[A] Pourquoi vous avez peur d'aborder
Posté : 15.01.07
J'ai fait cet article en m’inspirant très largement d’un texte de Carlos Xuma auteur de « The Secret of the Alpha Man ».
Le texte étant copyrighté j'en ai fait une adaptation libre agrémentée de réflexions personnelles que j'y ai mêlé.
Il vise principalement les débutants qui n'arrivent pas à aborder.
1) Qu’est ce qu’il se passe quand vous n’osez pas aborder ?
Chaque humain fonctionne sur le principe plaisir/peine. Vous répondez à des évènements qui donne à votre système nerveux des récompenses, et évitez des évènements qui vous donnent de la peine. Ou que vous croyiez qui vont vous donner de la peine.
Je vais expliquer cette phrase mais avant, observons ce qui ce passe lorsque vous n’abordez pas une cible. C’est un cercle :
- Vous voyez une femme qui vous intéresse. Elle vous attire.
- Quelques secondes plus tard, au fond de votre cerveau, vous vous sentez incertain.
- Vous ne savez pas d’où vient ce sentiment mais vous avez soudainement un doute sur le fait de l’approcher. Vous commencez à vous demander si vous faites bien de l’approcher.
- Vous commencez à remarquer des choses sur l’environnement qui vous font penser que vous ne pouvez pas approcher la femme (pas votre style, a l’air pressée, est avec une copine…)
- Vous vous dites que ce n’est pas la bonne candidate à l’approche et vous décidez de l’oublier.
Là, c’est très important :
- Quelque part, très profondément en vous, vous sentez mieux car le risque est écarté maintenant que vous n’avez plus cette folle idée en tête d’aller aborder une jolie femme. Vous avez eu une montée de peur, un sentiment de perte de contrôle au fait de penser à aller brancher cette femme. Le fait de vous dire que vous n’allez pas le faire fait baisser cette peur. Vous ressentez un soulagement.
Vous avez tous ressentis, lorsque vous marchiez derrière une cible en cherchant le courage de l’aborder, un soulagement lorsqu’elle répond à un appel téléphonique et que vous vous dites que vous ne pourrez plus l’aborder. Comme vous considérez que ce n’est pas de votre faute, vous ne vous en voulez pas. Mais la plus part du temps vous n’allez tout simplement pas aborder pour les fausses raisons que vous vous êtes trouvées.
Le problème est que le sentiment négatif (la culpabilité) que vous éprouvez est surpassée par la satisfaction ressentie du fait de la disparition du sentiment de peur. Sinon après n’avoir pas eu le courage d’aborder la première cible, vous en auriez pour la seconde car la souffrance (la culpabilité de l’inaction) serait supérieure au bien-être de ne pas aborder.
Reste maintenant à inverser la tendance, à faire en sorte que l’inaction soit plus douloureuse que l’action. Voire même ce que l’action devienne un plaisir !
2) Quel est votre comportement après l’échec ?
Le problème est que le faux soulagement que vous éprouvez de n’avoir pas pris de risques cache votre mécontentement de ne pas avoir abordé. C’est incroyable car vous n’avez fait QUE penser à aborder et votre cerveau s’en sert pour ne pas vous faire regretter de ne pas avoir agi.
Après le court bien-être ressenti parce que l’action vous a intimidé et que vous avez choisi l’inaction, l’exaspération de ne pas avoir eu le courage d’aborder commence (ou recommence).
Vous êtes mal, vous allez même peut-être vous acheter une bière pour vous sentir mieux à cause de votre culpabilité devant votre manque d’action.
Ceci est la pire des erreurs. Vous récompensez votre inaction ! Vous récompensez un mauvais comportement. Vous vous dites « demain je refais une session et là je branche ! ».
Le résultat de tout cela est que vous avez renforcé des mauvaises croyances et qu’il sera encore plus difficile la prochaine fois d’aborder.
