Ne plus se mentir c'est commencer à vivre
Posté : 12.08.07
Bonjour à tous...
Force est de constater que certains posts de fts ainsi que d'autres lectures m'ont amené à une prise de conscience...
Beaucoup de gens dont je fais partie se sont trouvé, se trouvent, dans l'impossibilité de se réaliser. Le manque de confiance en soi en est responsable, et on le sait, on tente d'y remedier et pourtant l'impression de patauger persiste.
Bref les chemins les plus usités du développement personnel (souvent payants) appatent le LSE avec l'image de l'homme respecté et qui a sû se faire une place. Modèle de nos sociétés capitalistes du chacun pour soi. Loin de moi l'envie de lancer un débat sur ce sujet... Trop de personnes qui manquent de confiance en elles pensent ainsi pouvoir surcompenser leurs manques par l'admiration des autres, ou l'amour des femmes. Et je parle par expérience.
Hors l'être humain est bien plus complexe. Et pourtant l'on détient la clé de ce labyrinthe : la sincérité. Trop de gens oublient que nous avons un inconscient qui dirige absolument tout.
Quand je parle de franchise, je parle de franchise envers soi-même. Ne serait-ce que par la façon dont on mène notre dialogue intérieur. Et surtout l'on ressent nos émotions, voir les expriment.
Se battre contre soi-même ne veut pas dire se nier en tant que personne. Comme quelqu'un l'a dit dans un post, les émotions sont là pour nous servir. Et qu'on le veuille ou non elles sont là pour être ressenties! Sa a l'air d'aller de soi et pourtant combien de sentiments refoulés et ce dans notre quotidien? Un nombre incalculable. Toute cette frustration, cette colère, cette peur accumulée au fond de notre intérieur nous est néfaste au quotidien. Car l'inconscient ressent le besoin de s'exprimer, et si nous refusons de voir notre réalité en face, il le fera lui. En pourissant notre existence au quotidien: anxiété, one itis pour les mauvaises personnes, sentiments d'inexistence; baisse d'énergie etc. Ce n'est donc pas par hasard qu'il y a "des jours où rien ne va".
Quand par exemple nous apparaît une gadji qui pose et qu'elle nous plaît. On peut ressentir un sentiment de nervosité à l'idée de l'aborder. Et bien sûr qu'est ce qu'on fait pour contrecarrer notre petit coeur qui bat de toute sa force? On se répète tout va bien, n'y pense pas, pense à ton ancrage.. Bref on se bat contre cette peur, alors qu'on pourrait réagir de manière plus positive à court et long terme. Comment? En accompagnant notre sentiment. En se regardant en face et en s'avouant, oui j'ai peur à l'idée de lui parler. Et curieusement cette peur (vécue comme paralysante) se révèle énergisante. Le fait de s'assumer, ou plutôt de de se vivre permet de créer une réelle envie de dépassement. Lui parler ne sera plus vécu comme un défi et une obligation. Ce qui obligait à nous battre contre nous-mêmes.
Je veux donc insister sur une vision épurée du développement personnel. Devenir un alpha ce n'est pas la conquête du pouvoir où il faut mettre toute son énergie. C'est au contraire pouvoir devenir soi-même et libérer nos ressources intérieures.
Toute notre énergie passe malheureusement dans notre auto-répression. C'est pourquoi les dépressifs ne s'expriment plus et se sentent vidés.
Le vrai chemin du progrès pour moi est l'honneteté. Cesser de se prendre pour se qu'on est pas, de se donner une image, de "fake til you make"... C'est pour moi la constitution d'une vraie personnalité sur des bases solides. Et pourquoi pas, la réappropriation de notre humanité dans le sens vivant du terme.
VIVRE SA PEUR C'EST LA DEPASSER. Je conseille vivement à tous les AFC de ne plus fuire leurs sentiments, ou les situations qui effrayent. S'exposer au field, en adéquation avec soi-même et ses aspirations est le meilleur moyen de devenir un Playa. Et donc d'enfin jouer et prendre du plaisir
Force est de constater que certains posts de fts ainsi que d'autres lectures m'ont amené à une prise de conscience...
