconné, à ajouter au fait qu'on ne se parlait pas.
Je ne vous l'écris pas non plus (parce que j'essaie de faire synthétique), mais en comparaison avec Antoine sur les tous débuts, c'est la même chose. Thibault m'envoie des textos tous les jours ou presque, il a insisté pour me voir malgré les annulations. Il a supprimé Tinder 2 jours après notre rencontre (ce qui a tendance à me faire doucement flipper).
Thibault est plus intéressant parce qu'intellectuellement on partage plus. Il parle très bien, on s'intéresse aux mêmes domaines. C'est pas le coup de coeur mais j'aime discuter avec lui. Malgré le fait que je n'ai pas cette liberté que j'ai pu avoir avec mes anciens coups de coeur.
Je précise tout ça, parce que je pense que c'est important, de ne pas tirer de trop grosses conclusions.
Evidemment son manque de disponibilité me rassure dans un sens, ça veut dire qu'il ne va pas trop me coller. Le fait qu'on ne couche pas ensemble, non, ça ne me rassure pas du tout.
J'en profite pour revenir sur Nuit et éclaircir un point, parce qu'on m'avait posée la question à l'époque et je la trouvais intéressante.
Je vous ai servis la version courte sur ce journal mais ça a été plus tumultueux. Je vous ai épargné ces passages de janvier/février parce que j'étais à bout nerveusement et physiquement. Il faut savoir qu'il s'est mal comporté. Il ne prenait pas de mes nouvelles alors qu'il me savait malade. Et il y a eu ce rendez-vous, après 1 mois sans se voir après notre première nuit, qu'il m'a annulée 20 min avant pour des raisons bidons. J'ai surréagi ce soir là, j'ai été dure. J'étais épuisée. Honnêtement j'ai craqué. ça faisait 5 semaines que je souffrais le martyre, j'avais raté mes partiels, 5 semaines que je ne craquais pas et que je tenais le coup. Je me suis écroulée et j'ai éclaté en sanglots ce soir là. C'était trop.
J'ai refusé de passer ma soirée seule et je suis partie "dormir" chez un ami avec qui je couche parfois. J'ai été mesquine et j'ai envoyé à Nuit "t'inquiète pas je ne passe pas ma soirée seule." Message auquel il n'a jamais répondu et s'en est suivi le silence de 6 semaines (même si en soi je pense qu'il n'en avait rien à foutre). Je me suis sentie très mal de m'être abaissée à ça après coup. ( Ceci étant dit, j'ai dormi chez cet ami, on a geeké, on a couché ensemble et c'était ma meilleure soirée depuis longtemps parce qu'avec lui je me sens toujours bien, en sécurité).
Nuit, j'ai eu un très mauvais pressentiment dès le lendemain de ma nuit avec lui. Je ne le sentais pas stable. A l'époque je n'arrivais pas à dire si c'était de la trouille ou un réel mauvais pressentiment.
Toutes ces précisions, pour vous dire qu'on ma demandée si c'était son comportement de fuite qui m'attirait.
Non, non, non et non. Ce qui m'a attiré autant chez lui c'était ce qu'il s'était passé la fameuse nuit. C'était qu'avant cette nuit là, il était gentil avec moi et je le sentais rassurant. Or j'avais vraiment besoin de ça à cette période parce que je recommençais juste à ressentir et que j'avais un peu la trouille. C'est le Nuit attentif, présent, gentil, rassurant, tout en étant sexué et drôle qui m'a plu. La suite de son comportement m'a juste profondément blessée au contraire. J'ai décidé d'oublier ce comportement et de le revoir ensuite parce que malgré tout (et j'ai peut-être tort), je reste persuadée que c'est quelqu'un de très bien.
Je ne veux pas que la conclusion de mon histoire avec lui soit " il a été distant, il a fait le connard et elle a kiffé". Jamais. Ce que j'ai aimé c'était notre souvenir, c'était tout ce dont j'ai déjà parlé dans ce journal. Je n'ai pas voulu m'étendre sur le sujet avant parce que je n'avais pas envie de salir son souvenir. Parce que ce n'est pas ce que je garderai de lui. Je garderai la tristesse et le souvenir d'un homme qui m'a blessée mais ça reste infime en comparaison du coup de coeur que j'ai pu ressentir pour lui. Je n'ai pas envie d'oublier ça. ça m'arrive peu de ressentir quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un ( 3 ou 4 fois grand grand max).
