Philosophie du comportement de feinte indifférence
Posté : 06.01.05
En admettant la définition suivante : un comportement de feinte indifférence de la part d'une personne y envers une personne x consiste pour la personne y à feindre de l'indifférence pour la personne x dans le but d'augmenter l'attirance de la personne x pour la personne y.
Se posent alors les possibilités suivantes :
- soit ce comportement porte ses fruits et la personne x manifeste alors de l'intéret pour la personne y, et dans ce cas, c'est la gloire.
- soit la personne x ne manifeste pas d'intéret pour la personne y, auquel cas on peut déduire deux causes à cela : soit la personne x ne nourrit pas d'intéret pour la personne y, soit la personne x applique le comportement définit plus haut sous le nom de "feinte indifférence". Dans le premier cas, c'est l'échec. Dans le deuxième cas, soit l'une des deux personnes décide de ne plus feindre l'indifférence, et un rapprochement devient possible, soit les deux continuent à se comporter indifféremment et alors aucun rapprochement ne s'opère - sauf soirée bien arrosée.
Conclusion : l'efficacité optimal du comportement de feinte indifférence n'est atteinte que si, après un certain temps d'échec apparent, l'utilisateur de la technique stoppe son usage.
Un moine boudhiste défoncé à la méditation sur un piquet aurait pu dire ça de façon plus poétique, tel que : "petit scarabé pas devoir oublié que technique de rapprochement choisie iniatialement pas figée dans le temps et que remise en question en cas de non-succès pouvoir conduire à succès qu'entêtement typicalement occidental aurait permis pas !"
Je me permet de poster ce message afin d'atirer l'attention de tous ceux qui ne l'ont pas encore eut attirée sur le fait que la philosophie orientale zen ou pas (ou peut-être) atteint ses limites face à l'usage abusif qui est traditionnellement fait dans nos contrées.
PS. Je n'accorde aucune attention à toutes les critiques émanant d'association de défense des moines boudhistes, quelqu'elles soient.
Se posent alors les possibilités suivantes :
- soit ce comportement porte ses fruits et la personne x manifeste alors de l'intéret pour la personne y, et dans ce cas, c'est la gloire.
- soit la personne x ne manifeste pas d'intéret pour la personne y, auquel cas on peut déduire deux causes à cela : soit la personne x ne nourrit pas d'intéret pour la personne y, soit la personne x applique le comportement définit plus haut sous le nom de "feinte indifférence". Dans le premier cas, c'est l'échec. Dans le deuxième cas, soit l'une des deux personnes décide de ne plus feindre l'indifférence, et un rapprochement devient possible, soit les deux continuent à se comporter indifféremment et alors aucun rapprochement ne s'opère - sauf soirée bien arrosée.
Conclusion : l'efficacité optimal du comportement de feinte indifférence n'est atteinte que si, après un certain temps d'échec apparent, l'utilisateur de la technique stoppe son usage.
Un moine boudhiste défoncé à la méditation sur un piquet aurait pu dire ça de façon plus poétique, tel que : "petit scarabé pas devoir oublié que technique de rapprochement choisie iniatialement pas figée dans le temps et que remise en question en cas de non-succès pouvoir conduire à succès qu'entêtement typicalement occidental aurait permis pas !"
Je me permet de poster ce message afin d'atirer l'attention de tous ceux qui ne l'ont pas encore eut attirée sur le fait que la philosophie orientale zen ou pas (ou peut-être) atteint ses limites face à l'usage abusif qui est traditionnellement fait dans nos contrées.
PS. Je n'accorde aucune attention à toutes les critiques émanant d'association de défense des moines boudhistes, quelqu'elles soient.