Joueuses et non joueuses [Calibration]
Posté : 17.11.06
Petite réflexion sur la calibration des filles.
Je voudrais vous faire part d’une réflexion que j’ai eu le week-end dernier concernant un problème de calibration.
Avant de commencer je vais donner quelques informations sur mon niveau.
Tout d’abord, soyons honnête, la plus part de mes cibles de sont des B, B+ et plus rarement des A. J’ai encore du mal avec ces dernières. J’en suis à un ou deux Fclose par mois. Ensuite je sais assez mal gamer des filles qui veulent jouer. D’une part j’ai du mal à tenir sur la durée et d’autre part ça me gonfle donc j’arrête assez vite mes efforts par lassitude. J’ai même viré une suédoise B+ de mon lit il y a 3 semaines tellement elle me gonflait à vouloir jouer. Je dois rechercher des rapports plus vrais (désolé pour le coté télé réalité).
Niveau physique, car sans vouloir relancer le débat, je me rends de plus en plus compte de son importance, je présente bien. Les filles ne sont jamais venu me voir pour ma gueule mais je me prend très peu de râteaux, même en street en DG. Bref les filles me « donnent » ma chance de les draguer la plus part du temps, mais elles ne restent pas longtemps si je ne suis pas bon.
Fort de ces constatations et d’une expérience qui commence à devenir importante je me suis rendu compte qu’il y avait deux manières de draguer. Ces deux manières sont fonctions de la fille :
A savoir si la fille est joueuse ou pas.
Et je pense que cela change tout. Une fille joueuse, qui veux s’amuser, dominer l’autre pour ne sortir qu’avec un dominant, va devoir être gamer à l’aide de toutes les techniques classiques : neg et H2G d’un coté, social proof et story-telling de l’autre.
Tandis qu’une non joueuse va juste chercher un mec intéressent avec qui elle se sens bien.
Elle ne va pas chercher à tester constamment son pourvoir de séduction pour trouver le mâle le plus dominant car elle se considère elle même comme une personne indépendante.
Et cela est, en parti, indépendant de son physique. Je me suis souvent cramé avec des B+ voir A car je les avaient mal calibré les considérant comme des joueuses alors qu’elles cherchaient juste un rapport d’égalité avec un mec intéressant.
Certes je ne nie pas le fait qu’il est important de montrer sa valeur, surtout en matière de speedseduction où on bénéficie d’un laps de temps très cour avant de se faire éjecter. Mais je me suis rendu compte qu’il était important de garder à l’esprit qu’on est à la base une personne intéressante et qu’on a pas forcément besoin, pour la plus part des filles, d’en faire des tonnes.
Avant de continuer plus en avant je voudrais faire deux apartés sur quelques points techniques :
* Le neg et le H2G consistent tous les deux à ce donner une valeur par rapport à la target. Leur point commun étant qu’ils se basent sur le rabaissement de cette dernière (je suis supérieur à toi).
Il y a d’autres manières de prendre de la valeur, par exemple en se DHV par le storytelling ou par le social proof qui ont l’avantage d’augmenter notre valeur intrinsèque et non par rapport à la target.
De par mon expérience à savoir beaucoup d’abordage en pub, particulièrement ces deux derniers mois et beaucoup en street aussi, la plus part du temps où j’ai utilisé le neg ou que j’ai fais mon H2G je suis passé pour un mec agressif ou pédant (bon j’exagère beaucoup mais le ressenti des filles allaient plus dans ce sens que dans un autre plus positif).
Ayant tendance à considérer que si j’ai un problème il vient de moi et non des autres j’ai tout d’abord pensé que je m’y prenais mal (trop agressif, mal placés…). Mais de plus en plus, la pratique aidant, je me suis rendu compte que le problème venait surtout de mes cibles : mes cibles sont des filles normales, pas particulièrement habitués au monde de la nuit et à se faire draguer 10 fois dans la semaine. Elles se savent jolies et bien qu’elles aiment se le faire rappeler de temps en temps (par le regard des hommes, par le fait qu’on les abordent) elles ne ressentent pas le besoin de se le prouver tous les jours.
Donc je calibrais mal en utilisant des techniques de Mystery adaptées à la sarge en boite où la compétition sexuel est à son comble et pour des HB136.
