FTS

Bonjour à la communauté,

Je viens à l'instant de lire le sujet de aRise "EC",
ec-vt2657.html?highlight=

bon sujet que j'ai trouvé un peu confus où il dit qu'il regarde l'oeil gauche de la fille quand il est très proche d'elle mais au final nous ne savons plus trop quoi penser, notamment avec les posts de Akcent où il cite etienne-bonnard, de Dior et de Cloud.
Grâce à l'adresse suivante nous y voyons plus clair...
http://www.psycho-ressources.com/bibli/ ... ommes.html

Je vous conseille de lire cette page qui est un rapport d'une conférence du psychologue et psychothérapeute Serge Ginger sur le cerveau droit et le cerveau gauche. Contrairement à ce que etienne-bonnard dit, il faut bien regarder l'oeil gauche de la femme mais PAS PARCE QUE c'est la partie gauche du cerveau qui est plus développée chez la femme. Bien que ce soit le cas, l'important ici est que la femme utilise également la partie droite du cerveau, la dite touchant à la communication, l'art...
C'est cette partie là qui est en jonction avec la partie gauche du corps comme le marquent Dior et Cloud, ce qui explique qu'il faut regarder son oeil gauche

J'ai également trouvé ce rapport intéressant car le psychologue parle du sens du touché, de l'ouïe et de l'odorat féminin comme étants trés développés:
"Globalement, la femme est beaucoup plus sensible :
• Son ouïe est plus développée (d’où l’importance des mots doux, du timbre de la voix, de la musique)
• Son sens du toucher : les femmes possèdent jusqu’à 10 fois plus de récepteurs cutanés pour le contact ; l’ocytocine et la prolactine (hormones de l’attachement et des câlins) multiplient leur besoin de toucher et d’être touchées ;
• Son olfaction est plus fine : jusqu’à 100 fois, à certaines périodes du cycle."
Tout ceci justifie l'intérêt des Kinos, des odeurs et de la voix à prendre ainsi que leurs effets sur la gente féminine...

Dernier point, Serge Ginger marque l'existence chez la femme d'un "organe voméro-nasal", il décrit cet organe comme un "véritable sixième sens chimique et relationnel" percevant les phéromones ce qui n'est pas sans me rappeler le très bon sujet de papachar "Ma mystérieuse découverte du monde des phéromones", nous avons donc bien la preuve que les phéromones...ce n'est pas du pipot!

On peut donc se demander si les phéromones, aussi spécifiques qu'elles soient, peuvent être créées par le corps à la demande via des actions/états précis ou alors si elles sont produites indépendemment de notre volonté...

Twist

Très Très Très intéressant.
Je viens d'apprendre un tas de choses et fondées, ce qui n'enlève rien.

Merci ;).

Bonjour!

C'est un article très intéressant, merci beaucoup!

Je rajouterais qu'il existe des différences macroscopique neuroanatomique entre le cerveau de l'homme et de la femme: Le rapport Volume du cerveau/taille de l'individu est en moyenne inférieur de 10% chez la femme!
Les femmes ont donc effectivement moins de neurones que nous!
Mais ce serait contrebalancé par des mécanismes neurophysiologiques favorisant la création de synapses, assurant ainsi des capacités cognitives finalement comparables! Même s'il existe des différences notables.

Peut-être est-ce la cause de la plus grande associativité de la femme: pouvoir passer d'un sujet a l'autre dans la conversation, le langage sous-entendu, les mémoire épisodique et sémantique plus développées...
Mais je ne sais pas si des études permettant de corréler ces deux faits ont déjà été publiées, je demanderais à mes profs!

Amicalement,
Murmur

Anneo a écrit :Bonjour!

C'est un article très intéressant, merci beaucoup!

Je rajouterais qu'il existe des différences macroscopique neuroanatomique entre le cerveau de l'homme est de la femme: Le rapport Volume du cerveau/taille de l'individu est en moyenne inférieur de 10% chez la femme!

En restant dans le sérieux : oui la femme a un cerveau de volume inférieur à celui de l'homme mais la surface, le cortex cérébral est plus grand, ce phénomène en apparence paradoxal s'explique par le fait que la surface encéphalique féminine présente plus de replis et de gyrifications, en clair le cerveau a plus de replis, est plus "plissée" et l'important dans ce cas est la surface du cortex.

