[FR] Sans ballon et sans échauffement...
Posté : 18.01.08
Certains attachent de l'importance à la partie verbale de la phrase d'accroche: "Who lies more" etc…
Moi je soutiens que cela n'a aucune espèce d'importance et que ce qu'on dit n'est qu'un détail par rapport à ce que l’on dégage.
C'était à la fin de l'automne il me semble. J'étais en train d'en parler justement, à l'Ayers, avec un des bons players de lyon-estate. Et, pour lui prouver ce que je disais je lui ai dit : Viens avec moi.
Il y avait trois filles qui attendaient, debout, près du vestiaire. Elle discutait mollement. Avant, j'avais toujours l'impression de déranger si je parlais à des inconnu(e)s. Maintenant, j'ai l'impression qu'ils attendent que quelque chose se passe. Quelque chose ou quelqu'un. Et ce quelqu'un, c'est moi. Elles étaient grandes et minces. Une brune aux cheveux courts. Une blonde aux cheveux longs. Et puis celle que nous appellerons Becky. Avec une de ces petites jupes qu'elle ne porte que quand il fait chaud... Une de ces jupes qui me font rêver de printemps parfois, quand je vois des gros pulls informes... De longues jambes, de beaux cheveux chatains et surtout, de magnifiques yeux bleux. Je n'observe pas les filles ou les groupes avant de les aborder.
Je ne savais même pas si elles étaient jolies ou non. Si elles étaient seules ou accompagnées. Tout ça n'a que peu d'importance finalement. On s'adapte. Ce qui est important c'est l'énergie.
Démarrer avec n'importe quoi.
On se recule de trois pas.
Et je fais un service de volley... Sans ballon et sans échauffement... Elles ne réagissent pas.
Je fais un second service, l'une d'entre elle fait une vague réception avec ses mains... Le sac à main à l'épaule. Avec son rouge à lèvre et ses talons hauts, elle était tellement crédible... Mon wing alors fait une réception. Je lui fais une passe, il smash !
Ah les berges... Merci Monsieurs le maire
Et voilà, au bout d'une dizaine de minutes d'interaction, nous partons pour le Qboat. Nous partons pour un périple d'un quart d'heure de marche à pied. Nous parlons anglais, mais pas trop longtemps. Les copines marchent devant nous.
Elles nous laissent "tranquille". Les travaux des berges étaient pratiquement finis. Il y avait les transats en bois, les jeux pour enfants... De quoi bien délirer.
A cette époque de l'année, la terrasse du Qboat est encore ouverte. Les copines voulaient rester à l'intérieure. Moi et mes wings voulions profiter de l'air frais et du faible niveau sonore de l'extérieur. Le groupe se sépare. Il y avait beaucoup d'attraction et de confort qui avait été fait. Tout était prétexte à s'arrêter et à se détourner du chemin. Le trajet a peut-être duré une heure finalement.
Je suis le prix ! Je ne cours pas derrière, je cours devant !
Becky a suivi ses amies. Je ne me faisais aucun soucis, je savais qu'elle allait revenir. Je profitais de ce temps de pause pour aider mes potes. Et puis, une demi-heure plus tard, elle est de retour.
Elle me fait un baisé et elle part négocier avec ses copines. Je suis tranquille, dans le pire des cas, elle viendra me dire au revoir et je pourrais rattraper le coup, si elle prend là "mauvaise" décision. Il est inutile de sortir l'artillerie lourde tout de suite.
Mais que vois-je à l'horizon ? Une LMR ? Bouge pas, je m'en occupe...
On parle de cul. Je lui raconte que je ne couche jamais le premier soir... Que je ne suis pas comme ça. On partage ensemble diverses expériences rigolotes sur un plan cul. Des anecdotes etc. Et puis nos goûts aussi.
On s'endort gentiment. Elle à sa tête sur mon épaule et je lui caresse le dos, les fesses aussi un peu parfois. Elle tente de m'embrasser. Je tourne la tête... Je stoppe les caresses.
Vous connaissez la suite
Les matins qui vont bien.
Au petit matin, après le genre de réveille que j'aime bien dont je lui avais parlé, on s'habille. C'est bien une fille qui s'habille pour un mariage. C'est chouette ces robes. Effectivement, il y a trois rayons de soleil sur la terrasse du petit café où on prend le petit dèj'. Elle veut revenir à lyon le week-end d'après, pour faire plus ample connaissance. On échange nos mails et nos numéros de téléphone. C'est cool, il est tôt, je vais pouvoir aller réveiller mon coloc... On ira au marché sur les quais ou sur le plateau de la croix rousse... J'aime les odeurs des fruits et légume frais. Le rôtisseur de poulet, le fromage, les fleurs et les jupes qui volent un peu. C'est chouette le week-end... On a du temps !
Have fun,
Deed
Moi je soutiens que cela n'a aucune espèce d'importance et que ce qu'on dit n'est qu'un détail par rapport à ce que l’on dégage.
C'était à la fin de l'automne il me semble. J'étais en train d'en parler justement, à l'Ayers, avec un des bons players de lyon-estate. Et, pour lui prouver ce que je disais je lui ai dit : Viens avec moi.
Il y avait trois filles qui attendaient, debout, près du vestiaire. Elle discutait mollement. Avant, j'avais toujours l'impression de déranger si je parlais à des inconnu(e)s. Maintenant, j'ai l'impression qu'ils attendent que quelque chose se passe. Quelque chose ou quelqu'un. Et ce quelqu'un, c'est moi. Elles étaient grandes et minces. Une brune aux cheveux courts. Une blonde aux cheveux longs. Et puis celle que nous appellerons Becky. Avec une de ces petites jupes qu'elle ne porte que quand il fait chaud... Une de ces jupes qui me font rêver de printemps parfois, quand je vois des gros pulls informes... De longues jambes, de beaux cheveux chatains et surtout, de magnifiques yeux bleux. Je n'observe pas les filles ou les groupes avant de les aborder.
Je ne savais même pas si elles étaient jolies ou non. Si elles étaient seules ou accompagnées. Tout ça n'a que peu d'importance finalement. On s'adapte. Ce qui est important c'est l'énergie.