Tandis que le story-telling, le social proof permettent de se donner de la valeur sans rentrer en compétition avec la cible. Juste de montrer que l’on est une personne intéressente apprécié par les autres.
Leurs avantages étant qu’ils « marchent » avec tout le monde, aussi bien la target que ses amis mâle ou femelle. De plus ils sont beaucoup plus sûr. Dans tous les cas ils fonctionnent. En effet les gens sont toujours impressionné de voir une personne capable de parler avec tout le monde et il est toujours agréable d’écouter une personne racontant de manière intéressante un histoire.
Autre réflexion avant d’arriver à la conclusion :
* Lors des fr les membres décrivent les cibles par une note au lieu d’un adjectif (mignonne ,jolie…). Car cela nous permet de la faire rentrer dans des casses, dans notre grille de lecture des filles :
A savoir pour un sargeur moyen :
B - : game facile, on se bouge pas trop le cul
B : game standard où on peut se permettre un peu de naturel
B + et A : game exigent. Suivi de la MM hautement recommandé.
Nous calibrons beaucoup notre jeu en fonction du physique de la fille et cela influance énormément notre game.
Mais le fait de savoir si elle est joueuse ou non l'influe aussi beaucoup
Pour en revenir au propos du début sur la différence entre les joueuses et les autres :
Je me suis rendu compte dimanche dernier après un sortie la veille en street avec la MPT que je me plantais souvent dans les dix premières minutes avec des B, B+ car elles n’étaient pas joueuses quand j’appliquais du H2G et du neg (certes léger) alors que les deux première minutes étaient très bonnes.
Elles apprécient juste ma compagnie sans ressentir le besoin de se mesurer vis à vis de moi (du moins pas consciemment, je ne doute pas qu’elle juge de ma valeur comme tout le monde le fait constamment).
Depuis j’ai fais deux sessions de street cette semaine, 9 approches en indirect et 2 autres approchent en pub soit 12 approche en tout.
Presque toute mes cibles étaient des B ou des B+ et plus j’étais naturel, en me posant sur un pied d’égalité vis à vis de la cible, plus le rapport à bien fonctionné.
Constat, et cela s’adresse principalement aux débutant, à ceux qui font du street et du Pub PU il ne faut jamais oublier de calibrer si la fille est une joueuse ou non.
Cela change complètement l’optique du game.
Sur mes 7 approches qui ont mené à une discutions de plus de 5 minutes rarement l’échange n’avait été aussi fluide (et agréable) car j’étais naturel.
Je me suis rendu compte que les filles sont attirées par un rapport d’égalité mais avec des personnes qui sont supérieurs à elles.
Il est donc, pour les non joueuses, contre-productif de se valoriser par rapport à elle. Il faut se valoriser par rapport aux autres, par rapport à la masse.
Pour certains j’enfonce une porte ouverte. Beaucoup de personnes ont déjà fait remarqué que le neg ne s’appliquait qu’au HB9. Mais j’ai eu l’impression d’aller plus loin dans ma compréhension du game en voyant toute la différence que faisait le fait que la fille soit joueuse ou non, indépendamment de son physique et j’ai eu envie de vous faire part de ma réflexion sur le sujet.
Cela me semble particulièrement important en street où ce sont des filles normales dans des situations normales qui se font aborder. Il y a donc beaucoup plus de chance pour tomber sur une non joueuse.
Pour résumer, car j’ai l’impression d’avoir été un peu brouillons dans mes réflexions :
Savoir calibrer si la fille est joueuse ou non.
Si non joueuse éviter le DVH en rapport avec elle (neg, H2G) et favoriser celui en rapport avec les autres (social proof, storytelling, humour).
Vous êtes quelqu’un d’intéressent. Pas besoin d’en faire des tonnes pour le lui montrer. Ca doit ce voir tout seul avec la pratique en devenant à l’aise avec les femmes.
La plus part des filles sont non joueuses donc mieux vaut dans le doute la considérer comme tel (notamment en street ou en pub à la différence des boites).
Ensuite beaucoup de sargeur aiment draguer les joueuses ce que je comprend tout à fait. Mais pour des types comme moi qui n’aiment pas trop draguer en boite, qui ne cherchent pas à closer des filles ultra bitchies et qui aspire à un game naturel, je pense qu’on a beaucoup à gagner à bien faire la différence entre les deux.