Ne pas oublier au final qu'on utilise qu'une infime partie de son cerveau et que certains fonctions se trouvent utilisée après un accident par exemple, nous n'utilisons pas tout notre potentiel alors que nous ayions un cerveau plus "gros" ne change absolument rien au problème ;)

Je ne voudrais pas m'avancer trop car j'ai commencer mon UE de neuroanat au debut du mois mais il me semble que tu as tors.


Je ne pourrais en être sur qu'apres avoir demander confirmation a un de mes prof, mais dans mon souvenir il nous a dit que la surface du cortex etait elle aussi inferieur.
Et que le nombre de neuronnes de la substance grise du cortex etait ainsi diminué.

Apres je peux me tromper, je m'excuse si c'est le cas, je reviendrais avec plus d'informations à la rentrée!

Ne pas oublier au final qu'on utilise qu'une infime partie de son cerveau et que certains fonctions se trouvent utilisée après un accident par exemple, nous n'utilisons pas tout notre potentiel

Il y a des recherche sérieuse qui le démontre?
J'en entend parler, mais jamais en cours, y a t'il des preuves tangibles?

J'ai passé une UE de Neuroanatomie l'année dernière, enfin plusieurs même en psychologie ainsi qu'en Neurobiologie et Psychophysiologie...Ceci n'est pas non plus une preuve que j'ai raison mais...

Ce que je dis je le tiens de la bouche de scientifiques

...maintenant ils ont tendance à ne pas être tous d'accord et le point de vue de ton professeur m'intéresse ;)

Sinon cherche du côté de la plasticité cérébrale si tu veux comprendre, ce phénomène est un des plus mystérieux et des plus passionnant en biologie humaine, on crée du neurones pour compenser, c'est un remodalage des connexions synaptiques.

Il faut savoir que le cortex cérébral est malléable : suivant qu'on stimule ou non un organe, sa représentation au niveau du cortex va être plus ou moins importante. On remarque que chez les personnes ayant subi l'occlusion de l'œil gauche, l'œil droit au bout d'un certain temps prendra autant de place que les deux yeux avant cette occlusion. De même quand on stimule volontairement un sens, comme l'audition chez les accordeurs de piano ou le toucher chez un violoniste. La désuétude d'une faculté peut au contraire entrainer sa régression au niveau cérébral. Dans certains cas de tumeurs cérébrales à développement lent, cette plasticité cérébrale permet de maintenir intactes toutes les fonctions jusqu'à un stade très avancé de la maladie (on peut s'apercevoir alors que 20% des hémisphères cérébraux est non fonctionnnel). Cette plasticité est essentiellement due aux modifications des connexions entre neurones (modifications synaptiques) qui s'effectuent tout au long de la vie. Toutefois il existe aussi une neurogenèse (formation de neurones à partir de cellules souches) dans certaines zones non-corticales du cerveau (comme dans l'hippocampe).

Erickson disait "Faîtes confiance en votre inconscient", j'ajouterais "Faîtes confiance en votre cerveau, des possibilités inimaginables s'offrent à vous"

Et bien de rien, je ferai des recherches dans les prochains jours pour répondre à la question que j'ai laissé à la fin de mon premier post. Je vous ferai part des mes trouvailles dans un prochain sujet.

Have Fun

Twist

Pour l'EC, c'est simple. Si tu ne fais pas de regard en trianlge ou ce genre de truc, regardes simplement son oeil gauche car il est l'oeil de l'émotion. C'est Ross Jeffries qui le dit.

Ca me rapelle un opener ça où tu demande de tester 2 parfumps différents et tu la neg hit en disant que l'un est du chlorophorme....

Regard en triangle?
Si quelqu'un peut me renseigner sur cette technique je l'en remercie.

Twist-my-Dj a écrit :Regard en triangle?
Si quelqu'un peut me renseigner sur cette technique je l'en remercie.

C'est le triangular gazing, que l'on peut faire (et qu'elles nous font de temps ent temps) avant le kclose. Proche de son visage, notre regard se porte d'un oeil à l'autre puis à ses lèvres avant de revenir à ses yeux, la trajectoire du regard exécutant un triangle.