FR - J. où le game en Province
Posté : 08.12.06
Ce FR portant sur le game de mon ex-STR présente deux intérêts notables. Le premier est personnel. Toute narration est exorcisme de ses propres démons, mise au point avec soi-même et, ce n’est pas rien, projection de soi-même en dehors de l’événement pour percevoir la globalité du processus. Le deuxième intérêt est de donner à voir combien le game en province se doit d’être un peu différent du game des grandes villes pour des raisons évidentes de promiscuité de population.
Beaucoup des évènements peuvent être retrouvé dans un certains désordre dans mon post hors-sujet « penséees méditatives d’un rAFC ». Je tiens à mettre en garde cependant avant de commencer.
Je suis un playeur dit chimique, c’est à dire que je suis quelqu’un qui travaille de façon méthodique, avec du canned-stuff et des techniques issues des ouvrages de références sur la séduction. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il faut y voir un manque de spontanéité : il faut un moment pour faire sienne les méthodes et les rendrent naturelles, coercitives, cohérentes avec sa personnalité. Un des gros écueils de la sarge est d’internaliser les processus et d’évoluer de façon personnelle vers un meilleur. Comme il l’est souvent dit : fake it untill you make it …
Ceci dit, maintenant.. ACTIONS !
Acte I – Ouverture, social proof et A1 en général :
J’ai rencontré J. dans un nouveau bar karaoke où je traîne de façon sporadique. C’était cet été lors de ma période Peacocking. A cette époque, l’agent 003 du PSM venait de quitter Perpignan Vice et je testai le PCK.
J faisait parti d’un set de 6 dans lequel je m’étais introduit avec le style et la manière dont seul les playeurs ont le secret. Ma cible principale de l’époque n’était pas J mais une de ses copines. Le succès ne fut pas au rendez-vous. Mais qu’importe le vin tant qu’on a l’ivresse.
Une fois mon ancien QH réouvert, j’ai quitté la place. J’ai donc fait mes adieux à cette scène là, me retirant de la façon la plus élégante, dont seul les artistes ont le secret. Je me rappelle encore ma dernière soirée lors de cette période où J vint vers moi avec une petite mine :
Acte II – Le sargeur sonne toujours deux fois (A2/A3) :
Deux mois plus tard, ma pivot et un de mes chanteurs m’ont inscrit à un concours de chant dans ce bar. Non que je sois un grand fan de ce genre de chose, mais l’ambiance et l’amusement, l’esprit bon enfant, et le peu d’importance des prix m’ont conduit à penser que cela pouvait être une expérience amusante. Je suis donc retourné à ce bar, réactivant par là-même mes anciens contacts dont J (nouveau A1). J, à cette époque, était casé avec un AFC et deux autres personnes. Je décidai après la première soirée de retour de la gamer, plus pour le plaisir que par réel intérêt, malgré un physique intéressant (B, 6 en norme PSM).
La seconde semaine fut le début des hostilités.
La prise de date fut plus dure que prévu. Le premier phone-game avait cette allure là :
Acte IV – Retour au concours :
La semaine suivante nous nous sommes retrouvé au même bar pour le concours de chant. Je n’ai pas fait cas d’elle jusqu’à la fin. Sachant que le jeu était serré, il fallait repasser une dose d’active ignorance et de H2G. J’en ai profité pour sarger à droite et à gauche sous son regard. Ce n’est seulement qu’à la fin que j’ai enfin daigné lui adresser la parole.
La date fut de nouveau annulé. Ma phase de confort n’était pas assez sure. J’ai donc repassé une couche au téléphone avant de redemander une nouvelle date. Extrait :
Là pas d’erreur possible. N’ayant pas apprécié les flakes à répétition, je l’ai ignoré toute la soirée. A la fin de la soirée, ce fut elle qui vint me demander confirmation pour la date.