Au final, j'aime bien que vous me posiez de telles questions parce que ça me permet d'approfondir les analyses.
( Bon et promis je ne parlerai plus de Nuit. C'était pour illustrer simplement.)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Très intéressant le 14.05.16, 01h19 par Jsh
- [0] A lire le 14.05.16, 04h37 par Onmyoji
- [0] Ca va mieux en le disant le 14.05.16, 16h59 par Jalapeno
- [0] Très intéressant le 14.05.16, 23h43 par Atz
Il est fort possible qu'il ait du mal à lire entre les lignes et/ou qu'il manque un peu de confiance. Au final lui aussi a surement peur de te choquer en prenant les devants trop tôt, vous ressentez probablement tout les deux une gêne mais pas pour la même raison.Surtout, j'ai un vrai doute quant à ma compatibilité sexuelle avec Thibault. Je ne vous l'ai pas écrit avant mais j'ai du mal à me lâcher dans mes paroles. Je parle sans tabou normalement et avec lui je prends des pincettes, comme si je sentais que je risquais de le choquer. Je me trompe peut-être, mais seul le fait de coucher avec lui montrera le contraire.
Je suis ton journal avec intérêt car j'aime beaucoup ton écriture et avoir le point de vue d'une femme sur ses rencontres est très instructif je trouve.
Pour quelqu'un comme moi qui n'a pas énormément d'expérience, on se rends compte notamment de l'étendu des critères qu'une femme peut prendre en compte lorsqu'elle se trouve face à un homme et cela donne un exemple concret vis à vis de pas mal de notions que l'on apprends sur le site, pourquoi certaines pensées limitantes n'ont pas lieu d'être par exemple (seul le physique compte ect ...).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 15.05.16, 00h14 par amelia
Merci beaucoup Atz ! Je suis contente si mes petits récits peuvent aider à comprendre ou réfléchir 
Ernest
Je n'avais pas envie de lui trouver un titre.
[youtube][/youtube]
J'ai vu Ernest. J'ai. Vu. Ernest. Par quoi commencer ? Son sourire de petit garçon ? Son regard qui transperce ? Ses quelques cheveux blancs qui attendrissent ? Son odeur ? Son parfum que tant de fois j'ai senti sur d'autres en rêvant que ce soit lui ?
J'ai vu Ernest et c'était fort. C'était un tsunami d'émotions. La nausée, les larmes qui montaient parfois. Les mains tendues.
J'ai vu Ernest et je suis restée sage. Je l'ai provoqué du regard. Par mes mots. Je l'ai cherché. J'ai senti qu'un rien pouvait faire tout basculer.
Je portais une tenue élégante et simple. Rien de volontairement sexy. J'étais maquillée de mon éternel trait de liner porte bonheur et de tons roses. Pour la douceur. Je voulais être une jeune fille.
Je l'ai retrouvé vers Montmartre à 18h. Il m'a reconnue de loin m'a-t-il dit plus tard. Ma démarche énergique et les très longs cheveux noirs bouclés.
J'étais angoissée mais je ne réalisais pas. Il l'était aussi, m'a-t-il avoué.
Il m'a guidée vers un petit hôtel/bar/restaurant perdu. Un endroit délicieux hors du temps. Je lui ai raconté mes mésaventures avec les agences immobilières. J'ai meublé, comme je fais toujours quand je suis impressionnée.
Nous avons parlé pendant près de 4h. Combien de fois j'ai eu envie de lui dire "prends ma main et partons tous les deux. Fais moi l'amour enfin". Je regardais ses mains, son sourire, sa nuque. Nous avons parlé de sa copine avec qui il vit. Je prenais un coup dans le coeur à chaque fois. Je n'ai rien laissé paraitre, mon éternel sourire aux lèvres. Mais qu'est-ce que ça faisait mal. Elle est mon opposée. Douce, discrète, jalouse, parisienne. Face à mon tempérament fort, mon physique de méditerranéenne et mon amour de la liberté.