3) Les fausses croyances
Les fausses croyances sont :
- Vous croyez que telle femme (surtout celle qui vous attire) est intimidante.
- Vous renforcez la fausse croyance que vous avez plus de plaisir à éviter le risque d’aborder basée sur la fausse assomption que vous faire rejeter est probable. Vous faites cela en récompensant votre système nerveux avec le plaisir issu de la dernière partie du cycle.
- Vous vous êtes basé sur une complète illusion (ce que va penser la femme de vous) et cela la renforce.
Avant tout corrigeons la fausse croyance selon laquelle le rejet est plus probable que l’acceptation de la part de la femme. C’est certes vrai dans le sens où vous ne coucherez pas avec la plupart des femmes que vous aborderez mais ce n’est pas pour autant que vous allez souffrir.
4) Les femmes ne nous font pas mal lorsqu’elles nous rejettent
Combien de fois avez vous vu un homme se prendre un verre dans la face ? Se prendre une gifle ? Se faire insulter par une femme qu’il séduit et partir avec un autre homme ? Personnellement je n’ai aucun souvenir d’avoir vu cela quelque part (à part dans les films).
Vous-même depuis la sortie du collège avez-vous déjà subi un refus méchant d’une femme. La plupart de vos rares approches ont sans doute reçues un non poli, les femmes voulant la plupart du temps éviter de heurter vos sentiments (n’entrent pas en compte les approches à 4 heures du matin en boîte, complètement ivre).
En fait vous n’avez presque jamais expérimenté la peur de la rejection.
Le pire est que cette peur n’a rien avoir avec le rejet des filles. Elle est basée sur celle que vous avez eu en différentes circonstances.
C’est un reste des peurs que vous avez eu juste au début de l’adolescence, lorsque vous étiez avide de la validation des autres et très sensible au rejet. Cette peur vient du moment où vous commenciez à vous intéresser aux filles. Forcément lorsqu’on débute, on fait des erreurs. Donc à ce moment-là vous vous êtes pris un ou deux gros râteaux très douloureux. Vous avez intériorisé l’opinion de la fille comme si elle déterminait votre valeur alors que vous n’étiez qu’un adolescent.
Et cette peur que cela se reproduise vous donne maintenant une excuse pour éviter les risques. Le risque est toujours effrayant et, à un certain moment de la vie, vous choisissez de croire au mensonge (l’opinion d’une ou deux pucelles sur votre compte) ce qui est la voie de la facilité : nier la vérité, ne pas remettre en question une opinion que vous vous étiez faite de vous par rapport aux femmes il y a plus de 5 ans au moins.
Votre perception d’un possible rejet a l’air réelle. Ne parait-elle pas un peu trop réelle ? Lorsque que je suis rentré dans le monde du travail j’avais des appréhensions tout à fait légitimes (faire face aux clients, au patron, s’intégrer dans une équipe, être productif…). Tout cela semble largement plus difficile que d’aborder une femme dans la rue. Pourtant cela me sembla aisé comparé à mes premières approches. Pourquoi ? Car j’ai intériorisé que je n’étais pas intéressant vis-à-vis des femmes alors que j’ai depuis complètement changé.
La peur du rejet provient du pouvoir de votre imagination. Ce que vous devez comprendre est qu’elle est complètement fausse. C’est un mensonge. Une fausse vérité.
Vous devez briser ce cercle ! Si vous ne le faites pas, vous resterez passif avec les femmes et vous n’aurez jamais de succès. Souvenez-vous, il n’y a pas de risques à aborder une femme. Si vous croyez en ce simple fait vous pourrez transformer le cercle vicieux en cercle vertueux.
Aucun homme n’a jamais eu de dommage physique à cause du rejet d’une femme. La seule peine dont vous pouvez souffrir est créée par vous même. C’est une peine imaginaire.
5) Comment prendre un refus
Quelque soit l’issue de l’interaction avec une femme, vous devez contrôler votre interprétation de la situation.