Acte VII – Date enfin :
Lors de la date, j’ai mis en application le maniac plan. Extrait :
Le jeudi d’après, nous nous sommes retrouvés au concours. Comme d’habitude je l’ai ignoré. Puis à un moment où elle s’était un peu isolé, je suis aller la voir.
C’est là que les choses se sont compliquées. L’histoire n’a durée même pas une semaine et demi. De là à parler de STR c’est énorme. Cependant, c’était bien là mon objectif.
Cependant, malgré des progrès notables, beaucoup de processus d’AFC sont encore présent une fois engagés dans la relation. Un des facteurs aggravant fut de m’apercevoir que j’étais encore tombé sur une LES extravertie. Ce genre de fille a le don de vous souffler le chaud et le froid en permanence. J’ai découvert a ce moment là que, au-delà du jeu de séduction, la mise en place d’une vrai relation était le début d’un autre jeu que je ne maîtrisais pas encore.
Finalement, le cœur dans la tombe, et malgré des sentiments forts, je me suis résolu à rompre.
Epilogue :
Un game long mais qui reflète bien la difficulté des sarges en province. Les cibles et les lieux ne foisonnent pas. Il faut savoir gérer ce que l’agent 003 du PSM a appelé un social game, c’est à dire un game étalé dans le temps où chaque étape se voient valider par différentes cessions. Il faut savoir faire les choses proprement aussi : une réputation est vite acquise.
Au niveau personnel, je constate un manque de confort évident après le numclose et un A3 complètement bâclé. La lecture d’un game n’est pas évidente car s’étalant dans le temps, les informations sont dispersé un peu partout. Le DHV n’est pas présent dans le FR mais existe néanmoins : par la voix (bar karaoke), par le social proof, par une sarge constante et une sociabilité accrue.
Voilà. De tout cela, je retire un peu d’amertume, un niveau d’énergie bas et une sorte de malaise. Mais il est souvent difficile de dire stop quand votre cœur vous dit continue. Cela passera avec le temps je suppose.
Beaucoup des évènements peuvent être retrouvé dans un certains désordre dans mon post hors-sujet « penséees méditatives d’un rAFC ». Je tiens à mettre en garde cependant avant de commencer.
Je suis un playeur dit chimique, c’est à dire que je suis quelqu’un qui travaille de façon méthodique, avec du canned-stuff et des techniques issues des ouvrages de références sur la séduction. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il faut y voir un manque de spontanéité : il faut un moment pour faire sienne les méthodes et les rendrent naturelles, coercitives, cohérentes avec sa personnalité. Un des gros écueils de la sarge est d’internaliser les processus et d’évoluer de façon personnelle vers un meilleur. Comme il l’est souvent dit : fake it untill you make it …
Ceci dit, maintenant.. ACTIONS !
Acte I – Ouverture, social proof et A1 en général :
J’ai rencontré J. dans un nouveau bar karaoke où je traîne de façon sporadique. C’était cet été lors de ma période Peacocking. A cette époque, l’agent 003 du PSM venait de quitter Perpignan Vice et je testai le PCK.
J faisait parti d’un set de 6 dans lequel je m’étais introduit avec le style et la manière dont seul les playeurs ont le secret. Ma cible principale de l’époque n’était pas J mais une de ses copines. Le succès ne fut pas au rendez-vous. Mais qu’importe le vin tant qu’on a l’ivresse.
Une fois mon ancien QH réouvert, j’ai quitté la place. J’ai donc fait mes adieux à cette scène là, me retirant de la façon la plus élégante, dont seul les artistes ont le secret. Je me rappelle encore ma dernière soirée lors de cette période où J vint vers moi avec une petite mine :
A cette époque, rien que cette démarche aurait du me mettre la puce à l’oreille. Mais tout euphorique à l’idée de retrouver mes habitudes, et plongé entièrement dans le temps présent, je n’y ai pas prêter attention. Cependant, une petite voix que je me refuse souvent d’écouter me chuchotait déjà : « tu ne trouves pas ça bizarre ? »J : Tu t’en vas ?