C'est exceptionnel entre nous. Ce sont ses mots. J'ai baissé les yeux et j'ai acquiescé." J'ai été malheureuse". Il devait l'entendre.
Au bout de deux heures je lui ai demandé "Et après ? Nous nous voyons aujourd'hui mais la suite ? Il va falloir encore une fois couper contact. Nous ne serons jamais amis. On peut essayer mais ce ne serait pas sain. Je ne veux pas être amie avec toi. Nous n'avons aucune bonne solution. Je vais devoir disparaitre encore une fois".
Il était surpris. "Tu es étonnante dans ta transparence. Je ne sais pas quoi répondre à ton honnêteté. Je ne veux pas être ami avec toi mais j'ai besoin de réfléchir.".
"Pourquoi mentir ? Pourquoi cacher? Je suis obligée de penser à l'après. Tu m'as fait mal. Je sais que je vais être triste. Alors autant être réaliste. Il va falloir couper contact encore une fois.
Il a ajouté qu'il a toujours été persuadé qu'il me reverrait. Que tant de fois il a cru et voulait me croiser.
Nous avons changé de sujet.
Nous avons ri doucement de ce rendez-vous dans un hôtel. Je l'ai raccompagné à sa voiture. Les mains qui se frôlent. J'ai attendu mon uber. "C'est ici qu'on se quitte". Je ne l'ai même pas regardé dans les yeux. Je n'en ai pas eu le courage. Je lui ai fait la bise. Comme une décharge. Je me suis engouffrée dans mon uber aux vitres teintées. Je me suis retournée jusqu'à ne plus le voir. Cette fois, je pars la première.
Je suis rentrée chez moi. Je sais qu'il est avec elle. Je ne sais pas comment je me sens. Vidée et la nausée. Pour ressentir, j'ai bien ressenti. Je l'ai tellement attendu ce moment. Maintenant qu'il est terminé, je tourne la page. C'est un chapitre qui se termine.
Il m'a envoyée "Tu es encore plus lumineuse que dans mon souvenir. J'aurais tant aimé rester...". Je ne veux pas. ça me fait du bien de le savoir mais il faut qu'on arrête. Il faut qu'il arrête.
J'ai vu Ernest. Un 14 mai. Il y a un an exactement je partais à Rome, explosion émotionnelle. C'est drôle la vie.
J'ai vu Ernest et ça n'aurait jamais eu lieu si ça avait fonctionné avec Nuit. Je ne lui aurais jamais envoyé de messages il y a 3 semaines.
J'ai vu Ernest et encore une fois, ce seront des adieux.

Ernest
Je n'avais pas envie de lui trouver un titre.
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J'ai vu Ernest. J'ai. Vu. Ernest. Par quoi commencer ? Son sourire de petit garçon ? Son regard qui transperce ? Ses quelques cheveux blancs qui attendrissent ? Son odeur ? Son parfum que tant de fois j'ai senti sur d'autres en rêvant que ce soit lui ?
J'ai vu Ernest et c'était fort. C'était un tsunami d'émotions. La nausée, les larmes qui montaient parfois. Les mains tendues.
J'ai vu Ernest et je suis restée sage. Je l'ai provoqué du regard. Par mes mots. Je l'ai cherché. J'ai senti qu'un rien pouvait faire tout basculer.
Je portais une tenue élégante et simple. Rien de volontairement sexy. J'étais maquillée de mon éternel trait de liner porte bonheur et de tons roses. Pour la douceur. Je voulais être une jeune fille.
Je l'ai retrouvé vers Montmartre à 18h. Il m'a reconnue de loin m'a-t-il dit plus tard. Ma démarche énergique et les très longs cheveux noirs bouclés.
J'étais angoissée mais je ne réalisais pas. Il l'était aussi, m'a-t-il avoué.
Il m'a guidée vers un petit hôtel/bar/restaurant perdu. Un endroit délicieux hors du temps. Je lui ai raconté mes mésaventures avec les agences immobilières. J'ai meublé, comme je fais toujours quand je suis impressionnée.