Deed : - Je parie qu'on vous explose au volley virtuelle !
Les filles : - Quoi ?
On se recule de trois pas.
Deed : - Attention service du tigre en mousse !
Et je fais un service de volley... Sans ballon et sans échauffement... Elles ne réagissent pas.
Deed : - Un a zéro ! Woooooooo ! I feel great !
Je fais un second service, l'une d'entre elle fait une vague réception avec ses mains... Le sac à main à l'épaule. Avec son rouge à lèvre et ses talons hauts, elle était tellement crédible... Mon wing alors fait une réception. Je lui fais une passe, il smash !
Le GNQ, ça va bien un moment, mais il ne faut pas trop en abuser non plus. On arrête le match. On passe à autre chose.Deed : - Yeaaaaaaaaah ! Deux zéro !
Et non, elles n'étaient pas d'ici... Elles étaient anglaises. Elles habitaient Paris. Et non, je n'ai aucun de remord messieurs les Parisiens...Deed : - Je vous avais prévenu, on est imbattable au volley-virtuel !
Becky : - Mais d'où est-ce que vous sortez ?
Deed : - Vous n'êtes pas d'ici vous ?

Des copines de fac, qui se connaissaient depuis longtemps : Traduction : 28 ans. Anglaise et ici pour assister au mariage d'une amie, le lendemain matin. Et voilà, je sais tout. Elle n'a que quelques heures pour tomber amoureuse. Ni plus ni moins. Elle est jolie et j'ai envie de relever le défi.Deed : - Alors ? Comment vous vous êtes rencontrées ?
Deed : - Anglaise ? Trop cool ! J'adore parler anglais... Il faut absolument que je pratique. Si non, je vais perdre mon anglais.
Becky : - Tu parles anglais ?
Deed : - Bon ce que je te propose... Je te fais découvrir un autre endroit beaucoup plus sympa et en échange, on parle anglais ? On y-vas ?