M : Et oui.. je fais mes adieux.
J : Cela veut dire qu’on ne te reverra plus ?
M : Et oui. Je n’ai aucune raison de rester ici.
J:
Acte II – Le sargeur sonne toujours deux fois (A2/A3) :
Deux mois plus tard, ma pivot et un de mes chanteurs m’ont inscrit à un concours de chant dans ce bar. Non que je sois un grand fan de ce genre de chose, mais l’ambiance et l’amusement, l’esprit bon enfant, et le peu d’importance des prix m’ont conduit à penser que cela pouvait être une expérience amusante. Je suis donc retourné à ce bar, réactivant par là-même mes anciens contacts dont J (nouveau A1). J, à cette époque, était casé avec un AFC et deux autres personnes. Je décidai après la première soirée de retour de la gamer, plus pour le plaisir que par réel intérêt, malgré un physique intéressant (B, 6 en norme PSM).
La seconde semaine fut le début des hostilités.
Acte III – Phone game 1 :J: Salut, tu vas bien?
M: Oui ca va. T'es pas avec ta copine aujourd'hui?
J: Si t'inquiètes pas elle arrive.
M: Ho je m'inquietes pas, elle ne m'interesse pas.
J:
M: .. toi non plus d'ailleurs
J:(1)
[g]Plus tard dans la soirée, B+ me prend à part sous le regard de son mec. [/g]
J: Mais pourquoi tu es méchant avec moi?
M: Moi? Méchant? Mais non!
J: Si! Tu as dit que je t'interessai pas! (2)
M: Bah oui tu as un mec
J:
[g]Plus tard au bar, je me pose à côté et entame une discussion sans intérêt. Son mec nous regarde de loin. [/g]
M: Ton mec arrête pas de nous regarder.
J: Il est jaloux.
M: Moi je pourrai pas être avec une nana qui est jalouse. Ca voudrait dire qu'elle a pas confiance en moi.. et pas confiance en elle
J: Non mais la semaine dernière y'a un mec qui m'a dragué et du coup il arrête pas de me surveiller.
M: Ca doit être lourd un mec qui a pas confiance en lui, qui se sent insecure et qui te fais pas confiance. On doit se sentir comme en prison non?
J:
M: Moi je te le dis je pourrai pas..
J: ( EC intense) oui mais moi quand je bois je suis pas forcément fidèle. Je fais n'importe quoi. (3)
M: Genre me donner ton numéro?
J: ..(hésitation).. non.
M: Ha? tu as pas de téléphone?
J: si j'ai le téléphone!
M: Tu es comme les poissons rouges, tu as pas assez de mémoire pour retenir les chiffres?
J: Si.. je le connais par cœur.. regarde.. 06 XX XX XX XX.
M: (tend le téléphone) notes le là.
J: (note le num..)
M: Je t'appelle dans la semaine, je devrais être libre jeudi ça te vas.
J: Normalement oui, mais appelles moi je te dirais çà.
Dégagement.. sous le regard de son mec qui se tenait à l'autre bout de la salle, et qui n'a même pas osé venir nous interrompre.. merci monsieur
La prise de date fut plus dure que prévu. Le premier phone-game avait cette allure là :
Mais il fut annulé par elle au dernier moment.M: Ok ca tombe bien mardi je termine à 17h00. On se donne rdv au centre ville dans un lieu public.
J: Pourquoi tu as peur de moi?
M: Ho oui! Avec ton fouet et tes menottes je tremble de peur
J: lol.. ne t'inquietes pas..
M: Bon on se voit mardi?
J: ok à mardi!
M: ++
J: bizz.
Acte IV – Retour au concours :
La semaine suivante nous nous sommes retrouvé au même bar pour le concours de chant. Je n’ai pas fait cas d’elle jusqu’à la fin. Sachant que le jeu était serré, il fallait repasser une dose d’active ignorance et de H2G. J’en ai profité pour sarger à droite et à gauche sous son regard. Ce n’est seulement qu’à la fin que j’ai enfin daigné lui adresser la parole.
