Ne pas trop en faire
Posté : 25.10.07
Bonjour.
On vient sur FTS pour apprendre des choses, suivre de la "formation continue" sur les bonnes méthodes, etc. On a souvent en tête des interrogations sur "que faire ?" (dans telle ou telle situation).
Je voudrais illustrer sur une de mes expériences récentes qu'il ne faut parfois ne pas trop en faire.
J'avais obtenu le numéro de Miss X sur internet, après des échanges assez intéressants. Pour donner le contexte, Miss X était plus près de la vingtaine que je le suis de la cinquantaine. Une jolie Miss X sur la photo, et encore mieux en chair et en os au café où nous nous étions donnés rendez-vous.
Nous étions assez sur deux chaises côte à côte au café, discutant de séduction, de rapports hommes-femmes. Au fur et à mesure que le temps passait, je la voyais de plus en plus se tourner vers moi. Ah, le langage du corps... Mais je sentais ses hésitations, qu'elle reconnaissait au moment de se dire au revoir : intérêt sans doute, envie et attraction peut-être (assez crument elle m'avait demandé si je voulais la "baiser") mais interrogation et doute certainement en raison de la différence d'âge (elle disait qu'elle ne pensait pas avoir envie de "baiser" avec moi, selon ses termes). Au moment de se séparer, elle me dit donc qu'elle apprécierait de me revoir comme ami. J'ai dû lui répondre quelque chose comme "seules mes amantes sont mes amies". De toutes façons, son langage corporel à ce moment exprimait, dans une certaine confusion, une certaine attraction pour moi.
Quelques jours après, on échange sur internet et on se refixe un rendez-vous. Elle m'annonce qu'elle viendra à Paris un samedi après-midi à une station de métro près de chez moi. Donc, a priori, tout baigne. Mais on ne sait jamais avec les femmes... L'auto-contrôle social est fort et les questions comme "est-ce que ce que je fais est bien" trottent dans les têtes. Bref, pour éviter que Miss X se reprenne en main ("mais qu'est-ce que je fais là avec ce type ? je suis folle ou quoi ?"), il fallait que tout se passe en douceur et avec un sentiment de "necessité".
J'en viens au point central de ce post : ne pas trop en faire. Je l'attends sur le quai du métro, la retrouve et là, tout en faisant la conversation, je sors du métro et me dirige tout naturellement vers chez moi. Jamais je ne lui ai demandé "que veux tu faire ?", "on va s'asseoir prendre un verre ici", "je te propose qu'on fasse une course, qu'on aille au ciné, etc.". J'en ai fait le moins possible, j'ai parlé et j'ai marché avec elle. Une fois devant chez moi, je ne me souviens même plus si elle m'a demandé où on était. Nous sommes montés chez moi.
La suite, vous la devinez... Ca a été une de mes jolies histoires, car on s'est revu plusieurs fois par la suite.
On vient sur FTS pour apprendre des choses, suivre de la "formation continue" sur les bonnes méthodes, etc. On a souvent en tête des interrogations sur "que faire ?" (dans telle ou telle situation).
Je voudrais illustrer sur une de mes expériences récentes qu'il ne faut parfois ne pas trop en faire.
J'avais obtenu le numéro de Miss X sur internet, après des échanges assez intéressants. Pour donner le contexte, Miss X était plus près de la vingtaine que je le suis de la cinquantaine. Une jolie Miss X sur la photo, et encore mieux en chair et en os au café où nous nous étions donnés rendez-vous.
Nous étions assez sur deux chaises côte à côte au café, discutant de séduction, de rapports hommes-femmes. Au fur et à mesure que le temps passait, je la voyais de plus en plus se tourner vers moi. Ah, le langage du corps... Mais je sentais ses hésitations, qu'elle reconnaissait au moment de se dire au revoir : intérêt sans doute, envie et attraction peut-être (assez crument elle m'avait demandé si je voulais la "baiser") mais interrogation et doute certainement en raison de la différence d'âge (elle disait qu'elle ne pensait pas avoir envie de "baiser" avec moi, selon ses termes). Au moment de se séparer, elle me dit donc qu'elle apprécierait de me revoir comme ami. J'ai dû lui répondre quelque chose comme "seules mes amantes sont mes amies". De toutes façons, son langage corporel à ce moment exprimait, dans une certaine confusion, une certaine attraction pour moi.
Quelques jours après, on échange sur internet et on se refixe un rendez-vous. Elle m'annonce qu'elle viendra à Paris un samedi après-midi à une station de métro près de chez moi. Donc, a priori, tout baigne. Mais on ne sait jamais avec les femmes... L'auto-contrôle social est fort et les questions comme "est-ce que ce que je fais est bien" trottent dans les têtes. Bref, pour éviter que Miss X se reprenne en main ("mais qu'est-ce que je fais là avec ce type ? je suis folle ou quoi ?"), il fallait que tout se passe en douceur et avec un sentiment de "necessité".
J'en viens au point central de ce post : ne pas trop en faire. Je l'attends sur le quai du métro, la retrouve et là, tout en faisant la conversation, je sors du métro et me dirige tout naturellement vers chez moi. Jamais je ne lui ai demandé "que veux tu faire ?", "on va s'asseoir prendre un verre ici", "je te propose qu'on fasse une course, qu'on aille au ciné, etc.". J'en ai fait le moins possible, j'ai parlé et j'ai marché avec elle. Une fois devant chez moi, je ne me souviens même plus si elle m'a demandé où on était. Nous sommes montés chez moi.
La suite, vous la devinez... Ca a été une de mes jolies histoires, car on s'est revu plusieurs fois par la suite.