Beaucoup de gens dont je fais partie se sont trouvé, se trouvent, dans l'impossibilité de se réaliser. Le manque de confiance en soi en est responsable, et on le sait, on tente d'y remedier et pourtant l'impression de patauger persiste.
Bref les chemins les plus usités du développement personnel (souvent payants) appatent le LSE avec l'image de l'homme respecté et qui a sû se faire une place. Modèle de nos sociétés capitalistes du chacun pour soi. Loin de moi l'envie de lancer un débat sur ce sujet... Trop de personnes qui manquent de confiance en elles pensent ainsi pouvoir surcompenser leurs manques par l'admiration des autres, ou l'amour des femmes. Et je parle par expérience.
Hors l'être humain est bien plus complexe. Et pourtant l'on détient la clé de ce labyrinthe : la sincérité. Trop de gens oublient que nous avons un inconscient qui dirige absolument tout.
Quand je parle de franchise, je parle de franchise envers soi-même. Ne serait-ce que par la façon dont on mène notre dialogue intérieur. Et surtout l'on ressent nos émotions, voir les expriment.
Se battre contre soi-même ne veut pas dire se nier en tant que personne. Comme quelqu'un l'a dit dans un post, les émotions sont là pour nous servir. Et qu'on le veuille ou non elles sont là pour être ressenties! Sa a l'air d'aller de soi et pourtant combien de sentiments refoulés et ce dans notre quotidien? Un nombre incalculable. Toute cette frustration, cette colère, cette peur accumulée au fond de notre intérieur nous est néfaste au quotidien. Car l'inconscient ressent le besoin de s'exprimer, et si nous refusons de voir notre réalité en face, il le fera lui. En pourissant notre existence au quotidien: anxiété, one itis pour les mauvaises personnes, sentiments d'inexistence; baisse d'énergie etc. Ce n'est donc pas par hasard qu'il y a "des jours où rien ne va".
Quand par exemple nous apparaît une gadji qui pose et qu'elle nous plaît. On peut ressentir un sentiment de nervosité à l'idée de l'aborder. Et bien sûr qu'est ce qu'on fait pour contrecarrer notre petit coeur qui bat de toute sa force? On se répète tout va bien, n'y pense pas, pense à ton ancrage.. Bref on se bat contre cette peur, alors qu'on pourrait réagir de manière plus positive à court et long terme. Comment? En accompagnant notre sentiment. En se regardant en face et en s'avouant, oui j'ai peur à l'idée de lui parler. Et curieusement cette peur (vécue comme paralysante) se révèle énergisante. Le fait de s'assumer, ou plutôt de de se vivre permet de créer une réelle envie de dépassement. Lui parler ne sera plus vécu comme un défi et une obligation. Ce qui obligait à nous battre contre nous-mêmes.
Je veux donc insister sur une vision épurée du développement personnel. Devenir un alpha ce n'est pas la conquête du pouvoir où il faut mettre toute son énergie. C'est au contraire pouvoir devenir soi-même et libérer nos ressources intérieures.
Toute notre énergie passe malheureusement dans notre auto-répression. C'est pourquoi les dépressifs ne s'expriment plus et se sentent vidés.
Le vrai chemin du progrès pour moi est l'honneteté. Cesser de se prendre pour se qu'on est pas, de se donner une image, de "fake til you make"... C'est pour moi la constitution d'une vraie personnalité sur des bases solides. Et pourquoi pas, la réappropriation de notre humanité dans le sens vivant du terme.
VIVRE SA PEUR C'EST LA DEPASSER. Je conseille vivement à tous les AFC de ne plus fuire leurs sentiments, ou les situations qui effrayent. S'exposer au field, en adéquation avec soi-même et ses aspirations est le meilleur moyen de devenir un Playa. Et donc d'enfin jouer et prendre du plaisir