Et voilà, au bout d'une dizaine de minutes d'interaction, nous partons pour le Qboat. Nous partons pour un périple d'un quart d'heure de marche à pied. Nous parlons anglais, mais pas trop longtemps. Les copines marchent devant nous.
Elles nous laissent "tranquille". Les travaux des berges étaient pratiquement finis. Il y avait les transats en bois, les jeux pour enfants... De quoi bien délirer.
A cette époque de l'année, la terrasse du Qboat est encore ouverte. Les copines voulaient rester à l'intérieure. Moi et mes wings voulions profiter de l'air frais et du faible niveau sonore de l'extérieur. Le groupe se sépare. Il y avait beaucoup d'attraction et de confort qui avait été fait. Tout était prétexte à s'arrêter et à se détourner du chemin. Le trajet a peut-être duré une heure finalement.

Becky a suivi ses amies. Je ne me faisais aucun soucis, je savais qu'elle allait revenir. Je profitais de ce temps de pause pour aider mes potes. Et puis, une demi-heure plus tard, elle est de retour.
C'est le moment de l'isoler. En effet, l'heure tourne et elles sont de mariage le lendemain. Elles voudront aller se coucher pas trop tard. Au Qboat, au bout du bateau, il y a une sorte de petit lounge. Un endroit tranquille parfait pour isoler. Là-bas sur un canapé, on a discuté d'une manière plus intime, plus profonde. Je l'ai allongé sur moi. Puis, au bout d'un petit moment, nous nous sommes embrassés. Ses magnifiques yeux bleus pétillaient. Les filles ont cette faculté d'oublier toute la terre et d'entrer dans votre univers. On a recommencé à rigoler un peu. Et puis, vers 1 heure du matin, les copines nous ont retrouvé. Ce qui devait arriver arriva :Becky : - Hey ! Vous ne descendez pas ? Je t'attends depuis tout à l'heure ?
Deed : - Tu tombes bien, je voulais te montrer un coin sympa.
Copine : - Hey Becky ! L'Eglise est à 11 heure demain matin. On rentre ?
Becky : - Déjà ? Mais quelle heure est-il ?
Copine : - Il est plus d'une heure... On doit rentrer à l'hôtel.
Deed : - Il est ou cet Hotel ?
Becky : - Il est à Guillotière.
Deed : - Parfais, c'est à trois pas d'ici. Je te ramène moi, si tu veux rester un peu.
Becky : - Je vais discuter avec elle, je reviens.
Elle me fait un baisé et elle part négocier avec ses copines. Je suis tranquille, dans le pire des cas, elle viendra me dire au revoir et je pourrais rattraper le coup, si elle prend là "mauvaise" décision. Il est inutile de sortir l'artillerie lourde tout de suite.
Becky : - Je reste encore un peu.
Deed : - Cool.