C’est facile, deux cas sont possibles :
- Elle me rejette car je suis commun et peu attractif.
- Elle me rejette car elle n’est pas suffisamment intelligente pour connaître ma valeur.
Pourquoi voulez vous croire la 1ère raison plutôt que la seconde ? Parce que d’une manière perverse vous avez un petit plaisir à valider cette expérience.
Ainsi beaucoup de personnes souffrent de ce qu’on appelle le syndrome de l’Imposteur :
Vous avez peur que quelqu’un remarque que vous n’êtes pas la personne que vous tentez de projeter en public. Vous avez peur que vos doutes (légitimes, tous le monde en a) ne se voient et qu’on pense de vous que vous êtes faux. C’est pour cela que vous n’osez pas mettre des fringues trop branchées, une coupe trop à la mode. Vous vous aimez moyennement et vous avez peur de renvoyer une image aux autres qui indiquerait trop que vous vous aimez, que vous avez confiance en vous alors que ce n’est pas le cas.
Aussi vous prenez un certain plaisir quand cette peur semble se réaliser car elle vous conforte dans l’idée que vous vous êtes fait de vous il y a déjà longtemps de cela. Facilité encore…
6) Comportement à adopter
Apprenez à ressentir de la joie à faire quelque chose qui d’ordinaire vous cause de la peine. Attachez cette conviction à tout comportement qui vous empêche de rencontrer des femmes. Ne récompensez pas votre inaction.
Vous avez besoin de relier la peine appropriée à votre manque d’action. Vous devez vous faire une liste de gages pour vous faire comprendre la peine subie à ne pas aborder.
Si vous n’abordez pas une femme qui vous plait, ne jouez pas aux jeux vidéos ce jour là, ne fumez pas de cigarettes pendant une heures suite à votre inaction.
Ne croyez pas que par l’inaction vous évitez que les choses restent les mêmes. ELLES EMPIRENT PAR VOTRE INACTION du fait du cercle vicieux.
Inversez le rapport plaisir/peine quand vous sargez ! Faites en sorte que ne pas aborder soit une peine sur le court terme et non pas un plaisir !
Le texte étant copyrighté j'en ai fait une adaptation libre agrémentée de réflexions personnelles que j'y ai mêlé.
Il vise principalement les débutants qui n'arrivent pas à aborder.
1) Qu’est ce qu’il se passe quand vous n’osez pas aborder ?
Chaque humain fonctionne sur le principe plaisir/peine. Vous répondez à des évènements qui donne à votre système nerveux des récompenses, et évitez des évènements qui vous donnent de la peine. Ou que vous croyiez qui vont vous donner de la peine.
Je vais expliquer cette phrase mais avant, observons ce qui ce passe lorsque vous n’abordez pas une cible. C’est un cercle :
- Vous voyez une femme qui vous intéresse. Elle vous attire.
- Quelques secondes plus tard, au fond de votre cerveau, vous vous sentez incertain.
- Vous ne savez pas d’où vient ce sentiment mais vous avez soudainement un doute sur le fait de l’approcher. Vous commencez à vous demander si vous faites bien de l’approcher.
- Vous commencez à remarquer des choses sur l’environnement qui vous font penser que vous ne pouvez pas approcher la femme (pas votre style, a l’air pressée, est avec une copine…)
- Vous vous dites que ce n’est pas la bonne candidate à l’approche et vous décidez de l’oublier.
Là, c’est très important :
- Quelque part, très profondément en vous, vous sentez mieux car le risque est écarté maintenant que vous n’avez plus cette folle idée en tête d’aller aborder une jolie femme. Vous avez eu une montée de peur, un sentiment de perte de contrôle au fait de penser à aller brancher cette femme. Le fait de vous dire que vous n’allez pas le faire fait baisser cette peur. Vous ressentez un soulagement.