Je voudrais vous faire part d’une réflexion que j’ai eu le week-end dernier concernant un problème de calibration.
Avant de commencer je vais donner quelques informations sur mon niveau.
Tout d’abord, soyons honnête, la plus part de mes cibles de sont des B, B+ et plus rarement des A. J’ai encore du mal avec ces dernières. J’en suis à un ou deux Fclose par mois. Ensuite je sais assez mal gamer des filles qui veulent jouer. D’une part j’ai du mal à tenir sur la durée et d’autre part ça me gonfle donc j’arrête assez vite mes efforts par lassitude. J’ai même viré une suédoise B+ de mon lit il y a 3 semaines tellement elle me gonflait à vouloir jouer. Je dois rechercher des rapports plus vrais (désolé pour le coté télé réalité).
Niveau physique, car sans vouloir relancer le débat, je me rends de plus en plus compte de son importance, je présente bien. Les filles ne sont jamais venu me voir pour ma gueule mais je me prend très peu de râteaux, même en street en DG. Bref les filles me « donnent » ma chance de les draguer la plus part du temps, mais elles ne restent pas longtemps si je ne suis pas bon.
Fort de ces constatations et d’une expérience qui commence à devenir importante je me suis rendu compte qu’il y avait deux manières de draguer. Ces deux manières sont fonctions de la fille :
A savoir si la fille est joueuse ou pas.
Et je pense que cela change tout. Une fille joueuse, qui veux s’amuser, dominer l’autre pour ne sortir qu’avec un dominant, va devoir être gamer à l’aide de toutes les techniques classiques : neg et H2G d’un coté, social proof et story-telling de l’autre.
Tandis qu’une non joueuse va juste chercher un mec intéressent avec qui elle se sens bien.
Elle ne va pas chercher à tester constamment son pourvoir de séduction pour trouver le mâle le plus dominant car elle se considère elle même comme une personne indépendante.
Et cela est, en parti, indépendant de son physique. Je me suis souvent cramé avec des B+ voir A car je les avaient mal calibré les considérant comme des joueuses alors qu’elles cherchaient juste un rapport d’égalité avec un mec intéressant.
Certes je ne nie pas le fait qu’il est important de montrer sa valeur, surtout en matière de speedseduction où on bénéficie d’un laps de temps très cour avant de se faire éjecter. Mais je me suis rendu compte qu’il était important de garder à l’esprit qu’on est à la base une personne intéressante et qu’on a pas forcément besoin, pour la plus part des filles, d’en faire des tonnes.
Avant de continuer plus en avant je voudrais faire deux apartés sur quelques points techniques :
* Le neg et le H2G consistent tous les deux à ce donner une valeur par rapport à la target. Leur point commun étant qu’ils se basent sur le rabaissement de cette dernière (je suis supérieur à toi).
Il y a d’autres manières de prendre de la valeur, par exemple en se DHV par le storytelling ou par le social proof qui ont l’avantage d’augmenter notre valeur intrinsèque et non par rapport à la target.
De par mon expérience à savoir beaucoup d’abordage en pub, particulièrement ces deux derniers mois et beaucoup en street aussi, la plus part du temps où j’ai utilisé le neg ou que j’ai fais mon H2G je suis passé pour un mec agressif ou pédant (bon j’exagère beaucoup mais le ressenti des filles allaient plus dans ce sens que dans un autre plus positif).
Ayant tendance à considérer que si j’ai un problème il vient de moi et non des autres j’ai tout d’abord pensé que je m’y prenais mal (trop agressif, mal placés…). Mais de plus en plus, la pratique aidant, je me suis rendu compte que le problème venait surtout de mes cibles : mes cibles sont des filles normales, pas particulièrement habitués au monde de la nuit et à se faire draguer 10 fois dans la semaine. Elles se savent jolies et bien qu’elles aiment se le faire rappeler de temps en temps (par le regard des hommes, par le fait qu’on les abordent) elles ne ressentent pas le besoin de se le prouver tous les jours.
Donc je calibrais mal en utilisant des techniques de Mystery adaptées à la sarge en boite où la compétition sexuel est à son comble et pour des HB136.