Nous avons parlé pendant près de 4h. Combien de fois j'ai eu envie de lui dire "prends ma main et partons tous les deux. Fais moi l'amour enfin". Je regardais ses mains, son sourire, sa nuque. Nous avons parlé de sa copine avec qui il vit. Je prenais un coup dans le coeur à chaque fois. Je n'ai rien laissé paraitre, mon éternel sourire aux lèvres. Mais qu'est-ce que ça faisait mal. Elle est mon opposée. Douce, discrète, jalouse, parisienne. Face à mon tempérament fort, mon physique de méditerranéenne et mon amour de la liberté.
C'est exceptionnel entre nous. Ce sont ses mots. J'ai baissé les yeux et j'ai acquiescé." J'ai été malheureuse". Il devait l'entendre.
Au bout de deux heures je lui ai demandé "Et après ? Nous nous voyons aujourd'hui mais la suite ? Il va falloir encore une fois couper contact. Nous ne serons jamais amis. On peut essayer mais ce ne serait pas sain. Je ne veux pas être amie avec toi. Nous n'avons aucune bonne solution. Je vais devoir disparaitre encore une fois".
Il était surpris. "Tu es étonnante dans ta transparence. Je ne sais pas quoi répondre à ton honnêteté. Je ne veux pas être ami avec toi mais j'ai besoin de réfléchir.".
"Pourquoi mentir ? Pourquoi cacher? Je suis obligée de penser à l'après. Tu m'as fait mal. Je sais que je vais être triste. Alors autant être réaliste. Il va falloir couper contact encore une fois.
Il a ajouté qu'il a toujours été persuadé qu'il me reverrait. Que tant de fois il a cru et voulait me croiser.
Nous avons changé de sujet.
Nous avons ri doucement de ce rendez-vous dans un hôtel. Je l'ai raccompagné à sa voiture. Les mains qui se frôlent. J'ai attendu mon uber. "C'est ici qu'on se quitte". Je ne l'ai même pas regardé dans les yeux. Je n'en ai pas eu le courage. Je lui ai fait la bise. Comme une décharge. Je me suis engouffrée dans mon uber aux vitres teintées. Je me suis retournée jusqu'à ne plus le voir. Cette fois, je pars la première.
Je suis rentrée chez moi. Je sais qu'il est avec elle. Je ne sais pas comment je me sens. Vidée et la nausée. Pour ressentir, j'ai bien ressenti. Je l'ai tellement attendu ce moment. Maintenant qu'il est terminé, je tourne la page. C'est un chapitre qui se termine.
Il m'a envoyée "Tu es encore plus lumineuse que dans mon souvenir. J'aurais tant aimé rester...". Je ne veux pas. ça me fait du bien de le savoir mais il faut qu'on arrête. Il faut qu'il arrête.
J'ai vu Ernest. Un 14 mai. Il y a un an exactement je partais à Rome, explosion émotionnelle. C'est drôle la vie.
J'ai vu Ernest et ça n'aurait jamais eu lieu si ça avait fonctionné avec Nuit. Je ne lui aurais jamais envoyé de messages il y a 3 semaines.
J'ai vu Ernest et encore une fois, ce seront des adieux.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 15.05.16, 01h36 par mistermint
- [0] Courage le 15.05.16, 04h00 par MaryeL
- [0] Courage le 15.05.16, 06h04 par Lulla
- [0] Courage le 15.05.16, 08h59 par Bumble
- [0] Courage le 15.05.16, 09h26 par Stayfun
- [0] Courage le 15.05.16, 11h48 par Thedaze
- [0] Courage le 16.05.16, 10h55 par Jsh
- [0] Courage le 17.05.16, 13h01 par Onmyoji
Merci les amis pour vos petites notes.
Je me suis levée un peu dans le mal. Comme dans du coton, amorphe. Vide.