Vous avez tous ressentis, lorsque vous marchiez derrière une cible en cherchant le courage de l’aborder, un soulagement lorsqu’elle répond à un appel téléphonique et que vous vous dites que vous ne pourrez plus l’aborder. Comme vous considérez que ce n’est pas de votre faute, vous ne vous en voulez pas. Mais la plus part du temps vous n’allez tout simplement pas aborder pour les fausses raisons que vous vous êtes trouvées.
Le problème est que le sentiment négatif (la culpabilité) que vous éprouvez est surpassée par la satisfaction ressentie du fait de la disparition du sentiment de peur. Sinon après n’avoir pas eu le courage d’aborder la première cible, vous en auriez pour la seconde car la souffrance (la culpabilité de l’inaction) serait supérieure au bien-être de ne pas aborder.
Reste maintenant à inverser la tendance, à faire en sorte que l’inaction soit plus douloureuse que l’action. Voire même ce que l’action devienne un plaisir !
2) Quel est votre comportement après l’échec ?
Le problème est que le faux soulagement que vous éprouvez de n’avoir pas pris de risques cache votre mécontentement de ne pas avoir abordé. C’est incroyable car vous n’avez fait QUE penser à aborder et votre cerveau s’en sert pour ne pas vous faire regretter de ne pas avoir agi.
Après le court bien-être ressenti parce que l’action vous a intimidé et que vous avez choisi l’inaction, l’exaspération de ne pas avoir eu le courage d’aborder commence (ou recommence).
Vous êtes mal, vous allez même peut-être vous acheter une bière pour vous sentir mieux à cause de votre culpabilité devant votre manque d’action.
Ceci est la pire des erreurs. Vous récompensez votre inaction ! Vous récompensez un mauvais comportement. Vous vous dites « demain je refais une session et là je branche ! ».
Le résultat de tout cela est que vous avez renforcé des mauvaises croyances et qu’il sera encore plus difficile la prochaine fois d’aborder.
3) Les fausses croyances
Les fausses croyances sont :
- Vous croyez que telle femme (surtout celle qui vous attire) est intimidante.
- Vous renforcez la fausse croyance que vous avez plus de plaisir à éviter le risque d’aborder basée sur la fausse assomption que vous faire rejeter est probable. Vous faites cela en récompensant votre système nerveux avec le plaisir issu de la dernière partie du cycle.
- Vous vous êtes basé sur une complète illusion (ce que va penser la femme de vous) et cela la renforce.
Avant tout corrigeons la fausse croyance selon laquelle le rejet est plus probable que l’acceptation de la part de la femme. C’est certes vrai dans le sens où vous ne coucherez pas avec la plupart des femmes que vous aborderez mais ce n’est pas pour autant que vous allez souffrir.
4) Les femmes ne nous font pas mal lorsqu’elles nous rejettent
Combien de fois avez vous vu un homme se prendre un verre dans la face ? Se prendre une gifle ? Se faire insulter par une femme qu’il séduit et partir avec un autre homme ? Personnellement je n’ai aucun souvenir d’avoir vu cela quelque part (à part dans les films).
Vous-même depuis la sortie du collège avez-vous déjà subi un refus méchant d’une femme. La plupart de vos rares approches ont sans doute reçues un non poli, les femmes voulant la plupart du temps éviter de heurter vos sentiments (n’entrent pas en compte les approches à 4 heures du matin en boîte, complètement ivre).
En fait vous n’avez presque jamais expérimenté la peur de la rejection.
Le pire est que cette peur n’a rien avoir avec le rejet des filles. Elle est basée sur celle que vous avez eu en différentes circonstances.
C’est un reste des peurs que vous avez eu juste au début de l’adolescence, lorsque vous étiez avide de la validation des autres et très sensible au rejet. Cette peur vient du moment où vous commenciez à vous intéresser aux filles. Forcément lorsqu’on débute, on fait des erreurs. Donc à ce moment-là vous vous êtes pris un ou deux gros râteaux très douloureux. Vous avez intériorisé l’opinion de la fille comme si elle déterminait votre valeur alors que vous n’étiez qu’un adolescent.