Tandis que le story-telling, le social proof permettent de se donner de la valeur sans rentrer en compétition avec la cible. Juste de montrer que l’on est une personne intéressente apprécié par les autres.
Leurs avantages étant qu’ils « marchent » avec tout le monde, aussi bien la target que ses amis mâle ou femelle. De plus ils sont beaucoup plus sûr. Dans tous les cas ils fonctionnent. En effet les gens sont toujours impressionné de voir une personne capable de parler avec tout le monde et il est toujours agréable d’écouter une personne racontant de manière intéressante un histoire.
Autre réflexion avant d’arriver à la conclusion :
* Lors des fr les membres décrivent les cibles par une note au lieu d’un adjectif (mignonne ,jolie…). Car cela nous permet de la faire rentrer dans des casses, dans notre grille de lecture des filles :
A savoir pour un sargeur moyen :
B - : game facile, on se bouge pas trop le cul
B : game standard où on peut se permettre un peu de naturel
B + et A : game exigent. Suivi de la MM hautement recommandé.
Nous calibrons beaucoup notre jeu en fonction du physique de la fille et cela influance énormément notre game.
Mais le fait de savoir si elle est joueuse ou non l'influe aussi beaucoup
Pour en revenir au propos du début sur la différence entre les joueuses et les autres :
Je me suis rendu compte dimanche dernier après un sortie la veille en street avec la MPT que je me plantais souvent dans les dix premières minutes avec des B, B+ car elles n’étaient pas joueuses quand j’appliquais du H2G et du neg (certes léger) alors que les deux première minutes étaient très bonnes.
Elles apprécient juste ma compagnie sans ressentir le besoin de se mesurer vis à vis de moi (du moins pas consciemment, je ne doute pas qu’elle juge de ma valeur comme tout le monde le fait constamment).
Depuis j’ai fais deux sessions de street cette semaine, 9 approches en indirect et 2 autres approchent en pub soit 12 approche en tout.
Presque toute mes cibles étaient des B ou des B+ et plus j’étais naturel, en me posant sur un pied d’égalité vis à vis de la cible, plus le rapport à bien fonctionné.
Constat, et cela s’adresse principalement aux débutant, à ceux qui font du street et du Pub PU il ne faut jamais oublier de calibrer si la fille est une joueuse ou non.
Cela change complètement l’optique du game.
Sur mes 7 approches qui ont mené à une discutions de plus de 5 minutes rarement l’échange n’avait été aussi fluide (et agréable) car j’étais naturel.
Je me suis rendu compte que les filles sont attirées par un rapport d’égalité mais avec des personnes qui sont supérieurs à elles.
Il est donc, pour les non joueuses, contre-productif de se valoriser par rapport à elle. Il faut se valoriser par rapport aux autres, par rapport à la masse.
Pour certains j’enfonce une porte ouverte. Beaucoup de personnes ont déjà fait remarqué que le neg ne s’appliquait qu’au HB9. Mais j’ai eu l’impression d’aller plus loin dans ma compréhension du game en voyant toute la différence que faisait le fait que la fille soit joueuse ou non, indépendamment de son physique et j’ai eu envie de vous faire part de ma réflexion sur le sujet.
Cela me semble particulièrement important en street où ce sont des filles normales dans des situations normales qui se font aborder. Il y a donc beaucoup plus de chance pour tomber sur une non joueuse.
Pour résumer, car j’ai l’impression d’avoir été un peu brouillons dans mes réflexions :
Savoir calibrer si la fille est joueuse ou non.
Si non joueuse éviter le DVH en rapport avec elle (neg, H2G) et favoriser celui en rapport avec les autres (social proof, storytelling, humour).
Vous êtes quelqu’un d’intéressent. Pas besoin d’en faire des tonnes pour le lui montrer. Ca doit ce voir tout seul avec la pratique en devenant à l’aise avec les femmes.
La plus part des filles sont non joueuses donc mieux vaut dans le doute la considérer comme tel (notamment en street ou en pub à la différence des boites).
Ensuite beaucoup de sargeur aiment draguer les joueuses ce que je comprend tout à fait. Mais pour des types comme moi qui n’aiment pas trop draguer en boite, qui ne cherchent pas à closer des filles ultra bitchies et qui aspire à un game naturel, je pense qu’on a beaucoup à gagner à bien faire la différence entre les deux.