On parle de cul. Je lui raconte que je ne couche jamais le premier soir... Que je ne suis pas comme ça. On partage ensemble diverses expériences rigolotes sur un plan cul. Des anecdotes etc. Et puis nos goûts aussi.
Je savais que les copines étaient probablement rentrées, je devais m'en assurer.Deed : - Pour bien commencer la journée... Enfin je veux dire, pour être de bonne humeur, il y a un truc qu'une de mes petites amies avait fait spontanément et que je trouve génial. Avant même d'ouvrir les yeux, le matin, elle m'embrassait partout sur le visage et puis sur tout le corps. Ça me réveillait doucement. Elle se frottait et puis elle me faisait une bonne pipe. Quand avant même d'ouvrir les yeux il y a une fille qui s'occupe de toi dès le matin.... Hummmmm... Mais pourquoi je te raconte ça ? Tu es une fille ! Tu ne peux paaaaaaas comprendre !
Et je me lève et on y va. Devant l'hôtel, on s'embrasse comme sur un quai de gare.Deed : - Mais ! Où sont passées copine1 et copine2 au fait ?
Becky : - Elles sont parties.
Deed : - Sans me dire au revoir ? (l'air faussement étonné)
Becky : - Bah euuuhhhh... (l'air gêné)
Deed : - Les jeunes de nos jours... Ahlalala...bon bah je te ramène à ton hôtel alors. Guillotière, ce n'est pas le quartier le mieux fréquenté de Lyon mine de rien. On y va.
Elle était dans mes bras...Deed : - Je n'ai pas envie de te quitter comme ça, c'est moche.
Becky : - On se reverra bientôt j'espère.
Deed : - J'espère aussi. Tu viens souvent à Lyon ?
Becky : - Non, je ne viens jamais...
Deed : - J'aimerais bien aller à Paris... Mais bon, je n'ai pas trop de vacances en ce moment... C'est moche, je n'ai pas envie de te quitter comme ça.
Becky : - Oui (l'aire triste)
Deed : - Ça serait bien de dormir ensemble. On prendrait le petit-déjeuner demain matin, avec trois rayons de soleil sur une terrasse à côté d'ici. J'aimerais bien m'endormir avec une jolie fille dans mes bras, ça serait tellement agréable...
Je la serre dans mes bras et on s'embrasse.Becky : - Tu pourrais monter, on dort juste alors ?
Deed : - Tu penses ? Je ne te connais pas encore assez, pour allez plus loin...
C'est une petite aventure. C'est excitant. Le réceptionniste voit passé des dizaines et des dizaines de visage par jour. Il ne risque pas de repérer qui fait quoi. Mais cette petite aventure nous rapproche encore plus. Dans l'ascenseur elle se jette sur moi... Je la plaque contre un miroir et puis, quand les portes s'ouvrent, je la prends par la main et je la conduis dans le couloir. On se déshabille gentiment, car on va juste dormir ensemble. Moi, je dors toujours nu.Deed : - Bon ok, je monte, mais on dort juste alors ?
Becky : - Il faut être discret à la réception. Je suis censé être seule dans la chambre. Si on est deux c'est plus cher...
On s'endort gentiment. Elle à sa tête sur mon épaule et je lui caresse le dos, les fesses aussi un peu parfois. Elle tente de m'embrasser. Je tourne la tête... Je stoppe les caresses.
Elle m'embrasse, je la renverse et je l'embrasse avec fougue. Au bout d'un court instant, je suis sur elle. Je la caresse sous sa nuisette, je suis sur le point de l'enlever, juste à ce moment où elles peuvent dire non.Deed : - On a dit qu'on dormait juste !
Becky : - Mais juste un bisou ?
Je la reprend dans mes bras. Je ferme les yeux. Elle me fait des petits bisous sur le visage... Je la caresse, sous sa nuisette... Les fesses, le dos, le ventre... On s'embrasse... Je lui mets la main sur ma bite... Elle me caresse... Elle n'ose pas aller plus loin de peur que je dise "On dort juste"Deed : - Juste dormir... Soyons sérieux un peu...
Elle commence à me masturber... Je l'embrasse, je lui enlève sa nuisette...Deed : - J'ai envie...
Vous connaissez la suite


Au petit matin, après le genre de réveille que j'aime bien dont je lui avais parlé, on s'habille. C'est bien une fille qui s'habille pour un mariage. C'est chouette ces robes. Effectivement, il y a trois rayons de soleil sur la terrasse du petit café où on prend le petit dèj'. Elle veut revenir à lyon le week-end d'après, pour faire plus ample connaissance. On échange nos mails et nos numéros de téléphone. C'est cool, il est tôt, je vais pouvoir aller réveiller mon coloc... On ira au marché sur les quais ou sur le plateau de la croix rousse... J'aime les odeurs des fruits et légume frais. Le rôtisseur de poulet, le fromage, les fleurs et les jupes qui volent un peu. C'est chouette le week-end... On a du temps !

Have fun,
Deed