Acte V – phone game, le retour (2) :M: (en éclat de rires)
J: Qu'est-ce qui te fais rire?
M: Je t'en parlerai Mardi
J: Ok.. On se fixe rdv où?
M: Place XXXXX
J: Non pas place XXXX, IL habite juste à côté!
M: Bon, ben tu m'apelles Lundi et on décide. Mais pas avant 22H00, je suis pris avant!
J: Euh... j'ai pas beaucoup de crédits... Apelles-moi toi plutôt..
M: A 22h00?
J: Oui, il y a pas de soucis..
M: ...
La date fut de nouveau annulé. Ma phase de confort n’était pas assez sure. J’ai donc repassé une couche au téléphone avant de redemander une nouvelle date. Extrait :
Acte VI – Retour au concours :J: Je faisais de la harpe quand j'étais petite.
M: J'adore la harpe.. je trouve ca très érotique comme instrument.
J: Haaa..? (rires)
M: Et oui.. pas comme le piano qui a perdu un peu de sa superbe.
J: oui c'est vrai, c'est parce que beaucoup de monde ont fait du piano. D'ailleurs quand je faisais des concerts, blablabla...
Là pas d’erreur possible. N’ayant pas apprécié les flakes à répétition, je l’ai ignoré toute la soirée. A la fin de la soirée, ce fut elle qui vint me demander confirmation pour la date.
Acte VII – Date enfin :
Lors de la date, j’ai mis en application le maniac plan. Extrait :
Le but étant de mettre en place une connexion émotionnelle. A la fin me proposant de me raccompagner, je déclinais son invitation :M: Mon héros dans mes contes d'enfant c'était le grand méchant loup
J: Ha moi c'était le petit chaperon rouge
M: Fais attention tu sais qu'a la fin de l'histoire je dois te manger
J: Et si on faisait le chemin ensemble jusqu'à mère-grand.
M: pas sur que je te fasse prendre le chemin le plus court. J'aime bien les longs trajets.
J: Peu importe c'est pas grave..
M: Je vais y réfléchir.
J:
Acte VIII : End game :J : Je te raccompagne t’inquiètes pas j’ai assez d’essence.
M : Désolé mais non, je vais marcher.
J : tu as peur que je te viole ?
M : Non, mais j’aime bien marcher pour m’éclaircir les idées.. et je ne monte jamais dans les voitures des femmes la première fois. Je ne suis pas un homme facile.
J : :lol
Le jeudi d’après, nous nous sommes retrouvés au concours. Comme d’habitude je l’ai ignoré. Puis à un moment où elle s’était un peu isolé, je suis aller la voir.
Acte IX – Autre game, la STR :23h00
B: Tu sais que je ne suis plus avec XXXX?
M: En quoi ca me concerne?
B: J'ai penser que tu pourrais y trouver un certain intérêt.
M: Peut-être, je sais pas, je vais y réfléchir.
2h30
Kclose
3h30
ASD/LMR
05h00
Timebridge pour prochaine fois
C’est là que les choses se sont compliquées. L’histoire n’a durée même pas une semaine et demi. De là à parler de STR c’est énorme. Cependant, c’était bien là mon objectif.
Cependant, malgré des progrès notables, beaucoup de processus d’AFC sont encore présent une fois engagés dans la relation. Un des facteurs aggravant fut de m’apercevoir que j’étais encore tombé sur une LES extravertie. Ce genre de fille a le don de vous souffler le chaud et le froid en permanence. J’ai découvert a ce moment là que, au-delà du jeu de séduction, la mise en place d’une vrai relation était le début d’un autre jeu que je ne maîtrisais pas encore.
Finalement, le cœur dans la tombe, et malgré des sentiments forts, je me suis résolu à rompre.
