[A] Consolez vous !
Posté : 28.12.07
Bonjour,
ce post fait directement suite au post de goofy83 intitulé "Pleurez !!" dans lequel il fait le constat qu'il lui arrive de pleurer est d'assumer (ce qui est une bonne chose).
Ce que j'ai retenu de l'article et des commentaires rédigés : bien que cela puisse soulager de pleurer ce n'est pas une solution miracle, si cela se produit souvent c'est qu'il y a quelque chose qui bloque et qui nous empêche d'avancer.
(Un peu de 3615 mylife)
Suite à différentes situation difficiles à vivre pour moi il m'est arrivé de pleurer aussi sans raison apparente lorsque je pensais à mes enfants, pas fréquemment mais régulièrement.
Comme il a été dit dans le post de goofy je n'ai pas essayé de retenir mes larmes.
Mais j'ai aussi constaté que ce n'était pas un bon état d'esprit, bien que l'on se laisse aller on n'est pas pour autant débarrassé de ce qui peut nous faire pleurer.
On navigue dans un état de tristesse ou pire de mélancolie et ça ce n'est pas bon ni pour le moral ni pour aller de l'avant et faire des projets.
Dans mon cas lorsque je pensais à mes enfants, en fait, je repensais à mon enfance et à l'absence de mon père qui s'est peu occupé de ses deux fils (voir pas du tout).
En état moi même papa j'ai pu constater ce à côté de quoi j'étais passé car je prends un vrai plaisir à m'occuper de mes enfants (quotidien, éducation, jeux, etc..) et ils me le rendent bien.
(C'est là que l'on en vient au sujet du post (oui je sais c'est long))
Donc je pleurais en pensant à "moi enfant", pour sortir de cet état de tristesse (et avec l'aide de mon psy) j'ai décidé de consoler ce petit garçon qui était resté triste de l'absence de son père, et j'ai su le faire d'autant plus facilement que je suis moi même papa et qu'il m'arrive de consoler et rassurer mon propre fils.
On ne peut pas toujours attendre d'avoir quelqu'un à côté de soi pour être consolé de ces malheurs.
Donc en identifiant la cause de sa tristesse, ensuite en état capable de visualiser une fin moins difficile et plus réconfortante à certaines situations difficiles. On peut enfin se représenter ce qui nous aurait fait du bien de recevoir à cet instant là : du réconfort, des encouragements, un geste de tendresse, des remerciements, etc...
Je pense que d'être capable de se consoler peut-être une première étape pour sortir de l'état de tristesse afin de passer à quelque chose de plus constructif.
ce post fait directement suite au post de goofy83 intitulé "Pleurez !!" dans lequel il fait le constat qu'il lui arrive de pleurer est d'assumer (ce qui est une bonne chose).
Ce que j'ai retenu de l'article et des commentaires rédigés : bien que cela puisse soulager de pleurer ce n'est pas une solution miracle, si cela se produit souvent c'est qu'il y a quelque chose qui bloque et qui nous empêche d'avancer.
(Un peu de 3615 mylife)
Suite à différentes situation difficiles à vivre pour moi il m'est arrivé de pleurer aussi sans raison apparente lorsque je pensais à mes enfants, pas fréquemment mais régulièrement.
Comme il a été dit dans le post de goofy je n'ai pas essayé de retenir mes larmes.
Mais j'ai aussi constaté que ce n'était pas un bon état d'esprit, bien que l'on se laisse aller on n'est pas pour autant débarrassé de ce qui peut nous faire pleurer.
On navigue dans un état de tristesse ou pire de mélancolie et ça ce n'est pas bon ni pour le moral ni pour aller de l'avant et faire des projets.
Dans mon cas lorsque je pensais à mes enfants, en fait, je repensais à mon enfance et à l'absence de mon père qui s'est peu occupé de ses deux fils (voir pas du tout).
En état moi même papa j'ai pu constater ce à côté de quoi j'étais passé car je prends un vrai plaisir à m'occuper de mes enfants (quotidien, éducation, jeux, etc..) et ils me le rendent bien.
(C'est là que l'on en vient au sujet du post (oui je sais c'est long))
Donc je pleurais en pensant à "moi enfant", pour sortir de cet état de tristesse (et avec l'aide de mon psy) j'ai décidé de consoler ce petit garçon qui était resté triste de l'absence de son père, et j'ai su le faire d'autant plus facilement que je suis moi même papa et qu'il m'arrive de consoler et rassurer mon propre fils.
On ne peut pas toujours attendre d'avoir quelqu'un à côté de soi pour être consolé de ces malheurs.
Donc en identifiant la cause de sa tristesse, ensuite en état capable de visualiser une fin moins difficile et plus réconfortante à certaines situations difficiles. On peut enfin se représenter ce qui nous aurait fait du bien de recevoir à cet instant là : du réconfort, des encouragements, un geste de tendresse, des remerciements, etc...
Je pense que d'être capable de se consoler peut-être une première étape pour sortir de l'état de tristesse afin de passer à quelque chose de plus constructif.