Il m'a envoyée des messages comme si de rien n'était. Je lui ai demandé à quoi il jouait. S'en est suivie une longue discussion par messages. En résumé, je lui ai dit que je ne pouvais pas. Que c'était trop dur, que ça me faisait trop mal et que je ne méritais pas ça. Qu'être amis n'aurait aucun sens, ce serait se mentir et ça m'empêcherait d'avancer. Que ça risquait de me bloquer avec Thibault. Que c'est facile pour lui, il a une copine qui l'attend sagement le soir. Il m'a répondue qu'il préférait se mentir à lui-même, qu'il refusait de me perdre encore une fois.
Il l'a répété plusieurs fois. J'ai tenu mon "non" à chaque fois.
Je lui ai dit que c'était impossible, que la seule chose dont j'avais envie c'était de lui dire de me rejoindre chez moi, mais qu'on ne peut pas. "J'ai failli le faire hier soir. Je te passe les détails. Laissons nous du temps...".
Il ne comprend pas. Il ne veut pas comprendre. C'est impossible. Je ne ferais pas ça. Je ne vais pas entretenir une relation avec un homme qui ne me touchera jamais et en aime une autre. Je le lui ai dit. Il a 31 ans, il vit avec elle. Le prochaine étape c'est le grand appartement pour accueillir un possible bébé. Avec elle. Il part en vacances en Asie en aout. Avec elle. Je ne veux pas de cette place.
J'étais mal sur le coup. Douleur dans la poitrine. J'avais envie de lui crier d'arrêter.
J'ai eu Charles au téléphone pour se donner des nouvelles. J'irai passer quelques jours à Marseille cet été. Entendre qu'il allait bien m'a apaisée.
Vers 20h je suis sortie courir. J'ai couru 45 minutes. J'étais fière de moi, de ma reprise, et le fait de pouvoir courir, rien que ça c'est une victoire sur mon passé. Le coucher de soleil était magnifique. J'étais bien.
En rentrant je suis tombée sur The Place Beyond The Pines. Je ne l'avais jamais vu. Drive suivait. J'aime tellement ce film. Plus je le vois, plus je l'aime. Caramelle était devant sa télé, on commentait par textos. J'avais la sensation de le voir avec elle malgré les 800 km qui nous séparent. Je l'aime tellement. Et elle me manque tellement.
J'ai écouté les morceaux des deux films. Assise sur mon balcon à sentir et regarder la nuit. J'étais bien. Petits instants de perfection.
Honnêtement, je m'étonne. Je vais bien. Vraiment bien. Je pensais être mal plus longtemps. Je ne regrette pas de l'avoir vu. J'ai ressenti, j'ai vécu.
Je sais qu'il va revenir à la charge et j'espère juste être assez forte pour m'en tenir à ma décision.
Romain et Rosebud ne lâchent pas l'affaire mais je mets de la distance. Et je n'ai pas le temps.
Les mecs du Krav m'ont proposée de m'entrainer avec eux ce we ou plus tard. J'irai.
Thibault m'envoie des messages. Pas trop. Juste comme il faut. Aucune idée de quand est-ce qu'on va trouver le temps de se revoir.
Tout à l'heure, sur mon balcon, sereine, j'ai réalisé que j'étais vraiment bien seule. Je l'ai toujours été. J'ai toujours bien vécu mon célibat. Mais jamais autant qu'aujourd'hui. J'aime mon indépendance. Je me sens libre. J'ai des âmes soeurs, des amis extraordinaires, une famille présente. J'aime les hommes. J'adore les hommes. Pour autant je n'ai pas besoin d'eux pour être heureuse.
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Je me suis levée un peu dans le mal. Comme dans du coton, amorphe. Vide.
Il m'a envoyée des messages comme si de rien n'était. Je lui ai demandé à quoi il jouait. S'en est suivie une longue discussion par messages. En résumé, je lui ai dit que je ne pouvais pas. Que c'était trop dur, que ça me faisait trop mal et que je ne méritais pas ça. Qu'être amis n'aurait aucun sens, ce serait se mentir et ça m'empêcherait d'avancer. Que ça risquait de me bloquer avec Thibault. Que c'est facile pour lui, il a une copine qui l'attend sagement le soir. Il m'a répondue qu'il préférait se mentir à lui-même, qu'il refusait de me perdre encore une fois.