Un coup de fil a eu tôt fait de réparer mon impair diplomatique. En Province, ni le playeur, ni la cible ne peuvent se permettre d’entretenir de mauvais lien avec ses ex, car le monde est petit ici.M:Kikou, si tu a une heure a me consacrer today. Il faut qu'on parle.
E: Bah pendant la journée sa va être difficile et ce soir j'ai théâtre. Donc peut être après manger mais je peux pas te dire une horaire précise. Tu veux qu'on parle de quoi?
M: par texto c'est délicat tu veux pas que je te tel?
E: Je suis en cours
M: Ok ben tu me laisses pas trop le choix finalement. Je n'aime pas faire ca par texto. Je pense qu'il vaut mieux qu'on arrête là tous les deux.
E: Bah écoute je crois aussi que c'est un bon choix mais je voudrais juste savoir ce qui t'as fait prendre cette décision?
M: Pas par texto. Pourquoi tu veux savoir?
E: Parce que je suis curieuse et ça me dérange pas du tout que tu me le dise par texto
M: Bon je vais quand même te dire. Je t'adore mais on ne communique pas de la même façon. Je ne serai jamais comme XXX ou ton père. J'ai plus l'impression d'avoir une relation plan cul qu'une vrai relation vu ton comportement. Alors plan de ce genre ok mais il serait illusoire de penser qu'on pourrait aller plus loin tous les deux vu nos modes de communication.
E: Xa me parait pas très juste mais c'est vrai que ça peut être une bonne excuse. Tu aurais aussi pu trouvé l'excuse du "j'ai trouvé quelqu'un d'autre". Mais tu as fait le bon choix..
M: Crois-moi si tu m'avais laissé le choix j'aurai préférer continuer. Comme je te l'ai dit je t'adore. Quelqu'un d'autre? J'aurai pu mais pas dans mon caractère quand j'envisage une relation sérieuse. Une excuse? Pas besoin d'excuse c'est toi qui m'a fait comprendre ce que tu attendais de moi. Le bon choix? Pas certains mais si on continu comme ça on va droit dans le mur. Maintenant si tu veux qu'on en discute tu sais ce qu'il te reste à faire.
E: Non c'est bon c'était braiment juste pour savoir. Et de toute façon je suis d'accord avec toi.
M: ok dommage a bientôt peut être alors sous une couette
E: Dans tout ce que tu m'as dit depuis ce matin je voyais de la réflexion et de la pertinence mais alors la tu baisses bien dans mon estime. Je me rends compte que ta pseudo réflexion est vraiment un artifice. Merci pour cette réflexion qui me permet de prendre conscience de qui tu es vraiment.
M: Ca va on se calme c'est de l'humour. Tu crois que c'est une partie de plaisir de quitter quelqu'un qu'on adore. Tu crois vraiment que ça me fait pas chier?
E: Y'a des choses qui ne font rire que toi.
M: Bah désolé alors mais j'essai de dédramatiser la chose. J'aurai aimé que tu tentes quelques choses pour me faire changer d'avis. Mais même maintenant tu ne dis rien alors j'essai au moins de garder le moral dans l'humour.
Epilogue :
Un game long mais qui reflète bien la difficulté des sarges en province. Les cibles et les lieux ne foisonnent pas. Il faut savoir gérer ce que l’agent 003 du PSM a appelé un social game, c’est à dire un game étalé dans le temps où chaque étape se voient valider par différentes cessions. Il faut savoir faire les choses proprement aussi : une réputation est vite acquise.
Au niveau personnel, je constate un manque de confort évident après le numclose et un A3 complètement bâclé. La lecture d’un game n’est pas évidente car s’étalant dans le temps, les informations sont dispersé un peu partout. Le DHV n’est pas présent dans le FR mais existe néanmoins : par la voix (bar karaoke), par le social proof, par une sarge constante et une sociabilité accrue.
Voilà. De tout cela, je retire un peu d’amertume, un niveau d’énergie bas et une sorte de malaise. Mais il est souvent difficile de dire stop quand votre cœur vous dit continue. Cela passera avec le temps je suppose.