Et cette peur que cela se reproduise vous donne maintenant une excuse pour éviter les risques. Le risque est toujours effrayant et, à un certain moment de la vie, vous choisissez de croire au mensonge (l’opinion d’une ou deux pucelles sur votre compte) ce qui est la voie de la facilité : nier la vérité, ne pas remettre en question une opinion que vous vous étiez faite de vous par rapport aux femmes il y a plus de 5 ans au moins.
Votre perception d’un possible rejet a l’air réelle. Ne parait-elle pas un peu trop réelle ? Lorsque que je suis rentré dans le monde du travail j’avais des appréhensions tout à fait légitimes (faire face aux clients, au patron, s’intégrer dans une équipe, être productif…). Tout cela semble largement plus difficile que d’aborder une femme dans la rue. Pourtant cela me sembla aisé comparé à mes premières approches. Pourquoi ? Car j’ai intériorisé que je n’étais pas intéressant vis-à-vis des femmes alors que j’ai depuis complètement changé.
La peur du rejet provient du pouvoir de votre imagination. Ce que vous devez comprendre est qu’elle est complètement fausse. C’est un mensonge. Une fausse vérité.
Vous devez briser ce cercle ! Si vous ne le faites pas, vous resterez passif avec les femmes et vous n’aurez jamais de succès. Souvenez-vous, il n’y a pas de risques à aborder une femme. Si vous croyez en ce simple fait vous pourrez transformer le cercle vicieux en cercle vertueux.
Aucun homme n’a jamais eu de dommage physique à cause du rejet d’une femme. La seule peine dont vous pouvez souffrir est créée par vous même. C’est une peine imaginaire.
5) Comment prendre un refus
Quelque soit l’issue de l’interaction avec une femme, vous devez contrôler votre interprétation de la situation.
C’est facile, deux cas sont possibles :
- Elle me rejette car je suis commun et peu attractif.
- Elle me rejette car elle n’est pas suffisamment intelligente pour connaître ma valeur.
Pourquoi voulez vous croire la 1ère raison plutôt que la seconde ? Parce que d’une manière perverse vous avez un petit plaisir à valider cette expérience.
Ainsi beaucoup de personnes souffrent de ce qu’on appelle le syndrome de l’Imposteur :
Vous avez peur que quelqu’un remarque que vous n’êtes pas la personne que vous tentez de projeter en public. Vous avez peur que vos doutes (légitimes, tous le monde en a) ne se voient et qu’on pense de vous que vous êtes faux. C’est pour cela que vous n’osez pas mettre des fringues trop branchées, une coupe trop à la mode. Vous vous aimez moyennement et vous avez peur de renvoyer une image aux autres qui indiquerait trop que vous vous aimez, que vous avez confiance en vous alors que ce n’est pas le cas.
Aussi vous prenez un certain plaisir quand cette peur semble se réaliser car elle vous conforte dans l’idée que vous vous êtes fait de vous il y a déjà longtemps de cela. Facilité encore…
6) Comportement à adopter
Apprenez à ressentir de la joie à faire quelque chose qui d’ordinaire vous cause de la peine. Attachez cette conviction à tout comportement qui vous empêche de rencontrer des femmes. Ne récompensez pas votre inaction.
Vous avez besoin de relier la peine appropriée à votre manque d’action. Vous devez vous faire une liste de gages pour vous faire comprendre la peine subie à ne pas aborder.
Si vous n’abordez pas une femme qui vous plait, ne jouez pas aux jeux vidéos ce jour là, ne fumez pas de cigarettes pendant une heures suite à votre inaction.
Ne croyez pas que par l’inaction vous évitez que les choses restent les mêmes. ELLES EMPIRENT PAR VOTRE INACTION du fait du cercle vicieux.
Inversez le rapport plaisir/peine quand vous sargez ! Faites en sorte que ne pas aborder soit une peine sur le court terme et non pas un plaisir !