Il l'a répété plusieurs fois. J'ai tenu mon "non" à chaque fois.
Je lui ai dit que c'était impossible, que la seule chose dont j'avais envie c'était de lui dire de me rejoindre chez moi, mais qu'on ne peut pas. "J'ai failli le faire hier soir. Je te passe les détails. Laissons nous du temps...".
Il ne comprend pas. Il ne veut pas comprendre. C'est impossible. Je ne ferais pas ça. Je ne vais pas entretenir une relation avec un homme qui ne me touchera jamais et en aime une autre. Je le lui ai dit. Il a 31 ans, il vit avec elle. Le prochaine étape c'est le grand appartement pour accueillir un possible bébé. Avec elle. Il part en vacances en Asie en aout. Avec elle. Je ne veux pas de cette place.
J'étais mal sur le coup. Douleur dans la poitrine. J'avais envie de lui crier d'arrêter.
J'ai eu Charles au téléphone pour se donner des nouvelles. J'irai passer quelques jours à Marseille cet été. Entendre qu'il allait bien m'a apaisée.
Vers 20h je suis sortie courir. J'ai couru 45 minutes. J'étais fière de moi, de ma reprise, et le fait de pouvoir courir, rien que ça c'est une victoire sur mon passé. Le coucher de soleil était magnifique. J'étais bien.
En rentrant je suis tombée sur The Place Beyond The Pines. Je ne l'avais jamais vu. Drive suivait. J'aime tellement ce film. Plus je le vois, plus je l'aime. Caramelle était devant sa télé, on commentait par textos. J'avais la sensation de le voir avec elle malgré les 800 km qui nous séparent. Je l'aime tellement. Et elle me manque tellement.
J'ai écouté les morceaux des deux films. Assise sur mon balcon à sentir et regarder la nuit. J'étais bien. Petits instants de perfection.
Honnêtement, je m'étonne. Je vais bien. Vraiment bien. Je pensais être mal plus longtemps. Je ne regrette pas de l'avoir vu. J'ai ressenti, j'ai vécu.
Je sais qu'il va revenir à la charge et j'espère juste être assez forte pour m'en tenir à ma décision.
Romain et Rosebud ne lâchent pas l'affaire mais je mets de la distance. Et je n'ai pas le temps.
Les mecs du Krav m'ont proposée de m'entrainer avec eux ce we ou plus tard. J'irai.
Thibault m'envoie des messages. Pas trop. Juste comme il faut. Aucune idée de quand est-ce qu'on va trouver le temps de se revoir.
Tout à l'heure, sur mon balcon, sereine, j'ai réalisé que j'étais vraiment bien seule. Je l'ai toujours été. J'ai toujours bien vécu mon célibat. Mais jamais autant qu'aujourd'hui. J'aime mon indépendance. Je me sens libre. J'ai des âmes soeurs, des amis extraordinaires, une famille présente. J'aime les hommes. J'adore les hommes. Pour autant je n'ai pas besoin d'eux pour être heureuse.
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- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bravo le 16.05.16, 09h10 par Lulla
- [0] Like ! le 16.05.16, 10h11 par MaryeL
- [0] Like a boss ! le 16.05.16, 10h22 par Jsh
- [0] Bravo le 16.05.16, 10h59 par Sathinelilly
- [0] Yesssss! le 16.05.16, 12h51 par Thedaze
T'assures amélia ;)
Pas évident de se positionner comme tu l'as fait avec Ernest j'imagine, mais tu as fait preuve de beaucoup de sincérité, et de courage aussi...
C'est juste, pour toi... Difficile à assumer sûrement pour différentes raisons, mais juste et vrai de pouvoir lui dire (et te dire) que tu mérites mieux que les miettes qu'il te propose...
Pas évident de se positionner comme tu l'as fait avec Ernest j'imagine, mais tu as fait preuve de beaucoup de sincérité, et de courage aussi...
C'est juste, pour toi... Difficile à assumer sûrement pour différentes raisons, mais juste et vrai de pouvoir lui dire (et te dire) que tu mérites mieux que les miettes qu'il te propose...